Présentation et architecture du Jardin botanique de NGOLTONGO

Les collections de plantes séchées ou herbier

Les herbiers sont des lieux où sont stockées des plantes séchées.
Cela désigne également une collection de plantes séchées et fixées sur des feuilles de papier réunies dans des chemises. L’herbier rend compte non seulement des collections de plantes séchées, mais également des annexes qui les complètent : fruits secs, graines, bois, lames de verre pour pollen, les diatomées ou les préparations anatomiques, voir modèle de fleurs et de fruits en cire, éléments ethnobotaniques d’origine végétale, photographies, etc. (ANDRE CHARPIN, 2004).
Le plus grand herbier du monde se trouve aujourd’hui en France au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris avec plus de 8 millions de parts d’herbier.
Une part d’herbier représente une espèce clairement identifiée et décrite dans une publication. La première à avoir été décrite s’appelle letype, elle fait référence pour l’ensemble des plantes de la même espèce.
Les herbiers dans un jardin botanique ont un rôle prépondérant, ils ont un rôle scientifique, mais aussi et surtout un rôle de mémoire absolument indiscutable.
C’est lui qui au cours des décennies pourra indiquer les plantes qui étaient un jour présentes en culture dans le jardin. Tout grand jardin doit avoir son herbier et se doit de l’entretenir. D’après la dernière édition de l’index herbariorum (1990), il existerait dans le monde 2639 herbiers regroupant 273 millions de parts. (HOLMGREN P.K. 1990)

La graineterie

La graineterie du jardin botanique est un lieu où sont entreposées les semences d’espèces végétales se trouvant ou non dans le jardin. Ces semences sont prioritairement récoltées dans la nature pour s’assurer des lignées de graines génétiquement pures.
Tous les grands jardins botaniques vont à l’extérieur faire des sorties sur le terrain ; c’est l’occasion pour eux de récolter, à la saison de la fructification, les graines des espèces sauvages d’origine naturelle. En fonction des objectifs du jardin, ces sorties concernent l’ensemble du département ou de la région où il s se trouvent. Certains grands jardins programment des missions à l’étranger pour satisfaire leurs besoins de recherches.
Bien sûr les jardiniers peuvent récolter les semences des plantes qui poussent dans les jardins botaniques, mais il faut alors faire attention aux pollutions dues aux hybridations non contrôlées entre genres ou espèces différentes qui s’y côtoient. Dans ce cas la pureté génétique risque de ne plus être respectée, il faudra alors indiquer ce doute par une inscription ‘origine jardin’ sur le lot de graines. Véritables banques de semences, les graineteries conservent les lots de graines au mieux dans de grandes chambres froides, voire pour certaines d’entre elles dans des congélateurs.
Ce rôle est amplifié par l’effet de réseau entre les différents jardins botaniques du monde, qui procèdent régulièrement entre eux à l’échange de graines

La récolte des semences

À la récolte, lorsque cela est possible, une partie de la tige aérienne est prélevée sans porter une atteinte vitale à la plante mère. Chaque récolte est ensuite immédiatement identifiée (nom du genre et de l’espèce, avec en note lelieu et la date de la récolte, et le nom du récolteur). Après l’arrivée à la graineterie, pour chacune des espèces récoltées commence un séchage généralement dans des sacs en papier stockés au sec en attendant le triage des graines. Après le triage, seules les graines débarrassées de tout débris de végétaux ou de terre sont mises dans des sachets clairement étiquetés.
Les graines sont en attente pour partir. Le jardin se réserve les semences des espèces en fonction de ses besoins, les autres prendront des destinationslointaines grâce à un système d’échange entre les jardins botaniques du monde entier.

L’index seminum

L’Index Seminum est un catalogue de graines au format 14,6 x 21 cm (A4 plié en 2) que chaque Jardin botanique édite annuellement et expédie pour des échanges entre Jardins partenaires à travers le monde.
Les différentes composantes d’un index seminum :
 Les références complètes du Jardin botanique, nom et adresse…
 Une présentation courte, mais complète du Jardin botanique.
 La climatologie régnant sur le Jardin botanique.
 Localisation géographique du Jardin botanique.
 Une page d’information contenant les renseignements utiles relatifs au fonctionnement de l’activité graineterie.
 La liste des plantes des localités voisines au Jardin botanique.
 La liste des plantes exotiques à la zone géographique du Jardin botanique.
 Éventuellement la liste des espèces disponibles issue d’une culture sous serre tropicale ou autres.
 Une bibliographie des ouvrages référents.
 Peut s’ajouter la liste des personnes ayant travaillé au bon fonctionnement de la graineterie et du service des échanges.
Le classement des espèces végétales est fait par ordre alphabétique dans les familles puis à l’intérieur des familles par nom de genre. Les graines récoltées à l’intérieur même du jardin botanique doivent faire l’objet d’une liste à part.
Pour les correspondants étrangers, chaque partie est traduite en Anglais.

La collection de semences

Contrairement à la graineterie (stockage de graines vivantes pour les mettre en culture et obtenir des plantes qui pourront être observées, comparés et identifiés à nouveau), la Séminothèque est une collection de graines dont le pouvoir germinatif n’est pas la préoccupation. Elle correspond à un besoin d’identification et de comparaison des semences, des genres et espèces de plantes. Elle a donc pour objet d’étudier les caractéristiques des graines et de démontrer que, même au niveau des graines, il existe une très grande diversitétant dans les formes que dans les couleurs.

La collection de fruits

Elle regroupe une sélection de fruits soigneusement identifiée, récoltée puis exposée par les jardins botaniques. Ces fruits sont généralement présentés au grand public dans un endroit appelé Carpothèque qui est le lieu où les visiteurs sont invités à découvrir les exploits de la nature qui fait preuve d’excellence dans la diversité des formes et des couleurs.
Tous les jardins botaniques ne possèdent pas de carpotèque malgré l’intérêt pédagogique de telles collections. Elles sont pourtant facilement réalisablesnotamment pour les fruits secs des plantes locales poussant dans la région de chaque jardin botanique.

Le cahier d’introduction

Lorsqu’une plante entre dans un Jardin botanique, elle doit être clairement identifiée ; c’est une priorité !
Une fois identifiée, elle est plantée dans la partie du jardin qui lui correspond le mieux, elle est étiquetée et enregistrée dans le cahier d’introduction. À partir de ce moment, le suivi de celle-ci peut commencer jusqu’à sa disparition ; le jardinier y consigne soigneusement les différentes étapes.

L’étiquetage

Chaque plante doit être identifiée avec son nom latin (Genre et espèce), son nom usuel, la famille à laquelle elle appartient, son origine géographique, et un numéro d’introduction.

Historique du jardin botanique

Le jardin est appelé JARDIN BOTANIQUE DE NGOLTONGO puisque c’est ce nom qui correspond au site nommé par les habitants. Il est à la frontière d’une zone appelée NGOLTONGO par les villageois séréres safene de Kigniabour et de Kafngoune.
A l’époque, ceshabitants appelaient tout le site NGOLTONGO. Mais le vrai nom du jardin est NDOUF NDIAYE, Ndouf qui veut dire forêt en saféne.
En effet, il y’avait un certain Ndiaye qui avait son champ au niveau du site de Ngoltongo. Derrière ce champ on trouve une zone de terre noire peuplée de baobabs et qui est nommée GANAR-GA par les villageois. Le jardin se situeplus dans Ndouf Ndiaye que dans Ngoltongo.
C’est en 2000 que le site a été choisi par un Pharmacien passionné par les plantes, Docteur Charles HADDAD, qui, dans le souci de participer à la conservation de la biodiversité a décidé d’y créer unjardin. Au début, son idée était de cultiver des plantes médicinales pour en faire des baumes, beurre de karité, de Sterculia, les huiles essentielles etc. afin de participer à la thérapeutique des populations. Ce projet de culture de plantes médicinales étant difficile, donc il a commencé par les plantes alimentaires avec la plantation de manguiers et d’agrumes. Et à partir de 2003 il reboise avec des caïlcédrats et des palmiers à huile dans la partie appelée Casamance. Puis depuis cette annéetoutes les plantes introduites sont orientées en fonction de leurs exigences en eau dans les différentes zones.

Présentation et architecture du Jardin botanique de NGOLTONGO

Le jardin fait environ 15ha et se trouve à 14°33 N;17°02W. Il est à proximité du village de Kafngoune mais dépend du village de Kigniaboure. Il s’étend sur un sol latéritique et est à cheval sur deux zones géologiques différentes à savoir la zone latéritique et celle correspondant aux terres noires riches en attapulgite vers la forêt de baobabs. Il est sur un plateau latéritique situé sur la pente qui mène aux terres riches en marbre.
Le jardin botanique est aménagé en trois zones :
– la zone sahélienne située à l’EST et exposée au vent chaud, où sont plantés les épineux pouvant faire un écran à ces vents,
– la zone soudanienne dénommée (Kaolack) est sur unmonticule c’est-àdire en hauteur et qui reçoit les vents affaiblis provenant de la zone sahélienne et enfin
– la zone guinéenne qui est sur une voie d’eau, où se trouvent les plantes typiques de la basse Casamance qui poussent sur un sol humide. Dans cette dernière zone se trouvent de grands arbres créant ainsi de l’ombre qui pourrait entraver le développement de la strate herbacée. Cependant ce phénomène n’est pas observé dans les deux autres zones.
Les plantes médicinales occupent une superficie importante.
Le jardin dispose ainsi:
 Un arboretum qui est divisé en trois zones
 une pépinière,
 une grande pompe à eau reliée à des gouttières qui permettent de véhiculer l’eau dans tout l’étendu du jardin
 une case située au centre qui permet de réaliser des herbiers et des séchages
 un plan d’eau accueillant des plantes aquatiques et des poissons.

La conservation

Une des principales missions d’un jardin botanique est la collecte et la conservation des plantes locales ou exotiques. Il peut également avoir comme mission la protection d’espèces menacées d’extinction. C’est le cas du jardin botanique de Ngoltongo qui entreprend une conservation à long terme « in et ex-situ » des ressources végétales africaines et du monde. Il n’a pas d’antécédent de recensement floristique. En effet, c’est un tout nouveau jardin qui fait à peine huit ans d’existence, donc en phase de collecte d’espèces. Une autre mission que ce jardin aura c’est la mission scientifique liée à la conservation : observer les végétaux sauvages et appliquer ces connaissances à la renaturation, faire connaitre la biodiversité et la nécessité de la protéger, éduquer au respect de la nature, intervenir au prés de tous les publics. Dans les années à venir le jardin ambitionne de recevoir des élèves et surtout les étudiants plus particulièrement de la faculté de médecine et de pharmacie pour des travaux pratiques d’herborisation, d’expérimentation (semis de graines et suivi de cultures), de thèse et de reconnaissance des plantes, ainsi que dans les travaux de biométrie végétale. Actuellement Il a reçu des visites des étudiants de l’ENSA et des étudiants de la licence de l’Herboristerie du département depharmacie de la faculté de médecine de l’UCAD.

Fonctionnement du jardin botanique

Il n’y a qu’une seule personne qui travaille sur le site quotidiennement et son rôle est d’entretenir le jardin et de procéder au reboisement (désherbage et taille les plantes).

Les collections des plantes vivantes

Dans ce jardin on distingue trois parties ou zones : zone sahélienne, zone soudanienne et la zone guinéenne. Les plantes sont introduites selon leur exigence climatique et leur besoin en eau dans les différentes zones
Ainsi on retrouve :
– Dans la zone sahélienne il y’a des plantes comme les Accacia qui peuvent faire face au vent chaud provenant de l’Est du jardin.
– la zone soudanaise est caractérisée par la présence de plantes comme les Combretaceaeet les Meliaceae.
– Dans la zone guinéenne se trouvent des plantes dont les besoins en eau sont supérieurs à ceux des plantes des deux autres zones c’est le cas des Ficuset des Landolphia.

L’introduction des espèces

Cette activité permet de renforcer le potentiel floristique du jardin. Les plantes introduites proviennent de partout dans le monde et la plupart d’entre elles sont identifiées puis orientées dans une zone suivant leurs exigences climatiques. Cependant le jardin ne dispose pas de registre pour noter les dates d’introduction des espèces afin de bien suivre l’évolution chronologique de ces dernières d’où notre étude.

Traitement des données

Après la récolte, la détermination et l’identification des espèces sont réalisées en s’appuyantsur des ouvrages de botanique tels que :
 Flore du Sénégal de BEBRHAUT J. (1967),
 Flore illustrée du Sénégal de BEBRHAUT J. (1971-1991)
 Flora of west tropical Africa de HUTCHINSON J. & DAZEIL J.M (1954)
 Flora of west tropical Africa de HUTCHINSON J. & DAZEIL J.M (1963)
 Flora of west tropical Africa de HUTCHINSON J. & DAZEIL J.M, (1968)
 Nouvelle flore du Sénégal et des régions voisines de MUGNIER, (2008).
Et de l’ouvrage les fruits sauvages du Sénégal de Charles HADDAD, (2000).
Nous avons également utilisé des échantillons de l’herbier du Département de Biologie Végétale de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar et de l’Institut Fondamental d’Afrique Noire IFAN. Des personnes ressources ont été mises à contribution il s’agit du Docteur Charles HADDAD et de MR Ibrahima FALL, botaniste au laboratoire de Pharmacognosie et Botanique de la FMPO.
Les nomenclatures employées sont celles de LEBRUN & STORK 1991,1992, 1995,1997, et système de classification utilisé est APGIII de 2009.

Réalisation de l’herbier

En botanique, un herbier est une collection de plantes séchées. Il sert de support physique à différentes études sur les plantes, principalement, à la taxonomie et à la systématique. Le terme herbier (herbarium) désigne aussi l’établissement ou l’institution qui assure la conservation d’une telle collection (Morat, 1995).
Les échantillons récoltés doivent être manipulés soigneusement afin d’éviter leur détérioration. Chaque échantillon doit comporter les parties indicatrices de l’espèce, notamment, les feuilles, les fleurs et le fruit (Baudry, 1999). Les échantillons sont placés dans du papier journal pendant une période suffisante pour les faire dessécher.
Enfin un herbier a été confectionné après séchage des spécimens récoltés.
C’est donc un travail qui a été long du fait de l’étendue du jardin et l’absence d’étiquettes ou d’indices aux pieds des plantes. Cependant beaucoup d’espèces ont été identifiées sur place parce qu’il s’agit de plantes introduites et déjà connues.
IL faudra aussi noter qu’environ dix espèces n’ont pas été identifiées du fait de leur manque d’organes reproducteurs(fleur ou fruit).

RESULTATS ET DISCUSSION

Pour avoir un aperçu du potentiel floristique du JBN dans cet inventaire, nous avons présenté les résultats en plusieurs rubriques. D’abord de façon générale, ensuite par famille, par port et par classe.

Présentation générale des résultats

Nous avons collecté à NGOLTONGO 324espèces réparties dans 243 genres et 81 familles. Les plantes ligneuses sont largement dominantes avec 218 espèces contre 106 espèces pour les herbacées soit respectivement 67,28% contre 32,72%. Ce nombre est plus important que ceux signalés dans la flore du
Conservatoire botanique Michel Adanson de Mbour qui est composée de 140 espèces réparties dans 115 genres et 53 familles par Diop ( 2010) et dans la flore duJEPU de la faculté de Faculté de Médecine et Pharmacie de L’UCAD par (Diatta K.,2010) qui a inventorié 249 espèces réparties dans 187 genres et 71 familles .
Environ 141 espèces ont été introduites, ce qui représente un pourcentage de 43,52% de la flore. (Tableau I)
Ces 141 espèces introduites sont réparties dans 128 genres. Il en ressort que presque la moitié des espèces répertoriées est introduite. Cela s’explique parle fait que le jardin est en phase de collecte d’espèces.
Dans le Tableau I les ports herbacés ou ligneux sont indiqués par le signe H : (port herbacé); signe L (port ligneux et semi ligneux). Les Astérix(*) indiquentque l’espèce a été introduite par le conservateur du JBN.

Répartition des espèces par classe

Il apparaît ainsi qu’au plan de la diversité, la flore du NGOLTONGO est composée uniquement de Spermaphytes. Les familles appartenant à la classe des dicotylédones représentent 86,42%, les 13,58% restant faisant partie de la classe des monocotylédones (Tableau III). Ces proportions restent quasiment les mêmes en ce qui concerne la diversité des genres dans la flore. Pour ce qui est de la diversité au niveau spécifique, les dicotylédones représentent 84, 44%.
Par rapport au nombre de familles et des genres on note pour les monocotylédones des proportions plus importantes, avec 15,12%. L’importance relativement élevée de la diversité spécifique des dicotylédones est due au fait que certaines familles y sont très diversifiées (Tableau II),telles que la famille des Caesalpinioïdae avec 22 espèces, les Faboïdae avec 21 espèces, les Euphorbiaceae avec 20 espèces, les Mimosaceae avec 19 espèces, les Apocynaceae (13 espèces), et les Rubiaceae (9 espèces). Ces 6 familles représentent à elles seules plus du quart de la Flore. Comparée à la flore vasculaire du Sénégal (Ba & Noba, 2001), la flore du NGOLTONGOprésente des proportions comparables entre dicotylédones et monocotylédones. Les dicotylédones représentent 84,88% contre 70,3% dans l’ensemble de la flore du Sénégal et les monocotylédones 15,12% contre 14,7% pour la flore globale du pays.
Il ressort de cette analyse que JBN présente une forte diversité spécifique. Cette diversité remarquable au sein des familles est due non seulement au fait que le jardin est bien entretenu mais aussi au fait d’un forte activé d’introduction des espèces depuis 2003. En plus les espèces proviennent de presque partout dans lemonde, c’est le cas par exemple du Chrysophyllum cainito qui vient de l’Amérique, de l’Argania Spinosa provenant du Maroc.

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Table des matières
CHAPITRE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE 
1. GÉNÉRALITÉS SUR LES JARDINS BOTANIQUES
1.1. Définition
1.2. Historique
1.2.1. Jardins botaniques dans le monde
1.2.2. Jardins botaniques en Afrique
1.2.3. Jardins botaniques au Sénégal
1.3. Missions
1.3.1. La conservation
1.3.2. Enseignement et éducation
1.3.3. Mission scientifique
1.3.4. Mission touristique
1.4. Fonctionnement d’un jardin botanique
1.4.1. Les collections de plantes vivantes
1.4.2. Les collections de plantes séchées ou herbier
1.4.3. La graineterie
1.4.4. La récolte des semences
1.4.5. L’index seminum
1.4.6. La collection de semences
1.4.7. La collection de fruits
1.4.8. Le cahier d’introduction
1.4.9. L’étiquetage
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODE
1. CADRE D’ETUDE
1.1. Présentation du site et Situation géographique du JBN
1.2. Historique du jardin botanique
1.3. Présentation et architecture du Jardin botanique de NGOLTONGO
1.3.1. Objectifs et mission du jardin botanique
1.3.1.1. La conservation
1.3.2. Fonctionnement du jardin botanique
1.3.2.1. Les collections des plantes vivantes
1.3.2.2. L’introduction des espèces
1.3.3. Forces et faiblesses du jardin
2. Méthodologie
2.1. Inventaire floristique
2.1.1. Traitement des données
2.2. Réalisation de l’herbier
1. Présentation générale des résultats
2. Présentation des résultats par famille
3. Répartition des espèces par classe

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