Présentation du projet réseaux communautaires dans la commune rurale de Tataho

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L’individualisme méthodologique

Il étudie les actions individuelles qui constituent l’élément de base du social, et montre comment les actions ont interféré et donnent naissance à un phénomène social.
Boudon veut identifier chez l’individu la bonne raison qui le motive et oriente son action.

L’holisme méthodologique

La société n’est pas réductible à l’ensemble des individus qui la compose .Un fait social n’est explicable que par un autre fait social qui lui est antérieur.
Les courants des pensées que nous avons choisis s’avèrent nécessaires dans notre étude .Mais pour mieux comprendre notre thème, il audraf définir également quelques notions .En effet nous parlerons de projet de développement de la communauté et de la notion de participation.

Le projet de développement

Selon le Conseil de Recherche Action et Développement Communautaire (CRADEC), « un projet de développement se définit comme un nsemble d’activités volontairement programmées dans le temps et dans l’espace, utilisant des moyens précis et appropriés pour répondre au besoin d’un groupe donné pour atteindrel’objectif bien défini.

L’approche participative

L’approche participative est une démarche utiliséequi vise une réalité de la participation au sein d’une communauté. L’approche participative dérive de la notion de participation. Ces outils sont confrontés aux réalités des populations impliquées dans les actions menées par les projets de développement. Ainsi l’approche participative est intimement liée à l’existence et aux interventions des organismes .Cependant ,cette démarche propre au processus de développement demeure ,au départ ,de manière assez confuse :les rôles des différents acteurs semblent être connus des seuls metteurs en scène des programmes de développement .Or l’approche participative vise une synergie entre les différents acteurs concernés par les projets de développement .L’intérêt commun des acteurs est l’appropriation de l’acte de développement .Et le souci premier de la population qui, théoriquement ouvre et clôt le projet doit être lapérennisation des réalisations concrètes du projet . L’approche participative permet ainsi à travers ses pratiques :
– d’identifier la priorité des besoins d’un groupe communautaire cible ; c’est la priorisation des besoins .
– de valoriser la démarche volontaire des populations concernées et de mobiliser toutes les ressources disponibles (humaines, financières, temporelles et matérielles) ; Autrement dit promouvoir les initiatives et potentialités de la population –cible. C‘est la spontanéité participative et de la conscientisation par l’information et la sensibilisation des populations au processus participatif, en particulier, et au processus de développement, en général .
– de favoriser le changement de mentalité et de comportement de la population, habituée à recevoir sans la moindre contribution, en exigeant d’elle un apport au projet de développement ; c’est la responsabilisation.

Commerce Equitable et Solidaire à Madagascar

C’est un projet de développement du commerce équitable et solidaire à Madagascar avec l’appui du MAG italien (Ministère des Affaires Étra ngères).
Ce projet est en partenariat avec le ministère de l’économie, du commerce et de l’industrialisation, et l’ONG RTM s’est engagée à :
· promouvoir le Commerce Equitable et Solidaire.
· contribuer à l’élaboration d’une charte du Commerce Equitable et solidaire(C.E.S) à Madagascar.
· appuyer l’Association Nationale du Commerce Equitable et Solidaire de Madagascar(ANCESM) pour la promotion du commerce Equitable et Solidaire.
· contribuer à la création d’un réseau BIO en appuyant les producteurs agricoles locaux.
· appuyer à la sauvegarde de la forêt zafimaniry dansla zone d’Ambositra.

Le projet d’appui à la Fondation Médicale d’Ampasimanjeva

Il a pour objectif de : promouvoir la santé de la communauté dans la région rendre accessibles aux malades les services hospitaliers de qualité appuyer la prévention et lutte contre le VIH/SIDA dans la vallée de Faraony Ampasimanjeva Manakara et Mananjary, à travers la mise en place du centre de dépistage et consulting au niveau de la Fondation Médicale d’Ampasimanjeva.

Le projet d’appui au Foyer Akanin’ny Marary à A mbositra

Ce projet a pour objectif d’ :
assurer l’information, la sensibilité et la formation dans le domaine de la santé pour les lépreux, les tuberculeux, les handicapésphysiques et mentaux . améliorer les conditions de vie des malades et desguéris.

Le Projet Réseaux Communautaires

C’est un projet pour la lutte intégrée contre lepaludisme, la filariose lymphatique, les parasitoses intestinales et les autres malades chroniques et invalidantes et la prise en charge de la filariose et paludisme en liaison avec le système de santé périphérique.

Les objectifs des Réseaux Communautaires 

Le projet Réseaux Communautaires a pour objectifsgénéraux :
· l’harmonisation des approches communautaires à Mada gascar.
· l’offre d’un cadre de référence en matière d’intervention communautaires pour une synergie des actions.
· la mise en place d’une structure formelle d’harmon isation à tous les niveaux.
· la détermination des rôles des différents acteurs.

Les bailleurs

Le projet réseaux communautaires est financé par :
– l’union Européenne.
– la Province de Modène en Italie.

les zones d’intervention

Le projet réseaux communautaires recouvre les cinq districts dans la région Vatovavy Fitovinany :
Voici les cinq districts :
– District de Manakara.
– District de Mananjary.
– District de Vohipeno.
– District de Nosy Varika.
– District d’Ifanadiana.

Les infrastructures sanitaires existantes

Les infrastructures publiques :
– 4 centres de santé de base (CSB).
– 1 centre de santé scolaire(CSS).
– 1centre hospitalier régional(CHR).
Les infrastructures privées sont le centre AINA, le centre Marie Stopes Internationale, l’organisme inter-entreprise(OSIEM).
Après avoir vu le district de Manakara, passons maintenant à la commune rurale de Tataho.

Distribution des aides alimentaires

L’ONG RTM dispense des aides alimentaires aux malades de lèpre et de la tuberculose. Avec la collaboration avec le Programme Alimentaire Mondial(PAM), les aides alimentaires sont destinées aux tuberculeux et aux lépreux qui suivent régulièrement un traitement. Selon le responsable de l’ONG, cette aide alimentaire sert à soutenir et à encourager les malades pendant le traitement. Les bénéficiaires ou les malades les reçoivent par mois jusqu’à la fin du traitement.
Dans les 45 communes du district de Manakara, le nombre des bénéficiaires de cette aide alimentaire s’élève à de 197, dont 153 tuberculeux et 44 lépreux.
A chaque distribution chaque malade doit se munir d’une carte, carte jaune ou carnet de santé pour les lépreux et le carte rose pour les tuberculeux. Voici la liste des aides alimentaires octroyées auxmalades :
– Riz : 6kg par mois.
– Légume sec : 1.5kg par mois.
– Huile : 0.9 litre par mois.
– Maïs en poudre : 3kg par mois.

Prise en charge des malades de la filariose :

Le traitement de cette maladie est avant tout la prévention. Donc l’ONG RTM base son action sur la sensibilisation de la population sur l’utilisation de MID (Moustiquaire Imprégné d’Insecticide). Ensuite, la prise de médicament nommé Albendanzol et Diethyle Carbamazine(DEC) et l’hygiène corporelle pour prévenir la maladie.
Pour le cas de la Lympoedème appelé « ONGOBE » en Malgache, l’ONG RTM à travers les agents communautaires fait des entretiens, une éducation sanitaire. Cette éducation consiste à montrer aux malades les méthodes et techniques de soin telles que :
– le lavage de la jambe ou la partie du corps atteinte par un lympoedème avec du savon et de l’eau propre .
– l’essuyage de la jambe ou la partie du corps avec soin et douceur, entre les plis et entre les orteils.
Pour le cas de l’hydrocèle appelée « ONGOBE », l’ONG RTM participe au frais de l’intervention chirurgicale.
C’est l’ONG RTM qui prend en charge le reste des d épenses liées à l’intervention chirurgicale. La participation des malades est de 10000Ar pour l’hydrocèle.
Dans le district de Manakara, on compte 1901 personnes atteintes de la filariose. Il représente 2.32% de la population selon le rapport d’activité de l’ONG RTM année 2010.

Action pour le renforcement technique et fonctionnel 

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet réseaux communautaires, et aussi dans le cadre de renforcement technique et fonctionnel des communautés locales, l’ONG donne une place importante à l’éducation-formation des acteurs communautaires Cette action consiste à la formation des acteurs co mmunautaires.

La formation des acteurs communautaires

La formation s’effectue par les responsables de l’ ONG RTM composée d’un médecin et de STS en présence du chef CSB de la commune. Les acteurs communautaires bénéficient d’une formation sur les maladies prises en charge par l’ONG : la tuberculose, le paludisme, la lèpre, la filariose et la parasitose.
Les principaux points à développer pendant la formation sont :
– l’amélioration des pratiques familiales de santé à travers la sensibilisation des groupes et la communication interpersonnelle et le VAD ou Visite à Domicile.
– la prise en charge des invalidités des maladies : la lèpre et la filariose lymphatique.
– la distribution de médicaments surtout pour les malades de tuberculose.
– l’utilisation des différents registres et fiches.
Le volet formation est très important car il renforce les compétences des acteurs pour qu’ils puissent prendre en charge correctement le cas de santé dans la communauté.

La communauté exerçant l’activité réseaux communautaires

Avant même le début des actions de concrétisatione dleur projet, l’ONG tient d’abord à organiser des rencontres d’information avec les populations des collectivités cibles. Au cours de ces réunions, il est porté à la connaissance des habitants le genre de projet envisagé pour eux et qui exige une participation active de leur part. Dans la mesure où ils se sentent intéressés, après échange d’idée et réflexion, il leur est demandé de donner leur consentement. Le but d’une telle démarche, c’est de former et éduquer la population à la prise de responsabilité, mais aussi de leur faire sentir que les réalisations effectuées les concernent.
Ainsi nous allons voir dans la première section la mise en place du projet dans la commune rurale de Tataho, dans la deuxième section le rôle des autorités locales et dans la troisième section le rôle des acteurs communautaires.

Le chef CSB

Le chef CSB est aussi le responsable de la mise en place des réseaux communautaires. Ses tâches consistent à :
– honorer de sa présence la formation des agents communautaires et de collaboration avec les formateurs.
– collaborer au dépistage effectué dans sa commune d’intervention.
– superviser les activités des agents communautaires,en collaboration avec les STS et à résoudre les différents problèmes rencontrés.
– -diriger la revue mensuelle des supervisions des activités des agents communautaires et les informer sur les différents programmes sanitaires et de masse.
– prendre en charge tous les malades orientés par les agents communautaires.
– maintenir un échange régulier avec le Maire concernant la santé.
– viser la lettre d’autorisation des STS délivrée par le maire.

Le chef ZAP

A part le Maire et le chef CSB, le chef ZAP figure aussi parmi les responsables dans la commune.
– Il vise la lettre d’autorisation signée par le Maire.
– Il donne des informations correctes et fiables.
– Il coordonne les activités d’information, formation et éducation sanitaire réalisées au sein des écoles, en collaboration avec les instituteurs, les agents communautaires et le projet.
Chacun tiennent une grande responsabilité pour la bonne marche du projet réseaux communautaires.

Les rôles des acteurs communautaires

L’intervention communautaire constitue-t-elle une meilleure alternative pour atteindre la population bénéficiaire ?

Agent communautaire 

C’est une personne issue de la communauté, ayant reçu des formations de courte durée, pour la promotion de l’état complet de bien-être dela population. Son rôle consiste à sensibiliser et à offrir des prestations pour la pr ise en charge des bénéficiaires.
Dans certains pays, les AC sont appelés soignants informels3.
L’agent communautaire est le principal acteur du projet réseaux communautaire.

Caractéristiques

Selon la note de service émanant du chef de régiondu Vatovavy Fitovinany et du directeur régional de la santé dans la région Vatovavy Fitovinany (Voir annexe II), il appartient au maire ,au chef du centre de santé de base ou CSB età la communauté de choisir lui-même les agents communautaires car ces agents communautaires sont ses représentants auprès des services et/ou structures d’administration, à t ravers des élections libres et transparentes, il s’agit d’un AC pour 300 habitants, par exemple s i le nombre de la population dans une commune est de 10000,le nombre des AC est de 33. L’agent communautaire doit être un individu issu de la communauté, savoir lire et écrie, être dynamique et sociable, être réputé honnête, et être âgé de 18ans et plus.

Système de motivation des agents communautaires

En général, les acteurs communautaires sont tenus ’offrird des présentations de qualité dans un esprit d’intégrité et de recevabilité. La ommunautéc pourra identifier et appliquer des systèmes de reconnaissance basée sur la performance. Cette reconnaissance peut être matérielle ou technique. Par exemple, durant la récolte, la communauté donne du paddy. La communauté s’est engagée à ce système de reconnaissance.
Les agents communautaires sont indemnisés par les programmes, par exemple le programme d’action de la semaine de la santé pour les Mères et les Enfants(SSME) et de distribution de Masse de Médicament(DMM).

Les fonctions des AC

A Madagascar, les AC exercent auprès de la communauté les fonctions suivantes :
– améliorer les pratiques familiales en matière de santé et de protection sociale, de nutrition, d’hygiène à travers les sensibilisations , de groupe, la communication interpersonnelle et les visites à domicile .
– distribuer les produits de base de santé et nutrition aux familles dans les zones où la population a peu d’accès aux services de santé.
– assurer le traitement des petites maladies selon les directives des programmes existant dans les zones enclavées et ou éloignées.
– contribuer aux activités de surveillance épidémiologique, y compris des maladies, endémiques et endémo-épidémiques, l’accélérationladelutte contre les maladies et la recherche active des personnes perdues de vue.
Dans les zones où l’accès physique aux formations sanitaires de base pose de grands problèmes, les AC formés et équipés seront aussihargésc de
– satisfaire les besoins communautaires, y compris la prise en charge des maladies de l’enfant, sous la supervision du responsable de formation sanitaire publique ou privée de rattachement, afin d’assurer l’accès de la population aux services essentiels.
Nous allons présenter dans ce tableau les activités effectuées par les agents communautaires pour la lutte intégrée contre le paludisme, la filariose lymphatique, la parasitose intestinale et les autres maladies chroniques et invalidantes ; les missions qui sont confiées aux AC ne sont pas nouvelles, ou très différentes de leurs activités précédentes ; en plus ils bénéficient des formations.

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Table des matières

PREMIER PARIE GENERALITES SUR L’OBJET D’ETUDE
CHAPITRE I. Cadre theorique
Section I Les courants de pensées
1.1 Le fonctionnalisme
1.2. L’individualisme méthodologique
1.3. Le holisme méthodologique
Section II Définitions des notions
2.1. Le projet de développement
2.2. L’approche participative
2.3. La communauté
CHAPITRE II. Présentation générale du terrain
Section I .Organisation non gouvernementale Reggio Terzo Mondo(RTM) et le projet réseaux communautaires
I. O.N.G RTM
1.1. Dénomination
1.2. Statut juridique
1.3. Historique de l’ONG RTM
1.4. Fondements de base
1.5. Les domaines d’actions de l’ONG ORTM
II. Le Projet Réseaux Communautaires
2.1. Définition
2.2. Les objectifs des Réseaux Communautaires
2.3. Les bailleurs
2.4. Les zones d’intervention
Section II le district de Manakara et la commune rurale de Tataho
2.1. Le district de Manakara
2.1.1. Situation démographique
2.1.2. Les Fonctions administratives actuelles
2.1.3. Situation géographique
2.1.4. Les infrastructures sanitaires existantes
2.2. La commune rurale de Tataho
2.2.1. Situation démographique
2.2.2. Situation géographique
2.2.3. Les activités économiques
2.2.4. Les infrastructures communales
DEUXIEME PARTIE FONCTIONNEMENT DES RESEAUX COMMUNAUTAIRES
CHAPITRE III. Présentation du projet réseaux communautaires dans la commune rurale de Tataho
Section I Approche du projet
1.1. Action pour la promotion de la santé
1.1.2.Dépistage
1.1.3. Distribution des aides alimentaires
1.1.4. Prise en charge des malades de la filariose
1.2. Action pour le renforcement technique et fonctionnel
1.2.1. La formation des acteurs communautaires
1.2.2. Suivi et monitoring
Section II-les équipes et les partenaires de l’ONG RTM
2.1. Equipe de l’ONG RTM
2.2. Les partenaires
CHAPITRE IV. La communauté exerçant l’activité réseaux communautaires 
Section I. la mise en place du projet réseaux communautaires
1.1. L’étape de la mise en oeuvre du projet
1.1.1. Le pré contact
1.1.2. Le premier contact
1.1.3. Visite du lieu
1.1.4. Le deuxième contact
Section II. Les rôles des autorités locales
2.1. Le maire
2.2. Le chef CSB
2.3. Le chef ZAP
Section III. Les rôles des acteurs communautaires
3.1. Agent communautaire
3.1.1. Caractéristiques
3.1.2. Système de motivation des agents communautaires
3.1.3. Les fonctions des AC
3.2. Les RMM (les parents chargés de la sensibilisation et du savoir)
32.1. Leurs rôles
CHAPITRE V. Essai d’analyse
Section I. Analyses d’impacts
1.1. Impacts du projet réseaux communautaires
1.1.1. Sur l’individu
1.1.2. Sur la communauté
1.1.3. Impacts sur le groupe
1.1.4. Impacts sur la commune
Section II analyse des forces et opportunités
2.1. Forces
2.2. Opportunités
TROISIEME PARTIE ANALYSE DES PROBLEMES ET PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
CHAPITRE VI. Analyse des problèmes
Section I. Les problèmes rencontrés par les acteurs communautaires
1.1. Problème d’infrastructures
1.2. La non disponibilité des autorités locales
1.3. Les problèmes relationnels
1.4. Problème de communication
1.5. La non motivation
1.6. Problème d’indemnisation
Section II. Problèmes rencontrés par les projets réseaux communautaires proprement dits
2.1. Problème vis-à-vis des AC
2.2. Problème sur l’utilisation des AC
2.3. Problème lié à la formation des AC et au suivi des activités des AC
CHAPITRE VII. Proposition de solutions
Section I. Suggestions personnelles
1.1. Pour le projet réseaux communautaires
1.1.1. Recrutement d’animateur pour assister les formateurs pendant les séances des formations
1.1.2. Renforcement de la communication pour le changement de comportement(CCC)
1.1.3. Approche par l’Information Education et Communication(IEC) .
1.1.4. Amélioration du système de suivi des activités communautaires
1.1.5. Communication sociale pour le développement
1.1.6. Renforcement de formation
1.2. Pour les autorités locales
1.2.1. Amélioration de relation avec les agents communautaires
1.2.2. Sensibilisation de la population
1.2.3. Supervision du fonctionnement du projet
Section II. Suggestions venant de l’ONG
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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