PRESENTATION DES TABLES CREEES PAR L’ETUDIANT
Introduction
Introduction à la politique suisse
Le Parlement est constitué de deux Chambres : le Conseil national et le Conseil des Etats. Le Conseil national compte 200 membres. Ces membres sont répartis entre les 26 cantons proportionnellement à la taille de leur population. C’est pourquoi, il est considéré comme la Chambre du peuple Le Conseil des Etats quant à lui compte 46 membres. Les 26 cantons y sont représentés, car chaque canton doit élire deux représentants, à l’exception des 6 demi-cantons qui doivent en élire un seul Les compétences de ces deux Chambres sont égales. En effet, tous les objets politiques doivent être soumis à l’examen et aux votes des deux Chambres qui se réunissent séparément lors des sessions parlementaires. Celles-ci ont lieu 4 fois par an Les lobbies sont des réseaux de personnes créés pour promouvoir et défendre les intérêts privés d’un groupe en influençant des personnes ou des institutions publiques détentrices de pouvoir politique (Wikipedia, s.d.).
Plus concrètement, ce sont des entreprises, associations ou divers groupes qui, grâce à un ou plusieurs parlementaires du Conseil national ou du Conseil des Etats, vont influencer les décisions politiques afin d’y trouver un bénéfice personnel.
Problème à résoudre
Le client, Lobbywatch qui est une association suisse récoltant des données sur les parlementaires afin de démontrer l’importance des lobbies au sein de la politique suisse (Lobbywatch, 2017), désire obtenir un prototype visualisant l’influence des lobbies dans la politique suisse. Pour cela, l’étudiant désire croiser les informations du client avec les votes de chaque parlementaire qui sont disponibles sur le web service du Parlement fédéral. Ceci donnera au client des idées quant aux axes de développement ainsi que les types de visualisation possibles afin de les intégrer au sein de leur propre site internet www.lobbywatch.ch.
Les axes de développement suivants ont donc été pensés afin de représenter au mieux l’influence des lobbies :
1. Représenter la composition de chaque lobby et de chaque branche de lobbies.
2. Représenter les résultats de chaque vote par lobby et par branche.
3. Représenter la proportion de vote des parlementaires en accord ou en désaccord avec leurs lobbies et leur parti.
Le premier axe de développement démontre quel(le) lobby ou branche est le ou la plus important(e) au sein du Parlement suisse et donc potentiellement le ou la plus influent(e).
Le second axe répond à l’intérêt de l’utilisateur de savoir comment un lobby ou une branche et les parlementaires membres de ces lobbies ou branches ont voté.
Enfin, le dernier axe consiste à démontrer la proportion de votes des parlementaires votant en accord ou en désaccord avec leurs lobbies ou leur parti dans le but de savoir si un parlementaire est potentiellement plus influencé par son parti ou par ses lobbies.
Acquisition des données
Les données utilisées dans la réalisation de ce projet proviennent de deux sources différentes. La première source de données est le client Lobbywatch qui a fourni une copie de sa base de données comportant diverses informations. Les informations comprises dans cette base de données sont par exemple :
– La liste des lobbies existants avec la branche à laquelle ils appartiennent
– La liste des 321 parlementaires avec les liens aux lobbies dont ils sont membres et leurs informations personnelles
– Diverses données utiles uniquement au développement de leur site internet comme la traduction française de leur site, les paramètres utilisateur, etc…
La seconde source de données est le web service du Parlement fédéral. On y trouve toutes les données rendues publiques par le Parlement comme :
– Des informations personnelles concernant les parlementaires
– Les affaires traitées au Parlement
– Les divers(es) départements et factions du Parlement
– Les votes de chaque parlementaire
Ces données ont été fournies par Monsieur Florian Evéquoz qui à l’aide d’un programme codé en Python, a extrait les votes de chaque parlementaire allant du 31 novembre 2015 au 7 mars 2017.
Compréhension des données
Afin de pouvoir utiliser les données mises à disposition, l’étudiant a analysé table par table les données. En effet, il a effectué une requête SQL1 (SELECT * FROM nom_de_la_table) pour chaque table, retournant toutes les informations de chacune d’entre elles afin de mieux les comprendre.
Sélection des données utiles au développement
Après avoir compris les données, l’étudiant a listé, parmi les 67 tables mises à disposition, lesquelles lui sont utiles et lesquelles ne le sont pas dans le développement de sa solution. Les tables retenues par l’étudiant sont :
– Branche
– Interessengruppe
– Mv_parlamentarier
– Mv_interessebindung
– Mv_organisation
– Fraktion
– Partei
– Votes
– Lobbylinks
Afin de mieux visualiser et comprendre la base de données, le modèle SQL de la base de données ainsi qu’un script de la structure de chaque table sont insérés dans la clé USB fournie avec le rapport. En effet, vu la complexité de la base de données, il est inutile d’imprimer le modèle SQL en version papier car il est illisible.
La table mv_parlamentarier
Cette table contient une liste de 321 (ex ou actuels) parlementaires. Afin d’avoir les 200 parlementaires du Conseil national actuel, il faut cibler les parlementaires ayant la mention « NR » (pour National Rat ou en français Conseil national) dans la colonne « rat », ainsi que tous ceux dont la colonne « im_rat_bis » est « NULL ». En effet, la colonne « im_rat_bis » signifie « dans le conseil jusqu’à », c’est pourquoi les conseillers actuels n’ont encore aucune mention dans cette colonne. De plus, dans la période de vote du 30 novembre 2015 au 7 mars 2017, il faut tenir compte du fait que Monsieur Jean-François Steiert est passé du Conseil national au Conseil des Etats le 25 février 2017 et donc, il contient la date de son départ du Conseil national dans la colonne « im_rat_bis ». Les colonnes intéressantes de cette table pour le projet sont celles affichées dans l’image ci après.
Etat de l’art
Introduction
Cette analyse est faite en deux parties. La première partie consiste en l’analyse des solutions finales existantes et la deuxième partie porte plutôt sur le côté technique de la visualisation graphique (librairies de développement à utiliser). Avant même de réfléchir du point de vue technologique, il est important d’analyser le travail effectué par d’autres équipes de développement sur des thématiques semblables. En d’autres mots, il est essentiel d’analyser des sites web qui font de la représentation graphique des groupes d’intérêts influençant la politique d’un pays. Ceci permet de mieux comprendre et d’anticiper les éventuels problèmes à la réalisation du prototype. De plus, ces recherches permettent de donner de nouvelles idées de représentation graphique.
Ensuite, après s’être inspiré des solutions finales, il est intéressant d’analyser quels outils technologiques existent sur le marché afin de définir lequel il faut utiliser pour représenter graphiquement nos données de la meilleure manière possible.
Etat de l’art des solutions existantes
Cadre de l’analyse
Nous recherchons ici des solutions mises à disposition de tous qui répondent entièrement ou partiellement à la problématique proposée. Il est fondamental de se positionner en tant qu’utilisateur final, afin d’évaluer la facilité d’utilisation, la pertinence des graphiques ou le niveau de valorisation des données par exemple.
Solutions analysées
www.lobbyradar.org Lobbyradar est un site web allemand qui correspond exactement à la problématique de ce travail de Bachelor. Ce site a été développé par l’organisation Netzpolitik qui oeuvre pour la transparence de la politique en Allemagne (Netzpolitik, 2017). Ce site représente donc tous les liens d’intérêts que les politiciens allemands ont. A première vue, la représentation graphique paraît un peu compliquée et lourde, car toutes les données y sont représentées. Cependant, en passant la souris sur l’une de ces petites « bulles », on comprend mieux. En effet, les bulles bleues représentent un politicien allemand et les vertes représentent une entreprise, association, parti politique ou autre organisme. A travers la zone de recherche, on peut saisir le nom d’un politicien, d’une entreprise, d’un parti ou autre, et ainsi voir directement ses liens sur le graphique que l’on peut parcourir à l’aide de la souris. De plus, une carte avec diverses informations personnelles sur le politicien s’affiche.
www.martingrandjean.ch/cartographier-reseaux-influence-interets-parlement/
Ce site est le blog personnel de Martin Grandjean (Grandjean, 2013) chercheur à l’UNIL qui s’intéresse à l’histoire contemporaine et aux technologies de l’information (Hebdo, 2017). Sur son blog, nous retrouvons un article dans lequel il essaie de démontrer les liens entre les partis politiques du Parlement fédéral et les groupes d’intérêts. Cet article montre trois représentations graphiques. La première représente les liens entre les partis politiques du Parlement fédéral et les lobbies. La seconde démontre de qui les parlementaires s’entourent au Parlement fédéral. Et la dernière est une seconde version plus épurée de la première représentation. Chacune de ses représentations sont figées et non dynamiques. De plus, chacune comporte un texte explicatif et des légendes afin de mieux les comprendre. Les couleurs ont été choisies selon la couleur du parti.
Dans la première et la dernière représentation, chacun des cercles incarnant les partis contiennent deux sous-catégories qui symbolisent les membres du parti du Conseil national et ceux du Conseil des Etats. En outre, plus le lien entre le parti et le lobby est épais, plus le parti est susceptible d’être influencé par ce lobby. La seconde représentation est aussi très pertinente. En effet, elle démontre à qui les membres des partis donnent leurs accréditations10. Ainsi, il est étonnant de voir que les partis PVL, PBD et PES donnent plus de 70% de leurs accréditations à des lobbyistes.
Etat de l’art des outils techniques existants
Cadre de l’analyse
Nous recherchons un outil permettant la représentation graphique de données afin de répondre entièrement à la problématique proposée. Il est fondamental de se positionner en tant que développeur, afin d’évaluer la complexité d’apprentissage et la complexité d’utilisation de cet outil.
L’objectif ici n’est pas d’obtenir une liste exhaustive d’outils, mais surtout de présenter les quelques principaux outils utilisés dans le monde.
C’est pourquoi, en effectuant des recherches du type « Quel est le top vingt des librairies de représentation graphique » sur Google, on peut rapidement établir une liste des huit librairies les plus utilisées.
Outils analysés
D3.js est certainement la librairie de représentation graphique la plus populaire. Cette librairie très complète permet de faire des graphiques dynamiques en manipulant du HTML, du CSS et du SVG11. Elle est utilisée surtout lorsque l’on a un large panel de données à analyser. Malheureusement, contrairement à d’autres librairies, elle est plutôt dans une approche impérative. Cela signifie que pour créer un graphique il faut passer par toutes les étapes. Par exemple pour créer un histogramme, il faut calculer où dessiner un axe, dessiner l’axe, calculer où dessiner les colonnes, dessiner les colonnes, etc (Singhal, 2015).
Vega
Vega est une librairie basée sur D3.js afin de créer, partager et sauvegarder des représentations graphiques. C’est une boite à outils contenant des graphiques sans avoir à les coder complètement contrairement à D3.js. Cette librairie traduit des objets JSON en SVG ou HTML5. Etant donné qu’il n’est pas nécessaire de programmer mais qu’il faut simplement modifier les valeurs du JSON, elle est une réelle alternative à la complexité de D3.js tout en gardant ses caractéristiques. De plus, grâce au Vega Editor, il est très simple de créer nos graphiques en ligne et de récupérer directement le code pour l’insérer dans notre projet (Watkins, 2016).
Vega-Lite
Vega-Lite est une librairie allégée de Vega. En effet, elle comporte exactement les mêmes caractéristiques que Vega, si ce n’est qu’elle inclut moins de possibilités de création de graphiques. De plus, il lui faut encore moins de lignes de code pour donner un rendu tout autant performant que n’importe quelle librairie, à condition que les graphiques soient supportés par la librairie Vega-Lite (Vega-Lite, 2017).
Chart.js
Chart.js est une petite librairie basée sur HTML5 parfaite pour les petits projets. En effet, elle permet de réaliser des graphiques propres, élégants et rapides. Elle ne fait que 11 kb lorsqu’elle est compressée dans un fichier zip. Elle inclut six types de graphiques prédéfinis (courbes, histogrammes, secteurs, anneaux, radars et diagrammes polaires) (Singhal, 2015).
Choix méthodologiques/technologiques
Introduction
Dans ce chapitre, vous trouverez tous les choix méthodologiques et technologiques qui ont été faits dans le cadre de ce travail de Bachelor.
En première partie, vous trouverez le choix de la méthodologie utilisée, puis les choix technologiques ainsi que leurs justifications et finalement l’analyse des librairies citées dans le chapitre précédent.
choix de la méthodologie
Afin de réaliser ce travail de Bachelor, il a été décidé d’utiliser une méthodologie itérative. En effet, afin de cadrer le projet, il est intéressant de définir toutes les fonctionnalités de la solution pour ainsi disposer d’un Product Backlog qui fait office de cahier des charges pour l’étudiant et qui est ensuite validé par le Product Owner, soit le professeur. De plus, un planning basé sur des sprints17 est défini afin d’être sûr de réussir à effectuer ce travail dans le temps imparti. Enfin, après chaque itération, le travail effectué est censé être opérationnel. Ainsi, l’étudiant s’assure d’avoir un prototype, complet ou non, dans les délais imposés.
Tests utilisateurs
Déroulement des interviews
Les interviews sont menées de la manière suivante :
1. L’étudiant présente le sujet de son travail de Bachelor ainsi que le contexte.
2. L’étudiant laisse 10 minutes libres à la personne interrogée afin de se familiariser avec le site.
3. L’étudiant donne les 3 tâches suivantes à l’utilisateur afin de s’assurer de la bonne utilisabilité du site et de sa compréhension par l’utilisateur :
a. Trouvez un lobby dans lequel il n’y a qu’un membre et nommez ce membre.
b. Dans le vote sur l’abrogation de la loi contre le racisme, quelle a été la proportion de oui et de non dans le lobby Anti-UE ?
c. Trouvez un vote pour lequel M. Bastien Girod est en désaccord avec la majorité de son parti.
4. L’utilisateur doit noter de 1 à 5 (1 = je ne suis pas du tout d’accord, 5 je suis tout à fait d’accord) les 3 axes de développement présentés sur le site.
5. Les questions suivantes à développer sont posées à l’utilisateur :
a. La publication de ces informations va-t-elle rendre le Parlement plus transparent ? Pourquoi ?
b. Une telle plateforme va-t-elle accroitre la responsabilité des élus vis-à-vis du peuple ? Pourquoi ? c. Une telle plateforme va-t-elle améliorer la confiance des citoyens en ses élus ? Pourquoi ? d. Quels sont les obstacles que peut rencontrer une telle plateforme à votre avis ? e. Que manque-t-il à cette plateforme à votre avis ?
f. Comment trouvez-vous les textes explicatifs ?
g. Qu’est-ce qui vous plait le plus sur le site ?
h. Qu’est-ce qui vous déplait le plus sur le site ?
i. Que pensez-vous des graphiques (types, titres, légendes, couleurs, …) ?
Présentation des personnes interviewées
Afin d’effectuer des tests utilisateurs intéressants, l’étudiant a choisi d’interroger 3 types de personnes susceptibles d’être des utilisateurs. Ces personnes sont des journalistes spécialisés dans la politique suisse, des parlementaires et des personnes du grand public intéressées par la politique suisse. La première personne interrogée est Mme Marie Parvex, journaliste pour le journal Le Temps. Elle est spécialement intéressée par la politique suisse et tout particulièrement par l’influence des lobbies dans la politique suisse. Le seconde personne interrogée est Mme Stéphanie Germanier, journaliste pour le journal valaisan Le Nouvelliste. Elle est l’une des spécialistes de la politique au niveau fédéral chez Le Nouvelliste. La troisième personne interrogée est M. Eric Darbellay, enseignant retraité de l’école primaire de Martigny. Il est passionné par la politique et est d’ailleurs conseiller communal de la commune de Martigny. La quatrième personne interrogée est M. Yannick Buttet, conseiller national membre du PDC et président de la commune de Collombey-Muraz. La cinquième personne interrogée est M. Serge Gumy, journaliste et rédacteur en chef du journal La Liberté. La sixième personne interrogée est M. Patrick Vallélian, journaliste et rédacteur en chef du magazine fribourgeois Sept.info. Il est très intéressé par la pression et le jeu de tactique qu’exercent les parlementaires et les lobbyistes.
Conclusion
Toutes les personnes interrogées ont réussi les 3 exercices de tests et ont donc bien compris le fonctionnement du site.
En règle générale, elles apprécient les axes de recherches et en particulier l’axe qui consiste à démontrer la proportion de votes en accord ou en désaccord avec la majorité des partis ou des lobbies. D’après la majorité de ces personnes, cette plateforme peut permettre de rendre le Parlement plus transparent, car elle est un outil supplémentaire au déchiffrement des actions faites au sein du Parlement. De plus, si cette plateforme jouit d’un écho médiatique, elle peut accroitre la responsabilité des élus vis-à-vis du peuple et améliorer la confiance des citoyens en leurs élus. Cependant, cette plateforme manque d’informations plus détaillées telles que :
– Les organisations que défendent les parlementaires et grâce auxquelles ils se retrouvent membres d’un lobby ou d’une branche
– Des explications quant aux choix des noms des lobbies qui sont souvent trop généraux
– Des explications quant à la méthodologie de calcul de certains graphiques
– Le canton que représente chaque parlementaire
– Ou encore un lien vers le site officiel du Parlement (Parlament.ch) qui permet de confirmer et de prouver les informations avancées concernant les votes.
En outre, les textes explicatifs sont trop longs et trop universitaires. Des textes raccourcis expliquant les informations présentées et non pas le fonctionnement des pages sont préférables. L’explication quant au fonctionnement doit se faire dans une page supplémentaire appelée « A propos » ou à côté de chaque fonctionnalité à l’aide d’un bouton de la forme d’un point d’interrogation.
D’autre part, les graphiques ont généralement été appréciés, car ils sont simples à comprendre. Toutefois, le manque d’interactivité directe avec les graphiques frustre les utilisateurs. En effet, les utilisateurs préfèrent cliquer directement sur le graphique afin d’avoir des informations plus détaillées. Par exemple, lorsque l’on se rend sur la page « Avec/Contre majorité parti », les utilisateurs souhaitent pouvoir cliquer directement sur le nom du parlementaire dans la légende du graphique plutôt que de devoir retenir son nom, le rechercher dans la liste déroulante puis en le sélectionnant avoir les informations souhaitées. Enfin, de manière générale, le développement d’une telle plateforme intéresse et plait aux utilisateurs. Cependant, en l’état actuel, elle ne cible que les journalistes et les professionnels de la politique.
En conclusion, les idées suivantes sont intéressantes à ajouter :
– une disposition des informations repensée,
– des informations plus détaillées,
– des liens de vérifications,
– des graphiques interactifs,
– une fonctionnalité de partage sur les réseaux sociaux (pour la médiatisation du site et des informations),
– deux axes de recherche supplémentaires concernant le déroulement des commissions et concernant la proportion de votes en accord ou en désaccord avec la majorité des cantons.
Ces éléments additionnels feraient de cette plateforme un outil de tous les jours tant pour les parlementaires qui souhaitent améliorer leur score que pour les journalistes qui souhaitent dénicher des informations croustillantes.
|
Table des matières
1. INTRODUCTION
1.1. INTRODUCTION A LA POLITIQUE SUISSE
1.2. PROBLEME A RESOUDRE
1.3. ACQUISITION DES DONNEES
1.4. COMPREHENSION DES DONNEES
1.5. SELECTION DES DONNÉES UTILES AU DEVELOPPEMENT
1.6. PRESENTATION DES DONNEES FOURNIES PAR LOBBYWATCH
1.7. PRESENTATION DES DONNEES FOURNIES PAR MONSIEUR FLORIAN EVEQUOZ
1.8. PRESENTATION DES TABLES CREEES PAR L’ETUDIANT
2. ETAT DE L’ART
2.1. INTRODUCTION
2.2. 1ÈRE PARTIE : ETAT DE L’ART DES SOLUTIONS EXISTANTES
2.2.1. Cadre de l’analyse
2.2.2. Solutions analysées
2.2.3. Tableau récapitulatif
2.2.4. Conclusion de l’état de l’art des solutions existantes
2.3. 2ÈME PARTIE : ETAT DE L’ART DES OUTILS TECHNIQUES EXISTANTS
2.3.1. Cadre de l’analyse
2.3.2. Outils analysés
2.3.3. Conclusion de l’état de l’art des outils techniques existants
3. CHOIX METHODOLOGIQUES/TECHNOLOGIQUES
3.1. INTRODUCTION
3.2. 1ÈRE PARTIE : CHOIX DE LA METHODOLOGIE
3.3. 2ÈME PARTIE : CHOIX DES TECHNOLOGIES
3.4. 3ÈME PARTIE : CHOIX DE LA LIBRAIRIE DE VISUALISATION
3.4.1. Critères d’évaluation
3.4.2. Tableau d’évaluation
3.4.3. Choix de la librairie
4. SOLUTION DEVELOPPEE
4.1. INTRODUCTION
4.2. 1ÈRE PARTIE : REPRESENTER LA COMPOSITION DE CHAQUE LOBBY ET DE CHAQUE BRANCHE
4.3. 2ÈME PARTIE : REPRESENTER LES RESULTATS DE CHAQUE VOTE PAR LOBBY ET PAR BRANCHE
4.4. 3ÈME PARTIE : REPRESENTER LA PROPORTION DE VOTES DES PARLEMENTAIRES EN ACCORD OU EN DESACCORD AVEC LEURS LOBBIES ET LEUR PARTI
5. TESTS UTILISATEURS
5.1. DEROULEMENT DES INTERVIEWS
5.2. PRESENTATION DES PERSONNES INTERVIEWEES
5.3. CONCLUSION
6. PERSPECTIVES FUTURES
6.1. API UPDATE DES GRAPHIQUES COTES BACK-END
6.2. AMELIORATION DES REQUETES SQL ET MISE EN CACHE DES DONNEES
6.3. INFORMATIONS PLUS DETAILLEES
6.4. AUTRES AXES DE DEVELOPPEMENT
6.5. L’ERGONOMIE GENERALE DU SITE
7. CONCLUSION
Télécharger le rapport complet