PRESENTATION DES RESULTATS DES RECHERCHES SUR LES MUSICIENS CHANTEURS DE RUE ET MIS EN LIEN

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Conceptualisation théorique

La détermination des théories pour diriger cette recherche est fondamentale. La connaissance de la position de certains auteurs sur ce thème ne doit pas être négligée car c’est à travers ces théories que cette recherche va être menée.

Théorie de la représentation sociale6

La représentation sociale est le produit et le processus d’une activité mentale par laquelle un individu ou un groupe reconstitue le réel auquel il est confronté et lui attribue une signification spécifique » (Abric 1987), « Les représentations sociales sont des systèmes d’interprétation régissant notre relation au monde et aux autres qui orientent et organisent les conduites et les communications sociales. Les représentations sociales sont des phénomènes cognitifs engageant l’appartenance sociale des individus par l’intériorisation de pratiques et d’expériences, de modèles de conduites et de pensées » (Jodelet 1989) « Les représentations sont des formes de savoir naïf destinées à organiser les conduites et orienter les communications » Moscovici (1961)
Dans la plupart des définitions sur des représentations, on retrouve trois aspects caractéristiques et interdépendants : la communication, la reconstruction du réel, et la maîtrise de l’environnement :
– la communication, puisque les représentations sociales offrent aux personnes « un code pour leurs échanges et un code pour nommer et classer de manière univoque les parties de leur monde et de leur histoire individuelle ou collective ». Moscovici (1961)
– la reconstruction du réel : « les représentations nous guident dans la façon de nommer et de définir ensemble les différents aspects de notre réalité de tous les jours ; dans la façon de les interpréter, de statuer sur eux et le cas échéant de prendre une position à leurs égards et de la défendre ». Jodelet (1992)
– la maîtrise de l’environnement par le sujet : l’ensemble de ces représentations ou de ces connaissances pratiques permet à l’être humain, de se situer dans son environnement et de le maîtriser. Il s’agit là d’une dimension plus concrète que les précédentes, parce que la maîtrise de l’environnement, nous renvoie en partie, à l’utilité sociale de la notion de représentation. Ces différentes fonctions sont :
• la fonction de code commun : les représentations dotent les acteurs sociaux, d’un savoir qui est commun, donc partagé, ce qui facilite la communication.
Cette fonction de communication va permettre de comprendre et d’expliquer la réalité.
• la fonction d’orientation des conduites : elle guide le comportement et les pratiques.
• la fonction de justification : elle permet à posteriori, de justifier les prises de position et les attitudes.
• la fonction identitaire : elle permet de définir l’identité d’un groupe professionnel ou social.

La théorie de l’étiquetage7

Becker développe dans Outsiders la théorie de l’étiquetage. La déviance n’est pas une chose en soi, qui trouverait son origine chez la personne déviante, mais plutôt une catégorie construite au cours des interactions entre ceux que l’on qualifie de déviants, les gens qu’ils fréquentent, ceux qui se chargent de faire respecter les normes (qu’elles soient légales ou culturelles)… En un mot, « les groupes sociaux créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance, en appliquant ces normes à certains individus et en les étiquetant comme des déviants ».
La notion du stigmate a été posée dès son origine par Goffman en relation avec d’autres notions. Celui-ci voit le stigmate comme une relation entre « un attribut et un stéréotype ». Link et Phelan proposent d’étendre ce réseau de relations. Reprenant les études réalisées, ils inventorient un certain nombre de notions, cinq, reliées à celle de stigmate. Ce sont :
• l’étiquetage (le « labeling ») et les étiquettes (ou labels) ;
• la stéréotypisation ou les stéréotypes, ici il s’agit « des croyances culturelles dominantes qui lient les personnes étiquetées à des caractéristiques indésirables, des stéréotypes négatifs » (Link et Phelan, 2001) ;
• la distance sociale : les personnes étiquetées sont placées dans des catégories distinctes qui impliquent un degré de séparation entre « eux » et « nous » (ibid.) ;
• la perte de statut et la discrimination, ces deux processus impliquent un traitement basé sur l’iniquité et l’inégalité ;
• les relations de pouvoir.

La sociologie de l’art

Nathalie H8 a voulu renouveler l’approche de l’art en sociologie en sortant de deux perspectives qui lui paraissent toutes deux biaisées et, in fine, assez improductives. La première parce qu’elle s’inscrit dans le prolongement de la tradition esthète, reste prise dans les hiérarchies de valeurs que cette tradition a contribué à construire en plaçant l’œuvre et la personne de l’artiste au premier plan. La sociologie se donne alors pour objectif ultime la compréhension des œuvres et, même si elle tente de marquer sa spécificité en le faisant «sociologiquement », il y a fort à parier qu’elle ne dira rien de plus que ce que disent déjà très bien l’histoire de l’art, la critique et l’esthétique.
La seconde, parce qu’en réaction à la première, elle a construit une sociologie critique de réduction de l’objet et de l’activité artistiques, présentés comme idéalisés de façon illusoire. Par là même, elle s’est enfermée dans la contestation et l’opposition, au nom d’une autre vérité, qui serait, elle, sociologique et matérialiste.
C’est ainsi que « différents courants de la sociologie de l’art ont déployé beaucoup d’énergie pour pratiquer ce qu’on peut appeler une « réduction au général », tendant à montrer qu’un artiste « n’est que » le produit d’un contexte économique, d’une classe sociale ou d’un habitus ».
Nathalie (H) propose de suspendre le jugement de valeurs, d’adopter un point de vue de « neutralité axiologique » où le rôle de la sociologie ne consisterait pas à substituer une idéologie (matérialiste et réductionniste) à une autre (esthétique et idéaliste), mais à analyser comment se construisent les représentations et les valeurs des acteurs en jeu dans l’art, et plus particulièrement dans l’art contemporain.
Cette analyse doit se refuser à évaluer ces représentations normativement tout en se plaçant non du côté de l’œuvre, mais du côté de sa réception. Et il ne s’agira pas, dès lors, de savoir ce que valent ou ce que signifient les œuvres, mais de comprendre « ce qu’elles font aux gens ».

Critique bibliographique et choix théoriques

Tout au long de notre analyse, ces théories vont être utilisées, non seulement pour servir de référence mais surtout appliquées comme outils d’explication de ce fait observé. Parmi tant d’autres, ces trois disciplines sont distingués pour traiter ce travail parce que :
– Pour la sociologie de l’art, celle de Nathalie (H) se rapproche de l’explication des faits que nous voulons y prouver. L’auteur a également approfondi sa recherche sur les trois points que nous tenons sérieusement à discuter. Il s’agit de la sociologie, la culture et l’art. L’auteur s’est surtout priorisé l’individu comme objet central de son intervention. C’est ce qui nous a convaincu d’adopter cette théorie.
– Dans la théorie de l’étiquetage avancée ci-dessus, deux arguments sont à défendre. L’un, c’est que l’auteur a essayé d’expliquer un fait (cas de déviance) sous un autre angle qui fait aboutir à une nouvelle compréhension de ces groupes sociaux et non pas au jugement. L’auteur, sur le thème « déviance » qu’il a traité, n’a pas cherché à prendre position (celle qui est déviante ou celle qui la qualifie de déviante), il a seulement expliqué les causes de cette acte. Cette position de neutralité est aussi importante dans la manière de mener cette recherche. Evidemment, avoir la position de neutralité est vraiment authentique lorsqu’il s’agit de travailler sur un sujet de représentation.
L’autre, c’est que les auteurs qui ont étudié cette théorie, ont plutôt aperçu les relations interdépendantes sur cette discipline au lieu d’un point de vue divergent. Ceci facilite l’adaptation de celle-ci dans notre travail de recherches. Ainsi, les « notions » c’est-à-dire les trois traits que l’auteur aborde vont être utilisés pour expliquer notre analyse de résultat.
– Enfin, la théorie de la représentation sociale est évidente pour diriger ce travail étant donné le cadre que nous voulons manifester. Cette théorie est un repère et aussi un outil d’analyse de notre sujet.

Définition de concept clé

Il est primordial de définir les mots clé pour pouvoir mener à bien ce travail et afin de ne pas rester dans une explication vague et générale, ceci, pour éviter le chamboulement dans la compréhension du thème.

La représentation

Selon le petit robert : « c’est le fait de rendre sensible un objet ou un concept au moyen d’une image, d’une figure, ou d’un signe.
La Dictionnaire des Sciences-humaines9 donne une définition assez longue pour expliquer le concept de la représentation.
Par exemple le mot « soleil » est une représentation verbale d’un astre qui brille dans le ciel. Le drapeau américain est une représentation d’un pays. Le signe « + » est une représentation symbolique d’une opération mathématique.
Dans son sens le plus général, la représentation désigne toute réalité (objet, signe, image) qui entretient une relation de correspondance avec une autre réalité et se substitue à elle.
Dans un sens étroit, la philosophie et les sciences-humaines ont traditionnellement utilisé le mot : « représentation » pour qualifier les idées, les images et les perceptions produites par le cerveau humain. C’est dans ce sens que la psychologie sociale étudie les « représentation collectives » ou les « représentation sociales » : des mythes à l’opinion publique, du signal aux idées. Entre la définition large de la représentation et la définition étroite attribuée aux humains, où se situe la frontière ?
Depuis les années 80, les philosophes et les psychologues ont entrepris un travail de clarification conceptuelle pour essayer de donner un contenu rigoureux aux concepts employés. Tout ce travail converge vers le souci de dégager plusieurs degrés dans l’élaboration de la représentation.
Niveau 1 : Le signal
Niveau 2 : les pré-représentations
Niveau 3 : les catégories
Niveau 4 : les métareprésentations ou idées. Les êtres humains possèdent la capacité de forger des types de représentations nouvelles par rapport aux autres animaux supérieurs. Ce sont des images mentales et des « métareprésentations ». Les premières sont des représentations (d’objets, d’être vivants…) que l’on peut faire venir à l’esprit indépendamment de stimuli extérieurs. Ces images mentales sont mobilisées dans tout acte d’imagination aux sens large (souvenirs, anticipation ou expérience de pensée. Elles sont le support cognitif des mots du langage.
La métareprésentation est définie par certains chercheurs comme spécifique aux humains. C’est la capacité de formuler des représentations de second ordre, qui ne porte pas sur les choses extérieures, mais sur les représentations : une représentation des représentations.
Par exemple l’affirmation « la page est blanche» est une représentation (de la couleur du livre). Mais l’affirmation « je pense que la page est blanche » est une représentation de second degré, car elle ne porte pas sur l’objet mais sur sa représentation.
Ces « représentations des représentations »singulières peuvent être activées indépendamment de l’objet représenté. On peut les appeler tout simplement des « idées », car elles correspondent à une expérience de pensée la plus courante qui soit : celle qui consiste à faire venir à l’esprit des objets, des êtres, des images ou des êtres imaginaires.

La représentation sociale

A titre d’exemple « Les pompiers sont des gens courageux, qui font un métier difficile », « le sport, c’est bon pour la santé » ; « les hommes politiques sont corrompus ». Voilà le type de lieux communs que l’on peut entendre à tout propos. Le propre de ces représentations courantes se démontrent comme des « clichés » qui réduisent une réalité complexe à quelques éléments saillants (pas toujours faux d’ailleurs) et de s’en servir comme guide de lecteur du monde. L’étude de ces opinions, de ce stéréotypes et de ces préjuges a été l’un des thèmes fondateurs de la psychologie sociale.
Dans les pays francophones, une tradition particulière de recherche s’est nouée à partir d’une étude fondatrice menée par Serge Moscovi en 1961 (La psychanalyse, son image et son public). Cette recherche portait sur l’image de la psychanalyse dans le grand public.
De cette enquête fondatrice, quelques idées centrales ont été largement exploitées par la suite.
– Les représentations sociales sont bâties autours d’un noyau (certains auteurs parlent de « schéma cognitif de base » ou de « système central », qui correspond à quelques principes directeurs. Ainsi, dans la recherche sur la psychanalyse S. Moscovi a-t-il mis en évidence que, en se diffusant largement, la théorie de Sigmund Freud avait été réduite à 2 idées simples, l’existence de l’inconscient et du complexe d’Oedipe, acceptées ou rejetées en bloc. Autour de ce noyau de base s’agrègent des « éléments périphériques ».
– Les représentations sociales sont ancrées au sein d’un groupe et du système de valeurs qui lui est propre. Dans son enquête, S. Moscovi a montré que, à l’époque, la presse communiste et la presse catholique ont donné chacune des interprétations très différentes de la psychanalyse, liées à leur vision particulière de l’individu et de la société.
En effet, une fois « ancrée », la représentation sociale joue un rôle de filtre cognitif, toute information nouvelle étant interprétée dans les cadres mentaux préexistants.
L’étude de Représentations sociales s’est élargie à un champ plus large : les représentations des maladies, de l’Entreprise, de l’Environnement…

Musiciens-chanteurs de rue

« Le chanteur de rue 11» est une personne (homme ou femme), souvent anonyme, qui chante sur la voie publique, parfois associé au camelot. Ce chanteur vit de l’argent que ses auditeurs lui donnent.
Des styles et modes particuliers existent selon les époques et les pays (ex : les prosopopées dites lamenti italiens composés et imprimés durant la Renaissance, de 1453 aux années 1630-1650 ; parodiques, satiriques et musicaux. Parfois sans instruments, parfois muni d’un porte-voix, il cherche à attirer et captiver un maximum d’auditoire en un temps très court et s’appuie pour cela sur une musique mélodieuse, un air déjà connu et/ou un texte accrocheur, parfois politique et satirique devant alors parfois se jouer de la police ».
Sylvie Genest : « Les musiciens de rue sont, par définition, des gens ou des artistes en voie de marginalisation ou déjà en marge de leur groupe d’appartenance ».

La culture

La culture12 est un instrument d’affirmation d’identités. Elle ne peut se résumer à un produit bien identifié. La responsabilité culturelle s’exerce à travers des fonctions, autrement dit des objectifs transversaux commun à l’ensemble des domaines tels que la conservation du patrimoine, la création artistique, la diffusion, la formation, l’animation, la recherche, la communication

Art13

La définition de l’art est très nombreuse et variée selon l’époque et la recherche.
– L’art est l’expression par les œuvres de l’homme, d’un idéal esthétique ; ensemble des activités humaines créatrices visant à cette expression.
– C’est aussi la manifestation externe d’émotion intérieures, produite par le moyen de lignes, de couleurs, de mouvement, de sons, ou de parole » (Véron)
– L’art est également, la production d’un objet permanent, ou d’une action passagère, aptes à procurer à leur producteur une jouissance active, et à faire naître une impression agréable chez un certain nombre de spectateurs ou d’auditeurs, indépendamment de toute considération d’utilité pratique (Sully)

Étude de corpus

Pour réaliser ce travail, la méditation du corpus est primordiale. C’est un point de départ. De ce fait, les recueils de ces documents tels les textes, prises de sons et enregistrements vidéo, pouvant fournir des données de départ ont été obligatoires.
Pour cette étude, des textes de référence et des enregistrements vidéo sont le corpus pris.

Textes

• Il s’agit d’un texte officiel portant l’ordonnance n°60-082 du 13 août 1960 relative aux réunions publiques et aux manifestations sur la voie publique. C’est un texte de trois pages et composé de 14 articles. Ces articles évoquent les lois concernant la permission ou la non permission à la manifestation et l’utilisation des lieux publics. L’ordonnance n°60-104 du 21 septembre 1960 relative aux attroupements est un texte de 2 pages. Elle est constituée de 11 articles expliquant la réunion sur les voies publiques.
• Le second texte est le journal officiel de la République de Madagascar N°3004, taona faha-121 portant Politique Culturelle Nationale. Ce texte de 6 pages constitue la définition et les principes de la culture, les objectifs et les stratégies, les plans d’actions et les dispositions diverses.

Enregistrement vidéo

C’est une série d’enregistrements visuels des musiciens-chanteurs de rue lors des descentes sur terrain. Cette vidéo rassemble les morceaux de scènes que ces groupes d’individus ont présentés durant l’observation sur place. Par cette vidéo, le son de la musique, l’image et les gestes des cibles sont enregistrés. Cet enregistrement vidéo nous a permis de découvrir le genre d’activité exposé par ces musiciens-chanteurs de rue.
Cette première partie du travail a dégagé les perceptions de quelques auteurs sur le sujet :
– la théorie de la représentation référée aux musiciens-chanteurs de rue dans la capitale malgache
– la théorie de l’étiquetage appliqué pendant la collecte des informations et l’interprétation du résultat
– et enfin la démarche sur la sociologie de l’art.
Cette partie a également permis de situer les musiciens-chanteurs de rue dans divers contextes économique, géographique, social et culturel. Finalement, elle a parlé du corpus du travail incluant les textes et enregistrement vidéo.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : CONCEPTUALISATION DU SUJET, CADRAGE THEORIQUE ET PRESENTATION DU CORPUS
1.- Contextualisation du sujet
1.1.- Contexte juridique
1.2.- Contexte socio-économique
1.3.- Contexte socioculturel
1. 4.- Contexte linguistique
1.5.- Études du marché
1.7.- Délimitation des acteurs
2.- Conceptualisation théorique
2.1.- Théorie de la représentation sociale
2.4.- Critique bibliographique et choix théoriques
2.5.- Définition de concept clé
2.5.1.- La représentation
2.5.2.- La représentation sociale
2.5.3.-Musiciens-chanteurs de rue
2.5.4.- La culture
2.5.5.- Art
2.6.- Étude de corpus
2.6.1.- Textes
2.6.2.- Enregistrement vidéo
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION DES RESULTATS DES RECHERCHES SUR LES MUSICIENS CHANTEURS DE RUE ET MIS EN LIEN
3.- Informations généraux sur les Musiciens-chanteurs de rue
3.1.- Description des musiciens-chanteurs de rue
3.1.1.- Classification de répartition d’âge par intervalles
3.1.2.- États physiques de certains musiciens-chanteurs de rue
3.2.- Activités des musiciens-chanteurs de rue
3.2.1.- Classement par activité et groupe
3.2.2.- Occupations des musiciens-chanteurs de rue autrefois
4.-Présentations des lieux
4.1.- Descriptions des lieux
4.1.1.- Lieux fixes
4.1.2.- Lieux occasionnels
4.2.- Conditions d’occupation des marchés publics
4.2.1.- Sans carte d’occupation
4.2.2.- Sans poursuite municipale
4.3.- Moyens utilisés
4.3.1.- Instruments musicaux
4.3.2.- Inventions instrumentaux
4.4.- Présentation du spectacle
4.4.1.- Exhibition de la musique non chanté.
4.4.2.- A capella
4.4.3- Lied et musique en chœur
5.- Représentation des musiciens-chanteurs de rue par le public
5.1- Conceptualisation par le public
5.1.1.- Conception linguistique
5.1.2.- Evaluation des termes
5.1.3.- Liens entre termes et contexte
5.2.- Musiciens-chanteurs de rue et mendicité
5.2.1.- Musiciens-chanteurs de rue et mendiants
5.2.2.- Musiciens-chanteurs de rue et métier
5.2.3.- Musique de rue et espace public
5.3.- Présentation des musiciens-chanteurs de rue par la société
5.3.1.- Phase de constatation
5.3.2.- Musiciens-chanteurs de rue et marginalité
5.3.3.- Par rapport à l’analyse de Damon
5.4.- Mis en liens entre musiciens-chanteurs de rue et le public
5.5.- Détermination des activités des musiciens-chanteurs de rue dans différents domaines
5.6.- Musique de rue et art
5.7.- Musique de rue et culture
TROISIEME PARTIE : ORIENTATIONS ET PISTES DE REFLEXION
6.- Synthèse
6.1.- Révision de la politique culturelle
6.1.1.- Statuer les arts de rue dans la politique municipale
6.1.2.- Réglementer les arts de rue
6.1.3.- Conditionner leurs lieux d’interventions
6.2.- Collaboration entre artistes de rue et municipal
6.2.1.- Renforcer leur capacité
6.2.2.- Conception d’un Projet
6.2.3.- Genre d’insertion nécessaire
6.3.- Insérer les activités des musiciens-chanteurs de rue dans le système artistique et culturel
6.4.-Arts de rue et utilité social
6.4.1.- Tenues vestimentaires adéquates.
6.4.2.- Présenter leurs propres créations.
6.4.3.- Orienter vers les musiques traditionnelles malgaches
6.5.- Action socioculturelle à travers les arts de rue
7.- Proposer une piste d’orientation
7.1.- Produire les spectacles dans des lieux touristiques
7.1.1.- Les parcs
7.1.2.- Les jardins publics
7.1.3.- Les lieux de distraction et les restaurants
7.2.- Arts de rue et Association
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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