Présentation des anti-inflammatoires non stéroïdiens

Les réactions biochimiques

Les radicaux libres oxygénés

Ils sont représentés essentiellement par O2et OH .Ces radicaux libres sont produits lors de l’augmentation de laconsommation d’Oxygène secondaire à la phagocytose par les polynucléaires.
Ils contribuent en grande partie à lalyse des bactéries phagocytées en cas d’infection. A l’inverse,ils ont également une action délétère au niveau cellulaire et sont responsables d’une désorganisation des membranes, d’une cytolyse, d’une dépolymérisation des mucopolysaccharides tels que l’acide hyaluronique du liquide synovial et les protéoglycanes du cartilage articulaire (Cortet, Duquepnesnoy, 1991).

La cascade arachidonique

Quand les cellules de l’inflammation sont stimulées ou endommagées, un autre système majeur de médiation est engendré par l’intermédiaire de la phospholipase A2, à partir de l’acide arachidonique présent dans les phospholipides de la membrane cellulaire. L’acide arachidonique est métabolisépar différentes  voies (figure 4) :
– la voie de la cyclo-oxygénase : elledonne naissance aux thromboxanes, aux prostacyclines (PGI2) et à différentes prostaglandines.
– la voie de la lipo-oxygénase : elledonne naissance aux leucotriénes (Bertin, 1999).

LES ELEMENTS CELLULAIRES INTERVENANT DANS LA REPONSE INFLAMMATOIRE :(Cortet, Duquepnesnoy1991)

La fonction principale de la réaction inflammatoire est d’amener les phagocytes sur le lieu de l’agression. La fonction deces cellules est d’éliminer les débris particulaires par phagocytose.
Pendant l’inflammation, les phagocytes circulants (polynucléaires neutrophiles, monocytes, monophages) sont mobiliséspar chimiotactisme et migrent électivement dans le tissu inflammatoire.
A la phase précoce de la réaction inflammatoire, les cellules prédominantes sont les polynucléaires neutrophiles ; au stade plus tardif ce sont les macrophages.
Dans les réactions allergiques les éosinophiles sont présents en grande quantité, alors que dans les réactions d’hypersensibilité retardée les lymphocytes sont les plus nombreux.
Les cellules normalement résidentes dansles tissus comme les mastocytes, les fibroblastes, et les macrophages tissulairesinterviennent dans le passage à la chronicité.

Les phagocytes mononuclées

Il s’agit des monocytes, histiocytes,macrophages, cellules épithéliales et géantes. Leur fonction est double :
-Epuration grâce à leurs propriétés de phagocytose.
-Déclenchement de la réponse immunitaire en tant que cellules présentatrices d’antigènes.
-Nécrosante et gangréneuse
Les phénomènes de nécrose prédominent aucours de l’inflammation dans deux circonstances schématiques. Dans la première, la nécrose est due à une ischémie initiale. L’exemple de la gangrène des orteils lors des sténoses athéromateuses des artères des membres inférieurs (« artérite » ou artériopathies des membres inférieurs) correspond à cette situation ; le mal perforant plantaire du diabétique en est un autre exemple. Le deuxième type d’inflammation où la nécrose est importante est celle qui survient dans un tissu initialement normalement irrigué.
Certaines bactéries sécrètent des toxines qui nécrosent le tissu. Il s’agit volontiers de bactéries anaérobies (clostridium perfringens), en cause, par exemple, dans les inflammations gangréneuses suivant les manoeuvres abortives septiques ou dans la gangrène gazeuse observée après traumatisme violent et ouvert des membres lors des accidents de la route.

Inflammation subaiguë

Les cellules qui composent le foyer inflammatoire constituent le granulome.
Celui-ci est particulièrement développé lorsque l’inflammation est subaiguë.
Pourtant, le terme d’inflammations dites « granulomateuses » ne désigne pas toutes les inflammations dans lesquelles la composante cellulaire est abondante.
Il est en effet réservé à celles qui comportent des cellules épithélioïdes et des cellules géantes. Il est synonyme d’inflammations tuberculoïdes.
-Granulome histiocytaire
L’inflammation subaiguë peut être caractérisée par une abondance d’histiocytes.
C’est le cas, par exemple, dans le nodule d’Aschoff du rhumatisme articulaire aigu, une réaction immunitaire qui provoque des lésions des valves cardiaques à la suite d’une infection streptococcique.
-Granulome à corps étranger
Dans l’inflammation a corps étranger, des cellules géantes tentent de phagocyter l’élément exogène (fil de suture) ou endogène (cristaux d’urate dans la goutte par exemple).
-Granulome tuberculoïde
Il est caractérisé par la présence de cellules épithélioïdes, de cellules géantes et de lymphocytes. Il est observé par exemple dans la sarcoïdose. L’inflammation tuberculeuse proprement dite comporteun granulome tuberculoïde et une nécrose particulière appelée caseum.
-Granulome lipophagique
Il est caractérisé par la présence de macrophages chargés de graisse. Il se rencontre, par exemple, dans la pancréatite aiguë au cours de laquelle les enzymes pancréatiques attaquent le tissu adipeux, qui est secondairement phagocyté par les macrophages.
-Granulome plasmocytaire
Dans la syphilis, le granulome, périvasculaire, est riche en plasmocytes.

Inflammation chronique

L’inflammation chronique est souvent caractérisée par l’importance de la fibrose.
Celle-ci peut être mutilante et entraver le fonctionnement de l’organe dans laquelle elle se produit. C’est le casdans la cirrhose. Dans certaines inflammations chroniques, la réaction cellulaire peut rester prédominante et la fibrose demeurer légère. Ce sont volontiers des granulomes épithélioïdes quisont alors constatés.

TRAITEMENT DEL’INFLAMMATION

Les produits anti-inflammatoires sont classiquement divisés en deux groupes :
-les anti-inflammatoires non stéroïdiens (A.I.N.S.) ;
-les anti-inflammatoiresstéroïdiens (A.I.S.).

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens 

Présentation des A.I.N.S

Les A.I.N.S. constituent un ensemble chimiquement hétérogène. Ce sont des acides faibles, liposolubles et de faibles poids moléculaires ce qui explique la facilité de leur absorption par la muqueuse digestive (Bannwarth, 1992).

Classification des A.I.N.S

Le nombre important de dérivés disponibles et l’apparition constante de nouveaux produits et de nouvelles formes galéniques rendent difficile le choix d’un A.I.N.S. face à une situation pathologique donnée.
Les A.I.N.S. regroupent des substances d’origine et de structures très diverses.
On les subdivise en deux groupes (Bannwarth, 1992) :

Les A.I.N.S. d’action rapide

Malgré leur hétérogénéité chimique, les A.I.N.S. ont un moded’action commun, l’inhibition de la cyclo-oxygénase ou prostaglandine synthétase (Bannwarth, 1992).

Les dérivés salicylés

Aspirine

Seul l’acide acétyle salicylique (Aspirine*) reste utilisé en raison de son efficacité plus grande et sa tolérance meilleure que celledu salicylate de sodium.
Son efficacité est surtout masquée vis-à-vis du syndrome douloureux. Sa posologie, considérée pendant un certain temps comme devant être élevé, semble en fait pouvoir être limitée 2 à 4g/24h en doses fractionnées de 0,50g (Lechat, Lagier, 1975).

Les dérivés pyrazolés 

Le phénylbutazone et oxyphenbutazone

Ce sont des anti-inflammatoires très efficaces, mais moins prescrits que les salicylés ou les propioniques.
La phenylbutazone est approximativement aussi efficace que l’aspirine dans la polyarthrite rhumatoïde, et que l’indométacine dans la spondylarthrite ankylosante.
Dans les arthrites chroniques, le traitement par la phenylbutazone ne sera tenté qu’après échec des autres A.I.N.S. disponibles (Chauvelot et al.,1988)
En plus de son action d’inhibition de la synthèse des prostaglandines, la phenylbutazone a également une action de découplage de la phosphorylation oxydative et de diminution de biosynthèse des mucopolysaccharides tissulaires (Chauvelot et al.)

Les effets secondaires des A.I.S

Les effets secondaires d’un traitement par glucocorticoïdes se rencontrent surtout en cas de traitement prolongé (plusieurssemaines, voire plusieurs années). Ils peuvent être empêchés par certaines précautions (voir paragraphe suivant).
Les effets secondairesprincipaux sont :
• Troubles métaboliques : rétention hydrosodée, hypokaliémie, alcalose métabolique, ostéoporose (par augmentation du métabolisme protéique dans les os), fractures, retard de croissance chez l’enfant et l’adolescent, retard de cicatrisation.
• Troubles endocriniens : dérégulation de la synthèsenaturelle de glucocorticoïdes à la fin du traitement, troubles du cycle menstruel (règles irrégulières), apparition (ou aggravation)d’une acné, pilosité excessive ou hypertrichose, fragilisation cutanée, ecchymoses.
• Troubles digestifs : ulcère gastro-duodénal (les glucocorticoïdes augmentent la sécrétion d’acide par l’estomac), hémorragie digestive, sur ulcère gastro-duodénal, gastrite aigue, entérite ou colite, pancréatite aiguë.
• Troubles psychiques : euphorie, excitation, confusion, dépression.
• Aggravation d’états infectieux : réveil du virus de la varicelle (d’où un zona), réveil de tuberculose, réveil de toxoplasmose, mauvaise lutte contre les états viraux en général (herpès, hépatite, etc.).

Précautions d’emploi

Les précautions d’emplois sont donc systématiques dans les traitements longs, à dose élevée. Dans ce cas, on prescrit les mesures suivantes :

Régime alimentaire et supplémentations

• régime pauvre en sel et en glucides, riche en protéines
• apports de potassium
• apports de calcium (prévention des fractures)
• apports de vitamine D (même remarque)

Bilan avant de débuter le traitement

Par ailleurs, il convient de toujours rechercher un ulcère (et de le traiter le cas échéant), des troubles psychiatriques,une ménopause, une hypertension (la rétention d’eau et de sodium liée aux glucocorticoïdes augmente le volume sanguin, et donc la tension), une infection virale ou bactérienne.

Pendant le traitement

• Surveiller la kaliémie (potassium dans le sang), natrémie (sodium dans le sang), le poids, la pression artérielle, l’état cutané, la glycémie, la tolérance et la bonne prise du traitement.
• Les glucocorticoïdes, pour mimer la libération naturelle de leur équivalent non synthétique, doivent être pris en une seule prise, le matin.
• En cas de stress (infection, opération chirurgicale, traumatisme) : une augmentation des doses est indispensable (physiologiquement, ces états introduisent une augmentation des hormones surrénaliennes).

Fin du traitement

Afin d’éviter de perturber la synthèse naturelle de glucocorticoïdes par la glande surrénale, il faut toujours arrêter le traitement très progressivement si ce dernier a été prolongé : plusieurs paliers de 8 à 15 jours, en surveillant la fonction surrénalienne par des tests sanguins réguliers.

Contre-indications

Il n’existe aucune contre-indication formelle à une corticothérapie brève et vitale. Dans les autres cas, où les glucocorticoïdes peuvent être remplacés par d’autres médicaments, on évitera de les prescrire dans les circonstances suivantes :
• grossesse, allaitement
• maladie virale grave en évolution (herpès, zona, hépatite virale aiguë) car les glucocorticoïdes entraînent une baisse de l’inflammation et de l’immunité nécessaire à la lutte contre ces infections,
• ulcère gastro-duodénal en évolution (c’est-à-dire non traité),
• cirrhose sévère
• goutte
• états psychotiques

Test de granulome à lacarragénine chez le rat

Il s’agit d’insérer dans le tissu cellulaire sous-cutané contre la cage thoracique une petite boule de coton imprégnée de carragénine. Au bout desept jours, le tissu de prolifération qui englobe lepellet est prélevé et pesé. L’antiinflammatoire est donné pendant l’essai pour empêcher la formation du granulome (Top, 2006).

Œdème de l’oreille de souris à l’huile de croton

L’inflammation de l’oreille de souris, provoquée par l’application locale d’huile de croton peut être réduite par l’application locale de substances anti- inflammatoires (Tubaro, 1985).

Arthrite à l’adjuvant de Freud

Il s’agit de réduire par des substances anti-inflammatoires, l’inflammation primaire et l’inflammation secondaire, provoquées par injection intra-articulaire dans la postérieure du rat d’adjuvantde Freud (suspension de bacilles tuberculeux tués) déterminant une réaction œdémateuse qui se développe immédiatement (inflammation primaire).La réaction immunitaire secondaire n’apparaît pas chez tous les rats traités, ce qui rend délicat la mise en œuvre de cet essai (Cave, 1988).

Œdème à la carragénine selon WINTER

L’injection de la carragéninesous l’aponévrose plantaire de la patte postérieure du rat provoque un œdème donton peut ralentir le développement par un traitement anti-inflammatoire préventif (Morteza, 2002). Les nombreux problèmes liés à l’utilisation des anti-inflammatoires expliquent en partie la poursuite de la recherche de nouveaux produits efficaces et ayant moins d’inconvénients.

Méthodes

Méthode d’extraction

Nous avons réalisé une extraction au soxhlet. Pour cela 150g de poudre sont extraits pendant 24h par un solvant hydro-éthanolique (éthanol80V/ ; eau 20V).
L’extrait obtenu est ensuite concentré par évaporation au rotavapor jusqu’à l’obtention d’un résidu pâteux. L’extrait mou ainsi obtenu est utilisé pour l’étude de l’activité anti-inflammatoire.

Méthode d’étude de l’activité anti-inflammatoire 

Le modèle utilisé pour étudier l’activitéanti-inflammatoire des écorces de tige de Casuarina equisetifolia est l’œdème aigu de la patte de rat induit par la carragénine.

Principe

Il s’agit d’une mise en évidence de l’activité anti-inflammatoire de l’extrait hydro-éthanolique des écorces de tige de Casuarina equisetifolia sur l’œdème de la patte de rat. L’œdème a été provoquépar une injection sous cutanée d’une solution de carragénine dans le coussinet plantaire de la patte de rat.
L’administration d’une substance à activité anti-inflammatoire prévient l’importance de l’œdème.

Protocole expérimental

Le pléthysmomètre à eau permet de mesurer le volume de la patte de rat (figure 16).
Son mode opératoire consiste à :
– Remplir le réservoir d’eau.
– Mettre l’appareil sous tension.
– Régler correctement le niveau de l’eau contenue dans la cellule de mesure (CM) avec la vis (V).
– Tremper la patte dans la cellule de mesure. Le transducteur (T) permet d’obtenir la correspondance du volume de la patte en lisant directement le résultat sur l’écran numérique (EN).
– Fixer les chiffres en appuyant sur la pédale (P).

Mise en œuvre

L’injection de carragénine sous l’aponévrose plantaire de la patte postérieure de rat provoque une réaction inflammatoire quipeut être réduite par un traitement anti-inflammatoire préventif. Les rats répartis en 4 lots de 5 et d’un poids variant entre 100 et 170 g sont mis à jeun avant le test.
On mesure pour chaque rat le volume initial (Vο) de la patte arrière droite au pléthysmomètre
Le gavage des rats est effectué à l’aide d’une sonde gastrique et chaque lot de rat reçoit respectivement :
– Lot témoin :eau physiologique 1 ml /100 g de poids corporel
– Lot de référence :acide acétylsalicylique à ladose de 150 mg/kg de poids corporel
– Lot traité 1 :extrait hydroéthanolique des écorces de tige de Casuarina equisetifoliaà la dose de 900 mg/kg de poids corporel
– Lot traité 2 :extrait hydroéthanolique des écorces de tige de
Casuarina equisetifoliaà la dose de 600 mg/kg de poids corporel.
Une heure après gavage, on injecte à chaque rat, à raison de 50 μl, la solution de carragénine à 1 % sous le coussinet plantaire de la patte.
La mesure du volume de la patte est effectuée toutes les 60 minutes sur une durée totale de 6 heures. Ces différentes mesures permettent dedéterminer les pourcentages d’augmentation (%AUG)de la patte de rat (Po).

DISCUSSION

L’étude de l’activité anti-inflammatoire effectuée sur l’extrait hydroéthanolique des écorces de tige de Casuarina equisetifoliaa montré une heure après injection de la carragénine, une augmentation modérée du volume de la patte des rats traités avec les doses 600 et 900mg/kg par rapport aux témoins.
Cette augmentation est supérieure à celleinduite par l’aspirine pour la dose 600mg/kg, mais inférieure pour la dose 900mg/kg et la différence est significative pour la dose 900mg/kg et l’aspirine 150mg/kg.
Trois heures après injection de l’agent phlogogéne, le volume de la pattedes rats traités avec l’extrait des écorces aux doses 600 et 900mg/kg a moinsaugmenté par rapport aux témoins dont le volume a plus que doublé. Les effets sont identiques à ceux obtenus avec l’aspirine et la différence est significative pour la dose 900mg/kg et l’aspirine à la dose de 150mg/kg.
Cinq heures après injection de la carragénine l’action anti-oedémateuse de l’extrait des écorces persistait aux doses 600mg et 900mg/kg de façon similaire à l’aspirine. La différence est significative pour les doses 600mg, 900mg, et l’aspirine à la dose de 150mg/kg par rapport aux témoins.
Nos résultats ont montré que l’extrait hydroéthanolique des écorces de tige présente une activité anti-inflammatoire qui se traduit par une baisse de l’augmentation de l’œdème de la patte derat lorsque celui-ci est préalablement gavé avec cet extrait. L’activité anti-inflammatoire est toujours maximale à la première heure et est dose dépendante.
Ces résultats peuvent justifier l’utilisation des écorces de tige de Casuarina equisetifolia en milieu traditionnel pour traiter l’inflammation.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE 
A-GENERALITES SUR CASUARINA EQUISETIFOLIA
I-APPELLATIONS DE LA PLANTE
II- DESCRIPTION DE LA PLANTE
II-1- Le port
II-2- Les feuilles
II-3- Les fleurs
II-4- Les fruits
III-HABITAT ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE 
IV-PROPRIETES ETEMPLOIS
V-COMPOSITION CHIMIQUE 
B-GENERALITES SUR LA REACTION INFLAMMATOIRE
I-PHYSIOPATHOLOGIE
I-1- Définition
I-2- Les réactions biochimiques
I-2-1- Les radicaux libres oxygénés
I-2-2/ La cascade arachidonique
I-2-3- Le processus inflammatoire
II-LES ELEMENTS CELLULAIRESINTERVENANT DANS LA REPONSE INFLAMMATOIRE
II-1-Les phagocytes mononuclées
II-2-Les polynucléaires
II-3-Les mastocytes
II-4-Les lymphocytes T
II-5-Les cellules NK
II-6-Les lymphocytes B
III-LES MEDIATEURS DE L’INFLAMMATION
III-1-Les amines vaso-actives
III-2-Les médiateurslipidiques
III-3-Les enzymes plasmatiques
III-4-Les cytokines
IV-LES FORMES CLINIQUES DE L’INFLAMMATION 
IV-1-Inflammation aigue
IV-2-Inflammation subaiguë
IV-3-Inflammation chronique
V-TRAITEMENT DE L’INFLAMMATION 
V-1-Les anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-1-Présentation des anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-2-Classification des anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-2-1-Les anti-inflammatoires stéroïdiens d’action rapide
V-1-2-1-1-Les dérivés salicylés
V-1-2-1-2-Les dérivés indoliques
V-1-2-1-3-Les dérivés pyrazolés
V-1-2-1-4-Les oxicams
V-1-2-1-5-Les dérivés propioniques
V-1-2-1-6-Les acides organiques divers
V-1-2-1-7-Les coxibs
V-1-2-1-8-Autres anti-inflammatoires d’action rapide
V-1-2-2-Les antirhumatismaux d’action lente
V-1-2-2-1-Les sels d’or
V-1-2-2-2-La –D-Pénicillamine
V-1-2-2-3-Les anti-paludéens de synthèse
V-1-3-Mécanisme d’action des anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-4-Indication des anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-5-Effets secondaires des anti-inflammatoires non stéroïdiens
V-1-6-Interactions médicamenteuses
V-1-7-Contre-indications
V-2-Les anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-1-Présentation
V-2-2-Classification des anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-3-Mécanisme d’action des anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-4-Structure des anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-5-Action des glucocorticoïdes
V-2-6-Indications des anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-7-Les effets secondaires des anti-inflammatoires stéroïdiens
V-2-8-Précautions d’emploi
V-2-9-Contre-indications
V-2-10-Exemples de médicaments
VI-LES MODELES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANTIINFLAMMATOIRE 
VI-1-Test de l’érythème cutanéaux UV chez le cobaye
VI-2-Test de la perméabilité chez le lapin
VI-3-Test de granulome à la carragénine chez le rat
VI-4-Œdème de l’oreille de souris à l’huile de croton
VI-5-Arthrite à l’adjuvant de Freud
VI-6-Œdème à la carragénine selon Winter
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX EXPERIMENTAUX
I-MATERIEL ET METHODES 
I-1-Matétiel
I-1-1-Matériel végétal
I-1-2-Matériel animal
I-1-3-Les réactifs
I-1-4-Les instruments et appareils
I-2-Méthodes
I-2-1-Méthodes d’extraction
I-2-2-Méthode d’étude de l’activité anti-inflammatoire
I-2-3-Analyse statistique
II-RESULTATS ET COMMENTAIRE
II-1-Résultats.
II-1-1-Rendement de l’extraction
II-1-2-Etude de l’activité anti-inflammatoire des écorces de tige de Casuarina equisetifolia
III-Discussion 
IV- CONCLUSION
V-REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
VI-ANNEXES
VII-RESUME

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