Présentation de la bibliothèque pu musée de l’hospice comtesse et fonctionnement de la médiation documentaire

PRESENTATION DE LA BIBLIOTHEQUE PU MUSEE DE L’HOSPICE COMTESSE, ET FONCTIONNEMENT DE LA MEDIATION DOCUMENTAIRE PROPOSEE AU PUBLIC

La principale vocation d’un centre de ressources, est d’offrir à son public un maximum de satisfaction ; que ce soit par l’accueil qui lui est réservé, sa prise en charge éventuelle, et surtout par la qualité des fonds qui ont été constitué au cours des années.
La bibliothèque du musée de l’Hospice Comtesse ainsi que son centre de ressources présentent des objectifs différents de ceux d’une bibliothèque ouverte à tout public ou même de ceux d’un établissement privé, dans le sens où elle est dépendante d’un service public : le musée, mais où sa consultation n’est pas publique, puisque les usagers ne peuvent venir la consulter un seul jour par semaine : le mercredi ou bien la semaine sur rendez-vous.
Il va donc être intéressant de se pencher sur son fonctionnement interne, la gestion de ses fonds, ainsi que sur la médiation documentaire qu’il a été choisi de proposer au public.

PRESENTATION DE LA BIBLIOTHEQUE DU MUSEE

Présentation géographique 

Le centre de ressources du musée est donc une bibliothèque de documentation dont la vocation principale est d’être au service du musée et de ses besoins. Comme je viens de l’expliquer, elle n’est donc accessible au public que sous certaines conditions que nous développerons plus tard. Son statut est celui de bibliothèque de musée ; en ce sens, elle dépend directement de la mairie de Lille.
Ayant la chance d’évoluer dans le milieu de l’art, son environnement s’en trouve favorisé. En effet, les bâtiments dans lesquels ont été recueillis jusqu’à maintenant les fonds iconographiques, photographiques ou manuscrits, datent environ du XVIIeme siècle. La bibliothèque se trouve dans l’enceinte du musée, au 32, Rue de la Monnaie, dans la partie réservée à l’administration. Pour y accéder, il faut d’abord traverser une cour intérieure qui est pavée.

Organisation de l’espace

En ce qui concerne l’organisation interne de l’espace, la disposition des documents n’a pas suscité de grands schémas d’organisation. En effet, la bibliothèque du musée de l’Hospice Comtesse ne dispose que d’une seule pièce d’une superficie d’environ 60 à 70 mètres carrés.
Tout le fonds des livres imprimés se trouve rangé sur un seul pan de mur, sur des étagères qui une fois accolées mesurent environ une dizaine de mètres de longueur. De grandes tables sont disposées au milieu de la pièce pour permettre les recherches et étaler les plans si besoin est, sans les abîmer. (Cf plan ci dessous)
Cependant, le personnel de la bibliothèque se trouve actuellement confronté au manque de place. L’extension des rayonnages est possible, mais uniquement à court terme. Pour faire face à ce problème de saturation qui est extrêmement périlleux pour les documents fragiles, le projet de mise en place en place d’un nouveau local vient d’être mis en application, pour accueillir les fonds photographiques, iconographiques, ainsi que les plans. Mais ce travail s’avère être de longue haleine et sa réalisation définitive risque de durer encore de nombreux mois. Il est tout de même à préciser que la bibliothèque dispose de deux petites annexes. La première se trouve dans une petite réserve dans laquelle sont rangés les doublons. La seconde annexe, est concentrée au service animation du musée.

Le fonctionnement interne de la bibliothèque

Nous venons donc de dresser un rapide tableau de l’organisation spatiale de la bibliothèque du musée de l’Hospice Comtesse. Il est maintenant intéressant de se pencher sur son fonctionnement ainsi que sur son organisation interne.

L’accueil et le règlement

Souvent, la première impression que peut se faire un usager d’une bibliothèque ou d’un centre de documentation, qu’elle soit bonne ou mauvaise, est immédiatement influencée par l’image que lui renvoie l’accueil qui lui est réservé par le personnel, ainsi que par l’organisation générale du centre de ressources : par exemple, si les documents sont faciles d’accès ou non, et ce grâce éventuellement à la mise à disposition d’un matériel informatique permettant des recherches plus rapides.
Pour ma part, en tant qu’utilisatrice éclairée d’un centre de ressources, les horaires constituent en fait, un premier contact relativement important avec le public.
C’est pourquoi je pense que ces derniers devraient être affichés à l’extérieur de la bibliothèque, pour donner un maximum de satisfaction à un utilisateur non habitué et ne connaissant pas forcément les jours et heures de consultation de la bibliothèque.
Or, il est regrettable que les horaires d’ouverture et de consultation de la bibliothèque du musée ne soient pas affichés de manière visible aux consultants. Je pense que ceci restreint de beaucoup la fréquentation de la bibliothèque du musée ; car en effet, beaucoup de personnes n’en connaissent très certainement même pas son existence. Ceci permet donc d’expliquer pourquoi les usagers de ce centre de ressources sont exclusivement des personnes issues du milieu de la recherche, des étudiants en histoire et en histoire de l’art, ou encore des enseignants. Nous pouvons toutefois compter quelques particuliers avertis par le bouche à oreilles, qui viennent pour faire des recherches à titre personnel.
Comme je l’ai expliqué dans l’introduction de cette deuxième partie, les horaires d’ouvertures de la bibliothèque du musée de l’Hospice Comtesse sont quelques peu restreints.
Ainsi, les consultations de documents pour toutes personnes externes au musée ne peuvent se faire exclusivement que le mercredi, de 9 heures à 12h30, et de 14h à 17 h. Hormis cette journée de consultation ouverte au public, chaque consultant peut faire une demande spéciale par écrit pour être reçu sur rendez-vous n’importe quel jour de la semaine.
Nous pouvons enfin préciser qu’il n’existe pas d’aménagement d’horaires en fonction des vacances ; ces derniers restant les même tout au long de l’année.

PROPOSITIONS EN VUE DE L’AMELIORATION DE LA GESTION DES FONDS 

Au cours de ces trois mois de stage, il m’a donc été possible d’observer le fonctionnement de la médiation documentaire du musée de l’Hospice Comtesse, et notamment, son organisation dans la gestion de ses fonds. Etant donné que la totalité de la durée de mon stage s’est portée autour d’un travail dont le but était de constituer un classeur chargé de faire le recensement de fonds iconographiques de Saints, je pense dans une certaine mesure, avoir contribué à l’action de valorisation des fonds iconographiques du musée.
Il sera donc intéressant dans cette troisième partie, de développer tous les points qui seraient succeptibles d’être améliorés (en développant tout particulièrement la démarche que j’ai suivie pour réaliser mon classeur), sans oublier toutefois, les limites pouvant s’imposer à tout cela.

Une meilleure gestion des fonds iconographiques pu musée

L’exemple du classeur réalisé, relatif à l’imprimeur Blocquel

Selon l’écrivain Henri HUDRJSIER, une iconothèque, est une bibliothèque d’images. Ces images peuvent être évidemment de nature très différentes : films, bandes vidéo, photographies, peintures, etc. Pour qu’il y ait iconothèque, il faut à la fois la présence d’un stock d’images et d’un système de classement ou fichiers.
Comme nous venons de le voir dans la deuxième partie de ce rapport, l’iconothèque du Musée de l’Hospice Comtesse accueille essentiellement parmi les consultants de ses documents, des chercheurs. La plupart sont des universitaires, historiens pour beaucoup, mais on peut également compter parmi les utilisateurs, des sociologues, ethnologues, ou encore plus rarement, des professionnels de la publicité.
Selon Claude COLLARD, Isabelle GIANNATTASIO et Michel MELOT, auteurs du livre Les images dans les bibliothèques, les préoccupations de ses chercheurs sont de trois ordres : le support, la forme et le contenu.
Or, il s’avère que les recherches auxquelles se retrouve principalement confrontée l’iconothèque du musée de l’Hospice Comtesse, porte sur les contenus des images. Or, ces dernières peuvent être menées sur des supports de substitutions, tels que des classeurs, tout en donnant accès à des séries d’images très abondantes (certaines de ces séries pouvant d’ailleurs atteindre parfois plusieurs milliers d’unités).
Il est cependant intéressant de constater qu’en recherche, chaque demande est unique, donnant parfois l’impression d’une insatisfaction irréductible : l’image idéale reste introuvable et il faut se contenter de l’image trouvée.
L’aide du bibliothécaire dans la recherche de l’image la plus proche de celle recherchée, est donc d’autant plus utile.
La première aide que le bibliothécaire peut apporter est de constituer des catalogues qui rendent accessibles aux consultants, les collections. Par ailleurs, il est intéressant de constater un fort développement dans les demandes des chercheurs pour une meilleure connaissance des collections patrimoniales, à travers des catalogues et des descriptions scientifiques.
C’est pourquoi le musée de l’Hospice Comtesse m’a donné pour mission tout au long de mon stage, de réaliser un classeur chargé de faire le recensement de fiche minimale à partir d’indexation analytique, sur un fonds iconographique de saints de plus de 900 unités, relatifs à l’album de l’imprimeur lillois, Simon BLOCQUEL.
Ce travail paraissait nécessaire, dans la mesure où aucun classeur relatif à ce fonds iconographique n’avait jamais été réalisé jusqu’à ce jour. Il s’agissait donc d’images d’une grande valeur ainsi que d’une grande rareté, qui « dormaient » depuis de nombreuses années dans une boîte à archive du musée de l’Hospice Comtesse.
La constitution de ce classeur permettant ainsi l’accès de ces documents précieux aux besoins des chercheurs. Je tenterai au cours de ces prochaines lignes de développer ma démarche pour la réalisation de ce travail. Voici en un schéma, le processus que j’ai employé

La collecte des documents

Toujours selon les mêmes auteurs de l’ouvrage « Les images dans les bibliothèques », les collections d’estampes ou de gravures dans les musées sont plus sélectives que celles dans les bibliothèques, donc mieux maîtrisables. Elles peuvent faire par ailleurs l’objet d’inventaires complets.
Dans le cas du musée de l’Hospice Comtesse, vu l’estimation du fonds iconographique qui a été recensé à près de 20 000 unités, il est compréhensible que la totalité de ces fonds ne sont pas répertoriée.
Nous pouvons également préciser que la collection d’estampes et de gravures du musée est très riche en sujets religieux, militaires, ou autres, que l’on peut qualifier plus directement d’imagerie populaire.
Les collections iconographiques du musée étant déjà constituées depuis des années, j’ai pu commencer par me familiariser avant de créer mes fiches, avec les documents sur lesquels mon travail allait se porter.
C’est en constituant le « paysage documentaire » qui devait me servir de base durant la totalité de mon stage, que je suis tombée par hasard, sur des documents manuscrits rédigés par le conservateur du musée des années 1960-1970. Ces documents furent pour moi, très riches en renseignements, et me permirent ainsi de connaître l’existence de doubles de ces fonds, gardés précieusement à la bibliothèque municipale de Lille. Une recherche biographique avait été également effectuée au préalable sur l’imprimeur BLOCQUEL et son éditeur CASTIAUX. La trouvaille de ces précieux documents m’a permis d’accélérer mon travail, et de les insérer dans mon classeur, pour en faire bénéficier les utilisateurs.

L’analyse de l’image : le traitement documentaire de l’image fixe

Les supports de l’imase 

Les gravures sur lesquelles j’ai été amené à travailler, avaient comme support du papier. Cependant, leur technique de gravure avait été réalisée sur une plaque de bois.
Il est intéressant de rappeler que cette technique date environ du XV6″16 siècle. La plus ancienne gravure sur bois a été retrouvé à Bruges ; elle représente une Vierge et date de 1418.
Cependant, cette technique de gravure est peu précise ; les traits sont moins fins que ceux des gravures sur métal. Ceci a d’ailleurs rendu particulièrement plus difficile mon analyse, et ce notamment, dans l’identification des attributs des saints.
Nous pouvons également mentionner que le support sur lequel j’avais à travailler durant ces trois mois de stage, datait du XIXeme siècle. Pour la petite histoire, ces gravures représentant des images de saints caractérisés par leurs attributs, avaient pour vocation de faire le catéchisme à leurs acheteurs et utilisateurs.
Il est enfin nécessaire de préciser que les documents que j’avais à identifier, étaient des originaux ; tous édités à un grand nombre d’exemplaires.
Le musée de l’Hospice Comtesse détient un album complet de cette série d’imagerie dite « populaire ». Et comme je l’ai également déjà dit précédemment, un second exemplaire peut être consulté sur place à la bibliothèque municipale de Lille.

L’analyse de l’image

L’image fixe est la dernière catégorie à recevoir en France en 1995, sa norme de description bibliographique.
La norme française de description bibliographique des images fixes, est la norme Z 44-077. Une partie de cette dernière a pour objectif de caractériser les documents des collections : si par exemple il s’agit d’images religieuses, de frontispice, de cartes à jouer etc… (Cf : annexes : la typologie des images fixes).
En règle générale, nous pouvons dire que tous les documentalistes et chercheurs tendent leurs efforts vers une description du contenu de l’image : rendre par écrit ce qui est sur l’image.
Etant donné que je ne disposait pas de photographies représentant les icônes sur lesquelles je travaillais, et que pour des raisons de conservations que nous évoquerons plus tard, je n’ai pu les scanner, pour illustrer les descriptions de mes fiches, je les ai décrites dans mes fiches de manière à ce que sans avoir de représentation de l’image, l’utilisateur et chercheur puisse l’interpréter de la manière la plus précise dans son imagination.

La recherche

Il est nécessaire de préciser que mes recherches ont été freiné pendant longtemps par le fait que j’étais totalement inculte dans le lourd processus de reconnaissance iconographique de saints, et plus particulièrement dans leurs attributs respectifs.
En effet, les fonds iconographiques sur lesquels il m’a été demandé de travailler portaient uniquement sur des représentations iconographiques de saints. Mon rôle était de les identifier, de les répertorier, et de décrire sur une fiche de façon minimale (c’est à dire concise mais précise), ce que je voyais sur chaque image. Pour palier à ce problème, je me suis référé pour chaque icônes, au corpus de livres que j’avais recensé dans ma bibliographie. Comme je viens de le dire précédemment, l’une des constante des chercheurs est d’effectuer leur travail avec des recherches bibliographiques et d’y avoir ensuite constamment recourt. Pour ma part, mes recherches ont été constamment ponctuées de retours aux livres de la bibliothèque du musée ; comme une sorte d’aller-retour de l’image à l’imprimé

Les limites a l’amélioration de la gestion des fonds

Les problèmes liés à la conservation des documents 

Certes, il est intéressant pour une bibliothèque ou un musée, d’enrichir ses fonds d’estampes.
Cependant, le classement matériel de ces fonds souvent rares et précieux, est directement lié aux problèmes techniques de la conservation des documents.
En effet, la gestion de fonds spéciaux, tels que des fonds iconographiques, requiert une très forte attention dans la manipulation de ses documents : les images et les feuilles doivent être conservées à plat, les petits documents doivent être mis dans des pochettes etc… Parmi les ennemis des documents iconographiques, le plus redoutable est le consultant lui-même.
Tout ceci rend donc particulièrement difficile leur gestion et donc leur cataloguage, car pour pouvoir cataloguer des documents iconographiques, il faut avoir un endroit spécialement réservé à leur stockage et à leur consultation.
C’est d’ailleurs dans l’optique d’assurer de bonnes conditions à la conservation des fonds photographiques et graphiques, que le musée de l’Hospice Comtesse à aménagé des locaux adéquats. Il est toutefois à noter que l’installation des collections dans ces nouveaux locaux se fait progressivement.

Les autres freins à l’amélioration de la gestion des fonds 

Les budgets 

Il est certes vrai que les fonds du musée de l’Hospice Comtesse sont gérés au mieux, avec beaucoup de sérieux et de réflexion. Néanmoins, j’ai pu remarquer durant la période où je m’y suis rendue, que le budget ne suivait malheureusement pas toujours les besoins.
En effet, un projet de mise en informatique des collections et des fonds du musée à été mis en place il y a maintenant déjà quelques années, ainsi qu’un important travail sur le fonds photographique, en prévision de la numérisation. Or, cette dernière n’a pu être engagée, faute d’un système informatique adapté.

Le manque de matériel perfectionné

Tout comme les problèmes de conservation et de budget que peut rencontrer le musée de l’Hospice Comtesse dans la gestion de ses fonds, j’ai pu me rendre compte au cours de mon stage, qu’un matériel informatique ou multimédia peu perfectionné pouvait également représenter un frein à tout cela.
En effet, dans le but de rendre ces fiches les plus précises possible, j’ai voulu avec l’accord du conservateur, scanner les icônes que j’étais censée identifier et décrire. Il est regrettable de n’avoir pu mener à bien cette opération ; faute de matériel suffisamment perfectionné. Pourtant, bien que le musée de l’Hospice Comtesse n’était pas équipé de scanner, je m’étais engagée à amener mon propre matériel. Or, il s’est avéré qu’au moment de l’installer sur l’ordinateur du musée, je me suis rendu compte que le matériel informatique acheté vers le mois de mars-avril, n’était pas équipé de lecteur de CD-Rom.

CONCLUSION

Le centre de ressources de musée de l’Hospice Comtesse est comme nous venons de le démontrer tout au long de ce devoir, un centre très important par la richesse de ses fonds.
Nous pouvons donc conclure que la médiation documentaire de la bibliothèque du musée proposée au public est construite sur des bases solides, bien qu’un peu en retard par rapport au développement de la fougue informatique.
Comme nous venons de l’expliquer, même si des élans de modernisation et d’informatisation des collections et de la bibliothèque ont été engagé, ces derniers se retrouvent malheureusement très vite freinés par un matériel pas assez suffisamment performant.
Pour ma part, je pense que ce stage à été très formateur, car il m’a permis de découvrir le monde de la documentation dans le milieu un peu particulier qu’est celui de l’Art. Il m’a également appris à travailler en total autonomie ainsi qu’à prendre mes propres initiatives.
Je tiens également à remercier toute l’équipe du musée de l’Hospice
Comtesse qui m’a si gentiment accueillie au cours de ces trois mois de stage, et plus particulièrement mademoiselle Patricia ANQUEZ, chargée de la réception des visiteurs pour la consultation des documents. Elle m’a tout particulièrement bien renseigné sur la bibliothèque, ainsi que sur les fonds iconographiques du musée. Je tiens aussi à remercier mesdames LOBIR, N’MILI et OBLIN qui n’ont jamais hésité à me rendre service, ni à me prodiguer d’excellents conseils.
Enfin, je remercie mesdames Aude CORDONNIER, conservateur, qui m’a permis de venir réaliser ce stage au sein de son musée ainsi qu’Annette BEGUIN, professeur en maîtrise S.I.D, qui m’a guidé dans la réalisation de ce projet.

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Table des matières
INTRODUCTION
I. PRESENTATION PU MUSEE DE L’HOSPICE COMTESSE
A. Historique du musee de l’Hospice Comtesse
1. De l’hôpital au musée
2. Le musée de nos jours
Plan du musée
Organigramme du musée
B. LA politique culturelle du musee
II.PRESENTATION DE LA BIBLIOTHEQUE PU MUSEE DE L’HOSPICE COMTESSE. ET FONCTIONNEMENT DE LA MEDIATION DOCUMENTAIRE PROPOSEE AU PUBLIC
A. presentation du centre de ressources du musee
1. Présentation géographique
2. Organisation de l’espace
B. Fonctionnement interne de la bibliothèque
1. L’accueil et le règlement
2. L’accès aux documents
3. Le matériel disponible
C. presentation de l’iconotheque du musee
III. PROPOSITIONS EN VUE DE L’AMELIORATION DE LA GESTION DES FONDS.
A. UNE MEILLEURE GESTION DES FONDS ICONOGRAPHIQUES DU MUSEE
1. l’exemple du classeur réalisé, relatif à l’imprimeur Blocquel
1.1 La collecte des documents
1.2 L’analyse de l’image : le traitement documentaire de l’image fixe
1.2.1 Les supports de l ‘image
1.2.2 L’analyse de l’image
1.3 La recherche
1.4 La diffusion des images : les produits documentaires
2. Autres propositions
B. Les limites a l’amélioration de la gestion des fonds
1. Les problèmes liés à la conservation
2. Les autres freins à l’amélioration de la gestion des fonds
2.1 Les budgets
2.2 Le manque de matériel perfectionné
CONCLUSION 
ANNEXES

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