Potentiels hypotensif, cardio-protecteur et anti-inflammatoire

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Etudes pharmacologiques

L’anacardier a fait l’objet de diverses études pharmacologiques dont certaines ont fini par mettre en évidence entre autres des activités antimicrobienne, hypotensive, hypoglycémiante et  antidiabétique.

Activité antimicrobienne

Une étude réalisée au Nigeria a montré que les extraits de feuilles et d’écorces d’A. occidentale ont une activité antibactérienne. En effet des chercheurs ont démontré que ces extraits sont actifs sur les espèces bactériennes suivantes :
Staphylococcus aureus (et ses souches multirésistantes), Streptococcus pneumoniae, Escherichia coli, Enterobacter sp., et des souches de Pseudomonas aeruginosa multi résistantes. L’extrait d’écorce ayant une activité plus étendue aux espèces Corynebacterium pyogenes, Enterococcus faecalis, et Acinetobacter sp. (Kudi et al. 1998)
L’activité antifongique des feuilles, des écorces et des racines de la plante a quant à elle aussi été démontrée. Il a été décrit l’activité antifongique des extraits sur des champignons levuriformes et filamenteux. Les espèces concernées étaient principalement Candida albicans, Cryptoccocus neoformans, et Trichophyton mentagrophytes. Les contaminants habituels tels qu’Aspergillus sp. n’ont pas montré de sensibilité marquante vis-à-vis des trois extraits par (Kpemissi, 2007).
Ces données ont été confirmées en 2009, par d’autres auteurs qui ont réalisé une étude sur deux extraits de feuilles d’A. occidentale, montrant leurs potentiels antibactérien et antifongique (Dahake et al., 2009).

Potentiels hypoglycémiant, antidiabétique

L’anacardier est souvent cité comme plante à activité hypoglycémiante (Celine et al., 2016). En effet, les extraits de feuilles d’anacardier contribueraient à abaisser le taux de glucose sanguin ; cette activité a été mise en évidence sur des rats préalablement traités à la streptozotocine (Tedong et al., 2006). Selon cette dernière étude, en plus de l’activité hypoglycémiante, les extraits de feuilles d’anacardier ont montré une action protectrice sur les reins de rats diabétiques, ralentissant de ce fait les complications rénales causées par la pathologie. Plus tard, l’effet hypoglycémiant de l’écorce de la plante a été mis en évidence via une étude similaire (Singh, 2010).
Une étude comparative a montré que l’association d’extrait de feuilles d’Anacardium occidentale avec celui de feuilles d’Eucalyptus globulus accroît de façon significative leur effet hypoglycémiant (Okpashi, 2014).
Par ailleurs une évaluation de l’activité antidiabétique menée plus tôt, spécifiait déjà cette activité hypoglycémiante induite par l’extrait hexanique des feuilles de la plante à la dose de 300 mg/kg (Diahate, 2004).

Potentiels hypotensif, cardio-protecteur et anti-inflammatoire

L’extrait d’écorce d’anacardier a montré une activité hypotensive in vivo sur des lapins et cardio-protectrice in vitro, sur des cœurs isolés de rats (Tchikaya et al., 2011). Tchikaya et ses collaborateurs ont, de par leurs essais, justifié l’usage en médecine traditionnelle de l’écorce d’anacardier, pour le traitement des pathologies cardio-vasculaires. Cette étude a ainsi confirmé les données de Jean-Louis Pousset qui, dans son ouvrage portant sur les plantes médicinales africaines a mentionné que des essais in vivo sur le rat et le singe ont montré que les extraits d’écorces d’anacardier présentent des activités hypotensive et anti-inflammatoire, en plus d’une activité hypoglycémiante déjà attribuée aux feuilles de la plante (Pousset, 1989).

Potentiel thrombolytique

L’extrait de noix d’anacardier a montré une activité de lyse de caillot sanguin in vitro. Une étude préliminaire a été menée sur le potentiel thrombolytique de quatre plantes : Ocimum sanctum, Curcuma longa, Azadirachta indica et Anacardium occidentale. Selon leurs résultats, l’extrait du fruit de l’anacardier induirait une thrombolyse de 33,79% en comparaison aux témoins positifs (streptokinase) et négatif (eau distillée) qui ont respectivement induit 86,2% et 4,7% d’activité thrombolytique (Khan et al. 2011).

Potentiel antiparasitaire

Une étude incluant des extraits d’A. occidentale a montré leur potentiel anthelminthique. En effet, des travaux ont permis de déterminer la concentration minimum létale de divers composés in vitro vis-à-vis de Hymenolepis nana, cestode responsable de parasitose intestinale chez l’homme. L’extrait d’A. occidentale s’est avéré actif sur le ver, avec une concentration minimale létale d’une ppm. Les données quant à la partie de la plante ayant servi à l’obtention de l’extrait n’ont pas été spécifiées (Sen et Hawking, 1960).

Potentiel insecticide

Des résultats d’une étude portant sur les propriétés larvicides du baume de cajou ont montré que ce dernier est actif sur des stades immatures de deux espèces de moustiques, Aedes aegypti et Anopheles subpictus. Selon ces résultats, les larves et pupes d’A. aegypti sont sensibles au baume de cajou à la concentration de 12 ppm. Les larves et pupes de Anopheles subpictus se sont montrées plus résistantes (Mukhopadhyaya et al., 2010).

Toxicité de la plante

L’huile volatile obtenue par distillation de feuille d’anacardier produit une irritation de la peau avec fièvre, démangeaisons, légère tension de la tête et des membres (Lacroix, 2003). La plus part des ouvrages traitant de la toxicité liée à A. occidentale signale l’action irritante et vésicante du baume cajou, issu du péricarpe du fruit.
Une étude a permis de décrire les potentiels toxiques et allergène de l’acide anacardique et de ses dérivés. Ladite étude établit le rapport entre la consommation de noix de cajou et le risque d’allergie chez les sujets atopiques (Hemshekhar et al., 2011).
L’extrait aqueux de feuilles d’anacardier induirait une déstabilisation de la membrane d’érythrocytes falciformés. Des érythrocytes de sujets atteints de drépanocytose ont été mis in vitro en présence d’une solution de métabisulfite de sodium, afin d’en induire la falciformation. Les érythrocytes ainsi falciformés ont ensuite été incubés en présence des extraits distincts de feuilles de trois plantes : Anacardium occidentale, Psidium guajava et Terminalia catappa. Le but était de rechercher une activité stabilisatrice de ces extraits sur la membrane d’érythrocytes falciformes. Les extraits de P. guajava et de T. catappa ont donné de bons résultats contrairement à l’extrait de feuilles d’A. occidentale qui, à une concentration de 800 mg/l induisait une hémolyse des globules rouges falciformes (Chikezie et al., 2011).

PRODUITS DERIVES DE LA PLANTE ET LEURS UTILISATIONS (ORWA ET AL., 2009)

Les aliments

L’anacardier est surtout cultivé pour ses amandes, appelées noix de cajou ou « Ndamarasse » en wolof. L’amande est extraite par décorticage manuel, après divers traitements contribuant à la neutralisation du baume de cajou, caustique. Dans les zones de production, les noix sont consommées crues ou grillées. L’amande et l’huile qui en est extraite par pression servent également en cuisine. Le pédoncule ou pomme-cajou est tout aussi important dans les zones telles que le Brésil, l’Indonésie, le Mozambique, le Sénégal en particulier dans la région du Sud, en Casamance ; il y est consommé frais ou en salade de fruits. Il sert également à la préparation de jus, de confiture. Certaines régions en ont développé le vin dit « de cajou », dérivant de la fermentation du jus de pomme-cajou. Il est appelé « Fenni » en Inde ou « konyagi » en Tanzanie. Les jeunes pousses et feuilles sont également consommées crues ou après cuisson.

Combustible

Le bois est très souvent utilisé comme bois de chauffage ou pour la confection de charbon de bois. L’huile produite dans les cellules du péricarpe appelée baume de cajou (CNSL=cashew nut shell liquid en anglais) est également utilisée en industrie comme combustible car très inflammable. Elle sert notamment à griller la coque dure du péricarpe durant le processus de traitement de la noix en vue du décorticage artisanal.

Fourrage

La partie solide obtenue après expression de l’huile de l’amande sert de nourriture pour animaux, en particulier la volaille.

Baume de cajou

Autrefois considéré comme déchet de l’industrie de production des noix, il s’avère être le composant de la plante le plus riche en composés actifs tels que l’acide anacardique et ses dérivés. Il possède désormais de nombreuses applications industrielles notamment dans la confection de conservateurs pour filets de pêche, dans la confection des peintures, ou pour diverses autres synthèses dont celle de composés résineux.

Gomme et résine

L’écorce d’anacardier contient une sève âcre, sous forme de résine brune épaisse, qui noircit au contact de l’air. Celle-ci est utilisée comme encre indélébile dans la fabrication et l’impression du lin et du coton. Elle est également utilisée comme vernis, agent conservateur pour filet de pêche. Les tiges produisent également une gomme de couleur ambre qui est partiellement soluble dans l’eau ; la majeure partie gonflant sous la forme d’une masse gélatineuse. Cette gomme est utilisée comme agent adhésif, notamment en menuiserie, mais aussi pour les couvertures de livre, ceci dû en partie au fait qu’elle est réputée comme ayant des propriétés insecticides.

Tannins

La sève âcre de l’écorce contient 3 à 5% de tannins, d’où son utilisation dans l’industrie du tannage.

Fibre

La pâte à bois d’anacardier sert à la fabrication de l’isorel qui est un matériau en fibres de bois compressées servant à construire des cloisons.

GENERALITES SUR LES MYCOSES ET LA THERAPEUTIQUE ANTIFONGIQUE

LES MYCOSES

Les mycoses ont pour agents pathogènes des champignons microscopiques.

Les Champignons microscopiques: agents responsables de mycoses

Les champignons sont également connus sous le nom de mycète(s), ou fungi. Ce sont des organismes eucaryotes, uni- ou pluricellulaires, incluant des espèces macroscopiques (macromycètes) et des espèces microscopiques (micromycètes), d’aspect filamenteux ou levuriforme.
Les mycètes sont retrouvés partout, ce sont des organismes cosmopolites et ubiquitaires. Ils sont capables d’établir des interactions avec des espèces animales et végétales ; ces interactions vont du saprophytisme au parasitisme. Les champignons impliqués dans les pathologies humaines appartiennent au groupe des micromycètes (Chabasse et al., 2002).
Le pouvoir pathogène de ces micro-organismes peut s’exprimer de différentes façons. En effet, certains champignons produisent des toxines pouvant être impliquées dans des intoxications alimentaires ou dans des mycotoxicoses, par accumulation de ces toxines dans les végétaux et leur consommation par l’homme ou l’animal. Le développement du champignon dans l’organisme humain, ou animal est variable, il peut être à l’origine d’un parasitisme. Ce parasitisme sera à l’origine de maladies appelées mycoses.
Les mycoses sont des maladies infectieuses provoquées par des champignons microscopiques ; leurs localisations chez l’homme sont diverses et permettent d’en faire une classification (Talbert, 2004).
Ainsi, deux groupes sont différenciés :
– Les mycoses superficielles (cutanées ou cutanéomuqueuses). ce sont les plus fréquentes ; elles sont souvent récidivantes.
– Les mycoses profondes ou systémiques, elles sont rares et le plus souvent observées en cas de déficit immunitaire.

Les mycoses superficielles

Les mycoses superficielles touchent la peau, les muqueuses, et les annexes épidermiques que sont les cheveux, les poils, et les ongles.
Les agents impliqués dans ces pathologies peuvent être :
– des champignons filamenteux : dans ce groupe on distingue les dermatophytes responsables de dermatophyties, et les moisissures dont celles du genre Fusarium, impliquées dans des kératites, onyxis et atteintes cutanées.
– des champignons levuriformes responsables de levuroses.
Les champignons dits levuriformes, contrairement aux champignons filamenteux sont des mycètes unicellulaires. Ils se multiplient par bourgeonnement et produisent parfois un pseudomycélium. Certaines levures ont une forme sexuée dite parfaite, en opposition à la forme asexuée dite imparfaite ; les formes sexuées sont désignées sous des noms différents. Les levures d’intérêt médical représentent une flore commensale variée, et peuvent devenir des parasites opportunistes (Chabasse et al., 2004 ; Bouchara et al., 2010).
Les levures responsables de mycoses superficielles appartiennent à divers genres. Celles appartenant aux genres Candida, Malassezia, et Trichosporon sont celles qui sont le plus souvent isolées au cours de mycoses superficielles (Brans, 2015).

Le genre Candida et les candidoses

Définition

Candida albicans est une levure non pigmentée, non encapsulée, à bourgeonnement multiple et formant un pseudo-mycélium vrai. C’est un saprophyte endogène de la lumière intestinale humaine (rarement chez les oiseaux) et des cavités génitales par contiguïté, particulièrement chez la femme. Au niveau des voies génito-urinaires, C. albicans est en équilibre avec les flores bactériennes locales. La présence sur la peau de C. albicans n’est pas habituelle et correspond à un état pathologique. Les pathologies associées aux levures du genre Candida sont appelées candidoses (Moulinier, 2003).

Classification

Candida albicans est un champignon unicellulaire se multipliant par bourgeonnement, il n’a pas de forme sexuée connue raison pour laquelle il est classé dans le phylum des Deuteromycotina ; les champignons appartenant à ce phylum sont également appelés champignons imparfaits. La position taxonomique de ces levures est la suivante :
Règne : Eumycotina
Phylum : Deuteromycotina (Fungi imperfecti)
Classe : Blastomycètes
Ordre : Cryptococcales
Famille : Cryptococcaceae
Genre: Candida
Le genre Candida comprend de nombreuses espèces dont la plus fréquemment retrouvée est C. albicans, suivie de C. glabrata, C. tropicalis, C. parapsilosis (Chabasse et al., 1999 ; moulinier, 2003).

Epidémiologie et facteurs favorisants des candidoses

Les candidoses sont des affections cosmopolites. Elles constituent environ 80% des infections à levures. C. albicans est la levure opportuniste par excellence, elle profitera d’un déséquilibre de la flore endogène ou d’un déficit immunitaire pour se multiplier et se comporter en véritable pathogène pouvant envahir un certain nombre de tissus. Cette espèce est responsable d’environ 50 à 60 % des candidoses invasives. Cependant son importance relative décroît depuis quelques années au profit des autres espèces groupées sous le terme de levures non albicans ; l’émergence de ces dernières semble en relation avec l’apparition et la diffusion du VIH. Schématiquement, on distingue des facteurs favorisants, intrinsèques ou extrinsèques, ces derniers sont le plus souvent iatrogènes (Chabasse et al., 1999).

Les facteurs intrinsèques favorisants des candidoses

 Facteurs physiologiques
Le nouveau-né est très vulnérable, il en est de même pour le sujet âgé porteur de prothèse dentaire. Dans ces situations, les candidoses buccales seront très fréquentes. Chez la femme enceinte, en particulier au 3ème trimestre de la grossesse, la fréquence de la candidose vaginale est trois à quatre fois plus élevée.
 Terrain ou maladie sous –jacente
Une hémopathie, un cancer, ainsi que toutes maladies qui entrainent un affaiblissement de l’état général ou de l’immunité seront susceptibles de déclencher une candidose. Parmi les causes sont fréquemment citées les endocrinopathies, comme le diabète, et l’immunodépression liée au Sida.
Au cours de l’infection par le VIH, les candidoses buccales sont très fréquentes. D’une manière générale, la gravité de l’état clinique sous-jacent influe sur l’évolution de ces candidoses.
 Facteurs locaux
La transpiration, la macération, l’humidité, diverses microlésions comme l’attrition des tissus ou la modification de la trophicité des muqueuses, favorisent l’installation et le développement des candidoses.

Les facteurs extrinsèques favorisants des candidoses

 Traitements médicamenteux
L’antibiothérapie surtout prolongée au-delà de huit jours peut déclencher une candidose digestive. Il en est de même pour les traitements immunosuppresseurs (corticoïdes, antimitotiques, …). Les ulcères digestifs générés par les traitements cytolytiques et colonisés par les Candida sont une porte d’entrée classique de la candidose chronique disséminée, surtout en cas de neutropénie prolongée associée.
 Traitements chirurgicaux et médicochirurgicaux
Les chirurgies les plus à risque sont les chirurgies cardiaque et digestive, ainsi que les transplantations d’organes ; ces actes étant accompagnés d’immunodépression transitoire.

Caractères culturaux et biochimiques de Candida albicans

La connaissance des caractères culturaux et biochimiques des pathogènes microscopiques est utile pour leur identification au cours du diagnostic biologique.
En ce qui concerne C. albicans, c’est une levure qui pousse rapidement sur milieu Sabouraud additionné de chloramphénicol, un antibiotique et de cycloheximide (Actidione®). Le cycloheximide est une molécule à activité antifongique, introduite dans la gélose afin d’inhiber la pousse de certaines moisissures telles que les Aspergillus. Elle possède également une activité inhibitrice vis-à-vis de certaines espèces appartenant au genre Candida. La température d’incubation des milieux ensemencés est fonction du site de prélèvement, elle varie entre 22°C et 27°C pour les prélèvements superficiels et 37°C pour les candidoses profondes. Leur croissance étant rapide, la durée d’incubation varie entre 24 et 48 heures.
L’isolement de Candida albicans est suivi de son identification ; celle-ci est basée sur plusieurs critères incluant les caractères morphologiques et biochimiques. Le tableau I suivant résume les critères retenus pour l’identification de C. albicans (Cardinale, 2001).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE I : ANACARDIUM OCCIDENTALE
1. DENOMINATIONS ET POSITION SYSTEMATIQUE
1.1. Dénomination
1.2. Position systématique
2. PRESENTATION BOTANIQUE
3. REPARTITION GEOGRAPHIQUE
4. TRAVAUX REALISES SUR A. OCCIDENTALE
4.1. Etudes phytochimiques
4.2. Etudes pharmacologiques
4.2.1. Activité antimicrobienne
4.2.2. Potentiels hypoglycémiant, antidiabétique
4.2.3.Potentiels hypotensif, cardio-protecteur et anti-inflammatoire
4.2.4. Potentiel thrombolytique
4.2.5. Potentiel antiparasitaire
4.2.6. Potentiel insecticide
4.3. Toxicité de la plante
5. PRODUITS DERIVES DE LA PLANTE ET LEURS UTILISATIONS
5.1. Les aliments
5.2. Combustible
5.3. Fourrage
5.4. Baume de cajou
5.5. Gomme et résine
5.6. Tannins
5.7. Fibre
CHAPITRE II : GENERALITES SUR LES MYCOSES ET LA THERAPEUTIQUE ANTIFONGIQUE
1. LES MYCOSES
1.1. Les Champignons microscopiques: agents responsables de mycoses
1.2. Les mycoses superficielles
1.2.1. Le genre Candida et les candidoses
1.2.1.1. Définition
1.2.1.2. Classification
1.2.1.3. Epidémiologie et facteurs favorisants des candidoses
1.2.1.4. Caractères culturaux et biochimiques de Candida albicans
1.2.1.5. Aspects cliniques des candidoses
1.2.2. Le genre Trichosporon et les trichosporonoses
1.2.2.1. Définitions
1.2.2.2. Classification du genre Trichosporon
1.2.2.3. Epidémiologie et facteurs favorisants des trichosporonoses
1.2.2.4. Caractères culturaux et biochimiques de Trichosporon spp
1.2.2.5. Aspects cliniques des trichosporonoses
2. LA THERAPEUTIQUE ANTIFONGIQUE
2.1. Définition d’un antifongique
2.2. Classification des substances antifongiques modernes
2.3. Les plantes dans la thérapeutique antifongique
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL EXPERIMENTAL
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1. CADRE D’ETUDE
2. MATERIEL
2.1. Matériel végétal
2.2. Support biologique
2.3. Matériel et solvants pour les extractions, tests de solubilité et pour la préparation des solutions à tester
2.4. Matériel pour l’étude de l’activité antifongique
3. LES METHODES
3.1. Extraction
3.2. Tests de solubilité et préparation des solutions à tester
3.2.1. Tests de solubilité / miscibilité
3.2.2. Préparation des solutions à tester
3.3. Mise en évidence de l’activité antifongique
3.3.1. Isolement et identification des levures à tester
3.3.2. Tests de sensibilité
3.3.3. Détermination de la concentration minimale inhibitrice (CMI)
CHAPITRE II : RESULTATS
1. RESULTATS DES EXTRACTIONS ET DES TESTS DE SOLUBILITE
2. RESULTATS DES TESTS ANTIFONGIQUES
2.1. Tests de sensibilité
2.2. Concentration minimale inhibitrice (CMI)
2.3. Mise en évidence du type d’inhibition (fongicide ou fongistatique)
CHAPITRE III – DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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