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Activités, Missions et Objectifs de l’entreprise
Comme toute autre organisation, MADARAIL exerce des activités pour accomplir ses missions et atteindre ses objectifs que nous allons voir respectivement.
Activités
En tant qu’entreprise de transport ferroviaire, MADARAIL a comme activités principales de transporter des marchandises et des personnes d’une part. En complément de ses activités, elle offre de divers services à ses clients d’autre part.
Activités principales
Transport de Marchandises :
La société MADARAIL transporte différents types de produits tels que (marchandises dangereuses, matériaux de construction, produits de carrières, produits agricoles et alimentaires, produits conteneurisés, etc.) à travers le Réseau Nord (TCE, MLA, TA). Elle propose une logistique intégrée (Magasinage, Livraison terminale).
Pour assurer ses activités, l’entité possède une flotte commerciale importante : 17 locomotives, 260 wagons de différents types. Leurs trains effectuent deux (02) allers-retours quotidiens entre Tamatave et Antananarivo, et deux (02) allers-retours hebdomadaires entre Antsirabe et Antananarivo. Les services sont valables sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Transport de personnes :
Le train « Dia Soa » a été mis en place pour desservir les zones enclavées entre Moramanga et Tamatave. Aujourd’hui la ligne « voyageur » entre Moramanga et Ambatondrazaka a également repris fonction. Elle dispose également de deux trains touristiques, la Michelineet le TransLémurie Express.
Activités annexes
Pour compléter ses activités, MADARAIL offre divers services pour ses clients. D’une part, elle assure le transport sous douanes de l’ensemble des produits du client du port de Toamasina, jusqu’à la gare d’Antsirabe ou de Vodiala. Pour ses clients résidants dans le capital, l’entreprise propose de livrer les produits directement à domicile ou au site de production par des camions-remorques. Précisons que leurs services sont disponibles sept jours sur sept. D’autre part, MADARAIL propose à ses clients la location des magasins et des bâtiments tels que le cercle des cheminots, le hall ou le parking, la terre pleine de Soarano, les draisines et la location des engins élévateurs. L’entreprise alloue aussi 21 entrepôts sis à Soarano, dont d’autres, situés dans certaines gares des trois lignes ferroviaires (TCE, MLA, TA). Aussi, la société MADARAIL met à la disposition de ses clients un « Prest’atelier » proposant d’effectuer des services de réparation mécanique. Elle prend également les commandes de certains de ses clients, qui désirent confectionner et/ou modifier des pièces spéciales (alésage, tournage, fraisage, etc.) et elle traite leurs requêtes en fonction de la disponibilité des ateliers et de la faisabilité technique.
Mission
La société MADARAIL a pour mission de transporter les biens et personnes à travers le réseau ferroviaire. Pour se faire, elle doit veiller à l’entretien. Celle-ci est assurée par deux Directions dont la Direction Installations Fixes (DIF) et la Direction Matérielle (DMAT). D’une part, la DIF a pour mission de veiller à la disponibilité et au bon état des infrastructures de l’ensemble du réseau : voies, ouvrages d’art, bâtiments, et installations connexes ; des réseaux de communication et de signalisation.
D’autre part, la DMAT a pour mission la maintenance, le renouvellement et la réhabilitation des matériels roulants tels que les tracteurs et les remorques ainsi que des outillages mécanisés divers afin d’obtenir un système de transport fiable et sécurisé de biens et de personnes.
Objectif
Comme tout organisme à but lucratif, l’objectif principal de MADARAIL est de maximiser son chiffre d’affaires en offrant des services de qualité aux clients en assurant d’atteindre l’objectif par tonnage de transport des marchandises et aussi d’attirer plus de voyageurs. À part cela, elle a aussi comme objectif de contribuer au développement du transport par voie ferroviaire.
Les Outils
Des outils nous en étaient utiles dans l’élaboration de ce mémoire afin d’obtenir un meilleur résultat. Ainsi, nous allons voir les différents matériels que nous avons pu utilisé durant nos recherches.
Types d’outils
Les types d’outils que nous allons découvrir ici seront les supports matériels que nous avons adopté durant toute notre investigation pour la collecte des données et de leur traitement de celles-ci pour que nous parvenions à nos attentes. Des supports nous en étaient nécessaires comme le bloc-notes, les fiches de lecture, le dictaphone, et les outils informatiques
Description des outils utilisés
Par rapport à ces types d’outil, nous allons essayer de déduire maintenant ces différents supports.
Le bloc-notes
L’utilisation d’un bloc-notes nous a permis de prendre des notes durant l’entretien effectué au sein de l’entreprise afin de stocker les données pour ne pas les égarer ou de les perdre. Il nous a permis également de collecter les mots clés et de conserver les termes scientifiques nécessaires.
Les fiches de lecture
Pour stocker les informations utiles que nous avons trouvé dans les ouvrages. Il nous a fallu dresser une fiche de lecture. Celle-ci nous a permis de mieux classer les données récoltées correspondantes à chaque section et à chaque paragraphe.
Le dictaphone
Afin d’optimiser le recueil de données, nous avons utilisé un moyen technique d’enregistrement vocal qu’est le dictaphone. Grâce à ce matériel, il a été rendu possible d’avoir un enregistrement audio des propos du Chef de département commercial de MADARAIL durant notre visite, nous exposant les informations concernant la société en question. Ainsi, nous avons pu nous doter d’un enregistrement audio d’environ une heure ; comprenant des éléments qui nous ont été précieux afin de mener à bien ce travail.
Les outils informatiques
Dans l’optique d’un travail soigné, nous avons également procédé à des recherches sur Internet se rapportant à cette société en question. L’utilisation de matériel informatique était alors d’une grande aide. De plus, étant en possession des données sous différentes formes, l’utilisation d’ordinateur nous a permis d’effectuer la saisie et le traitement des informations, la mise en page de l’intégralité du document jusqu’à l’obtention d’un ouvrage répondant aux normes recommandées par les enseignants. Quant aux logiciels de traitement, nous avons utilisé le logiciel de traitement MS Word, FOXIT READER et MS Excel
Les documents de base
Nous entendons par documents de base tous ceux qui sont moyens et matériels qui nous ont servi de base pour l`élaboration de ce travail. Ces documents sont aussi utilisés comme compléments d`information après les visites effectuées. MADARAIL nous a fourni diverses informations nécessaires ainsi que des documents utiles pour aboutir à la finalité de ce devoir.
Pour son cas, MADARAIL nous a aussi fourni divers documents par exemple : son organigramme qui est le schéma représentatif de la société, son historique…
D’abord, nous avons eu recours aux documents de base qui sont des supports primordiaux pour nos études. Ils sont constitués pardes livres axés sur notre thème et qui nous ont permis d’ensavoir plus.
Les documents de bases nous permettent de collecter des informations secondaires sur la détermination du contexte où se situe notre étude afin de mieux connaître les conjonctures sur lesquelles nous allons faire face et de mieux cerner notre étude. Ils nous sont opportuns afin d’émettre des idées et d’avoir un aperçu global sur notre travail.
Les documents que nous avons utilisés sont essentiellement : les documents relatifs à notre domaine d’études, les cours dispensés durant le cursus universitaire, les ouvrages et l’internet qui nous ont permis de réunir toutes les connaissances et toutes les idées relatives concernant le thème de notre étude.
Protocole de recherche
Après avoir récolté ces données nécessaires, nous avons utilisé par la suite un protocole de recherche. Ce dernier est un guide méthodologique sur la mise en œuvre du travail. De plus, il nous a permis d’évaluer la nature de notre objectif et d’assurer la faisabilité de nos méthodes. Il contient un bref aperçu du contexte de notre étude jusqu’au résultat que nous voulons connaître. Il nous a permis de formuler nos idées afin de pouvoir mieux les développer. Il est composé de contextes, de la réalité contradictoire qui met une divergence entre la réalité et le contexte, de la problématique, de l’objectif global, des objectifs spécifiques, des hypothèses à vérifier et du résultat attendu.
Plan provisoire
Le plan provisoire est un modèle par rapport auquel nous voulons structurer notre travail. Il est constitué par des chapitres, des sections et des sous sections. Il n’est pas définitif mais nous a aidés à mieux concrétiser notre recherche. Enfin, il nous sert d’appui sur la collecte des informations les plus fiables.
Questionnaires
Les questionnaires (cf. Annexe I) sont des éléments importants, car ils présentent des supports indispensables pour mener un entretien. Ils sont constitués des questions sur lesquelles nous voulons structurer notre document. C’est le reflet de l’étude du contexte et de la documentation que nous avons effectué car on l’a pu élaborer grâce aux informations recueillies dans la documentation et aussi par la référence au plan provisoire que nous avons établi. Le questionnaire, il nous aaidé lors de l’interview que nous avons effectué au siège de MADARAIL.
Si tels sont les matériels que nous avons utilisé, plusieurs méthodes aussi ont été employés pour la réalisation de ce travail et auxquelles nous allons illustrer dans la section deux.
Méthodologie
Dans cette section, nous exposerons en premier lieu le cadre théorique, cette sous-section va comporter les différentes notions et approches théoriques relatives à notre thème que nous avons acquis durant notre recherche. La deuxième sous-section exposera le cadre pratique c’est-à-dire la démarche méthodologique menée dans la réalisation pratique du travail de recherche. Dans cette section, il sera question de décrire la méthode de collecte des données. La troisième sous-section présentera la méthode d’analyse et d’exploitation des données c’est-à-dire les démarches de validation des hypothèses de travail ; et de délimiter le champ d’analyse avec les difficultés rencontrées.
Cadre théorique
L’essentiel de cette sous-section va comporter les approches théoriques sur la vision stratégique, les théories axées sur le changement et son pilotage et quelques notions sur la planification et stratégie.
Les aspects théoriques de la vision stratégique
Les littératures portant sur la vision stratégique sont riches et surabondantes, mais malgré l’ampleur des définitions, le concept semble assez confus. Dans ce mémoire, il y sera consacré tout particulièrement les approches théoriques traitant la vision stratégique en nous concentrant sur les principaux concept-clés de notre contribution.
Définition de la vision stratégique
Qu’entendons-nous par vision stratégique ?
L’approche de L. J. Filion [1991]7, définit la vision comme « […] une image projetée dans le futur, de la place qu’on veut voir occupée éventuellement par ses produits sur le marché, ainsi que l’image du type d’organisation dont on a besoin pour y parvenir ». Selon cet auteur, trois aspects de visions peuvent être considérées : une vision émergente qui « représente les idées et concepts de produits et services qu’un chef de file a dans la tête » ; une vision centrale qui « est généralement l’aboutissement d’une ou plusieurs visions émergentes » ; et enfin une vision dite secondaire « qui s’exprime par des activités de gestion en marketing, finance, etc. ». Cette dernière vision développe la vision centrale. La « vision » se trouve ici dans des logiques commerciales et organisationnelles.
Un autre auteur, Carrière [1991] définit quant à lui, la vision comme « la dynamique de construction mentale d’un futur souhaité et possible pour une entreprise ». Selon lui, trois niveaux de vision peuvent être distingués : une vision générale où les valeurs et les croyances du dirigeant sont déterminantes ; une vision intermédiaire se concrétisant dans des schémas mentaux stratégiques ; et enfin, une vision parcellaire fondée sur les aspects de l’environnement intéressant le dirigeant.
Nous pouvons définir la vision stratégique comme la une représentation du futur souhaité, à la fois rationnelle et intuitive, englobanteet prospective. Elle implique les forces vives de l’organisation et elle propose un cadre d’intervention convergent et cohérent, dans la mise en œuvre d’une ambition commune. Une vision stratégique claire et partagée est le point de départ pour donner sens et cohérence aux décisions et faire en sorte que l’ensemble des processus mis en œuvre pour soutenir la prise de décision soit opérationnel. De cette définition découle les caractéristiques de la vision ,à savoir :
Une représentation du futur souhaité
La vision stratégique est une perception de l’environnement que l’on désire dans un futur lointain; une ambition à atteindre. Elle est une image globale qui désigne où l’organisation veut aller et aboutir dans l’optique d’un horizon de planification à long terme.
Intuitive et rationnelle
La vision stratégique repose sur la capacité de voir et de ressentir. Elle est intuitive, c’est-à-dire le produit de l’imagination et de la combinaison des valeurs clés de toutes les parties prenantes, c’est-à-dire de tous ceux qui participent à son élaboration.
La vision stratégique est aussi rationnelle, c’est-à-dire le produit d’une analyse. Afind’être crédible, la vision stratégique doit reposer sur une évaluation honnête et critique de la situation et sur un bon repérage des défis des années à venir. Elle doit être réaliste et doit suggérer des solutions concrètes pour transformer les rêves en réalité.
Englobante et prospective
La vision stratégique est englobante, c’est-à-dire qu’elle permet d’aborder les grands défis touchant un ensemble de secteurs d’activité.
La vision stratégique est également prospective, car elle constitue un appel à l’action pour un futur pressenti et voulu (elle est le fruit des intentions de changement et des aspirations des tiers) par opposition à un futur incertain qui serait laissé au changement des événements, ou à un futur composé de la simple prolongation des tendances actuelles (une extrapolation du présent).
La vision stratégique peut être une occasion de remises en cause et de changements organisationnels importants,en tant que représentation d’un projet idéal et souhaité par l’entreprise.
L’élaboration de la vision stratégique
Généralement, il n’existe pas de model standard pour élaborer une vision stratégique.
En effet chaque processus doit s’adapter suivant un contexte et un milieu bien déterminé.
Toutefois, une vision stratégique s’élabore en répondant aux quatre questions principales suivantes : Où en sommes-nous actuellement ? Où allons-nous ? Où voulons-nous aller ? Comment nous y prendre ?
Où en sommes-nous actuellement?
Il s’agit de faire un bilan en se penchant sur le passé et sur le présent. C’est-à-dire, réaliser un « diagnostic » des grandes tendances de développement de l’organisation, et de déterminer les forces et les faiblesses afin de distinguer les perspectives et détecter les grands enjeux du futur.
Où allons-nous ?
Il s’agit de formuler des scénarios, de déterminer ce que deviendra l’entité si les tendances observées continuent d’exister dans la planification et les outils de mise en œuvre, compte tenu des grands changements amorcés, notamment dans l’environnement socio-économique.
Où voulons-nous aller ?
L’objectif de cet étape est d’élaborer une vision partagée d’un futur souhaitable qui constitue le cœur de la démarche. Cette phase de réflexion nécessite de convoquer les employés – toutes les parties prenantes – tout du moins de constituer un échantillon représentatif pour apprécier la perception de la population. Pour ce faire, il importe de produire un document de réflexion dès le départ et de mobiliser un grand nombre de personnes ayant la capacité d’intervenir dans divers secteurs d’activité.
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Table des matières
INTRODUCTION GÉNÉRALE
CHAPITRE I : MATERIELS ET METHODES
Section 1 : Matériels
1.1 Présentation de l’entreprise
1.1.1 Identité de l’entreprise
1.1.2 Historique de l’entreprise
1.1.3 Activités, Missions et Objectifs de l’entreprise
1.1.3.1 Activités
a) Activités principales
b) Activités annexes
1.1.3.2 Mission
1.1.3.3 Objectif
1.2 Les Outils
1.2.1 Types d’outils
1.2.2 Description des outils utilisés
1.2.2.1 Le bloc-notes
1.2.2.2 Les fiches de lecture
1.2.2.3 Le dictaphone
1.2.2.4 Les outils informatiques
1.3 Les documents de base
1.3.1 Protocole de recherche
1.3.2 Plan provisoire
1.3.4 Questionnaires
Section 2 : Méthodologie
2.1 Cadre théorique
2.1.1 Les aspects théoriques de la vision stratégique
2.1.1.1 Définition de la vision stratégique
a) Une représentation du futur souhaité
b) Intuitive et rationnelle
c) Englobante et prospective
2.1.1.2 L’élaboration de la vision stratégique
a) Où en sommes-nous actuellement?
b) Où allons-nous ?
c) Où voulons-nous aller ?
d) Comment nous y prendre ?
2.1.2 Les théories axées sur le changement et son pilotage
2.1.1.1 Le changement organisationnel
a) Définition du changement organisationnel
b) Les différents types de changement
2.1.1.2 Le pilotage de changement
a) La résistance au changement
b) Les causes de la résistance au changement
2.1.3 Planification et stratégie
2.1.3.1 Définition de la planification
2.2 Cadre pratique
2.2.1 Les démarches de collecte de données
2.2.1.1 La documentation
a) Recherche bibliographique
b) Webographie et sitographie
2.2.1.2 Entretien
a) Visite en entreprise
b) Entretien semi-directif avec le guide d’entretien
2.3 Méthode d’analyse et d’exploitation des données
2.3.1 Traitement des données
2.3.1.1 Le dépouillement
2.3.1.2 Méthodes de traitement
2.3.1.3 Les difficultés rencontrées et limites de l’étude
CHAPITRE II : RÉSULTATS
Section 1 : Compétitivité et Performance de l’entité
1.1 Compétitivité
1.1.1 Services offerts par MADARAIL
1.1.1.1 Transport de Marchandises
a) Chimie et hydrocarbure
b) Produit de carrière
c) Conteneur et produit conventionnel
d) Produit agricole et alimentaire
e) Flotte commerciale importante
1.1.1.2 Services spécifiques
a) Entrepôts
b) Livraisons à domicile
c) Couverture des risques
1.1.1.3 Transport de personnes
a) Train voyageur
b) Train touristique
c) La micheline
1.1.2 Concurrence
1.1.3 Stratégie d’affaires et choix des cibles
1.2 Performance
1.2.1 Exploitation
1.2.2 Personnel
1.2.2.1 Emplois directs
1.2.2.2 Emplois indirects
1.2.2.3 Mouvements du personnel
1.2.2.4 Conditions de travail
1.2.3 Structure organisationnelle
1.2.4 Structure de coût
1.2.5 Evolution des principaux indicateurs
1.2.6 Communication
1.2.6.1 Communication interne
1.2.6.2 Communication externe
Section 2 : Les effets du changement sur l’entreprise
2.1 Mise en concession de la société
2.2 Les causes et effets de la mise en concession
2.2.1 Causes de la mise en concession
2.2.2 Effets de la mise en concession
CHAPITRE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Section 1 : DISCUSSIONS
1.1 Analyse de l’environnement externe de l’entreprise
1.1.1 Les opportunités
1.1.1.1 Notoriété et image de marque
1.1.1.2 Relation étrangère et collaboration des partenaires
1.1.1.3 Positionnement sur le marché et avantage concurrentiel
1.1.2 Les menaces
1.1.2.1 Situation politique, économique et sociale de Madagascar
1.1.2.2 Pression concurrentielle
1.2 Analyse de l’environnement interne de l’entreprise
1.2.1 Les forces
1.2.1.1 Capacité d’exploitation
1.2.1.2 Capacité d’investissement et changement technologique
1.2.1.3 Capacité de stockage et de livraison
1.2.1.4Compétence des ressources humaines
a) Diversité professionnelle
b) Plan de carrière
c) Formations professionnelles et stages
1.2.1.5 Rentabilité et réduction de coût
1.2.2 Les faiblesses
1.2.2.1 Manque d’amélioration de condition de travail
1.2.2.2 Atténuation de transport de personnes
1.2.2.3 Manque de communication, de publicité
1.2.2.4 Manque du marketing au sein de l’organisme
1.3 Validation des hypothèses
Section 2 : RECOMMANDATIONS
2.1 Recommandations axées sur l’environnement externe de l’entreprise
2.1.1 Maintien de la notoriété et l’image de l’entreprise
2.1.2 Maintien des relations avec les partenaires
2.1.3 Maintien de la position de leader en matière de transport des marchandises
2.1.4 Recouvrement des activités et renforcement de la sécurité
2.2 Recommandations axées sur l’environnement interne de l’entreprise
2.2.1 Améliorations des conditions de travail
2.2.2 Mobilisation des activités de transports des personnes
2.2.3 Effort sur la communication, la publicité
2.2.4 Importance du marketing au sein de l’organisme
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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