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Etudes socio-économiques
Environnement économique global
Finances publiques
Objectifs
En matière de Finances Publiques, conformément au DSRP, La Gouvernement poursuit les actions déjà engagées pour atteindre les objectifs fixés àsavoir :
déficit public soutenable,
amélioration des recouvrements fiscaux par le renforcement de l’administration fiscale,
maîtrise puis programmation des dépenses en conformité avec les objectifs globaux et sectoriels de l’Etat.
Réalisations
Le déficit budgétaire de l’année 2002 a été chiffréà 7,7% du PIB. Les recettes fiscales de 2002 ne représentent que 20,7% de celles de l’année 2001 etle taux de pression fiscale est de 7,7 % du PIB. Quant aux dépenses totales en 2002, une baisse de 10,5 % a été enregistrée par rapport à l’année 2001, une réalisation de 63 % seulement était concrétisée par rapport à la prévision de la loi de finances 2002.
La situation des Finances Publiques de l’année 2003 confirme la progression des recettes budgétaires et des dépenses par rapport aux niveaux de 2001. Le taux de pression fiscale s’établit à 10% contre 9,7% en 2001.
Les recettes budgétaires sont constituées en grande partie de recettes fiscales provenant des droits et taxes sur le commerce extérieur. Le volume collecté a atteint 697,2 milliards de MGF en 2003 contre 480,6 et 605,8 respectivement en 2002 et 2001.
Les dépenses ont également dépassé le volume de l’année 2001 en raison de la hausse du programme d’investissement public liée à la construction des routes.
Pour l’année 2004, la politique économique est axéeprincipalement sur le renforcement des finances publiques. Une nouvelle loi organique sur les finances publiques a été votée et sera appliquée en 2005.
La grande innovation en matière de dépense est l’instauration du budget programme : le crédit alloué aux départements de l’administration est désormais associé à leurs programmes respectifs et non plus en leurs besoins en moyen.
Quant aux recettes, des actions en vue de la promotion des recettes fiscales ont été adoptées : simplification des tarifs, élargissement de l’assiette, effort de recouvrement. Le taux de pression fiscale s’est chiffré à 11,2%.
L’année 2005 sera marquée par la poursuite des actions de simplifications et de restructurations du système fiscal aussi bien intérieur que douanier. Ainsi un guichet unique est installé au niveau de la douane en plus du lancement du logiciel SYDONIA. L’objectif est d’atteindre un taux de pression fiscale de 11,6 %.
Justifications du projet et études de faisabilité
Opportunités d’investir à Madagascar
PRINCIPAUX ATOUTS ET AVANTAGES COMPARATIFS o Volonté du pays à s’ouvrir aux investissements, o Liberté d’entreprendre pour les étrangers,
o Potentiels économiques du pays : possibilités d’exploiter des matières premières locales,
o Main d’œuvre habile, offrant un rapport qualité / coût très compétitif,
o Adhésion du pays à la COI (Commission de l’Océan ndien),I COMESA, (Marché commun d’Afrique Australe et de l’Est) et prochainement à la SADC (Communauté pour le Développement de l’Afrique Australe), offrant des avantages dans le cadre des échanges avec les autres pays membres de ces groupements régionaux,
o Eligibilité de Madagascar au MILLENIUM CHALLENGE ACCOUNT (MCA) comme premier bénéficiaire.
Politique économique marquée en faveur du secteur privé, le numéro un malgache étant lui même un opérateur du secteur privé, par la préparation d’environnement propice à l’investisseur.
Des réductions d’impôts sont accordées aux entreprises qui réalisent des investissements
Pour les activités exportatrices, un ensemble de mesures incitatives d’ordre financier, fiscal et social est offert,
Régime d’importation libéralisé. Nouvelles mesuresautorisant l’accès des étrangers à la propriété foncière (cf : Loi n° 2003-028 du 27 Août 2003)
La détaxation des tarifs douanier et fiscal sur les importations des biens d’équipements, de matériels roulants utilitaires etcertains intrants et marchandises,
La mise en place de l’initiative 3P (Partenariat Public Privé),
La mise en place du Guichet Unique pour les Investissements et le Développement
des Entreprises (GUIDE) pour simplifier les procédures administratives de création de société et d’investissement,
Définition des 3 PIC (Pôles Intégrés de Croissance) pour Nosy Be, Tananarive et Fort Dauphin en vue de créer une croissance harmonieuse,
Meilleur encadrement juridique et plus grande transparence du marché,
Libéralisation de l’espace aérien malgache.
En bref, la présence de plusieurs intervenants dans le secteur bancaire a contribué à favoriser un cadre concurrentiel très marqué actuellement, avec des banques qui sont de plus en plus actives dans la recherche permanente d’un meilleur service (qualité et rapidité) pour une meilleure satisfaction des besoins de leur clientèle. Leurs actions portent notamment sur la mise en œuvre d’un programme de modernisation progressive du système avec un effort très marqué des intervenants dans l’amélioration de leurs moyens d’exploitation (renforcement qualitatif des ressources humaines, informatisation très poussée, …), dans le développement de nouveaux produits monétiques et télématiques. Il faut noter également la mise en œuvre des moyens de télécommunication permettant la connexion des différentes agences. Et enfin, le système bancaire est également très actif en matière de communication (institutionnelle, campagne de nouveaux produits).
Etat actuel de la BNI Analakely et justification du projet
Situé en bordure de l’avenue du 26 juin 1960, le siège social et l’agence central de la BNI-Madagascar, dont la construction date de 1956, doivent faire l’objet d’une rénovation totale par tranches de travaux qui s’accompagnera dès la première tranche par l’extension du coté façade rue Paul DUSSAC, et d’une mise en conformité générale en matière de sécurité incendie sur la base des normes françaises.
A travers ces travaux, les objectifs de la BNI sont les suivants :
Redistribuer les espaces fonctionnelles pour une plus grande souplesse d’usage et un meilleur confort,
Remettre l’établissement aux normes de sécurité incendie en vigueur, Mettre à niveau la sûreté de l’établissement,
Mettre aux normes tous les équipements techniques, Restructurer et rénover les câblages informatiques ,
Rénover l’aspect architectural du bâtiment dans le respect de son environnement.
Choix du lieu
Le siège social de la BNI-Madagascar est implanté depuis 1956 au centre d’Antananarivo. D’une part, vu son emplacement en plein centre ville, sans compter les activités bancaires actuelles, l’idée de réaliser une extension vient juste à l’esprit pour une simple raison de satisfaire les besoins des clientèles. D’autre part, l’acquisition des terrains semble très difficile pour une telle société à capitaux étrangers, alors il s’avère intéressant de réaliserune extension que de s’implanter ailleurs. Donc, le choix du lieu est lié aux exigences économiques et techniques dans le but de :
. renforcer les services et maintenir l’homogénéitéde la Société,
. rassembler et satisfaire les clientèles sans changer de lieu d’implantation,
. rétablir les installations et équipements techniques conformément aux normes actuelles des banques.
Description du projet
L’immeuble est constitué de 2 corps de bâtiments. L e corps principal en front de l’avenue s’élève à R+5, sur l’arrière l’immeuble donne sur la rue Paul Dussac et se limite à R+3, c’est-à-dire bâtiment à 6 niveaux (SS, RDC, ES, R+1, R+2, R+3)
Au rez-de-chaussée, l’immeuble accueille l’agence centrale, les étages sont dédiés aux fonctions administratives du siège.
Le programme porte sur une surface d’environ 10200m² de SHOB Surface Hors Œuvre Brut, dont 1800m² de bâtiment neuf et 8400m² de réhabilitation .
Les structures conservées du bâtiment actuel sont d e type poteaux poutres en béton armé.
Les façades sont également en béton banché.
La couverture du bâtiment est faite de dalle terras se en béton armé. Ces dalles sont étanchées et protégées.
Il en sera de même pour le corps de bâtiment à cons truire coté rue Paul DUSSAC.
L’ensemble des planchers et escaliers sont ou seront en béton.
Analyse de l’existant
Analyse générale
Le site
Le siège social de la BNI Crédit Lyonnais est implanté au centre d’Antananarivo en bordure de l’Avenue du 26 juin 1960.
Face au ZOMA, qui est l’ancien marché d’Antananarivo l’emplacement est prestigieux.
Plus bas, l’Avenue de l’Indépendance conduit à la gare centrale. L’écriture architecturale de ce bâtiment rappelle le décor des gares Parisiennes du siècle précédent.
Cette grande Avenue récemment réaménagée est bordéed’immeubles du style des années 30, formant un ensemble urbain de qualité.
Le projet de réhabilitation du bâtiment de la BNI P remière Banque de Madagascar s’inscrit dans une dynamique de modernisation du quartier.
Descriptif du bâtiment
Le bâtiment de la BNI s’organise en deux corps de b âtiments d’inégales importances.
L’emprise
Le corps principal (A) dessine un rectangle dont le petit côté de 31 mètres de large donne sur l’Avenue du 26 juin et dont le grand côté fait 45,5mètres.
Le bâtiment (B) a une emprise de 17X7 mètres et s’o uvre sur la rue Paul Dussac ainsi que le bâtiment neuf (C) sur 31,5m x 30,64 m. Il est relié au corps principal par une sorte d’antenne. À l’arrière, à proximité de la cour de service, on notera également la présence d’un petit bâtiment affecté au restaurant du personnel.
La volumétrie
La volumétrie du corps principal se dessine autour d’un vide central. En front à rue, le bâtiment monte à R+5, tandis que sur l’arrière, cel a varie entre R+2 et R+4.
Le bâtiment a subi deux greffes, l’une au bureau du courrier R+3 et l’autre à la Direction administrative au R+4. Ces ajouts en bois sont en mauvais état.
D’une part, ils posent un problème de sécurité incendie et d’autre part, ils dénotent au plan architectural.
La structure
La structure du bâtiment est de type poteaux – pout res en béton armé, ce qui donne une grande souplesse pour la réorganisation intérieure. Les façades sont également en béton banché. La couverture du bâtiment est faite de dalles terrasse en béton armé. Ces dalles sont étanchées et protégées.
Au plancher haut du R+1 sur la partie centrale, la dalle est constituée de pavés de verre apportant de la clarté au 1er étage et au rez-de-chaussée.
Les accès
L’accès principal se fait par l’Avenue du 26 juin. La grande entrée monumentale est précédée d’une sorte de péristyle.
l’arrière, sur la rue Dussac, on trouve les accès pour le personnel et le service. Sur cette façade, on trouve également l’accès au parking situé au sous-sol. Par contre, la rampe de sortie donne sur la façade principale.
l’arrière, toujours en bordure de la rue Dussac, une grande cour un peu encombrée, accueille une station-service pour la distribution de carburant des véhicules de la société.
Les circulations intérieures
Dans le bâtiment, les circulations verticales sont assurées par deux appareils élévateurs autour desquels s’enroulent deux escaliers non encloisonnés.
Cette conception ancienne n’est pas conforme aux exigences de la sécurité incendie.
Un ascenseur « privé » dessert le niveau de directi on.
Les circulations horizontales étaient à l’origine organisées autour du vide central. Mais ce principe a subi au cours du temps de multiples transformations ou absorptions qui font que, aujourd’hui l’organisation des circulations est peu lisible.
Les prestations intérieures
Les prestations intérieures sont fatiguées. Seul l’étage de la Direction a encore un peu de tenue. L’ensemble des niveaux a un aspect disparate.
Aux étages, le sol est en Grès Cérame de différentes couleurs, il a la mémoire des anciennes répartitions de bureaux. Dans certaines zones, les carreaux sont ébréchés et l’ensemble a un aspect encrassé.
Les bureaux actuels ne bénéficient pas de traitemen acoustique, il n’y a pas de faux plafond aux étages sauf à l’étage de la Direction.
L’ensemble des services est dominé par une ambiance triste ; murs et plafonds n’ont plus de couleurs et le mobilier est désespérément gris.
Sur le plan fonctionnel, les services souffrent d’une accumulation de modifications et d’adaptations mises en œuvre au fil du temps.
L’Agence Centrale
L’Agence Centrale occupe la presque totalité du rez-de-chaussée du bâtiment principal, soit une surface utile d’environ 965 m².
Le public est accueilli dans le grand hall central qui a une surface de 280 m².
Le volume du rez-de-chaussée est monumental : dans la partie centrale, la hauteur sous plafond est de
10 mètres, en périphérie d’environ 6 mètres.
L’espace intérieur de l’Agence profite d’une grandeluminosité : sols et murs sont habillés de dalles de marbre, du Travertin Romain de couleur beige. Un ravalement de ces surfaces est en cours, c’est un matériau noble, mais il confère à l’ensemble un aspect monotone.
L’Agencement intérieur a été fait avec un système modulaire de cloisons et de comptoirs.
Les cloisons sont de deux types, pleines ou vitrées avec allège. Les parties pleines sont revêtues d’un parement plastique gris ou bleu. La structure de ces ensembles est laquée noir. Le mobilier utilisé n’est pas à l’échelle de l’espace dans lequel il est implanté, il paraît un peu inconsistant et inadapté dans un environnement très vaste.
Dans la perspective d’une future réorganisation de l’Agence, on propose de retenir les objectifs suivants :
Supprimer le mélange des flux visiteurs siège et flux visiteurs Agence.
Créer une zone de confidentialité pour les bureaux de direction ;
Améliorer l’accueil des clients par des espaces dédiés ;
Rajeunir l’image de l’établissement et la mettre en conformité avec les prescriptions Marketing du groupe Crédit Agricole.
Le Siège
Les surfaces de bureaux
Selon la fonction hiérarchique, le principe de répartition des bureaux se fait de la manière suivante :
. Chef de service – bureau individuel,
. Adjoint au chef de service – bureau individuel,
. Autres agents – bureaux partagés.
Répartition spatiale des services
Dans l’ensemble, les unités fonctionnelles se répartissent de manière cohérente et seule la direction des supports est éclatée. D’autre part, on note que l’accueil production et une partie des archives de cette direction sont situés au rez-de-chaussée dans l’espace de l’Agence Centrale.
Compte tenu de l’étroitesse des locaux actuels, certaines fonctions ont été sorties du siège.
Le service Étude et Organisation Information, dépendant de la Direction des Supports, a également été détaché du siège. C’est un service important employant 15 personnes à plein temps et dont les besoins en surface sont de 200 m2 environ.
Le Service des Moyens Généraux, dont l’effectif est de 20 personnes, est également installé à l’extérieur.
Le tableau ci-après permet d’évaluer, pour les bureaux du siège, la surface nette utile par agent, c’est-à-dire la surface de bureau qui lui est affecté, ainsi que les surfaces des locaux de soutien (photocopieurs, archives de proximités, salle de réunion, espace de détente).
On constate une surface utile nette moyenne par agent de 10,26 m2 hors étage de Direction.
La situation particulière de Madagascar engendre un sureffectif par rapport aux ratios européens qui se situent entre 15 et 20 m2. Comme cela a déjà été dit, pour un meilleur confort de travail dans la future réorganisation, on souhaite éviter les trop grands bureaux : certains espaces devront être scindés ;
D’autres part, on constate une insuffisance pour ne pas dire une absence de locaux de soutien dédié à chaque service.
En dehors de la salle du Conseil d’Administration et de la salle du Comité au 5ème étage, il n’y a qu’une seule salle de réunion pour tous les services. Au niveau 1, la salle de réunion est appelée sale de conférence, elle a une surface utile de 30 m2 et est affectée à la Direction de l’Exploitation.
Les photocopieurs sont dispersés dans les services et enfermés dans des bureaux ; ils ne sont pas accessibles à tous.
Pour ce qui concerne les archives de proximité, chaque service s’organise avec ses armoires, ce qui rend peu lisible l’organisation collective.
l’arrière du bâtiment, le restaurant du personnel a été construit récemment. Ce n’est pas un véritable restaurant d’entreprise : c’est une sorte de grande salle de repos dans laquelle les agents peuvent consommer le repas qu’ils ont apporté.
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Table des matières
Table des matières
PARTIE 1 – ANALYSES ET PRESENTATION DU PROJET
A. Généralités
1. Environnement économique et financier
1.1. Les projets d’investissement
1.2. Le système bancaire malgache
1.3. Evolution du secteur bancaire et financier
2. Historique de la BNI-Madagascar
2.1. Origine de la BNI
2.2. EVOLUTION DE L’APPELLATION
3. Présentation de la BNI – Madagascar
3.1. La BNI – MADAGASCAR
3.2. Implantation
B. Etudes socio-économiques
4. Environnement économique global
4.1. Finances publiques
4.1.1. Objectifs
4.1.2. Réalisations
4.2. Echanges extérieurs
4.2.1. Généralités
4.2.2. Structure de l’échange
4.2.3. Principaux partenaires commerciaux
5. Position et situation financière de la BNI-Madagascar
5.1. Ressources – Emplois
5.2. Investissements – Matériels
C. Justifications du projet et études de faisabilité
6. Opportunités d’investir à Madagascar
7. Etat actuel de la BNI Analakely et justification du projet
8. Choix du lieu
9. Description du projet
PARTIE 2 – ETUDE ARCHITECTURALE
A. Analyse de l’existant
1. Analyse générale
1.1. Le site
1.2. Descriptif du bâtiment
1.2.1. L’emprise
1.2.2. La volumétrie
1.2.3. La structure
1.2.4. Les accès
1.2.5. Les circulations intérieures
1.2.6. Les prestations intérieures
1.3. L’Agence Centrale
1.4. Le Siège
1.4.1. Les surfaces de bureaux
1.4.2. Répartition spatiale des services
1.4.3. Les équipements sanitaires
1.5. Les locaux spécialisés
1.5.1. La salle du Comité
1.5.2. La salle du Conseil d’Administration
1.5.3. La salle de Conférence
1.5.4. Les archives
1.5.5. La salle de formation
2. Analyse technique
2.1. Structure, clos et couvert
2.2. Sécurité incendie
2.2.1. Réglementation de référence
2.2.2. Les structures rapportées sur les toitures du bâtiment initial
2.2.3. Les évacuations publiques et personnelles
2.2.4. Les locaux à risques importants :
2.3. Corps d’état techniques
2.3.1. Courants forts
2.4. Assainissement
2.4.1. Etat des lieux
a. Eaux vannes
b. Les EU et EP du sous-sol
2.4.2. Analyse et Conclusions
B. Orientation architecturale
1. Démarche architecturale
1.1. Besoins en espace
1.2. Recherche de la façade
2. L’Agence Centrale
3. Dispositions fonctionnelles, répartition des surfaces
3.1. Conception des espaces de travail
3.1.1. La flexibilité
3.1.2. Les espaces de bureaux
3.1.3. Paliers et circulations
3.2. Aménagement type d’un plateau de bureau
3.3. Traitement des ambiances
a. Ambiance lumineuse
b. Ambiance acoustique
c. Ambiance thermique – ventilation
PARTIE 3 – ETUDES TECHNIQUES
A. Etudes des sols
1. Essais in situ
1.1. Objet de la présente étude
1.2. Résultats des sondages carottés
2. Essais en laboratoire
3. Etude de la fondation de l’extension
B. Bases de calcul
1. Matériaux
1.1. Béton
1.2. Aciers
a. Nuances – Résistances
b. Enrobages – Fissuration
2. Hypothèses de sol
3. Vent
4. Précipitation
5. Actions et chargement (suivant NF P 06-001 juin 1986)
5.1. Actions permanentes
5.2. Surcharges d’exploitation
6. Stabilité au feu
6.1. Dalles
6.2. Eléments verticaux et horizontaux (poteaux, poutres)
7. Effet de séisme
8. Règles de calcul
9. Documents techniques
C. Effets du vent
10. Définition de la structure
10.1. Géométrie de la structure
11. Pressions dynamique de base
12. Pression dynamique de calculs
12.1. Effet de hauteur Kh au-dessus du sol
12.2. Effet de site Ks
12.3. Effet de masque Km
12.4. Effet de dimensions
13. Coefficient résultant Kr
14. Rapport de dimension
15. Coefficient
16. Constructions à base de toiture plate (toiture terrasse)
16.1. Actions extérieures Ce
16.2. Actions intérieures Ci
17. Pression dynamique P de calcul
18. Action du vent suivant l’axe 12a venant de Sb
18.1. Vent en surpression
18.2. Vent en dépression
a. Efforts sur façade et toiture
b. Descente des charges due au vent
19. Action du vent suivant l’axe 12a venant de Sa
19.1. Vent en surpression
19.2. Vent en dépression
a. Efforts sur façade et toiture
b. Descente des charges due au vent
20. Schémas de chargement dû au vent
20.1. Vent normal à la petite face Sb, en surpression
20.2. Vent normal à la petite face Sb, en dépression
20.3. Vent normal à la grande face Sa, en surpression
20.4. Vent normal à la grande face Sa, en dépression
D. Descente des charges
1. Principe
2. Poids des matériaux
3. Charges permanentes
4. Surcharges d’exploitation
5. Combinaison d’actions
6. Définition de la structure
7. Descente des charges verticales (sans considération du vent)
8. Descente des charges aux effets du vent
E. Etudes de l’infrastructure
1. Calcul des fondations
1.1. Fondations sur semelle isolée sous charge centrée
1.1.1. Prédimensionnement
1.1.2. Dimensionnement et vérifications
a. Stabilité externe
a.1. Charges de calcul
a.2. Conditions de rigidité de la semelle
a.3. Capacité portante du sol due à la semelle
a.4. Vérification vis-à-vis du poinçonnement
a.5. Vérification vis-à-vis du soulèvement
b. Stabilité interne
1.2. Fondations sur semelle isolée sous charge excentrée
1.2.1. Prédimensionnement
1.2.2. Dimensionnement et vérifications
a. Stabilité externe
a.1. Charges de calcul
a.2. Conditions de rigidité de la semelle
a.3. Capacité portante du sol
a.4. Vérification vis-à-vis du poinçonnement
a.5. Vérification vis-à-vis du glissement
a.6. Vérification vis-à-vis du soulèvement
b. Stabilité interne
1.3. Fondations sur semelle filante
1.3.1. Prédimensionnement
1.3.2. Dimensionnement et vérifications
a. Stabilité externe
a.1. Conditions de rigidité de la semelle
a.2. Capacité portante du sol
b. Stabilité interne
1.4. Fondations sur micro-pieux
1.4.1. Hypothèses générales
1.4.2. Paramètres de charge
a. Charge limite Qu
b. Charge de fluage Qc
c. Données de base
d. Profils de calcul
d.1. Calcul de la charge limite de frottement latéral Qs
d.2. Frottement latéral unitaire limite qS
e. Etat limite de mobilisation locale du sol
f. Effet de groupe et mobilisation globale du sol
g. Justification des matériaux constitutifs de la fondation
h. Justification des pieux vis-à-vis du sol
i. Comportement transversal de la fondation
F. Etudes de la superstructure
1. Evaluation des sollicitations
1.1. Méthode de calcul
1.2. Evaluation des moments d’encastrement parfait
1.3. Calcul des sollicitations par la méthode de CROSS
a. Cas à l’ELU
b. Cas à l’ELS
c. Diagrammes des sollicitations
2. Calcul des poteaux
2.1. Hypothèses
2.2. Paramètres géométriques
2.3. Longueur de flambement
2.4. Elancement géométrique
2.5. Calcul des armatures
3. Calcul des poutres
3.1. Hypothèses
3.2. Données géométriques
3.3. Matériaux
3.4. Moments appliqués (à l’ELU)
3.5. Efforts Tranchants (à l’ELU)
3.6. Détermination des armatures longitudinales
3.7. Sections minimales d’armature
3.8. Armatures en chapeau sur appui
4. Justification de la stabilité au feu de la poutre
4.1. Approche de l’étude
4.2. Règles constructives pour la tenue au feu
4.3. Calcul à froid
4.3.1. Données géométriques
4.3.2. Hypothèses
4.3.3. Moments de flexion appliqués à l’ELU
4.3.4. Efforts Tranchants à l’ELU
4.3.5. Détermination des armatures longitudinales
4.3.6. Armatures minimales
4.3.7. Armatures en chapeau sur appui
4.3.8. Calcul des armatures d’âmes
4.3.8.1 Contrainte tangente conventionnelle u
4.3.8.2 Armatures transversales At
4.3.8.3 Espacement initial sto
4.3.8.4 Espacement maximal stmax
4.3.8.5 Pourcentage minimal d’armatures transversales
4.4. Calcul à chaud
4.4.1. Température dans les anciens inférieurs
4.4.2. Moment résistant en travée sans éclatement MRt
c. Position du centre de gravité des aciers chauffés
d. Pourcentage mécanique p
e. Calcul du moment réduit
4.4.3. Moment résistant en travée avec éclatement MRt’
4.4.4. Moment résistant sur l’appui de droite MRe
4.4.5. Moment résistant sur l’appui de droite MRw
4.4.6. Vérification du moment résistant MR sans éclatement
4.4.7. Vérification du moment résistant MR avec éclatement
5. Calcul des dalles
5.1. Evaluation des charges
5.2. Détermination des moments de flexion par la méthode forfaitaire
5.2.1. La dalle ne porte que dans un seul sens
5.2.2. La dalle porte suivant deux directions
5.3. Détermination des efforts tranchants par la méthode forfaitaire
5.4. Dimensionnement par la méthode forfaitaire
5.4.1. Méthodologie
5.4.2. Détermination des armatures
a. Diamètre maximal des armatures :
b. Ecartement des armatures :
5.4.3. Condition de non-fragilité et section minimale d’armature :
5.4.4. Efforts tranchants
5.4.5. Croquis de ferraillage et dispositions constructives
PARTIE 4 – ETUDES FINANCIERES
A. Devis descriptifs des travaux
1. Travaux préliminaires
1.1. Libération du terrain
1.1.1. Description
1.1.2. Localisation
1.2. Terrassements généraux
1.2.1. Description
1.3. Reprise en sous-œuvre du bâtiment mitoyen
1.3.1. Description
1.3.1.1 Localisation
2. Travaux de structure
2.1. Puits en gros béton
2.1.1. Description
2.1.2. Localisation
2.2. Réseaux sous bâtiment
2.2.1. Description
2.2.2. Localisation
2.3. Ouvrages d’infrastructure
2.3.1. Description
2.3.2. Localisation
2.4. Dallage
2.4.1. Description
2.4.2. Mise en œuvre et constitution des dallages
2.4.3. Localisation
2.5. Etanchéité enterrée et drains
2.5.1. Description
2.5.2. Localisation
2.6. Bâche à eau
2.6.1. Description
2.6.2. Mise en œuvre
2.6.3. Localisation
2.7. Joints
2.7.1. Description
2.7.2. Localisation
2.8. Mastics
2.8.1. Description
2.8.2. Localisation
2.9. Couvre-joints
2.9.1. Description
2.10. Ventilation naturelle en façades + grilles de ventilation
2.10.1. Description
2.10.2. Localisation
2.11. Travaux de poste transformateur
2.11.1. Description
2.11.2. Localisation
2.12. Double enveloppe pour le local transformateur
2.12.1. Description
2.12.2. Localisations
3. Travaux d’assainissement
3.1. Fosse septique
3.1.1. Description
3.1.2. Localisation
3.2. Rehausse de bassin
3.2.1. Description
3.2.2. Localisation
B. Devis estimatifs du projet
ANNEXES
A1. COEFFICIENT DE MAJORATION DES DEBOURSES « K »
A2. Sous détail des prix
A3. Plan de situation générale
A4. Plan d’implantation des points de sondage
A5. Résultats du sondage S1
A6. Résultats du sondage S2
A7. Résultats du sondage S3
A8. Coefficient d’affaiblissement de l’acier fs
A9. Température dans le talon d’une poutre rectangulaire
A10. Détermination des paramètres x et c connaissant l’aire du béton B
A11. Coefficient de réduction des pressions dynamiques
A12. Abaque de détermination du coefficient o
A13. Abaque de détermination du coefficient Ce pour une construction prismatique à base quadrangulaire
A14. Feuille de calcul de la vérification de la flèche d’une poutre
A15. Feuille de calcul de la détermination des armatures d’une dalle
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