LES DESTINATAIRES DU GUIDE
Le renouvellement du lectorat
A côté de la « clientèle traditionnelle » des archives (historiens, professeurs, étudiants, érudits locaux), est venu s’ajouter, depuis une bonne vingtaine d’années, des amateurs de plus en plus nombreux venus effectuer des recherches généalogiques (c’est-à-dire dénombrer leurs ancêtres pour retrouver les traces de leur passé).
Cette mode n’a pas dérogé aux Archives départementales du Nord qui voient leur nombre de « lecteurs généalogistes » augmenter tous les ans.
Les sondages font apparaître qu’à l’instar d’autres services d’archives départementales, la prédominance des généalogistes est incontestable. Ils représentent entre 50 et 60% des lecteurs. Ce chiffre varie selon la période de l’année. En effet, les étudiants effectuant des recherches dans le cadre de leurs études universitaires fréquentent le service du mois d’octobre au mois de février faisant alors chuter le pourcentage des « lecteurs généalogistes ».
Les raisons profondes qui incitent les uns et les autres à s’intéresser à la généalogie sont multiples : un jeu, un hobby, un passe-temps chez certain, une occupation très sérieuse pour d’autres. Il existe des généalogistes de métier mais ils se font payer très cher. De plus, les gens préfèrent entreprendre eux-mêmes leurs recherches qui, au demeurant, ne concernent qu’eux et ne veulent se priver des plus grandes joies de la recherche généalogique.
Portrait des lecteurs généalogistes
On ne pourrait tracer le portrait type du généalogiste, on peut rencontrer : un étudiant qui, dans le cadre d’un mémoire, d’un DEA ou d’une thèse, doit dresser l’arbre d’une grande famille un retraité qui meuble ses loisirs en recherchant ses racines familiales un passionné de cette science, comme d’autres se passionnent pour la numismatique ou la philatélie.
Ainsi, ni le sexe, ni l’âge, ni même la catégorie socio-professionnelle, ne peuvent caractériser le généalogiste.
Toutefois, nous pouvons distinguer deux grands types de « lecteurs généalogistes » aux Archives départementales du Nord, comme dans tout autre service d’archives :
•ceux que l’on définit comme érudits c’est-à-dire habitués aux recherches et familiarisés avec le fonctionnement du service.
•ceux que Ton définit comme chercheurs amateurs ou de loisirs ignorant tout des archives comme de la généalogie.
C’est tout particulièrement à ces amateurs débutants qu’est destiné ce Guide de recherches généalogiques aux Archives départementales du Nord.
Mais il pourra être d’une grande utilité aux généalogistes expérimentés qui, dans le cadre de leur recherche, sont amenés à se rendre aux Archives départementales du Nord y glaner quelques renseignements ; car selon le service d’archives les instruments de recherche sont différents tout comme la manière de commander les documents et de les réceptionner, etc.
DU PROJET A LA DIFFUSION DU GUIDE
Le travail préparatoire
Afin de percevoir et de comprendre les problèmes et les obstacles auxquels doivent faire face les nouveaux lecteurs, nous nous sommes adonnés à plusieurs activités, durant lesquelles nous avions une prise de note régulière :
♦ Nous avons observé les différents comportements des lecteurs lorsqu’ils arrivaient aux Archives départementales du Nord et la manière dont ils abordaient leurs recherches.
♦ Nous avons également observé la façon dont ils se comportaient et les obstacles contre lesquels ils butaient, à l’accueil, à l’enregistrement, à la remise des documents, etc.
♦ Nous avons accueilli, orienté, écouté, renseigné, et aidé nombre de nouveaux lecteurs.
♦ Nous les avons interrogé, tout comme le personnel, pour mieux se rendre compte des difficultés qu’ils rencontraient.
♦ Nous leur avons expliqué ce qu’ils ne comprenaient pas, en cherchant la manière la plus simple de leur dire.
L’ébauche du guide
Une fois tous les éléments réunis, il a fallu réfléchir à ce que l’on allait préciser dans le guide, à la manière dont on allait le faire et le présenter.
Nous avons réalisé une ébauche du guide pour la faire lire, à titre d’essai, à la fois aux nouveaux lecteurs mais aussi aux généalogistes confirmés, afin de vérifier s’ils comprenaient toutes les informations. A défaut, nous avons fait les rectifications nécessaires.
Nous ne pouvions leur remettre un dossier indigeste qui ne donnerait pas envie de lire et qui, loin de résoudre les problèmes, en aurait généré d’autres. De plus, il s’agit d’aider le lecteur, ne l’oublions pas, non de le décourager.
La rédaction du guide
Ce guide se devait d’être simple, pédagogique mais aussi très synthétique.
Le guide comporte cinq parties. Les quatre premières correspondent à des étapes très précises du parcours que doit suivre le lecteur débutant ; la dernière partie correspond, comme son titre l’indique, à des renseignements pratiques qui constituent un complément pour leurs recherches. Ces parties sont divisées en sous parties qui répondent à des questions précises ou à des problèmes particuliers.
Nous avons également rédigé une table des matières, en première page du guide, afin que son utilisateur trouve plus facilement et plus rapidement la ou les informations qui l’intéressent, selon ses connaissances sur le service d’archives et en généalogie.
Ce guide a été rédigé par rapport à l’organisation et au fonctionnement des Archives départementales du Nord et en fonction des particularités que l’on y rencontre, que ce soit au niveau des instruments de recherche, des sources,… Ainsi il ne pourrait en aucun cas être utilisé dans un autre service d’archives.
La diffusion du guide
Le guide sera remis imprimé en recto – verso pour des raisons pratiques et financières.
Il pourra être distribué par la personne de l’accueil à tous les nouveaux lecteurs qui s’inscriront aux Archives départementales pour y effectuer des recherches généalogiques.
Il pourra également être distribué par les associations de généalogie auxquelles s’adressent certains débutants, ce qui leur permettra de lire le guide avant de se rendre aux Archives départementales du Nord.
EXPLICATION ET JUSTIFICATION DES INFORMATIONS CONTENUES DANS LE GUIDE
LA PREMIERE FOIS AUX ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU NORD
Les lecteurs qui effectuent pour la première fois des recherches généalogiques aux Archives départementales du Nord doivent faire face à de nombreux obstacles et problèmes liés à leur manque de connaissance du service.
Méconnaissance des instruments de recherche et des sources
Si personne ne dit aux nouveaux lecteurs où chercher, ils risquent de ne jamais trouver les instruments de recherche, pourtant à leur disposition en accès libre. Ne sachant même pas, la plupart du temps, ce qu’ils cherchent, comment pourraient-ils les repérer ? (ce qui justifie les lignes 26-27 du guide)
Une fois dans leurs mains, ils ne savent pas utiliser ces instruments et ignorent la façon dont sont classés les inventaires.
Ils ne comprennent pas toujours la manière dont y sont présentées les informations (1.31-44 et annexes 1,2,3). Leur exploitation s’avère d’autant plus difficile qu’ils contiennent de nombreuses abréviations (1. 45-46).
Ainsi les informations données dans la première partie du guide permettent de les aider à trouver les sources existantes aux Archives départementales du Nord qui peuvent les intéresser, sans poser d’innombrables questions au personnel de la salle ou encore perdre leur temps en essayant de chercher seul.
Une commande délicate à passer et une réception des documents difficile
La commande
Après avoir consulté les instruments de recherche, le lecteur peut commander les documents. La question qu’il se pose alors est : comment passer la commande ? Ainsi, pour y répondre, nous avons rédigé un paragraphe lui fournissant des renseignements et des explications.
En effet, pour cela, le lecteur doit remplir une fiche de papier. Ce principe, pourtant simple, n’est pas sans soulever de problème la première fois.
♦ Tout d’abord il ignore où la trouver (1. 174-175) et à qui la remettre (1. 195).
♦ Il ne sait pas qu’il doit la remplir en double exemplaire sur la même feuille détachable (1.177 et annexe 4). Une partie sert à l’enregistrement du ou des documents demandés, l’autre est placée dans les rayonnages à la place du ou des articles consultés. Or, le personnel du service d’archives n’a pas le temps de remplir ce fantôme. Il semble donc normal de demander au lecteur de remplir, lui-même, les deux volets de la fiche. Mais le lecteur novice ne comprend toujours qu’il doit écrire deux fois la même chose et, qui plus est, sur le même bulletin.
♦ Il ne comprend pas qu’il faille remplir qu’un fiche par article sauf si les cotes se suivent.
♦ Parfois il ne saisit pas les informations qui lui sont demandées ou il en oublie (1. 178-181).
♦ La plus grande difficulté vient de la cote (1. 182-185), véritable casse-tête pour le lecteur qui ne comprend pas le système de cotation :
• la cote contient parfois un chiffre en trop ou en moins.
•parfois il indique une cote qui n’est pas en vigueur (régulièrement le cas pour les microfilms) (1. 35 et 190-192).
•il arrive aussi que la cote soit celle d’un document mis à leur disposition en accès libre (1. 175-176).
C’est ainsi que la personne chargée de l’enregistrement se retrouve avec des bulletins de commande où il manque des informations, remplis d’un seul côté ou encore comportant une cote fantaisiste ou celle d’un usuel. Si les demandes ne sont pas trop importantes le personnel rappelle les lecteurs oralement pour leur préciser leur erreur, mais s’il est débordé par les fiches il va les repousser au bord du bureau de prêt pour que ceux qui les ont déposées puissent les reprendre et les corriger. Or, les lecteurs concernés, ne passant pas immédiatement, vont perdre un temps considérable surtout s’ils attendent que leur document arrive.
Parfois ils reçoivent des documents dont ils n’ont pas besoin car ils ont mal formulé leur demande n’ayant pas lu ou inscrit correctement la cote et le personnel doit essuyer leur insatisfaction.
La réception
La réception des documents pose tout autant de problèmes. Nous lui avons également consacré un paragraphe, intitulé : comment réceptionner votre commande (1. 200-209).
Le lecteur est souvent surpris du temps d’attente et n’est donc pas toujours compréhensif face au personnel qui lutte pour la rapidité de la communication des documents, devant parfois essuyer des réflexions désagréables. Une attente de 10 à 20 minutes semble trop longue, alors qu’il faut le reconnaître, lorsqu’une cinquantaine de personnes se précipitent dès l’ouverture pour avoir des documents, le temps d’enregistrer toutes les commandes, de les regrouper selon leur localisation dans le dépôt, d’aller les chercher dans 45 km d’archives et de les rapporter, c’est déjà rapide (1. 201-203).
La manière dont sont délivrés les documents est méconnue par le nouveau lecteur (1. 204). Ainsi certains, mal informés, vont attendre désespérément à leur table que leurs documents leur soient servis, ou encore qu’on leur signale leur arrivée. D’autres vont trouver rapidement leur premier document sur le comptoir mais ils cherchent vainement le suivant alors que celui-ci l’attend derrière la banque de prêts.
Cette méconnaissance de l’organisation du service provoque une attente prolongée considérable et engendre parfois des tensions entre les lecteurs et le personnel.
Il arrive aussi que certains ne se souviennent plus du document qu’ils ont demandé. Le personnel doit alors rechercher sur le cahier d’enregistrement le nom de la personne pour retrouver la cote. Si la commande a été, par exemple, passée à 13 heures et que le lecteur réclame son document à 16 heures, la recherche sur le registre risque d’être longue et empêche toute nouvelle commande. Cela provoque l’attente des autres lecteurs et par conséquent de nombreux mécontentements (1. 193-194).
CIgnorance du règlement des Archives départementales du Nord
Les lecteurs ne connaissent pas les principales dispositions du règlement intérieur des Archives départementales du Nord concernant la communication des documents en salle de lecture, en particulier celles sur :
* les restrictions pour commander les documents : leur nombre (1. 196), les heures (1. 197-199), etc.
* la manière de les consulter (1. 205,206-207) leur reproduction (1. 207-209).
Si les lecteurs en étaient informé, ils ne l’enfreindraient pas, ce qui éviterait au personnel de la salle de lecture de veiller sans cesse au respect de ce règlement. Cela leur épargnerait aussi de répondre à des questions courantes telles que : combien de documents peut-on commander ? Jusqu’à quelle heure peut-on déposer des fiches de demandes ? ou encore : pouvez-vous me photocopier cet acte.
Particularités du classement alphabétique
Les noms sont rangés à leur lettre initiale mais à l’intérieur de chaque lettre ils sont parfois classés dans l’ordre chronologique de la date de naissances, mariages ou décès) (ainsi LORIAUX Félicité née le 3 avril 1803 sera inscrite avant LEBECQ Jean né le 22 décembre 1803).
• Le classement est fait au nom patronymique, ainsi on trouvera Moreau de L… à la lettre M.
• Les noms précédés d’une particule (de, d’) sont inscrits parmi les D ainsi De Lévis et D’Arboville seront classés à D) et ceux commençant par un article (le, la, les, 1′) sont rangés parmi les L, par exemple Le Febvre est inscrit à la lettre L.
• Pour les mots commençant par un H ou par une voyelle on peut assister à la disparition ou 1 ‘ apparition de l’H. •
Enfin, les noms sont parfois estropiés par suite d’une prononciation défectueuse, d’une orthographe hésitante,… Ainsi on trouvera Honoré ou Aunoré; Pecqueux ou Péqueux, Lefort ou Lefaure, Voclin ou Vauquelin, Emond ou Haimont.
On ne doit donc pas abandonner une table avant d’avoir vérifié tous les noms commençant par la même lettre et imaginer toutes les variantes phonétiques.
Recherche d’une personne
Pour les mariages les noms de chaque conjoints étant parfois indiqués à leur place alphabétique il est recommandé de toujours chercher le nom de l’épouse si l’on n’a pas trouvé celui du mari. Si vous ne trouvez pas un nom dans une table, alors que vous êtes assuré de votre information; n’hésitez pas à vérifier quand même dans les actes, le scribe ayant pu omettre certains noms.
Une fois les dates trouvées il faut consulter les actes de NMD (Naissances, Mariages, Décès) pour obtenir des renseignements sur la personne concernée et sur ses ascendants. Vous pourrez ainsi remonter de génération en génération. Le plus utile est l’acte de mariage qui identifie vraiment chaque maillon de la chaîne avec les noms et prénoms de l’intéressé, ceux des parents, de la femme et des beaux-parents (ces informations varient évidemment selon les périodes).
RECHERCHES GENEALOGIQUES : EXPLICATIONS
Retrouver un acte dans un registre
Généralement les registres possèdent (à la fin ou au début) trois tables alphabétiques annuelles (des naissances, mariages, décès). Elles faciliteront la recherche de votre acte puisque en face de chaque nom vous trouverez le numéro de l’acte et parfois la page. S’il n’existe pas de table (en particulier pour les registres antérieurs à 1792) ou si le nom recherché ne figure pas dans la table (car il est possible que le scribe ait oublié de recopier un nom) recherchez alors votre acte à la date présumée.
Ne pas oublier que l’on n’enregistre pas la naissance ou le décès (sur les actes paroissiaux) mais le baptême et la sépulture. On peut donc trouver un ou deux jours d’écart (rarement plus) entre l’événement et son enregistrement. De même dans les registres d’état civil l’enregistrement de l’acte peut avoir été établi le lendemain de la naissance ou du décès.
Certaines archives ayant pu être détruites par les guerres, incendies, inondations… (en particulier pour les arrondissements de Cambrai et de Dunkerque) certains actes, pourtant mentionnés dans les tables décennales, peuvent avoir disparus.
Trouver une date de naissances, mariages, décès
Dans les actes de NMD, vous ne trouverez que l’âge des personnes lors des événements (l’acte de naissance d’une personne pourra indiquer l’âge des parents, l’acte de mariage celui des époux, l’acte de décès celui de la personne défunte). Vous en déduirez alors approximativement leur date de naissance qu’il vous sera ensuite aisé de préciser (jour et mois) grâce aux tables décennales ou autres.
Si vous connaissez le lieu du décès d’un ancêtre sans la date précise (lieu que l’on pourra parfois trouver dans l’acte de mariage de son fils ou de sa fille) il vous suffira de consulter les tables des actes de décès à partir de la date du dernier acte où est apparu la personne concernée.
Pour retrouver la date d’un mariage (si l’on connaît la commune), il faudra consulter les tables des actes de mariage à partir d’une vingtaine d’année après la date da naissance.
Trouver la commune de naissances, mariages, décès
L’identification de la commune est extrêmement importante, plus encore que celle de la date (car il serait interminable de consulter les tables décennales des 657 communes du Nord à partir d’une date).
II vous faut établir une liste des communes concernant votre famille (qu’elles soient lieu de naissance, de décès, de mariage, de domicile,…). Ainsi lorsque vous chercherez un lieu de NMD (Naissances, Mariages, Décès), c’est d’abord dans ces communes répertoriées que vous effectuerez vos recherches.
Précision pour la recherche d’un lieu de mariage
L’union est par tradition célébrée dans la commune où la jeune fille est domiciliée (qui n’est pas obligatoirement celle où elle est née). Il est donc nécessaire de se reporter aux tables des communes du lieu de naissance de la jeune fille, de son premier enfant, du ou des lieux où ont été domiciliés ses parents,… Si l’enquête est décevante vous pouvez encore interroger les tables des communes qui entourent ces lieux.
Si vous ne parvenez pas à déchiffrer le nom d’une commune ou si vous n’êtes pas certain qu’elle se situe dans le département du Nord, vous pouvez alors consulter:
Le Bottin des communes françaises (en consultation libre, cote B 38)
Le Dictionnaire des communes de France (en consultation libre, cote B 3)
Les communes belges (en consultation libre, cote B 36)
Recherche de collatéraux
Pour une telle recherche le seul moyen est de dépouiller entièrement les registres et les tables des communes où vous avez trouvé des origines familiales. Tous les actes concernant des personnes portant le même nom que les parents, les époux, un défunt… doivent être analysés et inscrits sur un tableau avec les filiations et les parentés découvertes. Il est certain que tôt ou tard en regroupant les résultats tirés des communes étudiées vous retrouverez l’ancêtre commun et pourrez prouver l’ensemble de la parenté et de la descendance.
Remarques sur les noms et prénoms
Lire attentivement l’acte pour ne pas être victime d’une homonymie.
Noter tous les prénoms d’une personne mais ne bornez pas vos recherches à un prénom précis. Par exemple Péqueux Angélique et Péqueux Marie Angélique peuvent désigner une même personne. De même le prénom usuel n’est pas forcément le premier prénom de baptême.
Ne négligez pas le nom des témoins qui souvent apparentés à la famille , peuvent apporter des renseignements intéressants.
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Table des matières
PRESENTATION DES ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU NORD6
Rôle des Archives
Service éducatif
Autres activités scientifiques et culturelles
Personnel, moyens financiers et aménagements
La salle de lecture et les communications
Les lecteurs
INTRODUCTION
L’ELABORATIONDU GUIDE
I- POUR QUI, COMMENT, ET DANS QUEL BUT ?
1- LES DESTINATAIRES DU GUIDE
A- Le renouvellement du lectorat
B- Portrait des lecteurs généalogistes
2- DU PROJET A LA DIFFUSION DU GUIDE
A- Le travail préparatoire
B- L’ébauche du guide
C- La rédaction du guide
D- La diffusion du guide
3- LES OBJECTIFS DU GUIDE
II- EXPLICATION ET JUSTIFICATION DES INFORMATIONS CONTENUES DANS LE GUIDE
1- LA PREMIERE FOIS AUX ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU NORD
A- Méconnaissance des instruments de recherche et des sources
B- Une commande délicate à passer et une réception des documents difficile
a- La commande
b- La réception
CIgnorance du règlement des Archives départementales du Nord
2- LE DEBUTANT EN GENEALOGIE
A- Absence de base en généalogie
B- Les difficultés de lecture
a- Les écritures anciennes
b- La période révolutionnaire
LE GUIDE
III GUIDE DE RECHERCHES GENEALOGIQUES
1- DECOUVERTE DES INSTRUMENTS DE RECHERCHE
2- RECHERCHES GENEALOGIQUES : DEMARCHES
A- Utilisation des tables
B- Particularités du classement alphabétique
C- Recherche d’une personne
3- RECHERCHES GENEALOGIQUES : EXPLICATIONS
A- Retrouver un acte dans un registre
B- Trouver une date de naissances, mariages, décès
C- Trouver la commune de naissances, mariages, décès
D- Recherche de collatéraux
ERemarques sur les noms et prénoms
4- COMMANDE ET RECEPTION DES DOCUMENTS
A- Passer la commande
B- Comment réceptionner votre commande
5- RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
A- Débuter la généalogie : bibliographie
B- Le problème des écritures anciennes
C- Les autres sources de la généalogie
D- Les sociétés généalogiques du Nord
E- Table de concordance des calendriers républicain et grégorien
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
ANNEXE 1
ANNEXE 2
ANNEXE 3
ANNEXE 4
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