Politiques et programmes en matière de sécurité alimentaire

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Projection de la disponibilité alimentaire

En 2010, donc dans un avenir très proche, la disponibilité alimentaire moyenne mondiale sera de 2 900 calories. Pour les pays en voie de développement, même si on observe une augmentation des disponibilités alimentaires en valeur absolue. La malnutrition touchera 10 % des populations ; et en Afrique Subsaharienne, ce taux sera de 30 % soit environ 265 000 000 de personnes. Pour une grande partie du continent africain, malnutrition et pauvreté seront malheureusement des fléaux persistants si la tendance actuelle ne s’infléchit pas (PASIDMA, 2001 ; DIOP et Coll., 2003).

Contribution de l’élevage et sécurité alimentaire au Sénégal

Demande alimentaire et besoins nutritionnels au Sénégal

Déjà avant la dévaluation, la consommation alimentaire par habitant et par jour n’était pas stable. Elle est passée de 2 400 calories en 1980 à 2 288 calories en 1993, soit une baisse de 6,5 %. Ce dernier niveau était déjà inférieur à la norme requise de 2800 calories. En dehors des disparités régionales qui sont relativement fortes car liées en partie à la pauvreté et les modifications de la structure alimentaire (céréales, produits d’origine animale, huile végétale, sucre et assimilés). Les besoins nutritionnels d’une fraction importante de la population ne sont pas satisfaits (ONU, 1998). En effet, 21,8 % des enfants âgés de 6 à 9 mois accusent un déficit pondéral et les milieux ruraux sont plus affectés que les zones urbaines. La proportion d’enfants ayant un déficit pondéral ou un retard de croissance est deux fois plus importante chez les ruraux que chez les urbains (ONU, 1998).
La hausse des prix consécutive à la dévaluation du FCFA, a accentué ces différents phénomènes. Les ménages pauvres qui consacraient déjà, en 1973, 70 % de leur revenu à l’alimentation ont été amenés à procéder à des ajustements qui ont probablement eu des effets négatifs sur leur consommation. Ces ajustements auraient détérioré leur situation nutritionnelle aussi bien au niveau quantitatif que qualitatif (BANQUE MONDIALE, 1998).
Cette demande en quantité est accentuée dans zones urbaines et particulier dans la région de Dakar où l’urbanisation et l’immigration sont très élevées.

Urbanisation à Dakar

Lors du troisième recensement général de la population et de l’habitat de décembre 2002, la région de Dakar abritait 2 267 356 habitants (tableau I), soit 22% de la population totale du pays. Dakar est la région la plus densément peuplée avec 4 122 habitants au km2 (contre 51 habitants au km2 au niveau national) et un taux d’accroissement moyen annuel de 2,5%. Estimée à 2 268 542 habitants en 2003, la population de la région de Dakar pourrait atteindre 3 822 890 habitants d’ici 2015.
La population est essentiellement urbaine (97,4%). La population rurale concentrée dans les communautés rurales de Sangalkam et Yenne (2,6%) est essentiellement localisée dans le département de Rufisque. Le département de Guédiawaye, concentre 11,4% (258 370 habitants) de la population régionale sur une superficie de 12 900 hectares (2,3%). Guédiawaye représente ainsi la plus forte densité d’habitants au km2 par département au Sénégal avec 20 029 habitants au km2.
La région de Dakar est particulière par son degré d’urbanisation. En effet, elle regroupe plus de la moitié de la population urbaine du pays (53%) et 96,6% de sa population vivent en ville. Elle a un taux d’urbanisation le plus élevé, 97% contre 41% au niveau national. Outre Dakar, les régions les plus urbanisées du Sénégal sont : Ziguinchor (43,7%), Thiès (43,5%) et Saint–Louis (36,1%) tendis que les régions les moins urbanisées sont : Kolda, Matam et Fatick avec respectivement un taux d’urbanisation de 13,8%, 13,2%, et 12,7%.
L’attraction exercée par la région de Dakar est à rechercher dans les potentialités économiques qu’elle recèle. Dans cette région, l’immigration accentue le taux d’urbanisation.

Migration à Dakar

Contrairement aux autres régions du Sénégal, à Dakar les immigrations sont plus importantes que les émigrations. L’âge et le sexe influent sur la structure démographique des zones de départ et d’accueil. Toutes les sources s’accordent pour dire que plus du tiers des dakarois ne le sont pas à leur naissance. Le maximum est atteint en 1960, avec 46 %. La population immigrante est âgée de 15 à 59 ans avec une légère prédominance des hommes. Environ 489 400 personnes, soit 25,7% de la population de l’agglomération urbaine dakaroise sont des immigrants. Un immigrant sur quatre vient du milieu rural et un immigrant sur dix résidait à l’étranger avant de s’installer à Dakar. Les immigrants proviennent essentiellement des régions de Ziguinchor (16,9%), Diourbel (11,5%), Kaolack (10%), Fatick (47%) et Saint-Louis (8,1%) (SENEGAL(b), 2002).
A Dakar, il y a très peu d’immigrants temporaires, seulement 2,7% contre 8,4% et 7% respectivement pour les régions de Ziguinchor et Fatick. Il est intéressant de noter l’importance des femmes en immigrations temporaires dans ces deux régions. Par ailleurs, Ziguinchor envoie surtout des Diolas (61%) et Fatick des Sérères (55%). En effet, ces deux groupes ethniques sont plus que les autres groupes ethniques disposés à s’adonner aux immigrations saisonnières à la recherche d’un travail domestique en ville, notamment à Dakar, avant de se marier (SY, 1991 ; SENEGAL, 1993 ; PISON et AL, 1997).

Evolution de la structure des ménages

En Afrique de l’Ouest, les ménages urbains découlent d’un processus historique très récent du fait de la migration d’origine rurale dans la constitution des villes. Ainsi, malgré l’influence des contraintes du cadre de vie urbaine, l’adaptation des ruraux se réfère aux structures sociales rurales d’origine. Les migrants tentent en ville de respecter le modèle familial de l’ethnie d’origine. On rencontre des ménages de type occidental à modèle mononucléaire et des modèles polynucléaires réunissant plusieurs générations (MANKOR, 2001).
La taille des ménages est fortement influencée par le type de ménage et les moyennes statistiques peuvent cacher de grandes disparités. A Dakar, la taille moyenne est de 9 personnes par ménage (SENEGAL(b), 1997). L’importance du nombre moyen de personnes par ménage indique des tendances de la promiscuité. De telles particularités rendent délicate la définition du ménage qui peut varier selon les auteurs. CHEYNS (1998) parle de « membre permanent et d’invités permanents du ménage » pour désigner à Ouagadougou l’unité de consommation urbaine, alors qu’à Dakar, l’ESAM (SENEGAL(b), 1997) parle plutôt de « nombre de convives » en référence aux personnes qui mangent ensemble.

Situation socio-économique

La région de Dakar abrite près du quart de la population sénégalaise, ce qui pourrait s’expliquer par les nombreuses potentialités socioéconomiques qu’elle offre et une centralisation administrative à outrance dans la capitale. Ce qui n’est pas sans répercutions négatives sur les conditions de vie des ménages.
La région de Dakar donne un profil d’une capitale aux conditions de vie précaires. La structure par âge et par sexe reste défavorable à la réduction de la pauvreté (96 hommes pour 100 femmes, 55% de jeunes de moins de 20 ans, les femmes et les jeunes étant les groupes les plus vulnérables). Près du quart des hommes est affecté par la précarité de l’emploi. Il a été observé une baisse du taux d’activité entre 1991 et 1994, aussi bien au niveau des hommes qu’au niveau des femmes. Plus du quart des ménages dakarois vit dans la promiscuité. Plus de la moitié des ménages ne dispose pas encore de toilettes adéquates. L’accès aux services sociaux de base présente des déficits graves qui montrent des limites de la capitale comme cadre favorable à un bien être social (SENEGAL(a), 2003).
Le revenu annuel par habitant est estimé à 359 981 FCFA en 1991 contre 432 797 FCFA en 1994. Les dépenses par habitant régressent. Car elles sont passées de 315 648 FCFA en 1991 à 287 036 FCFA en 1996. L’incidence de la pauvreté et la sévérité de la pauvreté ne sont pas en recul, car estimées respectivement à 50,7 et 0,0805 en 1996 elles demeurent supérieures à 46,4 et 0,0564 de 1991 (SENEGAL(a), 2003).

Politiques et programmes en matière de sécurité alimentaire

Les politiques nationales jouent un rôle-clé dans le développement de l’élevage. Ces politiques influencent non seulement l’environnement économique global de la production agricole, mais également la production, la commercialisation et la consommation des produits animaux ainsi que les marchés extérieurs. THOMSON et CRAYNER (1984) définissent les politiques nationales comme «des moyens d’action (impôts, subventions, quotas, réglementation, recherche développement financé par l’Etat, discours…) mis en place par un gouvernement et coordonnés par des responsables politiques et des fonctionnaires en vue de la résolution des problèmes clairement perçus». Toute définition du terme «politique» doit par conséquent faire une place aux objectifs du gouvernement et aux moyens d’action dont il se dote pour la mettre en oeuvre (VON MASSOW, 1990). Le terme «politique » fait donc référence à un «train de mesures visant la réalisation d’un objectif à long terme ou la résolution d’un problème particulier (SANDFORD, 1985).
Au lendemain de la dévaluation, l’Etat sénégalais a adopté un Programme d’Ajustement du Secteur Agricole (PASA). Ce programme couvrait la période 1994-1997. Son objectif était l’amélioration de l’environnement agro-économique du secteur et l’appui aux efforts d’assainissement et de rentabilisation des filières agricoles. Les différentes actions retenues allaient dans le sens de la libéralisation des prix et des circuits commerciaux tout en privatisant la production et la transformation des produits ainsi que la commercialisation.
Cette politique de libéralisation économique et de désengagement de l’Etat a abouti à la restructuration et à la privatisation des entreprises publiques dans les secteurs productifs et marchands. C’est ainsi que, tout en réaffirmant la responsabilité des agriculteurs, la libéralisation des prix et des structures commerciales a entraîné l’élimination des subventions sur les intrants et sur le crédit agricole (ONU, 1998]
De même, on assiste à un transfert progressif de certaines fonctions, dévolues aux organismes publics, à de nouveaux acteurs émergents à la base. Des organisations professionnelles et les ONG d’appui au développement local ont vu le jour et sont de plus en plus reconnues comme des interlocuteurs responsables aussi bien dans la conception que dans le financement et la mise en oeuvre du développement des terroirs.
A un niveau plus général, la promotion du secteur privé reste au centre de la stratégie de développement économique et social. La mise en œuvre de ces orientations passe par un partenariat utilisant des méthodes participatives pour l’octroi d’assistance technique et par les transferts des compétences aux organisations socioprofessionnelles par la formation continue.
Au niveau du développement des ressources humaines, l’amélioration du niveau d’éducation du monde rural est de nature à augmenter la productivité du secteur agricole. Cette tendance comporte les options prises dans l’enseignement primaire, la réduction du taux d’analphabétisme et le renforcement de la productivité professionnelle.
Enfin, la maîtrise de la croissance démographique et l’élévation du niveau de productivité du secteur agricole peuvent ralentir les flux migratoires des zones rurales vers les zones urbaines. Dans ce contexte, certaines activités peuvent contribuer efficacement à l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations. D’abord, l’accroissement de la production de fruits et légumes, la mise en place d’infrastructures de stockage, de conservation et de transformation, le désenclavement des zones de production pour une meilleure circulation de produits, la promotion de l’embouche bovine et ovine basée sur la valorisation des sous-produits de récoltes. Dans ce programme, le sous-secteur de l’élevage occupe une place importante dans l’économie du pays

Situation du sous-secteur de l’élevage dans l’économie sénégalaise

Situation économique

L’élevage a toujours occupé une place significative dans l’économie nationale. En 2003, sa contribution était de 4,8 % du produit intérieur brut (PIB) et 35 % PIB du secteur primaire, juste derrière l’agriculture (8,1%) et loin devant la pêche (1,7 %) et le secteur forestier (SENEGAL(c), 2004). Depuis 1980, l’importance relative du sous-secteur de l’élevage fait l’objet d’un développement faible mais constant (SAR, 1993).

Effectifs et production animale au Sénégal

Au Sénégal, les volailles représentent 68,7 % des effectifs des animaux en 2003, la volaille villageoise est largement en tête avec 54,8 % de l’effectif total. Les ovins représentent 12,1%, les caprins 10,5 % et les bovins 7,9 %. On remarque une légère progression des effectifs jusqu’à 2000 de toutes espèces qui est suivie d’une stabilité voir une diminution pour certains (tableau II).

Contraintes de l’aviculture traditionnelle

Contraintes zootechniques

Les contraintes d’ordre zootechnique découlent de la conduite d’élevage des volailles qui vivent et se nourrissent en liberté. La faible production des poules locales est la contrainte majeure. S’y ajoute le problème de l’alimentation car les poules sont abandonnées à elles-mêmes, et leurs besoins alimentaires ne sont jamais couverts, cela provoque un ralentissement de leur croissance. De plus, le mode d’abreuvement dans les mares ou les flaques d’eaux favorise la transmission des maladies (KOE, 2001).
L’absence des bâtiments d’élevage entraîne des pertes par le vol mais également par l’action des prédateurs tels que les rapaces et les chats qui s’en prennent aux poussins et aux œufs. Les pertes en aviculture traditionnelle sont également liées à la mauvaise conduite de la reproduction. En effet, l’absence de surveillance des poules par l’éleveur, le non-respect de la ration par coq et le maintien en reproduction de vieux coqs entraînent des pertes énormes.
Par ailleurs, les habitudes traditionnelles qui consistent à sacrifier au cours de cérémonies le plus beau coq du cheptel ne permettent pas non plus d’améliorer le potentiel génétique des coqs mis à la reproduction et cela se traduit par la baisse de la production des poules locales (GBAGUIDI, 2001).

Contraintes socio-économiques

Selon EYRAUD (1995) les contraintes socio-économiques en aviculture traditionnelle sont liées au caractère familial ou collectif des élevages en milieu rural. En effet, ce statut d’élevage familial ou collectif pose des problèmes de décision dans le choix de la conduite d’élevage et des conflits peuvent apparaître entre les membres de la famille quand les bénéfices tirés de l’élevage ne sont pas équitablement répartis. De plus, les revenus en milieu rural étant faibles, les soins à apporter à la volaille ne constituent pas une priorité en matière de dépenses. Il ne faut pas prendre l’aviculture traditionnelle comme une activité de production, mais comme un instrument d’épargne (la volaille est une épargne plus fractionnée que les autres animaux) (DOUMBIA, 2002).
A tous ces facteurs, s’ajoutent les défaillances permanentes ou périodiques des infrastructures routières qui empêchent l’écoulement des produits agricoles et de l’aviculture en particulier, vers les grands centres de consommation.

Contraintes sanitaires

Les contraintes d’ordre sanitaire en aviculture traditionnelle sont essentiellement dues aux mauvaises conditions d’élevage des volailles. En effet, ces mauvaises conditions d’élevage fragilisent les volailles et les rendent sensibles aux pathologies. Par conséquent, les pertes dues aux maladies infectieuses constituent la principale contrainte à l’essor de l’aviculture traditionnelle. La persistance de ces pathologies en milieu villageois est la conséquence du mélange permanent d’espèces et d’âges différents. Cette pratique favorise la transmission des maladies interspécifiques. Ainsi, le canard peu sensible à la maladie de Newcastle constitue le réservoir sain dangereux pour les poules qui elles-mêmes constituent le réservoir des parasites de la trichomonose responsable de mortalités chez les canards et les dindons. Ce sont les jeunes animaux les plus sensibles qui sont affectés (MAHAMAT, 2002).
Comme conséquence des conditions d’élevage aléatoires, il est fréquent de noter dans ces élevages traditionnels, des maladies telles que : la pseudo peste aviaire, le choléra aviaire, la maladie de Gumboro, la coccidiose et les maladies parasitaires (BOYE, 1990). Cependant, selon COURTECUISSE et COLL. (1990), la pseudo-peste aviaire ou maladie de Newcastle demeure la principale cause de mortalité en aviculture traditionnelle. La prophylaxie est presque inexistante et se résume à l’administration de quelques préparations issues de la pharmacopée traditionnelle. Ceci explique la vulnérabilité des oiseaux aux épizooties (BANKOLE, 2000).

Aviculture moderne

L’aviculture moderne ou industrielle regroupe des établissements possédant des effectifs importants de volaille. Ces établissements utilisent les poussins d’un jour provenant des multiplicateurs de souches sélectionnées et nourrissent les volailles avec des aliments complets ou des aliments supplémentés des industries spécialisées. Ils pratiquent des mesures de lutte contre les principales maladies avicoles (prophylaxies, traitements) et utilisent des équipements modernes et des techniques perfectionnées. (DIOP, 1982). Dans ces élevages modernes, les souches utilisées sont améliorées donc plus fragiles. Ces souches à haute performance sont spécialisées pour la production de viande (chair) ou des œufs de consommation. L’aviculture moderne est très développée dans les zones périurbaines en particulier dans la région de Dakar pour satisfaire le besoin de la population sans cesse croissante. Cette aviculture moderne présente des caractéristiques très particulières.

Types de spéculation

En fonction des objectifs, l’aviculture moderne connaît trois types de spéculation qui sont (HABYARIMANA, 1998) : la spéculation «chair» qui n’élève que les poulets de chair ; la spéculation «ponte» qui n’élève que les poules pondeuses ; la spéculation «mixte» qui est l’association de deux spéculations précédentes.
Actuellement, à ces trois spéculations s’est ajouté l’élevage des reproducteurs bien qu’il soit encore au stade embryonnaire. Ce quatrième type de spéculation est conduit par deux sociétés qui sont la Sénégalaise de Distribution du Matériel Avicole (SEDIMA) et le Complexe Avicole de Mbao (CAM).

Organisation de la production

Au Sénégal, l’aviculture moderne est un secteur organisé dans lequel interviennent divers acteurs qui sont les accouveurs, les producteurs, les provendiers et les encadreurs. Chacun de ces acteurs joue un rôle capital pour le bon fonctionnement du secteur. Les sélectionneurs qui assurent la sélection des souches performantes (tableau VI) sont dans les pays où l’aviculture est très développée à l’image de la France, de la Belgique, etc.

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Table des matières

TRODUCTION
PREMIERE PARTIE PRODUCTION ET IMPORTANCE DES ŒUFS DE CONSOMMATION DANS LA SECURITE ALIMENTAIRE
CHAPITRE 1. ELEVAGE ET SECURITE ALIMENTAIRE EN AFRIQUE DE L’OUEST
1.1. Notion de sécurité alimentaire
1.1.1. Disponibilité alimentaire mondiale et élevage
1.1.2. Accès alimentaire en Afrique
1.1.3. Développement et sécurité alimentaire
1.1.4. Projection de la disponibilité alimentaire
1.2. Contribution de l’élevage et sécurité alimentaire au Sénégal
1.2.1. Demande alimentaire et besoins nutritionnels au Sénégal
1.2.1.1. Urbanisation à Dakar
1.2.1.2. Migration à Dakar
1.2.1.3. Evolution de la structure des ménages
1.2.1.4. Situation socio-économique
1.2.2. Politiques et programmes en matière de sécurité alimentaire
1.2.3. Situation du sous-secteur de l’élevage dans l’économie sénégalaise
1.2.3.1. Situation économique
1.2.3.2. Effectifs et production animale au Sénégal
CHAPITRE 2. SITUATION DE L’AVICULTURE AU SENEGAL
2.1. Aviculture traditionnelle
2.1.1. Importance socio-économique de l’aviculture traditionnelle
2.1.2. Contraintes de l’aviculture traditionnelle
2.1.2.1. Contraintes zootechniques
2.1.2.2 Contraintes socio-économiques
2.1.2.3. Contraintes sanitaires
2.2. Aviculture moderne
2.2.1. Types de spéculation
2.2.2. Organisation de la production
2.2.2.1. Accouveurs et éleveurs reproducteurs
2.2.2.2. Producteurs
2.2.2.3. Provendiers
2.2.2.4. Encadreurs
2.2.4. Contraintes de l’aviculture moderne
2.2.4.1. Contraintes socio-économiques
2.2.4.2. Contraintes sanitaires
2.2.4.3. Contraintes zootechniques
2.3. Commercialisation des œufs de consommation au Sénégal
2.3.1. Circuits de commercialisation des œufs
2.3.2. Mode de présentation des œufs
2.3.3. Critères de qualité
CHAPITRE 3. IMPORTANCE ET PRODUCTION DES ŒUFS DANS LE MONDE
3.1. Œuf et son importance
3.1.1. Structure de l’œuf et son importance.
3.1.2. Evolution de I’œuf au cours de sa conservation
3.1.3. Importance de l’œuf
3.1.3.1. Importance nutritionnelle
3.1.3.1.1. Protéines et lipides
3.1.3.1.2. Vitamines en quantité
3.1.3.1.3. Minéraux utiles
3.1.3.2. Importance technologique
3.1.3.3. Importance socio-culturelle
3.1.3.4. Importance hygiénique et sanitaire
3.2. Economie des œufs de consommation dans le monde
1.2.1. Pays plus grands producteurs des œufs de consommation
3.2.2. Production d’œufs de consommation en Afrique
3.2.3. Production d’ovoproduits
3.2.4. Echanges internationaux d’œufs de consommation
3.2.4. Consommation mondiale des œufs
DEUXIEME PARTIE CONSOMMATION ET COMMERCIALISATION DES ŒUFS A DAKAR
CHAPITRE 1. METHODE DE RECHERCHE
1.1. Choix et présentation du cadre d’étude
1.1.2. Choix de Dakar
1.1.3. Localisation et cadre administratif
1.2. Contexte de l’étude
1.3. Organisation de l’étude
1.3.1. Les cibles de l’enquête
1.3.2. Questionnaire d’enquête
1.3.2.1. Questionnaire destiné aux ménages
1.3.2.2. Guide d’entretien destiné aux vendeurs d’œufs
1.3.3. Echantillonnage
1.3.3.1. Choix du lycée ou collège
1.3.3.2. Choix de la classe dans le lycée ou collège retenu
1.3.3.3. Choix des marchés dakarois
1.3.3.4. Choix des vendeurs dans les marchés retenus
1.3.3.5. Présentation du Groupe pour l’Etude et l’Enseignement de la Population
1.3.3.6. Collecte des données
1.3.3.7. Traitement et analyse des données collectées.
1.4. Limites de l’étude
CHAPITRE 2. PRESENTATION DES RESULTATS
2.1. Résultats de la consommation des œufs dans les ménages
2.1.1. Description des ménages enquêtés
2.1.1.1. Taille des ménages
2.1.1.2. Niveau scolaire et profession du chef de ménage
2.1.1.3. Revenu des ménages dakarois
2.1.1.4. Typologie des ménages en fonction de revenu et de lieu d’habitation
2.1.1.5. Statut d’occupation de logement
2.1.1.6. Typologie des ménages en fonction des matériels électroménagers
2.1.2. Connaissance de l’importance dans l’alimentation et la qualité des œufs
2.1.2.1. Rôle des œufs dans l’alimentation
2.1.2.2. Le rôle des œufs dans l’alimentation des enfants
2.1.2.3. Appréciation de la qualité des œufs par les ménages
2.1.3. Consommation des œufs dans les ménages
2.1.3.1 Typologie des ménages en fonction de la consommation des œufs
2.1.4. Consommation des protéines animales dans les ménages dakarois
2.1.4.1. Consommation et dépenses pour les protéines animales
2.1.4.2. Consommation et dépenses pour la viande
2.1.5. Comportement à l’achat
2.1.5.1. Lieu d’achat, critère de choix et satisfaction aux produits
2.1.5.2. Dépenses pour la nourriture dans les ménages
2.1.5.3. Dépenses pour les œufs
2.2. Caractéristiques commerciales des œufs dans les marchés dakarois
2.2.1. Description des vendeurs
2.2.2. Modalités d’approvisionnement
2.2.3. Modalité d’achat
2.2.4. Typologie des marchés en fonction des prix et de l’approvisionnement
2.2.5. Difficultés des vendeurs des œufs
CHAPITRE 3. DISCUSSION DES RESULTATS ET RECOMMANDATIONS
3.1. Choix du lieu et de la période d’étude
3.2. Méthode d’étude
3.3. Discussion des résultats
3.3.1. Discussion au niveau des ménages consommateurs
3.3.1.1. Description des ménages
3.3.1 .2. Connaissance de l’importance des œufs et l’appréciation
3.3.1.3. Consommation des œufs et protéines animales dans des ménages
3.3.1.4. Comportement à l’achat
3.3.1.5. Influence du profil socio-économique des ménages
3.3.2 Discussion sur les vendeurs d’oeufs
3.3.2.1. Analyse de la commercialisation
3.3.2.2. La qualité commerciale des œufs
3.4. Recommandations
3.4.1. Recommandations aux ménages
3.4.2. Recommandations aux producteurs et vendeurs d’œufs
3.4.3. Recommandations à l’Etat et aux investisseurs
3.4.3.1. Centre de collecte et de conditionnement.
3.4.3.1. Inspection de la qualité commerciale et de la salubrité des œufs de consommation
CONCLUSION
RERERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 

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