Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Créer une nouvelle colonne à partir d’une expression
Créer une nouvelle colonne soit en appliquant une expression à une colonne existante soit en modifiant l’expression qui définit une colonne existante. Une colonne que vous modifiez ou créez à l’aide d’une expression ne peutêtre utilisée que pour l’affichage. Les modifications ne sont pas sauvegardées avec la fenêtre Données. Pour créer une expression pouvant être sauvegardée, créez-la à l’aide de la commande Sélection SQL.
Pour créer une nouvelle colonne dans une fenêtre Données :
1. Choisir Données > Choisir Champs. La boîte de dialogue Affichage Données s’ouvre.
2. Sélectionner Expression dans la liste déroulanteChamps de la table. La boîte de dialogue Expression s’affiche.
3. Taper une expression ou créez-en une en utilisan comme paramètres les éléments des listes Colonnes, Opérateurs et Fonctions.
4. Si vous le souhaitez, choisissez Vérifier pour valider la syntaxe de l’expression.
5. Cliquer sur OK pour valider l’expression. Celle-ci s’affiche alors dans les zones Nom et Expression.
6. Cliquer sur OK si les informations affichées dans les zones Nom et Expression sont exactes.
Entrer des informations graphiques dans des colonnes visibles
On peut utiliser la commande Mettre à jour colonne pour entrer des informations graphiques dans des colonnes visibles. Les tables qui contiennent des objets graphiques (cartes) enregistrent les informations graphiques qui ne sont pas visibles dans des tables. Vous pouvez placer certaines de ces informations dans des colonnes et les afficher dans une fenêtre Données.
Pour afficher des informations graphiques dans un format tableau :
1. Choisir Table > Mettre à jour colonne pour accéder à la boîte de dialogue Mettre à jour colonne. Celle-ci permet de placer les informations graphiques, telles que la zone, le périmètre ou la longueur dans les nouvelles colonnes temporaires.
2. Choisir Fichier > Enregistrer Table Sous pour accéder à la boîte de dialogue Enregistrer Table Sous. Celle-ci permet d’enregistrer les colonnes temporaires dans une nouvelle table, qui contiendra les colonnes originales et les colonnes temporaires.
Si vous modifiez des objets, les informations contenues dans les colonnes visibles doivent être mises à jour en fonction des modifications effectuées.
Modifier l’expression associée à une colonne
Cette fonction permet de modifier le nom de la colonne ou l’expression qui lui est associée. Une colonne que vous modifiez ou créez à l’aide d’une expression ne peut servir que pour l’affichage. Les modifications ne seront pas sauvegardées avec la fenêtre Données. Pour créer une expression pouvantêtre sauvegardée, utilisez la commande Sélection SQL.
Il existe deux méthodes pour définir une expression:
· Modifier le texte affiché dans la zone Expression ou sélectionner l’option Expression pour afficher la boîte de dialogue Expression contenant les listes des colonnes, opérateurs et fonctions.
Produit minier
La commune d’Ambohimanambola est un lieu riche en quartzite et en sable dont la quantité est très importante .Pour le sableon a deux lieux de localisation Tanjonandriana et Ampahimanga. On a rencontré le quartzite à Ambohibato. La commune a donc un emprunt pas trop loin pour les travaux de remblayage.
Recapitulation
Vu sa grandeur, ses atouts économiques, sa population assez importante ; Ambohimanambola est digne d’être aménagée en commençant par la gestion de ses réseaux routiers. Cela, entre aussi dans le cadre de l’urbanisation de la Commune urbaine d’Antananarivo en créant une ville satellite qui est détachée de la ville mère en raison de diminuer la foule de la grande ville.
La circulation intérieure
Comme tous les grandes communes de la province d’ Antananarivo ; la région d’Ambohimanambola est aussi un centre de consommation abritant, en outre, des activités de redistribution et de transit .L’élévation du niveau de vie des habitants faisant naître des besoins nouveaux et l’augmentati on de la population nécessiteront une réorganisation de la circulation intérieure ; u’ilq s’agisse de transports lourds ou de services de livraison à la clientèle. Réorganisation d’autant plus nécessaire qu’actuellement ce secteur parait être, dans certaines branches, encombré et ne répond plus, dans dix ans, aux exigences de la clientèle particulière ou de l’industries.
Dans le domaine de transport du personnel Ambohimanambola est un lieu de terminus de minibus de la ligne Antananarivo –Amboh imanambola. Actuellement la commune envisagera trois terminus : Ambohimanambola Gara /JIRAMA /Ambohibato.
La liaison avec l’extérieur
Parce qu’Ambohimanambola est entouré par quatre aussi grandes communes, la liaison avec l’extérieur doit importante.
D’autre part ; il est permis de penser que les déplacements motivés par les besoins des habitants augmenteront avec l’élévation du niveau de vie. A l’inverse, il est vraisemblable que la modernisation des modes de distribution ainsi que la naissance de « cœurs de villes » attractifs dans le s centres urbains nouveaux ralentiront la progression des déplacements vers l’extérieur. Actuellement cette deuxième raison est loin d’êtreatteinte pour la région et celles qui l’entourent ; donc l’importance d’améliorer les réseaux d’accès vers l’extérieur.
Nécessité et importance de l’entretien d’un réseau routier
Aucune route n’est éternelle par construction ,qu’elle soit revêtue ou non. Dans le cas des chaussées revêtues, le fait que lesdépenses les plus importantes de revêtements généraux ne s’effectuent qu’à intervalles éloignés ne doit pas masquer la réalité. A peine achevées , toutes les routes commencent à se dégrader sous les atteintes conjuguées du trafic et des éléments naturels sous les climats et surtout pour les routes non revêtues , le processus prend souvent une allure extrêmement rapide . Une surveillance attentive et des soins constants permettent seuls de le contenir dans une limite raisonnable.
Les carences de l’entretien ont des conséquences plus graves pour les routes que pour d’autres secteurs, cela pour trois raisons :
Les coûts et les besoins financiers sont très élevés. En outre, les coûts supportés par les services routiers ne représentent qu’une faible partie des coûts totaux ; ceux–ci sont beaucoup plus élevés pour les usagers qui conduisent sur des routes en mauvais état. Enfin, la hausse des coûts de transports routiers freine l’intégration des marchés économiques, et rend peu viables de nombreuses activités qui dépendent des transports.
La dégradation des routes s’accélère avec le tempsCe. phénomène empêche de prendre conscience de la nécessité d’un entretien préventif avant que la dégradation ne devienne évidente et qu’une réhabilitation ou une econstruction coûteuse devienne nécessaire. Il est donc d’ autant plus important de reconnaître ce besoin en temps utile. Les services routiers sont à l’abri des effets d’un entretien insuffisant, car les responsables changent plus vite que les conséquence d’un mauvais entretien ne se manifestent. Le service responsable de l’entretien des routes n’est généralement pas victime des conséquences économiques du manque d’entretien ni des pression exercées par les groupes organisés pour que les routes s’améliorent. On peut ajouter que , si dans les pays industrialisés les ingénieurs routiers sont en générale convaincus, mieux que les responsables politiques, de la nécessité d’un bon entretien , il n’en va pas de même dans les pays en développement.
Il est vital que les pays en développement, même sleplus pauvres et d’autant plus qu’ils sont pauvres, rompent cet enchaînement infernal et s’attachent à dépenser à temps ce qu’il faut pour entretenir correctement leurs routes.
Politique d’organisation, planification fina ncière et systématisation de la gestion d’un réseau routier
En générale, le réseau routier du pays est actuellement, en mauvaise état. Cela est dû à des différentes raisons que ce soit : Une insuffisance d’entretien, un sous dimensionnement ou une mauvaise qualité de mise enœuvre.
Alors face à ce problème qui est devenu très urgent de réparer de nombreuses sections de routes par des travaux coûteux et très cher, où il est également évident qu’il est financièrement inconvenable d’entreprendre immédiatement tous les travaux de sauvegarde qui seraient techniquement nécessaire. Il faut une bonne et parfaite politique d’organisation et planification financière pour la gestion d’entretien du réseau.
Dans ce cas les deux questions citées ci après sontbien utiles :
-Quelles doivent être les priorités de travaux à programmer dans les limites financières actuelles ?
-Quelles pourraient être, en outre, les enveloppesbudgétaires à proposer à moyen et long terme pour optimiser la charge d’entretien ; compte tenu de la vitesse de dégradation, de l’importance des diverses liaison du réseau , des possibilités d’entretien courant ,et ce, dans le cadre d’une str atégie générale d’entretien des routes.
En outre l’entretien courant étant directement lié aux moyens existants en personnel et en matériel, toute évolution dans ce ecteurs ne peut souvent être que très progressive, compte tenu des crédits allouées, de ’étatl des matériels employés, de la formation et de la motivation du personnel préposé.
Et l’entretien périodique d’un réseau routier et très difficile à décider les travaux majeurs en premier lieu de réhabilitation programme l’année prochaine, dans les trois année à venir ou pour le prochaine plan.
Alors pour l’importance de cette programmation, les services gestionnaires de la route doivent être systématiquement décentralisées. Et le responsable de chaque subdivision doit ainsi annuellement suscitées pour proposer, chacun pour le réseau qu’il à en charge, les travaux d’entretien qui leur semblent urgents à réaliser en les mettant en ordre de priorité technique.
En remontant progressivement la voie hiérarchique, les proposition du responsable de la subdivision sont ensuite analysée et ‘filtrées’, en ajoutant le critère d’importance économique et/ou politique des sections de routes proposées et aussi en écrêtant le volume de travaux demandé, compte tenudes limites budgétaires imposées.
Systématisation de la gestion d’un réseau routier
Les différents problèmes courants de politique d’entretien routier et de programmation des travaux d’entretien ont largement précédé la notion de système de gestion routière.
En faite, parce que la proposition de programmation des travaux d’entretien du réseau routier ne soit pas méthodique, on n’a pas ’assurancel que les crédits demandés concernent les sections vraiment prioritaires sur l’ensemble du réseau à gérer.
Etant donné que la proposition de programmation des travaux d’entretien présente des défauts inhérents importants parce que :
§ Les diverses travaux de sauvegardes formulées peuvent être volontairement surévalués car ils conditionnent les allocations decrédits, que le responsable voudrait maximales .
§ L’appréciation de l’état de dégradation des sectionroutières à réhabiliter est inévitablement entachée par la subjectivité naturelle du responsable concerné
§ Cette subjectivité des jugements rend délicates, voire incertaines, les synthèses opérées sur les propositions des diverses serviceslocaux .
§ Les travaux filtrés par les décideurs dans le programme final des sections de routes retenues peuvent certes faire l’objet d’une évaluation économique, s’il est nécessaire de montrer la rentabilité du financement des travaux choisis, mais le critère économique n’est pas intervenu en amont des propositions des travaux.
Alors pour systématiser la gestion d’un réseau routier, les critères de définition d’une réhabilitation ou encore d’un entretien d’une section de route, n’est pas nécessairement la réfection de la route la plus dégradée : même si, sur le plan uniquement technique, elle représente la première urgence, encore faut- il qu’elle soit suffisamment circulée pour que l’important investissement requis génère ‘en compensation ‘ des avantages substantiels.
C’est n’est pas non plus nécessairement la maintenance de la route la plus ‘importante’, la plus circulée : s’il est vrai que toute amélioration sur une telle route avantage aussitôt de nombreux usagers, l’investisse ment consenti là ne profitera pas ailleurs, à des routes, certes moins importante mai s plus dégradées, lesquelles, si elles sont rejetées du programme de réalisation, risquentd’être totalement ruinées et d’exiger alors des investissements plus lourds.
Donc ce qu’on devait mettre en priorité de programmation des opérations d’entretien périodique routier dans les pays en voie de développement n’est donc ni la dégradation seule, ni la fréquentation seule de laroute, mais un compromis téchnico-économique.
Systématiser la gestion d’un réseau routier consiste essentiellement à :
ª Raisonner sur l’ensemble du réseau à gérer grâce à une banque de données routières .
ª Rechercher une stratégie optimale d’entretien du réseau en simulant les conséquences de diverses variantes .
ª Adopter une méthode rationnelle de programmation pluriannuelle des travaux périodiques d’entretien du réseau.
Les différents défauts inhérents dans le processustraditionnel de programmation des travaux d’entretien du réseau routier sont donc cherchés à supprimer dans la systématisation de la gestion routière.
|
Table des matières
1er Partie Système d’Information Géographique
Chap. I Description générale du Système d’Information Géographique
I.1 – Historique
I.2- Définitions
1.21- Système
1.22- Système d’information
1.23- Information géographique
1.24- Système d’Information Géographique
I.3- Avantages du SIG
1.31-Cartographie
I.4- Objectifs et but
1.5-Composantes du SIG
1.51-Hardware
1.51-Software
I.6- Récapitulation
Chap. II Le logiciel MAPINFO
II.1-Generalites et définition
II.2- Table
II.3- Les outils de Mapinfo Professionnal ®
II.4- Calage
II.5 Géocodage
II.6- Glossaire pour créer carte
II.7- Récapitulation
Conclusion partielle
2eme Partie Vue d’ensemble de la commune d’Ambohimanambola et Gestion d’entretien du réseau routier
CHAP I Généralité de la commune
I.1-Historique
I.2- Situation géographique
I.3- Situation démographique
I.4-Renseignement d’ordre économique
I.41-Agriculture et élevage
I.42- Artisanat – Industrie
I.43- Tourisme
I.44- Produit minier
I.5-Recapitulation
CHAP II Les réseaux routiers de la commune
II.1-La circulation intérieure
II.2-La liaison avec l’extérieur
II.3-Carte de réseau routier de la commune
CHAP III Gestion d’entretien du réseau
III. 1-Principe
III. 2-L’entretien routier
III.21-definitions
a) Entretien routier
b) L’entretien courant
c) L’entretien périodique
d) Renforcement
e) Entretien d’urgence ou reconstruction
f) La réhabilitation
III.22-Opérations d’entretien des routes à chaussée bitumée
Pour l’entretien courant
Pour l’entretien périodique
Pour le renforcement
Pour la réhabilitation
Pour la reconstruction
III.23-Opérations d’entretien des routes à chaussée non revêtue
Pour l’entretien courant
Pour l’entretien périodique
Pour le réhabilitation
Pour la reconstruction
III.24- Nécessité et importance de l’entretien d’un réseau routier
III.3 –Politique d’organisation, planification financière et systématisation de la gestion d’un réseau routier
III.31 –Politique d’organisation et planification financière
III.32-Systématisation de la gestion d’un réseau routier
III. 4- Banque de données routières
III. 41-Généralité
III.42-Données relatives au réseau routier
III.43-Données économiques routières
III.44-Informatisation de la banque de données routières
III.5-Recapitulation
Conclusion partielle
3eme Partie Application du SIG pour le réseau routier d’Ambohimanambola
CHAP I Création de base de données du réseau dans le SIG
I. 1- Identification des routes dans la commune
Reseau routier de la commune
I. 2- Base de données du réseau
I. 3- Analyse des routes existantes
I. 4- Critère de choix de priorité d’axe à entretenir
1. 41- Méthode
1. 42- Choix
Localisation du projet
CHAP II Entretien de l’axe Ambohimanambola-Anjeva
II. 1- Reconnaissance de l’itinéraire
II. 2- Dimensionnement de la chaussée et des ouvrages d’assainissement
II. 3- Quantité de travaux à faire
II. 4- Bordereau Détail Estimatif
Chap. III Calcul de Taux de Rentabilité Interne (TRI)
III.1- Généralité
III.2- Méthode et calcul
III.3- Récapitulation
Conclusion générale
Télécharger le rapport complet