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Le Palais de la Reine
Le Rova ou « enceinte fortifiée » situé sur la vaste esplanade au sommet de la colline fut le lieu de résidence des Rois et des Reines du 17è au 19è siècle.
Dès l’époque coloniale en 1902, le bâtiment principal et ses annexes se transformaient en Musée où étaient exposés les symboles, attributs et vestiges de la Royauté, des trônes et palanquins aux cahiers d’écolier des princes en passant par les meubles, les armes, les habits d’apparat ou encore une riche collection de tableaux. Le Rova était devenu le fleuron du patrimoine culturel national, aussi que de larmes ont-elles été versées lors de l’incendie de 1995 qui le ravagea dans la nuit du 6 Novembre. Sa reconstruction est en cours d’exécution.
Le Palais d’Andafiavaratra
Un Palais en bois a déjà été érigé à cet emplacement par le Premier Ministre Rainiharo mais il fut détruit par Le Premier Ministre Rainilaiarivony son fils en 1872 pour être remplacé par le Palais actuel conçu par l’Anglais William Pool.
Le Palais de trois niveaux comporte quatre tours à l’exemple du Palais de la Reine mais en plus une coupole centrale de verre illumine la vaste salle de réception du rez-de-chaussée. Ravagé par un incendie en novembre 1976, le palais est actuellement bien reconstruit et sert de musée en particulier pour les objets récupérées lors de l’incendie du Rova en 1995.
Le Parc Botanique et Zoologique de Tsimbazaza
Se trouvant dans la vallée de Tsimbazaza non loin du centre d’Antananarivo, ce parc botanique et zoologique est un vaste espace de 27 ha présentant la faune et la flore de l’île dans un cadre récréatif et éducatif.
Fondé en 1925, le jardin botanique rassemble des échantillons de la flore malagasy et introduit quelques espèces de la flore étrangère. C’est seulement à partir de 1935, qu’il est devenu un lieu d’exposition, de conservation et constitue une vitrine de la biodiversité malagasy. Aujourd’hui, il a vocation d’informer, éduquer et sensibiliser la population à la conservation de l’environnement dans son intégralité.
Le Musée National de Géologie
Le Musée National de Géologie se trouve dans l’enceinte de la Direction Générale des Mines et de la Géologie à Ampandrianomby.
On y découvrira plus de 27 000 espèces de minerais et de minéraux, de bois silicifiés et de fossiles recueillis dans tous les coins de l’île et même d’ailleurs. Dans la salle, des cartes géologiques de Madagascar (dont une en relief) montrent la richesse de son sous-sol. Le circuit de visite a été mis aux normes internationales avec le concours de l’International Council of Muséum (ICOM). Le musée est doté d’une boutique d’articles souvenir tels que cartes postales, collections minéralogiques, pierres brutes ou ornementales travaillées.
Le Musée d’Art et d’Archéologie d’Isoraka
Le musée d’art et d’archéologie d’Isoraka est situé dans une coquette petite maison construite au début du siècle dernier où naquit le célèbre poète Jean Joseph RABEARIVELO.
Il relève de l’Université d’Antananarivo et est de ce fait un centre de recherche, de conservation et d’éducation pour les étudiants. Il a une salle de réunion et trois salles pour des expositions temporaires sur l’archéologie (technique de recherche et résultats) et sur l’ethnologie (les tissus, les parures, les instruments de musique…).
Les stèles
Quatre chefs d’Etat ont leur buste immortalisé à Antananarivo : Philibert Tsiranana, premier Président de la République, à Antaninarenina devant la stèle de l’Indépendance, le Général Gabriel Ramanantsoa au Ministère de la Défense à Ampahibe, le Colonel Richard Ratsimandrava au Camp de la Gendarmerie bordant le Boulevard portant son nom, et le Président vietnamien Ho Chi Minh sur la Place qui lui est dédiée à Ampefiloha.
La plus célèbre statue de la capitale est l’ange du Lac Anosy, repeint par la suite avec une couleur dorée et surplombant le Monument aux Morts. A Ambohijatovo la stèle comme mémoire de l’Insurrection de 1947 et celle des martyrs chrétiens brûlés vifs à Faravohitra se dressent l’une devant l’autre. Le quartier de Mahamasina monopolise deux ouvrages : la stèle des Droits de l’Homme, celle des volontaires des Nations Unies.
Les escaliers
Antananarivo compte plus d’une centaine d’escaliers, prestigieux et anonymes confondus. Le plus fréquenté est celui reliant le plateau d’Antaninarenina à Analakely et qui porte le nom de la Reine Ranavalona.
Juste en face, tel son clone, se trouve l’escalier d’Ambondrona qui fut dans le temps un haut lieu de la brocante. On pourrait aussi citer l’escalier Ramilijaona entre Mahamasina et Imarivolanitra, l’escalier Prince Kamamy entre Ambanidia et le Palais d’Andafiavaratra, et tous ceux qui desservent le quartier du Palais de la Reine. Le plus long et le plus éprouvant par contre est l’escalier Razafindrazay (480 marches) qui part de Mahamasina pour aboutir sur le terre-plein de la cathédrale d’Andohalo. Un vrai parcours du combattant, mais qui offre un beau panorama !
Les centres commerciaux
Les centres commerciaux se sont multipliés depuis les années 90, transformant le paysage urbain tout en apportant une touche moderniste aux habitudes d’achat. A chacun sa stratégie commerciale, les uns ont opté pour une implantation personnalisée en dehors de la ville.
Ils sont principalement en bordure de l’axe Aéroport-Antananarivo (Ivato, Talatamaty, Andranomena, Route Digue) ou à la sortie Sud (Tanjombato). D’autres ont choisi des zones industrielles et commerciales confirmées, ou répondu à l’attrait des nouveaux aménagements paysagers. C’est le cas de la Route des Hydrocarbures et des périmètres voisins (Zital, Sud du Marais Masay) ainsi que d’Ampefiloha. D’autres enfin ont préféré jouer la proximité dans les quartiers passants du Centre Ville (Antaninarenina, Analakely), de Behoririka, Antanimena ou d’Andravoahangy.
Ambohimanga
Haut lieu de la royauté Merina et point de départ de l’unification de l’Imerina, grâce aux conquêtes de son roi Imboasalama qui devint par la suite le grand souverain « Andrianampoinimerina » (Le Seigneur au cœur de l’Imerina) après la prise d’Antananarivo en 1794. Les fameuses douze collines du pays de l’Imerina devenaient unies et dirigées par un seul monarque. Bien qu’Antananarivo eût ravi la place de capitale du royaume à Ambohimanga, le roi ne voulut pas séparer le destin des deux Rova. Il déclara : « Je ne veux point les séparer, car c’est à Ambohimanga que j’ai régné et c’est à Antananarivo que j’ai formé le royaume ». Andrianampoinimerina fut inhumé.
Ambohimanga (1810) – comme les Reines Ranavalona I et Ranavalona II. L’ancienne cité royale avait la qualité de ville sacrée et était interdite à tout étranger. Ceci jusqu’en 1897, date à laquelle Gallieni décida de transférer et de rassembler à Antananarivo les corps des souverains. Actuellement. Ambohimanga est classé patrimoine culturelle de l’humanité par l’UNESCO.
Un patrimoine unique de classe internationale
L’extraordinaire capital naturel de Madagascar (mer, terre, soleil) en fait une destination cible pour une gamme variée de touristes. L’île est renommée pour la richesse de sa faune et de sa flore (80% des espèces végétales sont endémiques). 32 espèces de lémuriens (animaux endémiques) constituent la principale attraction pour de nombreux touristes. Avec presque 5,000 km de littoral et un plateau continental égal à 20% des terres, Madagascar possède un capital balnéaire de niveau international et elle bénéficie également d’une spectaculaire faune sous-marine. C’est un pays de contraste offrant un large panel de sites et de paysages.
La Réserve Naturelle des Tsingy du Bemaraha à l’Ouest, qui consiste en une spectaculaire formation karstique géologique, est un site classé Patrimoine Mondial par l’UNESCO. Les 16 Parcs Nationaux, en plus d’autres aires protégées, couvrent 3% de la superficie de Madagascar et sont éparpillées dans toute l’île. Quatre réserves marines sont regroupées autour de Mananara Nord et une réserve Biosphère se trouve sur la côte nord-est. Des réserves privées parsèment également l’île et sont visitées par les touristes. Madagascar dispose également d’un potentiel en tant que destination des bateaux de croisière et figure déjà dans les programmes de plusieurs lignes de croisière, se plaçant naturellement entre trois destinations primordiales de croisière, Le Cap, Durban et Mombasa.
Potentialités touristiques de Madagascar
Le tourisme est désormais en passe d’être le levier de développement pour Madagascar. Les dernières statistiques officielles confirment cette tendance. En effet, le nombre de touristes est passé de 277.051 en 2005, à 311.730 en 2006, et 344.348 en 2007. Le secteur a réalisé 93.61% de son objectif selon le rapport annuel d’activité 2007 du Ministère de des Forêts, Environnements et Tourisme. Depuis pratiquement trois ans, notre pays est devenu une destination préférée des Occidentaux. Le film « Madagascar » y est certainement pour quelque chose. En outre, notre apparente « stabilité politique» semble rassurer les visiteurs. Maintenant que le Kenya, l’Afrique du sud et de bon nombre de pays asiatique souffrent d’une mauvaise image, pour différentes raisons, Madagascar a la cote auprès des tours opérateurs. Un statut que l’île doit absolument préserver si elle veut maintenir, voire augmenter, les recettes engrangées par ce secteur.
Les facteurs bloquant le développement du secteur
Il n’y a pas de quoi se pavoiser, car le pays est encore loin des performances enregistrées, entre autres, par La Réunion et l’île Maurice. Notre point faible, il faut le dire, réside notamment d’accueil, l’hôtellerie, la Bâtiment et Travaux Publics- Promotion 2008 restauration, la sécurité, etc. Ce côté artisanal demeure un handicap. Conjointement, beaucoup de facteurs portent atteinte au développement du tourisme : l’irrégularité et la cherté des vols nationaux et internationaux, les réseaux routiers et ferroviaires dégradés, la défaillance des sauvegardes de nos infrastructures touristiques (cas du Rova de Manjakamiadana), la destruction de l’environnement, l’insuffisance de réseaux de télécommunication, mais aussi l’instabilité politique et l’insécurité qui règnent en permanence dans notre pays.
La potentialité touristique de Madagascar n’est pas encore exploitée en grande partie. Après l’évaluation compréhensive des états de lieux, on constate que le secteur touristique de Madagascar est encore à ces premiers balbutiements. Néanmoins, la République de Madagascar possède un grand potentiel pour devenir l’une des destinations les plus compétitives dans l’Océan Indien. Malgré les revers subis dans les développements politique et économique en 2002, le secteur touristique a vu arriver un nombre croissant de touristes. Le pays a le grand avantage d’offrir une destination vierge sur un marché qui explose littéralement et où l’on n’a pas commis d’erreurs de développement dans le passé. Les beautés naturelles extraordinaires de Madagascar constituent un apport en capital d’avenir pour le pays et son développement touristique. Il faudra donc déployer les meilleurs efforts pour la préserver.
Produits touristiques futurs de Madagascar
Madagascar attire principalement de jeunes aventuriers à l’esprit ouvert, des voyageurs expérimentés d’âge moyen et des retraités dynamiques. A part la France, les pays germanophones (Allemagne, Suisse et Autriche) ainsi que l’Italie présentent un potentiel énorme en tant que marchés émetteurs.
Les îles de Maurice, Réunion, Seychelles et Mayotte sont d’un potentiel assez important pour des vacances de courte durée, des formules week-end ou pour visiter amis et famille.
Madagascar est d’un potentiel énorme pour attirer le marché « intérêt spécial » qui est en plein boom (circuits, culture & paysages, sports & aventure). Ces dernières années, le tourisme de croisières attirant une clientèle de marché supérieur a connu un essor à Madagascar. La maximalisation de ces revenus joue activement en faveur de l’économie locale. Malgré le grand nombre d’avantages liés au tourisme de croisières, la mauvaise gestion de celui-ci peut affecter l’environnement. Il est déconseillé de promouvoir l’écotourisme et le tourisme faune & flore dans le cadre d’un tourisme de masse, sinon l’on risque de détruire l’environnement exceptionnel de Madagascar.
A long terme, le tourisme d’affaires accroîtra la diversité de produits. Ce segment permet d’offrir de diverses opportunités d’emplois et des sources supplémentaires de revenus. A part cela, les tranches “intérêt spécial” et “plage & soleil” devront être fortement promues comme types de tourisme nouveaux et aussi importants afin de réaliser la hausse envisagée des arrivées touristiques.
Le tourisme national (journalier, courte durée, tourisme balnéaire), étant un autre nouveau type de tourisme à développer pour Madagascar, introduit la possibilité à la population locale de participer au développement touristique continu.
Actions prioritaires
La mise en place des infrastructures améliorées dans l’ensemble du pays est cruciale pour un développement touristique réussi. A court terme, il faudra assurer une bonne accessibilité par voie terrestre ou aérienne et toute une variété d’hébergements de grande qualité. Afin de pouvoir offrir certains produits touristiques, il est nécessaire de construire ou élargir les facilités touristiques correspondantes (par exemple, des facilités de sports aquatiques et nautiques, ports de croisières). Il faudra imposer des politiques et directives de protection de l’environnement valables pour touristes, tour-opérateurs et écolodges.
En général, les aéroports principaux devront être valorisés de toute urgence pour répondre aux standards internationaux. Les touristes devront aussi être encouragés à passer plus de temps, voire dépenser plus d’argent, dans les centres-villes. Ceci peut être réalisé par une amélioration des infrastructures, la restauration des bâtiments intéressants, la prolongation des heures d’ouverture des magasins et l’introduction des activités culturelles. En ce qui concerne les parcs nationaux, il faudra mettre en place des panneaux indicateurs et des tableaux d’illustration pour sensibiliser les touristes et la population locale à la découverte de la nature extraordinaire de la région visitée.
Le comportement de la population locale est primordial si l’on veut réussir le défi touristique dans l’avenir. Ainsi, le plan directeur détermine quelques mesures de lancement concrètes à bas budget durant les premiers six mois de la mise en œuvre de ladite stratégie afin de démontrer les effets positifs du tourisme à la population locale.
Activités de marketing et distribution
Il est absolument nécessaire de lancer des activités efficaces de marketing et de promotion pour sensibiliser encore davantage des touristes potentiels, des tour-opérateurs et des agences de voyages internationaux. Selon les objectifs de marketing décrits dans le plan directeur, la diversification des groupes ciblés jusqu’en 2013 est d’une importance primordiale. Le tourisme plage & soleil devra être boosté pour réaliser une hausse des arrivées touristiques jusqu’à 40%. Le tourisme à intérêt spécial devra être élargi également (jusqu’ à 45%). Le tourisme domestique (10%) et le tourisme d’affaires (5%) devront être développés comme potentialités émergentes dans l’avenir. Les sites qui sont déjà dotés d’infrastructures touristiques doivent être commercialisés en premiers. Le marketing aura également comme tâche de sensibiliser les visiteurs et la population locale encore davantage pour la protection des ressources naturelles et de créer une imag positive au pub ic. Il est aussi fort ment recommandé d joindre les forces avec les pays voisins dans la réalisation des activités communes de marketing. Pour le marketing de produits, le plan directeur propose des activités spécifiques de marketing.
Ressources humaines
Madagascar se doit d’établir un système compréhensif d’éducation et de formation touristiques de grande qualité. Comme le tourisme est un outil important pour réussir le défi de maîtriser le développement retardé de Madagascar, le plan directeur prévoit une augmentation de la quote-part du secteur touristique dans la création d’emplois pour atteindre 30%. Par rapport à la croissance poussée la croissance touristique résultera à 33.857 nouveaux postes en total dans le secteur jusqu’en 2013 y compris 10.157 employés travaillant dans des secteurs liés au tourisme. Seront crées 101.571 postes supplémentaires sous forme d’emplois indirectes dans le bâtiment, le transport, l’agriculture et la vente en détail. Afin de développer le secteur des ressources humaines pour le tourisme, il est primordial de coordonner les activités et les actions communes entre les secteurs public et privé et parmi les institutions.
En résumé, le plan directeur donne une orientation claire pour savoir comment convertir Madagascar en une destination touristique compétitive de renommée internationale grâce à la grande qualité de ses produits touristiques. En prenant en considération les actions prioritaires à court, moyen et long terme identifiées dans le plan directeur, le tourisme se développera de manière durable en optimisant les bénéfices pour la population locale. Il en résultera une montée des niveaux d’éducation et de vie à long terme. Assurément, la base pour un développement touristique à long terme est garantie tant par les beautés naturelles que par les richesses culturelles extraordinaires de Madagascar. Protéger cette base est donc d’une importance primordiale pour l’avenir.
Situation actuelle dans le secteur tourisme
Les investissements touristiques concernent en général des équipements comprenant les bâtiments, aménagements extérieurs et infrastructures qui servent à l’hébergement et au ravitaillement des touristes et du personnel de service, ainsi que les réseaux d’approvisionnement en eau et en énergie. A cela s’ajoutent les équipements spéciaux pour activités de loisirs, récréatives, sportives et de visite (salles de jeux, casino, dancing, tennis, piscines, sentiers, marinas, etc.).
L’autre type d’investissement concerne les produits ou activités touristiques non liés à des installations ou infrastructures particulières : plongée sous-marine, ski nautique, chasse, randonnée pédestre, raid motorisé, circuits à travers le pays, voyage organisé sur certaines voies navigables, visites organisées dans les sites culturels, d’attractions naturelles et les parcs nationaux, etc.
Typologie des projets touristiques
Ainsi les projets touristiques prévus à Madagascar sont classés en trois groupes :
Projet touristique avec infrastructures et activités connexes.
Projet d’activités touristiques sans infrastructures.
Projet d’aménagement de zones touristiques (ZIT zone d’intérêts touristiques et ZIE zone d’intérêts écotouristiques).
Il est à noter que les deux premiers types de projet peuvent être inclus dans celui d’aménagement des zones touristiques (ZIT et ZIE).
Projets touristiques avec infrastructures et activités connexes
Ces projets comprennent :
Hébergement : complexe balnéaire, hôtel, motel, installation de club, écolodge, bungalows, gîte d’hôtes, centre résidentiel (appartements en multipropriété, habitations privées et villas), cabanon de plage, camping, etc..
Restauration : restaurants touristiques, restaurants locaux, snacks, cafétérias, bars, etc..
Accueil : centres d’information, d’interprétation, de découverte, commerciaux, magasins de souvenirs.
Loisir, santé : salle de jeux, discothèque, parcs de loisirs, de sport, piscine, centres de santé et d’acclimatation, sauna, etc..
Equipement : voies d’accès, jardins, locaux techniques, aéroports et aérodromes, piste d’atterrissage, ports, jetée, marina, appontements, etc..
Réseau d’approvisionnement en eau et en énergie et gestion des eaux usées et déchets domestiques.
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Table des matières
P ARTIE.1. CADRE DE L’ETUDE
C HAPITRE.1. Présentation de la ville d’Antananarivo
1 . Historique : création de la ville
1 .1. Période des dynasties
1 .2. La période coloniale
1 .3. L’ère du béton et des bidonvilles
2 . Présentation d’Antananarivo (Données socio-démographiques)
2 .1. Milieu physique
2 .2. Milieux Humain et Social
2 .3. Les centres d’intérêts touristiques de la ville
C HAPITRE.2. Le tourisme à Madagascar
1 . Etat actuel du Tourisme : (Diagnostics et état des lieux)
1 .1. Madagascar dans le secteur tourisme international
1 .2. Forces et faiblesses du secteur
2 . Politique de l’Etat en matière de tourisme- PLAN DIRECTEUR TOURISTIQUE
2 .1. Produits touristiques futurs de Madagascar
2 .2. Actions prioritaires
2 .3. Activités de marketing et distribution
2 .4. Ressources humaines
3 . Présentation des différents types de projets touristiques à Madagascar
3 .1. Situation actuelle dans le secteur tourisme
3 .2. Typologie des projets touristiques
C HAPITRE.3. Justification du projet
1 . Antananarivo- carrefour de Madagascar
2 . Objectif du Projet
3 . Stratégie
P ARTIE.2. CONCEPTION ET ETUDES ARCHITECTURALES
C HAPITRE.1. Programmes et volume du projet
1 . Généralités
2 . Localisation du site :
3 . Programme du projet :
C HAPITRE.2. Etablissement de plan de masse :
1 . Organisation du plan de masse :
1 .1. Répartition en zones :
1 .2. Répartition en lots :
2 . Etude des voiries
2 .1. Conception :
2 .2. Le tracé en plan :
2 .3. Le profil en long
2 .4. Le profil en travers
C HAPITRE.3. Conception architecturale :
1 . Appartements
1 .1. Forme et composition :
1 .2. Esquisse
2 . Studios
2 .1. Forme du bâtiment et estimation de la superficie
2 .2. Espace intérieur :
3 . Hôtel – Restaurant et annexes
3 .1. Estimation de la superficie de chaque local
3 .2. Aspect esthétique
3 .3. Esquisse
3 .4. Façades
3 .5. Normes et règlements
P ARTIE.3. ETUDES TECHNIQUES
C HAPITRE.1. Prédimensionnement des structures
1 . Plancher
2 . Les poutres
3 . Les poteaux
C HAPITRE.2. Calcul des actions
1 . Effet de vent
1 .1. Hypothèses
1 .2. Caractéristiques du bâtiment
1 .3. Perméabilités des parois
1 .4. Pression dynamique de base corrigée
1 .5. Amplification dynamique exercées par le vent
1 .6. Actions statiques exercées par le vent
2 . Charges verticales
2 .1. Les charges permanentes
2 .2. Les charges d’exploitation
C HAPITRE.3. Descentes des charges
1 . Généralités
1 .1. But et principe
1 .2. Démarche de calcul
1 .3. Hypothèses de calcul
1 .4. Choix de la file à étudier
2 . Descente des charges dues aux charges verticales
3 . Calcul de descente des charges dues aux charges horizontales
3 .1. Principe général
C HAPITRE.4. ETUDE DE LA TOITURE
1 . Vérification de la couverture
1 .1. Caractéristiques du matériau
1 .2. Entraxes
1 .3. Détermination des actions :
1 .4. Combinaisons d’actions :
1 .5. Vérification de la résistance de la couverture :
1 .6. Vérification de la flèche :
2 . Calcul des pannes
2 .1. Principe de dimensionnement
2 .2. Inventaire des charges
2 .3. Combinaison d’action
2 .4. Condition de résistance
2 .5. Condition de flèche
3 . Calcul de la charpente métallique
3 .1. Généralités
3 .2. Calcul des efforts dans les barres
C HAPITRE.5. CALCUL DES STRUCTURES- ETUDE DE PORTIQUE
1 . Définition et fonction
2 . Méthodes de détermination des sollicitations
3 . Evaluation des charges
3 .1. Portique de calcul
3 .2. Charges verticales sur la poutre
3 .3. Charges horizontales sur les poteaux
3 .4. Combinaison d’action
C HAPITRE.6. ETUDE DE LA SUPERSTRUCTURE
1 . Notion de la règle de béton armé aux états limites
1 .1. Définitions
1 .2. Caractéristiques des matériaux
2 . Les poutres transversales
2 .1. Définition et hypothèses
2 .2. Calcul des poutres
2 .3. Armatures longitudinales
2 .4. Vérification de la déformabilité des poutres
2 .5. Vérification de l’âme du béton
2 .6. Vérification des conditions d’appuis
2 .7. Détermination des armatures d’âmes
3 . Calcul de poutre longitudinale
3 .1. Evaluation des charges
3 .2. Calcul des armatures
3 .3. Vérification de la flèche
3 .4. Vérification de béton de l’âme
3 .5. Vérification des conditions d’appuis
3 .6. Détermination des armatures d’âmes
4 . Calcul d’une poutre courbe
4 .1. Détermination des sollicitations
4 .2. Vérification du béton
4 .3. Justification du béton
4 .4. Détermination des armatures
5 . Calcul des planchers
5 .1. Généralités
5 .2. Description de plancher
5 .3. Calcul de la dalle de compression
5 .4. Calcul des nervures
6 . Les poteaux
6 .1. Généralités
6 .2. Détermination des armatures longitudinales
6 .3. Armatures transversales
7 . Calcul de l’escalier
7 .1. Définition et fonction
7 .2. Caractéristiques
7 .3. Modélisation de la structure
7 .4. Détermination des armatures :
7 .5. Vérification rapide à l’ELS
C HAPITRE.7. ETUDE DE L’INFRASTRUCTURE
1 . Définition et fonction
2 . Environnements
3 . Etude de la fondation
3 .1. Charge limite et charge de fluage
3 .2. Prévision de la charge limite Ql par la méthode préssiométrique
3 .3. Prévision de la charge limite Ql par des méthodes dynamiques
3 .4. Prédimensionnement de la semelle
3 .5. Justification de la fondation
4 . Ferraillage des semelles
5 . Calcul des longrines
5 .1. Evaluation des sollicitations
5 .2. Calcul des armatures
C HAPITRE.8. ETUDE DES ELEMENTS DU SECOND OEUVRE
1 . L’électricité
1 .1. Notions de base
1 .2. Niveaux d’éclairement et sécurité
1 .3. Ambiance et couleur
1 .4. Calcul de nombres des lampes de chaque local
2 . Assainissement
2 .1. Généralité
2 .2. Evacuation des eaux pluviales
2 .3. Evacuation des eaux
2 .4. Dimensionnement des fosses septiques
3 . Alimentation en eau potable
P ARTIE.4. EVALUATION FINANCIERE DU PROJET ET ANALYSE ENVIRONNEMENTALE
C HAPITRE.1. Devis descriptif
C HAPITRE.2. Devis quantitatif et estimatif
1 . Calcul du coefficient de majoration de déboursés « K »
C HAPITRE.3. ETUDE DE RENTABILITE
1 . Notion Générale
2 . Capital initialement investi
3 . Locations prévisionnelles et chiffres d’affaires annuelles envisagés
4 . Les charges annuelles
5 . Méthode de calcul des indicateurs de rentabilité
5 .1. Cash flow
5 .2. Actualisation
5 .3. La valeur actuelle nette (VAN) :
5 .4. Le taux de rentabilité interne TRI
5 .5. Le délai de récupération du capital investi DRCI
C HAPITRE.4. Analyse Environnementale
1 . Généralité
2 . Catégorisation des projets touristiques selon le décret MECIE
3 . Description du projet
3 .1. Les composantes du projet et ses infrastructures techniques
3 .2. Description des composantes du milieu récepteur les plus pertinentes :
4 . Analyse des impacts
4 .1. Indentification des impacts potentiels
4 .2. Atténuation des impacts
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