PME VUE PAR LES THEORIES ECONOMIQUES AINSI QUE LA SITUATION ECONOMIQUE DE MADAGASCAR

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LES THEORIES ECONOMIQUES INDIFFERENTS AUX PME

Quand on parle des PME, la premiรจre chose qui nous vient ร  lโ€™esprit concerne la taille de cette derniรจre. Or, dโ€™aprรจs nombreux รฉconomistes, les PME font parties des secteurs institutionnels et que son but est pareil que pour les grandes entreprises, cโ€™est-ร -dire avoir le maximum de profit. Ce qui peut รชtre bรฉnรฉfique pour le dรฉveloppement รฉconomique comme Adam SMITH le prรฉconise dans son ยซ Main Invisible ยป.
Le problรจme sโ€™est posรฉ avec le ยซ rendement dโ€™รฉchelle dรฉcroissant ยป que PIGOU relate dans le problรจme de ยซ Taille optimale ยป et oรน une importance de taille de lโ€™entreprise engendrerait des coรปts supplรฉmentaires dans la bureaucratie. Les รฉconomistes de la concurrence imparfaite dรฉmontraient aussi que les firmes ont tendances ร  grandir pour atteindre une position monopolistique ou oligopolistique pour mieux dominer le marchรฉ.
Bref, les PME sont juste des phases transitoires car elles sont destinรฉs ร  disparaitre dans 70 % des cas (Phillips et Kirchhoff, 1989) ou encore absorbรฉ par des entreprises plus grandes. Seul 1 % rรฉussissent ร  devenir plus grandes, ce faible taux sโ€™explique par un paramรจtre stochastique. Mais on peut voire en consรฉquent quโ€™il existe des nombreux PME arrivant ร  survivre aux diffรฉrents crises รฉconomiques, ce qui nโ€™est pas le cas des grandes entreprises qui ont besoin des aides de lโ€™Etat. Lโ€™autre explication avancรฉ pour justifier les fermetures des PME est que celle-ci ont dรฉjร  atteint leurs objectifs et que la croissance nโ€™รฉtait pas leurs prioritรฉs.
Un autre argument avancรฉ par les รฉconomistes concerne les thรฉories de lโ€™รฉconomie dโ€™รฉchelle qui stipule la diminution des coรปts au fur et ร  mesure quโ€™on produit en plus grand nombre. Selon Walsh alors, si la prรฉsence de lโ€™รฉconomie dโ€™รฉchelle sโ€™est avรฉrรฉe sans contraintes, cela tend vers lโ€™รฉlimination de toute concurrence car il serait impossible de crรฉer des nouvelles entreprises dans un domaine oรน il y en a dรฉjร . Ce qui remet en cause aussi la sous-traitantes du fait que lโ€™รฉconomie dโ€™รฉchelle donnerait raison aux diminutions des coรปts. La question de la taille optimale pose aussi problรจme du fait quโ€™on ne peut pas vraiment lโ€™identifier par rapport ร  un marchรฉ.

LES THEORIES ECONOMIQUES FAVORABLES AUX PME

La premiรจre thรฉorie avancer dans lโ€™รฉmancipation des PME est la prรฉsence de plusieurs interstices sur le marchรฉ. Cโ€™est-ร -dire que dans divers rรฉgions et localitรฉs, pour des raisons socioculturelles ou ร  cause de lโ€™รฉloignement gรฉographique, il y toujours des marchรฉs oรน les grandes entreprises ne sโ€™intรฉressent pas. Cela aussi peut sโ€™expliquer au fait que le marchรฉ ne soit suffisamment dรฉveloppรฉ ou encore lโ€™augmentation des revenus des mรฉnagesqui aident beaucoup aux segmentations tels que les marchรฉs de la mode ou encore du tourisme.
Les distorsions sur le marchรฉ du travail ont poussรฉ aussi notamment la population active ร  crรฉer leurs propres entreprises faute de dรฉbouchรฉs. Cโ€™est ce quโ€™on a vu pendant les pรฉriodes de baby-boom. Une autre raison qui pousse la crรฉation de ces entreprises est lโ€™innovation technologique qui permet dโ€™augmenter la productivitรฉ ainsi que la compรฉtitivitรฉ. Autre variable non nรฉgligeable est la concurrence internationale qui oblige les grandes firmes ร  appeler des sous-traitantes.
Notons quโ€™il y a diffรฉrent types de tailles des PME, allant de trรจs petites ร  moyennes entreprises. Il y a aussi les PME qui peuvent rรฉpondre aux besoins immรฉdiats des populations mais aussi des entreprises qui a des vocations technologiques.
Elles constituent alors un levier pour la crรฉation dโ€™emplois, mรชme si leur productivitรฉ n’arrive pas encore ร  suivre le rythme des FMN ou grandes entreprises. Lโ€™’existence des nombreuses sous-segments favorise l’existence d’une contradiction. La crรฉation d’entreprise rime en gรฉnรฉrale avec crรฉation d’emploi mais en rรฉalitรฉ, ce n’est pas la taille qui est le seul variable ร  considรฉrer. En effet, dans la plupart des cas, plus une entreprise est jeune plus il crรฉe de l’emploi. Donc il n’est pas tort d’avancer que le facteur รขge est plus important que la taille d’une entreprise. Cโ€™est plus judicieux alors de subventionner les jeunes entreprises du fait qu’elles ont une plus grosse capacitรฉ d’absorber le chรดmage. Ainsi on obtiendra des effets sur le plan quantitatif autant que sur le plan qualitatif. En ce qui concerne les PED, la plupart des PME sont des micro-entreprises ล“uvrant dans le secteur informel mais cela permet encore d’avoir une croissance non nรฉgligeable ร  la crรฉation d’emploi.

SITUATION ECONOMIQUE A MADAGASCAR.

Madagascar a connu une faible croissance รฉconomique depuis son indรฉpendance (1,9% en moyenne). Le taux dโ€™investissement durant cette pรฉriode semble insuffisant (en moyenne 14,6%) pour tirer une croissance รฉconomique รฉlevรฉe, mais lโ€™รฉchec du dรฉveloppement รฉconomique et social du pays provient surtout de lโ€™instabilitรฉ politique qui a entrainรฉ une transformation perpรฉtuelle du modรจle de dรฉveloppement ร  chaque changement de Rรฉpublique. Ce ne sont pas les actions et politiques รฉconomiques menรฉes durant les cinquante annรฉes passรฉes qui sont entiรจrement responsables du dรฉclin de lโ€™รฉconomie malgache car, toutefois, ร  lโ€™aube de chaque crise survenue au pays, des croissances รฉconomiques รฉlevรฉes ont รฉtรฉ enregistrรฉes : en 1971(3,9%), 1990 (3,1%), 2001 (6%) en 2008 (7%). L’absence de mรฉcanisme de partage ou de rรฉpartition des revenus issus de la croissance pour crรฉer des emplois et amรฉliorer les conditions de vie de la population est la cause principale de lโ€™instabilitรฉ des politiques menรฉes et lโ€™รฉchec des modรจles de dรฉveloppement รฉconomique et social ร  Madagascar. Le PIB a progressรฉ rapidement entre 1997 et 2001 avec un taux moyen de 4.5%, suite ร  la mise en ล“uvre dโ€™un programme rigoureux de stabilisation et dโ€™ajustement structurel en collaboration avec le FMI et la Banque Mondiale. Les problรจmes de gouvernance demeurent et lโ€™enclavement dรป ร  lโ€™insuffisance des infrastructures รฉconomiques accentue la pauvretรฉ des populations.
Suite ร  la crise politique de 2002, le pays a connu une grave rรฉcession, marquรฉe par un taux de croissance de โ€“ 12%. Cette situation a aggravรฉ la pauvretรฉ qui touche dรฉsormais 80% des Malgaches (71% en 2001). Aprรจs la parenthรจse de la crise politique, qui a remis en cause la croissance รฉconomique en 2002, des mesures ont รฉtรฉ prises par le gouvernement pour relancer lโ€™activitรฉ รฉconomique et le dรฉveloppement social. Un ensemble de rรฉformes a รฉtรฉ initiรฉ, notamment la rรฉhabilitation des infrastructures routiรจres pour dรฉsenclaver les rรฉgions, et la rรฉforme du secteur รฉducatif et sanitaire. Le pays connaรฎt depuis lors une reprise du PIB rรฉel. Lโ€™annรฉe 2003 a รฉtรฉ marquรฉe par le redressement de lโ€™รฉconomie avec un taux de croissance qui sโ€™รฉtablit ร  9.8%. En 2004, malgrรฉ la forte dรฉprรฉciation du franc malgache qui a perdu 50% de sa valeur contre lโ€™euro, lโ€™รฉconomie a pu maintenir un taux de croissance de5.3%. Pour lโ€™annรฉe 2005, il est prรฉvu un taux de croissance de 6%.
Depuis 2009, lโ€™effet des cinq annรฉes de crise politique ร  Madagascar a fortement affaibli l’รฉconomie malgache. Le taux de croissance รฉconomique nโ€™est que de 0,9% en moyenne pour la pรฉriode de 2009 ร  2013. La croissance a continuรฉ ร  stagner du fait de lโ€™incertitude persistante, de la perte dโ€™accรจs au marchรฉ prรฉfรฉrentiel notamment celui de lโ€™AGOA, de la suspension des aides budgรฉtaires, et des catastrophes naturelles. Au cours de la crise 2009-2013, le dรฉficit de la balance des paiements sโ€™est aussi aggravรฉ ร  cause dโ€™une dรฉcroissance des opรฉrations financiรจres due surtout ร  la rรฉduction des IDE (passรฉs de 15% du PIB en 2008 et 2009 ร  5% du PIB en 2013) .Par contre, le dรฉficit du compte courant extรฉrieur sโ€™est amoindri, reprรฉsentant lโ€™รฉquivalent du 10,2% du PIB contre 18,9% en 2008 suite ร  la hausse plus rapide des exportations, marquรฉe par celles de cobalt et nickel, par rapport ร  celle des importations. De ce fait, lโ€™Ariary sโ€™est dรฉprรฉciรฉ de 5,4% et 3,2% par rapport aux principales devises (lโ€™USD et lโ€™Euro) malgrรฉ que les rรฉserves en devises restent stables autour de 3 mois dโ€™importations. Sous lโ€™effet de la crise, la durรฉe du chรดmage a รฉtรฉ de plus en plus longue. En moyenne, le chรดmage dure 12,2 mois. Ces phรฉnomรจnes traduisent lโ€™incapacitรฉ du secteur formel ร  rรฉsorber la main dโ€™ล“uvre prรฉsente sur le marchรฉ de lโ€™emploi entrainant lโ€™explosion du secteur informel (constituant 90% des emplois). Le sous-emploi concerne 10 % de la population active et 80 % pour lโ€™emploi inadรฉquat. Cependant, une modeste reprise sโ€™est amorcรฉe en 2011 avec une croissance moyenne de 2,3 % pour la pรฉriode 2011 ร  2013, soutenue principalement par les deux grands projets miniers dโ€™envergure mondiale mais elle reste en dessous de la croissance dรฉmographique (2,8 %) et de la croissance รฉconomique moyenne de lโ€™Afrique subsaharienne estimรฉe ร  5,1 % par le FMI.
Malgrรฉ le retour ร  lโ€™ordre constitutionnel et la reprise des nรฉgociations avec les partenaires techniques et financiers, la relance de lโ€™รฉconomie nโ€™est pas encore constatรฉe avec une croissance รฉconomique de lโ€™ordre de 3,3% en 2014. Le secteur secondaire reste le moteur de cette croissance du PIB avec la bonne performance des industries extractives qui fonctionnent presque ร  pleine capacitรฉ de production. Le secteur agricole a aussi contribuรฉ ร  cette croissance du PIB grรขce ร  lโ€™amรฉlioration de la production rizicole (10,2%). Le secteur tertiaire a connu un taux de croissance de 2,3% en 2014 contre 1,3% en 2013 suite ร  la progression des activitรฉs de la branche des Bรขtiments et Travaux Publics (3,1% en 2014 contre -2,2% en 2013), du Commerce (2,9% en 2014 contre -3,4% en 2013), et la performance des banques (5,3%), et des transports de marchandises (3,4%). Nous pouvons constater, dโ€™aprรจs ce graphe, quโ€™ร  Madagascar le PIB a connu une chute en 2002 et en 2009 suite aux crises tandis quโ€™il a atteint un plafond de 10% en 2003. Le secteur Tertiaire occupe la plus grande part dโ€™activitรฉ en moyenne de 50%. Le secteur Primaire, lui, il semblerait ne pas รชtre trรจs fortement touchรฉ par les crises car son taux varie constamment entre 20 et 40%. Le secteur Secondaire serait trรจs sensible ร  la crise de 2009 parce quโ€™il a touchรฉ son taux minimum de 0% entre 2009 et 2010. Il est ร  noter que tous les secteurs dโ€™activitรฉ ont connu une croissance moyenne annuelle positive entre la pรฉriode 2003 ร  2009 : 2,7% pour le secteur primaire, 3,03% pour le secteur secondaire et 2,1% pour le secteur tertiaire.

REVUE DE LITTERATURE

Pour cette revue, on va survoler les caractรฉristiques des PME ainsi que sa contribution ร  travers le monde pour revenir dans le cas des activitรฉs industriels ร  Madagascar.

CARACTERISTIQUES ET TERMINOLOGIES.

Dโ€™aprรจs la lecture de quelques articles et en plus des autres rapports dโ€™enquรชte de lโ€™Institut National de la Statistique (INSTAT), de la Banque Mondiale (BM) et des Fonds Monรฉtaire International (FMI) concernant les petites et moyennes entreprises (PME) et leur impact sur le dรฉveloppement dans les pays en dรฉveloppements dont Madagascar fait partie, nous pouvons dire que la plupart de PME sont dans le secteur informel.
Les PME sont des structures รฉconomiques anciennes. Elles furent considรฉrรฉs comme des structures non conventionnel vu l’importance de la production dans l’รฉconomie. Elles n’รฉtaient pas efficace vis ร  vis des grandes entreprises oรน ses derniers respectaient certains normes alors que dans le monde dโ€™aujourdโ€™hui, oรน la mondialisation prenne de l’ampleur, elle reprรฉsente la rรฉussite dans le monde de l’entreprenariat. (Ammar SELLAMI)
Mais sa fragilitรฉ retient encore toutes les attentions et nรฉcessite les protections. Depuis quelques annรฉes, ce sont les PME qui sont les sources de crรฉation d’emploi que ce soit pour les รฉconomies dรฉveloppรฉs ou celles en dรฉveloppement. Elles se dรฉmarquent surtout dans les pays dรฉveloppรฉs ou en transition et reprรฉsente une alternative aux crises รฉconomiques qui se produisent. La mondialisation mais aussi l’รฉvolution des thรฉories du dรฉveloppement ainsi que la difficultรฉ de l’ancien systรจme de production favorisait l’avรจnement des PME.
Lโ€™existence de la PME dans le secteur informelle est le fruit des dispositions lรฉgales imposรฉes par les gouvernements. Les petites entreprises nโ€™ont pas le choix que de se mettre ร  lโ€™abri de lโ€™รฉconomie informelle. Ces dispositions lรฉgales mettent un obstacle aux agents รฉconomiques dans la crรฉation des entreprises et obligent les PME ร  entrer dans le secteur informel.

LES APPORTS POUR LE DEVELOPPEMENT

Pour Guy PFEFFERMANN (2001) La contribution du secteur privรฉe pour le dรฉveloppement dans le long terme est inรฉluctable surtout pour une meilleure bonne gouvernance. Mais l’apport des sociรฉtรฉs privรฉs fait toujours l’objet d’une controverse mรชme si cela se centre sur un seul aspect tels que la taille, l’IDE ou encore la privatisation. Cela peut s’expliquer par la domination de la statistique รฉconomique en tant qu’รฉtude empirique fondamentale qui ne distingue pas les secteurs publiques et secteurs privรฉes, tous deux englobรฉs dans les ยซย secteurs productifsย ยป. Ce qui complique la traรงabilitรฉ mais aussi l’รฉvolution des entreprises privรฉs par rapport ร  la valeur ajoutรฉe. Notons que seul 1/4 des pays possรจde une telle statistique d’aprรจs la banque mondiale.
Alors que pour sortir de l’extrรชme pauvretรฉ, on a besoin dโ€™un secteur privรฉ forte ร  ‘instar des pays scandinaves qui sont devenues riches en misant sur cela. En effet, le fait d’avoir un emploi contribue beaucoup ร  amรฉliorer le niveau de vie, donc un recul de la pauvretรฉ. Pour ce qui est des pays en dรฉveloppement, les PME prennent une place vraiment importante vue leur facile implantation par rapport aux grandes entreprises. Ce sont les entreprises quelque soit leurs taille qui contribuent ร  cette amรฉlioration. Ces derniers pallient alors les lacunes du secteur public dรป ร  une mauvaise gouvernance. On peut citer entre autre une hausse des recettes fiscales pour financer les dรฉpenses de fonctionnement des administrations publiques.
Cela amรฉliore aussi la compรฉtitivitรฉ ร  l’รฉchelle locale et a pour consรฉquence l’amรฉlioration des diverses capitales. Sur le long terme, cette compรฉtitivitรฉ mรจne peu ร  peu vers l’รฉconomie d’รฉchelle en diminuant les coรปts tout en augmentant la productivitรฉ. Mais beaucoup de pratique tels que les monopoles, oligopole les barriรจres et protectionnisme menace cette expansion et s’avรจrent รชtre des handicaps. Les gouvernements des pays en dรฉveloppement sont chargรฉs alors de mener des rรฉformes institutionnelles afin de faciliter les activitรฉs commerciales. Plusieurs รฉtudes ont montrรฉ que dans le long terme, il y a une corrรฉlation positive entre les performances commerciales et la performance รฉconomique notamment sur la rรฉduction de la pauvretรฉ.
Bref, les pays qui amรฉliorent les institutions tout en prรดnant la concurrence redynamisent les vertus des entreprises privรฉs sur la pauvretรฉ. A l’inverse, les gouvernements qui nโ€™enlรจvent pas les obstacles ร  la crรฉation des PME donnent du terrain au secteur informel, ce qui limite la crรฉation d’emploi et la mobilitรฉ social par consรฉquent.
Selon la confรฉrence internationale du travail dans lโ€™annรฉe 2015, ils existent trois principaux obstacles qui freinent le dรฉveloppement des PME dans tous les pays. On peut citer comme suit : la difficultรฉ dโ€™obtenir un financement, lโ€™accรจs limitรฉ ร  lโ€™รฉlectricitรฉ et la concurrence des entreprises informelles.
Les PME apportent une plus dans l’objectif qui mรจne au dรฉveloppement surtout pour les pays oรน on rencontre une hausse de la dรฉmographie. Pour les pays de la mรฉditerranรฉen cela a contribuรฉ ร  la rรฉduction du taux de chรดmage ร  travers la crรฉation d’emploi. Cela a aussi a un effet de levier car l’expansion des PME a pour externalitรฉ la hausse de la concurrence mais aussi de la productivitรฉ. Ces effets ont pour vocation de normaliser ces secteurs qui glissent petit ร  petit dans la formalisation de ce dernier. (Fathallah OUALALOU, 2012)

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PROTOCOLE DE RECHERCHE
CHAPITRE I: PME VUE PAR LES THEORIES ECONOMIQUES AINSI QUE LA SITUATION ECONOMIQUE DE MADAGASCAR.
A-LES THEORIES ECONOMIQUES INDIFFERENTS AUX PME
B-LES THEORIES ECONOMIQUES FAVORABLES AUX PME
C. SITUATION ECONOMIQUE A MADAGASCAR.
CHAPITRE II : REVUE DE LITTERATURE
A- CARACTERISTIQUES ET TERMINOLOGIES
B-LES APPORTS POUR LE DEVELOPPEMENT
Faiblesses et menaces : cas de Madagascar
C-LES SECTEURS ET DOMAINES Dโ€™IMPLICATION DES PME.
1-La domination du secteur tertiaire
2-Beaucoup reste dans lโ€™informel
CHAPITRE III : -ANALYSE : IMPACTS DES PME SUR L’ECONOMIE ET LEURS PROBLEMES
A-CONTRIBUTIONS DES PME A Lโ€™ECONOMIE
1- Effets sur lโ€™emploi.
2. Proportion de PME dans la population totale des entreprises, dans lโ€™รฉconomie informelle et parmi les entreprises dรฉtenues par des femmes.
3 -Taille des entreprises et crรฉation dโ€™emplois.
4- Contribution au revenu national et ร  la croissance รฉconomique.
B- PROBLEMES LIEES AUX PME
1-Obstacles pour les entreprises.
2- Problรจmes subis par les travailleurs au sein des PME
C-ETUDE DE CAS DES PME DEMADAGASCAR.
1. Caractรฉristiques des pme malgaches.
2. Apports des pme sur lโ€™รฉconomie malgache
3. Problรจmes et obstacles des PME malgaches.
3-1 Problรจmes de financement.
3-2 Problรจmes dโ€™administration.
3-4 Problรจmes de concurrence
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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