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BUT, OBJECTIF ET INTERET DU PROJET
But et objectif du projet
Madagascar est caractérisé à la fois par la richess de ses ressources naturelles et humaines que par la faiblesse de son économie.
Actuellement, le Gouvernement Malagasy a ainsi mis en œuvre, depuis plusieurs années, une stratégie globale pour un développement rapide et urabled. Cela n’est pas toujours évident en terme de revenu des ménages parce que le pays plonge dans une crise économique très profonde et une instabilité observée des prix à la consommation ; hausse globale du prix du carburant et du prix du riz au début de l’année 2005, les tarifs élevés de la JIRAMA
Rappelant que dans cette région, on observe une abondance de main d’œuvre mais on ne trouve que des cultures de subsistance. C’est la raison pour laquelle, nous allons choisir la plantation de culture d’exportation le Géranium. Selon les estimations, le secteur des produits naturels de Madagascar est à l’origine de plus de $ 250 million s en exportations annuelles.
La croissance des exportations et la compétitivité du secteur des produits naturels constituent un pas important dans le développementéconomique du pays.
Alors, cette étude tiendrait à répondre aux besoinsde la Nation et de la population locale (régions, Districts et communes) en mettant en valeur les potentialités agricoles de la région.
Son intégration dans cette région de Vakinakaratracontribuerait certainement à son développement économique.
Les objectifs de l’unité sont de cultiver et d’extraire des huiles essentielles de géranium bourbon, ayant la qualité propre aux normes internationales, destinée à l’exportation.
Intérêt du projet
Dans le cas du présent projet, du point de vue socio – économique, le secteur agro – industrielle est un phénomène à grands impacts comme la création de nouveaux emplois dans certaines branches d’activités telles que la plantation et la production d’huile essentielle ; et ce système couvre 2 aspects principaux du développement du pays à savoir :
– la santé de tout le monde et utilisation à toutes sortes de maladies (Anti – inflammatoire, plaies, coupures, hémorroïde, vaginales, digestives, rhumatisme…), produits utilisées par l’Homéopharma.
– la promotion des femmes ou des hommes : la beauté (le massage, le parfum,…).
D’aucuns n’ignorent que l’affluence des opérateurs étrangers dans le pays drainent avec eux des supports techniques plus efficaces pour favoriser la culture du Géranium partout dans le pays ainsi que d’autres opérateurs qui assurent la collecte et la vente des produits (soit des masses vertes, de l’huile essentielle) sur le marché international.
Il en résulte que, la relance de l’économie requiert la remise en confiance des investisseurs tant nationaux qu’étrangers. C’est pourquoi, l’Etat malagasy adopte une politique de promotion des investissements, par la mise en place d’un système de facilitation de l’implantation des investisseurs étrangers sur place, par la remise en question des problèmes sur la lenteur administrative, par l’acquisition des terrains et la modification ou bien l’amélioration apportée sur le code des investissements applicables à Madagasc ar, en d’autre terme un environnement sain où tout se joue sur la libre concurrence et l’économie de marché.
En définitive, on peut affirmer que l’analyse des contextes environnementaux donne une idée sur la réussite du projet car grâce à la connaissan ce du milieu, on se sent plus en sécurité et sûr d’investir en rapport avec les opportunités et les menaces que l’on peut rencontrer ainsi que les forces et les faiblesses (interne et externe) liés au projet avant même le lancement définitif. Cela est indispensable pour la survie du projet et pour son efficacité.
MONOGRAPHIE DE LA ZONE
Situation géographique et climatique.
Situation géographique
Relief
La région de Vakinakaratra s’étend sur une superficie de 17 496Km². Elle fait partie des hautes terres. Son relief se distingue par une altitude élevée de l’Ankaratra et elle est dominée par des sols volcaniques comprenant plusieurs périmètreirrigués aménagés : Ambohibary, Faratsiho, Iandratany, Manandona.
Cette région s’identifie aussi par trois ensembles naturels :
– Le centre est caractérisé par le massif volcanique de l’Ankaratra où se trouve le Tsiafajavona la plus haute altitude de la province d’Antananarivo qui culmine à 2 644 mètres,
– Au sud, la constitution de l’Ankaratra provoqué dans la partie occidentale une série d’effondrements favorisant la formation de dépression à froid alluviale et présentant de nombreux cratères et lacs. La zone méridionale, dominée parla chaîne de l’Ibity est constituée d’une succession de petites cuvettes au sol sableux, jonchée de blocs de quartzite de toute taille :
– Le Moyen Ouest de Vakinankaratra est constitué par la pénéplaine de Mandoto-Ramaritina et où l’altitude s’abaisse à 1 000 m.
Situation démographique
Dans l’ensemble de la région de Vakinankaratra, la plupart des Districts ont plus de 180 000 habitants. La taille moyenne d’un Districts est de 268 810 habitants (d’après la source de la préfecture en 2002).
La concentration démographique se trouve surtout à Antsirabe I et II, où l’occupation des sols est la plus densifiée. Cette pression démographique est due au phénomène d’urbanisation favorisant des flux migratoires positifs qui se traduisent par la migration de population en provenance des autres Districts.
La densité globale de la population est de l’ordre de 77.53 habitants au Km². La densité moyenne de la région de Vakinankaratra cache pourtant des disparités au niveau des Districts. En effet, on peut noter une inégale répartition spatiale de la population que ce soit entre les milieux urbain et rural qu’entre les limites administratives et donc des variations importantes de la population.
Situation climatique
L’année comporte trois saisons bien individualisées:
– Une saison pluvieuse et moyennement chaude, de Novembre à Mars ;
– Une saison fraîche et relativement sèche, de Mai à Septembre ;
– Une saison fraîche et relativement froide, d’Avril à Octobre.
Le réseau de stations météorologique s.
La région de Vakinankaratra est dotée de 16 station météorologiques, dont trois seulement sont fonctionnelles.
Température
La région de Vakinankaratra fait partie du régime limatiquec tropical d’altitude, supérieur à 900 mètres. Elle est caractérisée par une température moyenne annuelle inférieure ou égale à 20°C ; Dans les parties élevées de l’Est et du centre, lestempératures moyennes se situent autour de 13°C, le District d’Antanifotsy ayant une moyenn e de 13° 7 avec maxima de 25° 8 et des minima de 1°C.
Par contre, dans le moyen Ouest, le District de Betafo enregistre une moyenne annuelle de température de 21° avec des maxima de 30° 8 et des minima de 10° 2.
Les températures ne présentent pas trop de risquespour les diverses spéculations agricoles, sauf dans les hautes altitudes où quelques dégâts de gels sont enregistrés au moins une année sur cinq.
Pluviométrie
Dans la région du Vakinakaratra, les mesures étanteffectuées pendant des différentes périodes pour la plupart des stations, les donnéesdisponibles ne sont pas les mêmes. La moyenne des pluies annuelles serait ainsi, à titre indicati f, de 1 505.9 mm dans 122 jours à Faratsiho, et un minimum de 1 335.3 mm en 116 jours à Antanifotsy. A ucun mois n’est sec, sauf le Moyen Ouest de Vakinankaratra.
Toutefois, les conditions climatiques sont favorables à l’Agriculture ; d’autant plus que les variations de microclimat font que la région de Vakinankaratra présente toute une gamme de possibilités en matière agronomique, comme les légumes et fruits des pays tempérés dans les zones d’altitude comme Faratsiho, Betafo et Antsirabe.
Ressources agricoles.
La région du Vakinankaratra représente une forte apacité de production de la nation grâce à la richesse du sol et celle du climat ; ell e est le premier grenier de la nation car elle assure 25% en matière de riz, 90% de légumes et fruits et30% en maïs et manioc (source INSTAT).
Principaux attraits agricoles.
Les caractéristiques présentées par la région constituent des atouts importants à exploiter, par une meilleure adéquation des actions en matièrede développement économique et social, une participation plus active des exploitations agricoles dans la vie associative comme appui à ces actions.
Produit et intérêt agricoles.
Les caractéristiques indiquées ci-dessus présententun gigantesque intérêt et produit aux agriculteurs de la région car elle requiert toutes les conditions nécessaires pour favoriser les cultures agro-industrielles :
la vaste plaine
les sources d’irrigation suffisante, durant toute l’année et facile à utiliser
la richesse du sol en matière organique grâce aux fumiers organiques provenant des parcs d’élevages qui représentent la principaleressource de cette région.
La région de Vakinankaratra s’impose comme une destination incontournable en matière agro-industrielle, avec sa spécificité d’attraits.En fait, la mise en place de ce projet nécessite une connaissance approfondie de la situation de marchéset de ses aspects marketing.
ETUDE DU MARCHE
Les informations marketing à Madagascar semblent di fficiles à se procurer, faute de disponibilité et d’organisation. Ce fait est d’autant plus aigu en matière de données sectorielles et/ ou régionales.
Ces conditions rendent les techniques scientifiques connues d’étude de marché relativement inefficaces (élasticité de la demande,enquête d’intention d’achat, marché témoin …).
Il est donc recommandé d’exploiter les renseignements obtenus et de les interpréter prudemment, ce qui motive la simplification du contenu de ce chapitre pour obtenir une vision correcte de l’état du marché. L’étude du marché joue un rôle très important dans un projet de création d’une entreprise car elle vise à connaître effectivement les besoins à satisfaire sur le marché (avoir une connaissance globale du marché, airef une recherche sur le prix, le produit, …) et à étudier les opportunités d’un créneau porteur,autrement dit amener une rentabilité.
Ce chapitre, est subdivisé en cinq sections :
description du marché
analyse de la demande
analyse de l’offre
analyse de la concurrence
politique et stratégie marketing à adopter ou marketing mix
DESCRIPTION DU MARCHE
Définition
Concept géographique: « Le marché est un lieu de rencontre de l’offre et de la demande, et où s’effectue l’échange de propriétés d’un produit ».
Concept financier : « Le marché est une offre et une demande, un contrat de fourniture d’un produit ou service ».
Concept marketing : « Le marché c’est l’ensemble des individus (population, entreprise, organisation,…) qui consomment ou susceptibles de c onsommer un produit ou un service dans une zone géographique donnée et pour une période detemps définie ».
Etude de marché proprement dite
L’étude sert à analyser l’offre et la demande, qui consiste à tirer partie de la connaissance du marché pour élaborer les programmes marketing dontdépendent la production et l’administration financière.
Notre étude de marché se rapporte :
aux usagers, pour prévoir le mode d’achat et le prix.
à la concurrence, pour adopter la meilleure stratégie selon la durée de vie du profit. à l’information économique sur tout ce qui influence l’offre et la demande, en raison de la variation politique, monétaire, démographique….
Progressant du général au particulier, notre étudedu marché utilise les techniques et les méthodes du S.I.M (Système d’Information Marketing). Elle peut être détaillée par des « études directes », comme celle de la motivation ou de l’exploitation du panel.
En effet, un marché n’existe que par la présence simultanée de clients solvables et motivés ou groupes d’acheteurs susceptibles d’acheter les p roduits proposés. Dans le cas du Géraniculture, la plupart des produits sont basées sur l’exportation. Les huiles essentielles sont utilisées dans des centaines de produits, principalement dans les arôm es alimentaires, les produits de beauté, et les parfums. Traditionnellement, le commerce des huiles essentielles se fait par l’intermédiaire des revendeurs qui achètent auprès des producteurs et xportent aux traiteurs ou aux fabricants de produits finaux dans les pays importateurs. Aujourd’hui, le commerce se fait de plus en plus entre producteurs et transformateurs ou utilisateurs finaux.
De nombreux acheteurs d’huiles essentielles naissent du fait du nombre croissant d’applications du produit. La principale application se trouve dans l’industrie de l’arôme et des fragrances. Les entreprises, dans cette industrie, incluent des fabricants de parfums, les fabricants de produits cosmétiques, les fabricants de médicaments (Homéopharma) et les entreprises d’aromathérapie dont le développement est récent.
En somme, pour qu’un marché existe, il faut que 3 éléments soient satisfaits :
un besoin clairement défini et susceptible d’exprimer par une demande solvable.
une demande qui soit prête à payer un produit ou service pour satisfaire un besoin ressenti.
une offre qui propose un produit ou service répondant plus ou moins à ce besoin exprimé.
Pour cela, il nous faut analyser la demande, l’offre, l’action de la concurrence pour mieux apprécier les besoins qui semblent très importants,dans la mesure où nous en sommes en phase d’implantation dans une zone moins connue.
ANALYSE DE LA DEMANDE ET DE L’OFFRE
Analyse de ma demande
« La demande est un besoin ressenti par un individu, susceptible de se traduire par une décision d’achat »2.
Pour notre cas, l’analyse de la demande est basée précisément sur les données statistiques existantes (venant d’autres sources d’informations) , les plus récentes possibles pour le choix de la population cible et pour mettre en évidence l’action commerciale que nous envisageons de pratiquer tout au long de notre opération.
Pour cela, nous divisons notre étude de la demande en trois sous sections pour plus d’informations possibles, à savoir :
diagnostic de la demande
évolution de la demande globale impact économique
Diagnostic de la demande.
Les principaux marchés d’huiles essentielles sont : USA, Canada, Europe, Japon. D’une façon générale, il apparaît que l’offre est nettement insuffisante par rapport à la demande qui est très importante, mais on ne prévoit pas une augmentation de la demande d’huiles essentielles naturelles du fait que la consommation du produit synthétique est en rapide expansion.
La demande totale est de 150 tonnes / an dont la majorité pour l’Europe. Selon « THE PUBLIC LEDGER » en Mars 2006, la part de marché de Madagascar est de 412kg exportées en 2004.
Le marché potentiel est la possibilité d’opportunités pour Madagascar de fournir jusqu’à 10T/an avec un prix intéressant jusqu’à 100$/kg si meilleure qualité.
Le prix de l’huile essentielle est de 50.00 à 78.0 0$ /kg sur le marché international, suivant la qualité du produit par rapport au principal pays producteur renommé international comme la Chine et l’Egypte. Les normes fréquemment utiliséessont les normes ISO et ASTA. Il est difficile pour Madagascar de concurrencer ces deux pays, sauf si Madagascar peut produire la qualité « BOURBON » comme celle de ce présent projet dont nous allons envisager de produire dans notre projet.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PATIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DU PROJET
SECTION 1 : CARACTERISTIQUES DU PROJET
1.1 : Plante « GERANIUM »
1.1.1 : Généralité sur la plante.
1.1.2 : Description botanique.
1.2: Les exigences du Géranium.
a)Exigences climatiques
b)Exigences édaphiques
SECTION 2 : BUT, OBJECTIF ET INTERET DU PROJET
2.1 : But et objectif du projet
2.2 : Intérêt du projet
SECTION 3 : MONOGRAPHIE DE LA ZONE
3.1 : Situation géographique et climatique.
3.1.1 Situation géographique
a) Relief
b) Situation démographique
3.1.2 : Situation climatique
a) Le réseau de stations météorologiques.
b)- Température
c)- Pluviométrie
3.2 : Ressources agricoles.
3.2.1 : Principaux attraits agricoles.
3.2.2 : Produit et intérêt agricoles.
CHAPITRE II : ETUDE DU MARCHE
SECTION 1 : DESCRIPTION DU MARCHE
1.1 : Définition
1.2 : Etude de marché proprement dite
SECTION 2 : ANALYSE DE LA DEMANDE ET DE L’OFFRE
2.1 : Analyse de ma demande
2.1.1 : Diagnostic de la demande.
2.1.2 : Evolution de la demande.
a) La demande locale
b) La demande internationale.
2.1.3 : Impact économique.
2.2 : Analyse de l’offre
2.2.1 : Diagnostic de l’offre.
2.2.2 : Estimation de l’offre
a) L’offre locale.
SECTION 3 : ANALYSE CONCURRENTIELLE
3.1 : Les principaux concurrents
a) Les concurrents nationaux.
b) Les concurrents internationaux.
3.2: Le prix actuel pratiqué
CHAPITRE III : PLANIFICATIONS STRATEGIQUES ET POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING A ADOPTER
SECTION 1 : PLANIFICATION STRATEGIQUE DU PROJET
1.1 : Analyse de la FFOM : Forces- Faiblesses- Opportunités- Menaces
SECTION 2 : LES POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING A ADOPTER.
2.1 : Décisions stratégiques.
a) Les clients cibles.
b) Segmentation de la clientèle.
c) La part du marché.
2.2 : Stratégie marketing.
a) Stratégie Push et Pull
b) Quelques stratégies à appliquer
2.3 : Marketing mix.
a) Politique de produit.
b) Politique de prix.
c) Politique de distribution.
d) Politique de communication.
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : ETUDE TECHNIQUE
SECTION 1 : REGLEMENTATION EN VIGUEUR
1.1 : La situation juridique.
1.2: L’Exportation.
a) Marchandise :
b) Banque :
c) Expédition :
d) Encaissement
1.3: Utilisation et conditionnement.
a) Utilisation
b) Conditionnement
1.4: Les normes.
SECTION 2 : TECHNIQUES CULTURALES DU GERANIUM
2.1 : Généralités
2.2 : Les exigences du géranium :
a) Exigences climatiques
b) Exigences édaphiques
2.3 : La pépinière
a) Bouturage.
b) Préparation de la plate-bande.
2.4 : Plantation
2.5 : Le compostage
2.6: Les ennemis et maladies.
SECTION 3 : TECHNIQUE D’EXTRACTION
3.1 : Les huiles essentielles.
3.2 : Les méthodes d’extractions.
3.3 : L’hydrodistillation proprement dite ou distillation par de l’eau.
3.4 : Les avantages de l’hydrodistillation
3.5 : Equipements de production.
SECTION 4 : COUT DE PRODUCTION
4.1 : Coût de la pépinière.
4.2: Coût de la plantation.
4.3 : Coût des intrants agricoles (pour 1 ha)
4.4 : Coût de l’extraction
4.5 : Coût de production totale
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
SECTION 1 : LA CAPACITE DE PRODUCTION DE L’UNITE.
SECTION 2 : PROGRAMME DE PRODUCTION ET DE VENTE
2.1 : Programme de production.
2.2 : Chiffre d’affaires prévisionnelles
SECTION 3 : PLAN DE CONSOMMATION DE MATIERES PREMIERES
3.1 : Dépenses de pré exploitation.
3.2 : Dépenses en matières premières
a) Coût de intrants
b) Coût des emballages
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : RESSOURCES NECESAIRES
1.1: Les moyens humains
1.2 : Les moyens matériels
1.3 : Les moyens financiers
SECTION 2 : ORGANIGRAMME ENVISAGE
2.1 : Définition
2.2 : Organigramme
SECTION 3 : ORGANISATION DU TRAVAIL
3.1 : Les fonctions
a) La fonction administrative :
b) La fonction commerciale
c) La fonction technique
d) La fonction de sécurité
e) La fonction comptable
3.2 : Les services
a) Le service comptable
b) Le service de production
3.3 : Organisation envisagée
a) Le gérant
b) Les exécutants
3.4 : La gestion des ressources humaines.
a) La gestion de l’emploi
b) Le plan de carrière et de promotion
c) La gestion de rémunération
d) Le plan de formation et la mise en oeuvre des actions correspondantes
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE ET EVALUATION DU PROJET
CHAPITRE I : COUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
1.1: Immobilisations Incorporelles
1.2 : Immobilisations corporelles
1.2.1 : Terrain
1.2.2 : Construction
1.2.3 : Matériels et Outillages
1.2.4 : Matériels de Bureau et Informatiques
1.2.5 : Matériels de transport
1.2.6 : Autres immobilisations corporelles
SECTION 2 : AMORTISSEMENTS ET INVESTISSEMENTS INITIAUX
2.1 : Amortissements
2.2 : Investissements initiaux
2.2.1 : Récapitulation de coût des investissements
2.2.2 : Fonds de Roulement Initial (FRI)
2.2.3 : Récapitulation des investissements initiaux
SECTION 3 : FINANCEMENT DU PROJET
3.1 : Plan de financement du projet
3.2 : Ressources et emplois
3.3 : Remboursement de dette
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE
SECTION 1 : COMPTE DE GESTION
1.1: Produits
1.2: Charges
a) Achats des fournitures consommables
b) Services extérieurs et autres services extérieurs.
c) Impôts, taxes et versements assimilés
d) Charges du personnel
e) Charges financières
f) Dotations aux amortissements et provisions
SECTION 2 : COMPTES DE RESULTAT PREVISIONNEL
2.1 : Compte de résultat prévisionnel par nature
2.2 : Compte de résultat prévisionnel par fonction
SECTION 3 : LE PLAN DE TRESORERIE ET LES BILANS PREVISIONNELS
3.1 : Le plan de trésorerie
3.2 : Les bilans provisionnels
a) Les actifs
b) Les passifs
c) Les capitaux propres
3.2.1 : Le bilan d’ouverture de l’exercice
3.2.2 : Les bilans sur cinq ans
SECTION 4 : LES TABLEAUX DE FLUX DE TRESORERIE
4.1 : Le tableau de flux de trésorerie par méthode directe
4.2 : Le tableau de flux de trésorerie par méthode indirecte
CHAPITRE III : EVALUATIONS DU PROJET
SECTION 1: EVALUATIONS FINANCIERES DU PROJET
1.1 : La valeur actuelle nette
1.2 : L’indice de profitabilité ou ( IP)
1.3 : Le taux de Rentabilité Interne ou (TRI)
1.4 : Le Délai de Récupération du Capital Investi ou (DRCI).
SECTION 2: ANALYSES DES RATIOS ET LE SEUIL DE RENTABILITE
2.1 : Les ratios de rentabilité globale
2.2 : Les ratios de rentabilité financière
2.3 : Le Seuil de rentabilité
2.4 : Cadre logique du projet
2.5 : Evaluation selon les critères.
a) La pertinence
b) L’efficacité.
c) L’efficience.
d) La durabilité ou Viabilité.
SECTION 3 : EVALUATIONS SOCIO-ECONOMIQUES
3.1 : Contributions au développement social
3.1.1 : Création d’emploi
3.1.2 : Augmentation des revenus
3.2 : Contributions au développement socio-économique régional et national
3.2.1 : Le projet et ses contributions au développement régional
3.2.2 : Le projet et ses contributions au développement national
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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