Planification des projets de développement de l’aviculture

Intervalle entre pontes

La ponte est cyclique et l’intervalle entre pontes est de 66 jours (de la couvaison à la conduite des poussins) selon KASSAMBARA (1989). L’intervalle entre pontes comprend ainsi la durée de la ponte, la durée de la couvaison et celle consacrée à la conduite des poussins. Au Sénégal, ainsi que dans quelques pays d’Afrique, il est en moyenne de 3,5 mois avec des extrêmes variant entre 2,1 mois et 5,7 mois (TRAORE, 2005). Au cours d’un cycle, la poule locale pond 8 à 18 œufs à raison d’un œuf par jour ou chaque 2-3 jours (KASSAMBARA, 1989). Selon BULDGEN et al. (1992), cette ponte dure 10-16 jours. La couvaison est naturelle et se situe à la fin de chaque cycle de ponte et est de 21 jours (KASSAMBARA, 1989). Sur la base de ces données, on peut estimer à 2,5 mois, la durée de l’élevage des poussins qui paraît être la principale cause de rallonge de l’intervalle entre pontes (TRAORE, 2005). Pour accroître la productivité numérique de la poule locale, SONAIYA (1997) propose la suppression des deux dernières phases (couvaison et élevage de poussins) de l’intervalle entre pontes par la mise en place de mini couvoirs collectifs et l’élevage artificiel des poussins. L’élevage des poussins en enclos avant le sevrage a été également recommandé par SAFALAOH (2002).

Taux d’éclosion

Il correspond au nombre d’œufs éclos par couvée. Au Sénégal, selon BULDGEN et al. (1992), il serait de 80%. Ce caractère présente des valeurs comparables au taux de 80% trouvé par SONAIYA (1990) au Nigeria et par FOTSA (2008) au centre du Cameroun. Cependant, il présente une forte variation en fonction des pays. Au Mali, il varie entre 60-70% (KASSAMBARA, 1989) et 42-80% en Guinée (MOURAD et al., 1997). Cette variation serait due, outre les éventuelles erreurs liées à la méthodologie de collecte des données, à la saison. Les saisons les plus chaudes seraient les plus défavorables, sans doute à cause de la moins bonne conservation des œufs aux températures ambiantes élevées (WILSON et al., 1987; KASSAMBARA, 1989).

Performances de croissance

Vitesse de croissance

Elle est lente chez les espèces locales de volailles et soumise à l’influence desconditions de l’environnement (disponibilité alimentaire). Elle devient importante à partir du 3e mois, l’âge de commercialisation étant atteint entre 6-7 mois contre 5 mois chez les races améliorées (KASSAMBARA, 1989). La croissance pondérale est lente chez toutes les espèces soumises à l’élevage traditionnel. Chez la poule, le poids adulte varie de 500 g à 1000 g pour les femelles et de 1000 g à 1600 g pour les mâles (KANE, 1990). La poule indigène, toutes variétés confondues, a un poids à l’éclosion de 32,7 g et des poids vifs à une semaine, cinq et dix semaines, respectifs de 40,04 g, de 199 g, et de 583 g (FOTSA, 1985). Les poids sont de 579 g, de 1050 g et de 1140 g, respectivement, pour un poulet de quatre mois, une poule et un coq adultes (BELOT et HARDOUIN, 1981), le coq pouvant atteindre 2 kg. Chez les femelles, les poids à 4 et à 8 semaines observés chez la race Fayoumi d’Egypte sont respectivement 171 g et 469 g (MÉRAT et BORDAS, 1982).
Au Sénégal, d’après BULDGEN et al. (1992), la croissance pondérale apparaît faible mais régulière jusqu’à 25 semaines d’âge. A partir de la 26e semaine, les mâles conservent un rythme de croissance soutenu jusqu’au poids adulte d’environ 1800 g chez les meilleurs sujets. Chez les femelles avec un poids moyen de 1350 g, l’entrée en ponte provoque une baisse de gain de poids vif. Paradoxalement, ces auteurs ont obtenu en station avec une alimentation intensive à 25-26 semaines d’âge, des poids équivalents (1423 g contre 1380 g pour les mâles) voire plus faibles (899 g contre 1229 g chez les femelles) qu’en milieu traditionnel (tableau IV).

Caractéristiques de la carcasse

Au Sénégal le rendement de carcasse chez des mâles à 25 semaines d’âge est de 79% (BULDGEN et al, 1992). Ce caractère présente des valeurs comparables au rendement de 69,59% observé au Cameroun par MAFENI (1995) sur des animaux de 12 semaines et de 68,5% à 20 semaines d’élevage en station par ADEBANJO et OLUYEMI (1981). Les mâles ont un rendement plus élevé que les femelles (BULDGEN et al., 1992 ; JOSEPH et al., 1992). Dans une récente étude menée par FOTSA (2008), on note à 16 semaines des carcasses maigres avec des sujets qui n’ont pas déposé de gras abdominal. Ces données présentent une nette différence avec la teneur en gras assez élevée de 25,1 % notée par ADEBANJO et OLUYEMI (1981) et une teneur en protéines à 20 semaines d’âge de 66,3%. Le goût très apprécié de cette viande par rapport aux poulets de chair serait dû au mode d’élevage. Un test de dégustation sur les poulets de chair en semi divagation et en claustration totale montre que la qualité organoleptique de la viande issue de poulets de chair est significativement meilleure lorsque ces derniers sont élevés dans un système semi divagant, en comparaison au système intensif (DEKA et KALIFA, 2004). Cette différence est expliquée par les exercices physiques, les aliments consommés lors de la divagation et, d’après GADDIS et al. ( 1950), par la présence de graisse intramusculaire associée à un caractère plus juteux de laviande.

Mortalités

En élevage traditionnel sans interventions sanitaires, les principales causes de mortalité sont les maladies infectieuses (56%), les prédateurs (chats, oiseaux rapaces) et les ectoparasites (BONFOH et al., 1997). En effet, le cheptel paie chaque année un lourd tribut aux maladies infectieuses et parasitaires qui déciment les élevages. Au Nigeria, les éleveurs ont révélé que les maladies les plus couramment rencontrées dans les élevages sont la pseudo-peste aviaire (61%), les maladies respiratoires (14%), la variole aviaire (7%), la pullorose/diarrhée (7%) et le choléra (4%), résultats ultérieurement confirmés par les analyses de laboratoire (ATTEH, 1989). Ces maladies font partie de ce que l’on appelle la pathologie traditionnelle par opposition à la pathologie nouvelle, résultant de l’importation de poussins d’un jour en provenance d’élevages européens et qui frappe les élevages plus intensifs (HOFMAN, 2000).
Une récente étude menée à Santa et Ndop dans la province du Nord-Ouest du Cameroun, montre que la prévalence des maladies aviaires (virale, bactérienne et parasitaire) était plus importante en saison de pluies qu’en saison sèche mais à de degrés différents selon les âges; les plus sensibles étant respectivement les poussins, les poulets et les adultes (EKUE et al., 2002). La mortalité des poussins de moins d’un mois est de l’ordre de 30 à 50 % (TRAORE, 2005) et peut dans certains cas atteindre 66% (BULDGEN et al., 1992). Les poussins restent avec leur mère pendant les deux premières semaines avec un taux de mortalité relativement faible de 14%. Dès qu’ils quittent la protection de leur mère, la mortalité s’accroît jusqu’à 40% entre trois et quatre semaines et jusqu’à 66% à trois mois. Le tableau ci dessous montre l`évolution de la mortalité en fonction de l`âge.

MATERIEL D’ELEVAGE

Les abreuvoirs et mangeoires, lorsqu’ils existent, sont conçus en matériaux divers sans aucune norme technique. Ainsi, peut-on rencontrer de vieux ustensiles de cuisines (morceaux de calebasses, assiettes etc.), de petites auges de cuisines en bois ou en terre cuite. L’usage de boites métalliques rouillées est courante (DIOP, 1982). Cependant, les poules reçoivent rarement l’eau et les aliments dans ces abreuvoirs et mangeoires.
Le matériel n’est pas fonction de l’âge des oiseaux. Le même abreuvoir installé pour les sujets adultes et les poussins ne permet pas à ces derniers de s’abreuver sans s’y noyer (TRAORE, 2005). Quelques fois, elles peuvent recevoir des aliments sous forme de grains de céréales ou de déchets de cuisine. L’aliment est alors servi à même le sol (HOFMAN, 2000).

ALIMENTATION

Laplupart du temps, les poules sont libres et trouvent dans le milieu extérieur de quoi se nourrir (HOFMAN, 2000). Les éleveurs n’engagent pas de dépenses spécifiques pour l’alimentation des volailles. Certains donnent des poignées de riz ou de maïs un jour sur deux (HOFMAN, 2000). Sinon, il est rare que le paysan consente à distribuer des aliments à ses oiseaux, exceptés les poussins, les poules en période de couvée et les adultes prêts pour la vente (DIOP, 1982 ; NGWE, 1997). Même si dans beaucoup de ménages les restes de repas sont destinés aux volailles, elles dépensent beaucoup de temps à gratter le sol afin de déterrer les éléments enfouis (MOURAD et al., 1997 ; NASER et al., 1982) .Bien qu’il existe une prise de conscience de la part des paysans de la nécessité d’abreuver les oiseaux, ces derniers bénéficient très rarement d’abreuvoirs remplis d’eau potable (TRAORE, 2005). L’abreuvement se fait dans les flaques d’eau ou dans de vieuxrécipients abandonnés dans les cours (HOFMAN, 2000).

SYSTEMES D’ELEVAGE EN AVICULTURE TRADITIONNELLE

Il est difficile d’appliquer directement la typologie des élevages avicoles selon la nomenclature de la FAO au Sénégal (TRAORE, 2006) car l’aviculture se pratique suivant un large éventail de conditions qui peuvent être classées au sein de quatre systèmes principaux de production (BESSEI, 1987) :
extensif en liberté;
extensif en basse-cour;
semi intensif;
intensif.

SECTEUR 1 OU SYSTEME D’ELEVAGE INDUSTRIEL

Au Sénégal, ce système intensif n’est pas fréquent mais commence à se développer. Il regroupe moins d’une dizaine de producteurs presque tous installés à Dakar. Toutefois, un aviculteur intensif est installé à Saint-Louis (260 km au Nord de Dakar) et exploite un cheptel de ponte d’environ 30 000 sujets. Le nombre d’éleveurs (limité) n’a pas beaucoup varié au cours de ces dernières années. Deux ou trois unités industrielles de production avicole intégrées situées à Dakar sont constantes, d’autres unités s’installent et disparaissent au cours des années (TRAORE, 2006).

SECTEUR 2 OU SYSTEME D’ELEVAGE INTENSIF DE POULETS COMMERCIAUX

Cesecteur de haute production regroupe l’essentiel des aviculteurs dits du secteur moderne (plus de 80% des effectifs avicoles élevés). Les producteurs de ce groupe se rencontrent surtout dans la zone des Niayes de Dakar et de Thiès. Le plus souvent, ce type d’élevage est pratiqué par des salariés et des personnes de professions libérales, ou exerçant dans le secteur tertiaire, qui engagent des fermiers pour s’occuper de la gestion de leurs fermes (TRAORE, 2006). Les oiseaux vivent en complète claustration en bâtiments ou en cages. Les investissements sont plus élevés et les oiseaux dépendent entièrement de l’éleveur pour la couverture de leurs besoins, la production est cependant plus élevée (TRAORE, 2005).

SECTEUR 3 OU SYSTEME D’ELEVAGE SEMI INTENSIF ET ELEVAGES AMATEURS

Les élevages semi-intensifs et / ou élevages amateurs de volaille se rencontrent essentiellement dans les habitations au centre et en banlieue des grandes villes et autour de quelques autres agglomérations et communes rurales (TRAORE, 2006).
Il s’agit de combinaisons entre systèmes extensifs et intensifs dans lesquelles les oiseaux sont confinés dans un espace déterminé avec accès à un abri.

SECTEUR AVICOLE FAMILIAL OU SYSTEME D’ELEVAGE AVICOLE DE BASSE-COUR

Cette activité correspond à l’élevage de la poule commune ou poule domestique. Cet élevage est pratiqué dans tout le pays (TRAORE, 2006). En Afrique, en Asie et en Amérique Latine, 80% des fermiers élèvent leurs volailles en systèmes extensifs (FAO, 2004). La taille des troupeaux varie entre 5 et 15 oiseaux avec une moyenne de 10 sujets dans une étude menée au Sénégal (SALL, 1990). En condition de liberté, les oiseaux ne sont pas confinés et peuvent divaguer à la recherche de leur nourriture sur de larges étendues. Des abris élémentaires peuvent être installés et utilisés ou non. Le troupeau renferme des oiseaux d’espèces et d’âges variés (TRAORE, 2005). Tous les systèmes précédemment évoqués peuvent être rencontrés en aviculture traditionnelle, sauf le système intensif.

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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie : Synthèse bibliographie
CHAPITRE I : DESCRIPTION DE L’AVICULTURE TRADITIONNELLE
1.1. DEFINITION
1.2. IMPORTANCE
1.2.1. IMPORTANCE SOCIO-ECONOMIQUE
1. 2.2. IMPORTANCE NUTRITIONNELLE
1.3. LES RACES EXPLOITEES
1.3.1. ORIGINE
1.3.2. CARACTERES ETHNIQUES
1.3.2.1. Poule locale
1.3.2.2. Races exotiques
1.3.3. LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES
1.3.3.1. Les performances de reproduction
1.3.3.1.1. Age d’entrée en ponte
1.3.3.1.2. Production d’œufs
1.3.3.1.3. Intervalle entre pontes
1.3.3.1.4. Taux d’éclosion
1.3.3.2 Performances de croissance
1.3.3.2.1. Vitesse de croissance
1.3.3.2.2. Consommation et efficacité alimentaire
1.3.3.2.3. Caractéristiques de la carcasse
1.3.3.3. Mortalités
1.4. CONDITIONS D’ELEVAGE
1.4.1. HABITAT
1.4.2. MATERIEL D’ELEVAGE
1.4.3. ALIMENTATION
1.5. SYSTEMES D’ELEVAGE EN AVICULTURE TRADITIONNELLE
1.5.1. SECTEUR 1 OU SYSTEME D’ELEVAGE INDUSTRIEL
1.5.2. SECTEUR 2 OU SYSTEME D’ELEVAGE INTENSIF DE POULETS COMMERCIAUX
1.5.3. SECTEUR 3 OU SYSTEME D’ELEVAGE SEMI INTENSIF ET ELEVAGES AMATEURS
1.5.4. SECTEUR AVICOLE FAMILIAL OU SYSTEME D’ELEVAGE AVICOLE DE BASSE-COUR
1.6. SANTE
1.6.1.2. Signes cliniques
1.6.1.3. Epidémiologie
1.6.1.4. Contrôle de la maladie : la vaccination
1.6.1.5. Contraintes liées à la vaccination
1.6.2 AUTRES PATHOLOGIES RENCONTREES EN AVICULTURE TRADITIONNELLE
1.7. TENTATIVES D’AMELIORATION DE LA PRODUCTIVITE
1.7.1. AMELIORATION GENETIQUE
1.7.2. AMELIORATION DES CONDITIONS D’ELEVAGE
CHAPITRE II : FEMMES ET PROJETS DE DEVELOPPEMENT EN AVICULTURE TRADITIONNELLE 
2.1. AVICULTURE TRADITIONNELLE : FACTEUR DE DEVELOPPEMENT
2.1.1. SITUATION DE LA FEMME
2.1.1.1. Activités de la femme
2.1.1.2. Rôles de la femme en aviculture traditionnelle
2.1.1.3. Modèle de possession
2.2. AVICULTURE TRADITIONNELLE : OUTIL D’AMELIORATION DE LA SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE DE LA FEMME ET DU BIEN ETRE FAMILIAL
2.2.1. ACTIVITES GENERATRICES DE REVENUS
2.2.2. MOYEN D’ALLEGEMENT DE LA PAUVRETE ET SOURCE DE BIEN ETRE FAMILIAL
2.3. PLANIFICATION DES PROJETS DE DEVELOPPEMENT DE L’AVICULTURE
2.3.1. STRATEGIES POUR LE DEVELOPPEMENT D’UNE AVICULTURE DURABLE
2.3.2. PROGRAMME DE VULGARISATION DE L’AVICULTURE TRADITIONNELLE
2.3.2.1. Méthodes groupes
2.3.2.1.1. Réunions de groupes
2.3.2.1.2. Démonstrations
2.3.2.1.3. Journées de terrain et visites d’échanges
2.3.2.2. Méthodes individuelles
2.3.2.3. Méthodes collectives
2.3.2.4. Développement technologique et participatif
2.3.2.6. Mise au point des programmes de vulgarisation en aviculture traditionnelle
2.3.2.6. Evaluation du matériel de vulgarisation
2.4. CONTRAINTES AUX PROJETS DE DEVELOPPEMENT DE L`AVICULTURE TRADITIONNELLE
2.4.1. CONTRAINTES SOCIOCULTURELLES
2.4.2. ALIMENTATION
2.4.3. PREDATEUR
2.4.4. FORMATION
2.4.5. MAIN D’ŒUVRE
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I: MATERIEL ET METHODES 
1.1.1. GENERALITES
1.1.2. HYDROGRAPHIE
1.1.3. CLIMATOLOGIE ET VEGETATION
1.1.4. POPULATION
1.1.5. ORGANISATION ECONOMIQUE
1.2. presentation du projet
1.2.1. Implantation des poulaillers
1.2.2. Introduction des coqs raceurs
1.1.3. Apport d’aliment
1.1.4. Formations
1.3. METHODOLOGIE
1.3.1. Collecte de données
1.3.1.1. Phase d’échantillonnage
1.3.1.2. Phase de suivi
1.3.1.2.1. Outils de suivi
1.3.1.2.2. Déroulement du suivi
1.3.2. LES PARAMETRES ZOOTECHNIQUES ETUDIES
1.3.2.1. Consommation alimentaire et indice de consommation
1.3.2.2. Gain moyen quotidien : GMQ
1.3.3. ANALYSE DES DONNEES
CHAPITRE II : RESULTATS 
2.1. STATUT SOCIO-ECONOMIQUE DES ELEVEURS
2.2. CHEPTEL AVIAIRE
2.3. CONDUITES D’ELEVAGE
2.3.1. HABITAT
2.3.2. MATERIEL D’ELEVAGE
2.3.3. ALIMENTATION
2.3.4. PROTECTION SANITAIRE
2.4. EXPLOITATION DU CHEPTEL
2.5. PERFORMANCES DE CROISSANCE DES POULETS
2.5.1. INDICE DE CONSOMMATION
2.5.2. EVOLUTION DU GAIN MOYEN QUOTIDIEN (GMQ)
2.6. MORTALITES
2.7. DONNEES ECONOMIQUES
2.7.1. COMPTE D’EXPLOITATION
2.7.1.1. Dépenses
2.7.1.2. Recettes
2.7.2 UTILISATION DES REVENUS
CHAPITRE III : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS 
3.1. DISCUSSION
3.1.1. STATUT SOCIO- ECONOMIQUE
3.1.2. STRUCTURE DU CHEPTEL
3.1.3. CONDUITES D’ELEVAGE
3.1.3.1. Habitat
3.1.3.2. Matériel d’élevage
3.1.3.3. Alimentation
3.1.3.4. Suivi sanitaire
3.1.4. EXPLOITATION DU CHEPTEL
3.1.5. PARAMETRES DE CROISSANCE
3.1.5.1. Evolution du GMQ
3.1.5.2. Indice de consommation
3.1.6. MORTALITES
3.1.7. FORMATION ET TRAVAIL DU SUPERVISEUR
3.1.8. COMPTE D’EXPLOITATION
3.1.9. UTILISATION DES REVENUS
3.2. RECOMMANDATIONS
3.2.1. SUR LE PLAN DE LA RECHERCHE
3.2.2. SUR LES ACTIONS DE DEVELOPPEMENT
3.2.2.1. Prévention des maladies
3.2.2.2 Amélioration de la conduite d’élevage des oiseaux
CONCLUSION GENERALE 
REFERENCES BIBILIOGRAPHIQUES 
annexes

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