PHYSIOPATHOLOGIE ET THERAPEUTIQUE DES ULCERES

PHYSIOPATHOLOGIE ET THERAPEUTIQUE DES ULCERES

TRAITEMENTS

La thรฉrapie anti-ulcรฉreuse inclut l’utilisation d’anti-sรฉcrรฉtoires, de cytoprotecteurs et d’antiรฉmรฉtiques, qui sont le plus souvent des spรฉcialitรฉs ร  usage humain. La thรฉrapie anti-ulcรฉreuse peut se rรฉvรฉler efficace dans de nombreuses situations, incluant celles qui ne sont pas associรฉes ร  des ulcรจres gastro-intestinaux (oesophagites, gastrites chroniques).
Les molรฉcules empรชchant la sรฉcrรฉtion d’acide gastrique : les anti-sรฉcrรฉtoires
Les molรฉcules utilisรฉes pour empรชcher ou moduler la sรฉcrรฉtion d’acide gastrique incluent les anticholinergiques, les antagonistes des rรฉcepteurs H2, les inhibiteurs de la pompe ร  protons et les prostaglandines E. Malgrรฉ le rรดle des rรฉcepteurs muscariniques dans la sรฉcrรฉtion d’acide gastrique, aucune preuve de l’efficacitรฉ des anticholinergiques sur le contrรดle des ulcรฉrations gastro-intestinales chez les animaux n’a pu รชtre apportรฉe. Toute molรฉcule qui modifie le pH gastrique peut รชtre la cause d’achlorhydrie quand elle est utilisรฉe chroniquement. Bien que l’hydrolyse des protรฉines et des autres nutriments nรฉcessite ร  la fois de la pepsine et de l’acide gastrique, l’achlorhydrie s’accompagne rarement de malabsorption, ร  moins qu’une prolifรฉration bactรฉrienne ne se produise.

Les antagonistes des rรฉcepteurs H2ย 

Mรฉcanisme d’action
Ce sont des antagonistes compรฉtitifs rรฉversibles de l’histamine, qui, en empรชchant la fixation de cette derniรจre sur les rรฉcepteurs H2 des cellules pariรฉtales gastriques, entraรฎnent une rรฉduction de la sรฉcrรฉtion d’acide gastrique tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif (diminution de la teneur en ion hydrogรจne). Ce sont de puissants antagonistes, รฉtant donnรฉ qu’ils conduisent ร  un dรฉplacement de la courbe dose-rรฉponse de l’agoniste vers la droite (figure 4), ainsi, en prรฉsence d’un antagoniste des rรฉcepteurs H2, une quantitรฉ plus
plus puissante que la cimรฉtidine. La famotidine a la durรฉe d’action la plus longue, surtout dans les รฉtats d’hypersรฉcrรฉtion. Par ailleurs, sur des modรจles animaux, la nizatidine apparaรฎt รชtre plus puissante que la cimรฉtidine, mais son efficacitรฉ n’a pas รฉtรฉ dรฉmontrรฉe cliniquement sur des animaux, bien que son innocuitรฉ ait dรฉjร  รฉtรฉ รฉtablie sur des chiens sains.
Pharmacocinรฉtique
Le plus ancien des antagonistes des rรฉcepteurs H2 utilisรฉs en clinique, la cimรฉtidine, est rapidement absorbรฉe du tube digestif, bien que la nourriture puisse retarder le processus. La molรฉcule subit des transformations au niveau du foie, et ร  une biodisponibilitรฉ allant de 70% ร  95% aprรจs administration orale. Elle est excrรฉtรฉe dans les urines ร  la fois sous ses formes inchangรฉes et conjuguรฉes. Le temps de demi-vie plasmatique est d’environ 1 heure mais peut รชtre prolongรฉ en prรฉsence d’une insuffisance rรฉnale ou hรฉpatique, au quel cas les doses devront รชtre diminuรฉes. La ranitidine dispose d’une biodisponibilitรฉ plus faible que la cimรฉtidine aprรจs administration orale (50% ร  81%), alors que son absorption n’est pas perturbรฉe par la nourriture comme dans le cas de la cimรฉtidine. On note une lรฉgรจre liaison protรฉique (15%). La ranitidine subit des transformations hรฉpatiques et une clairance rรฉnale. Sa demi-vie d’รฉlimination est d’environ 22 heures. L’รฉlimination hรฉpatique concerne 30% d’une dose administrรฉe par voie intraveineuse et 73% d’une dose administrรฉe par voie orale. La famotidine a une petite biodisponibilitรฉ (37%) aprรจs administration orale en raison de sa trรจs faible absorption orale. En contraste, la nizatidine est rapidement et complรจtement absorbรฉe. Les deux molรฉcules sont largement รฉliminรฉes par l’urine sous forme inchangรฉe, essentiellement la nizatidine, qui est exclusivement รฉliminรฉe par le rein, ce qui suggรจre qu’elle doit รชtre l’antagoniste des rรฉcepteurs H2 de choix dans le cas d’une insuffisance hรฉpatique.
Interactions mรฉdicamenteuses
La cimรฉtidine peut รชtre impliquรฉe dans de nombreuses interactions mรฉdicamenteuses. Comme toutes les molรฉcules antisรฉcrรฉtoires, elle perturbe l’absorption de nombreux mรฉdicaments (gรฉnรฉralement des bases faibles) en raison des modifications du pH gastrointestinal. La cimรฉtidine perturbe รฉgalement directement l’absorption de certains mรฉdicaments en s’y fixant. [4] Par ailleurs, la cimรฉtidine est un puissant inhibiteur des enzymes microsomaux hรฉpatiques (cytochrome P450) et entraรฎne ainsi une diminution du mรฉtabolisme de mรฉdicaments couramment utilisรฉs, comme le diazรฉpam et le phรฉnobarbital, qui subissent normalement des rรฉactions d’oxydations et d’hydroxylations (phase I) dans le foie. La modification du mรฉtabolisme hรฉpatique d’autres mรฉdicaments peut conduire ร  de sรฉvรจres intoxications. La cimรฉtidine ne semble pas affecter la phase II des rรฉactions hรฉpatiques (glucurono- conjugaison). Mais, par action sur les rรฉcepteurs H2 vasculaires, elle rรฉduit le dรฉbit sanguin hรฉpatique d’environ 20% et la clairance de certains mรฉdicaments largement รฉliminรฉs par le foie comme le propanolol, la morphine et la lidocaรฏne. Contrairement ร  la cimรฉtidine, la ranitidine et la famotidine ont des effets secondaires limitรฉs (10%) ร  inexistants sur le dรฉbit sanguin hรฉpatique ou sur le mรฉtabolisme des autres mรฉdicaments (ou des molรฉcules endogรจnes). Les interactions mรฉdicamenteuses impliquant la famotidine et la nizatidine sont rares. Quant aux effets des autres mรฉdicaments sur les antagonistes des rรฉcepteurs H2, les antiacides doivent รชtre donner une heure avant ou aprรจs la cimรฉtidine , la famotidine en mรชme temps, et la ranitidine doit รชtre administrรฉe avec des doses plus faibles d’anti-acides. Par ailleurs, le sucralfate peut perturber l’absorption de la ranitidine et de la cimรฉtidine, un intervalle de 2 heures devra รชtre respectรฉ entre les deux administrations en cas d’ulcรจres.
Effets secondaires
Les effets secondaires observรฉs avec les antagonistes des rรฉcepteurs H2, et essentiellement la cimรฉtidine, sont gรฉnรฉralement mineurs et apparaissent ร  des doses relativement รฉlevรฉes : on note toutefois des thrombocytopรจnies, des bradycardies, des rรฉactions d’hypersensitivitรฉ comme des รฉruptions cutanรฉes, des nรฉphrites interstitielles aiguรซs ou des polymyosites, de la fiรจvre, des diarrhรฉes, des granulocytopรจnies, des dรฉtresses respiratoires et des aberrations du systรจme nerveux central. Les effets secondaires spรฉcifiques de la cimรฉtidine sont liรฉs aux diffรฉrents lieux oรน la cimรฉtidine se fixe spรฉcifiquement. Ainsi, sa fixation aux androgรจnes peut รชtre la cause de gynรฉcomastie et d’impuissance. De mรชme, la cimรฉtidine se lie au systรจme d’oxydases hรฉpatique et aux lymphocytes pรฉriphรฉriques, entraรฎnant une altรฉration du mรฉtabolisme des autres mรฉdicaments et une diminution de l’immunitรฉ ร  mรฉdiation cellulaire. Bien que de nombreux effets secondaires liรฉs ร  l’utilisation de la ranitidine aient รฉtรฉ observรฉs chez l’homme, l’expรฉrience en date chez l’animal n’a fait รฉtat d’aucune manifestation toxique de la ranitidine. La famotidine et la nizatidine semblent dรฉpourvus de la plupart des effets secondaires de la cimรฉtidine. Un des inconvรฉnients majeurs dans l’utilisation des antagonistes des rรฉcepteurs H2 chez l’homme est la rรฉcidive des ulcรฉrations gastro-intestinales ร  l’arrรชt du traitement. Un rebond dans la sรฉcrรฉtion d’acide gastrique semble รชtre l’explication la plus probable. En effet, la suppression de l’acide gastrique par les antagonistes des rรฉcepteurs H2 entraรฎne une augmentation de la concentration plasmatique en gastrine dans les 3 heures suivant l’administration d’une dose unique. S’en suit une stimulation des cellules G de la muqueuse gastrique, qui conduit ร  une hypersรฉcrรฉtion d’acide gastrique, qui devient รฉvidente ร  l’arrรชt du traitement. La probabilitรฉ d’apparition de cette hypersรฉcrรฉtion est liรฉe ร  la sensibilitรฉ grandissante des rรฉcepteurs des cellules pariรฉtales, ce qui semble caractรฉriser les patients souffrants d’ulcรจres. Parmi les antagonistes des rรฉcepteurs H2 รฉtudiรฉs, la cimรฉtidine semble รชtre le plus probable, et la famotidine ou la nizatidine les moins probables, de causer un rebond d’hypersรฉcrรฉtion gastrique. D’autre part, comme l’acide gastrique est un composant nรฉcessaire de la barriรจre gastrique pour prรฉvenir les infections systรฉmiques, toute rรฉduction de sa sรฉcrรฉtion pourrait entraรฎner des prolifรฉrations bactรฉriennes ou fongiques de la flore normale ou pathogรจne.
Indications
Les principales utilisations thรฉrapeutiques des antagonistes des rรฉcepteurs H2 sont les gastrites urรฉmiques, les ulcรจres gastriques et duodรฉnaux, les oesophagites par reflux gastrooesophagien, les gastrites รฉrosives et les phรฉnomรจnes hypersรฉcrรฉtoires tels que les gastrinomas ou les mastocytomes systรฉmiques. La cimรฉtidine et la ranitidine semblent รฉgalement รชtre effectives pour contrรดler les saignements gastriques quand l’hรฉmorragie n’est pas due ร  l’atteinte de vaisseaux sanguins majeurs. Dans le cas des insuffisances pancrรฉatiques exocrines, les antagonistes des rรฉcepteurs H2, administrรฉs 30 minutes avant le repas, peuvent diminuer l’hydrolyse acide et enzymatique des enzymes pancrรฉatiques de synthรจse, additionnรฉs ร  la nourriture, cela permet d’augmenter l’efficacitรฉ et de diminuer le coรปt de leur utilisation. Enfin, les antagonistes des rรฉcepteurs H2 sont utilisรฉs chez les patients souffrant du syndrome de l’intestin court pour diminuer l’hyperaciditรฉ associรฉe ร  ce syndrome. Bien que les antagonistes des rรฉcepteurs H2 puissent รชtre utilisรฉs par certains auteurs pour prรฉvenir l’apparition d’ulcรจres lors de stress ou de traitement ร  base d’AINS ou d’AIS, leur efficacitรฉ est trรจs controversรฉe et d’autres antidotes plus spรฉcifiques devront รชtre administrรฉs en premiรจre intention (voir ci-aprรจs). La raison principale expliquant cette efficacitรฉ trรจs moyenne dans ces cas est la perte de leur pouvoir anti-sรฉcrรฉtoire dรจs la diminution de leur concentration sรฉrique. Toutefois, une fois que le traitement ร  base d’AINS ou d’AIS est arrรชtรฉ, leur efficacitรฉ d’action sur les ulcรจres formรฉs semble รชtre la mรชme que sur des ulcรจres peptiques. De mรชme, les antagonistes des rรฉcepteurs H2 sont dรฉsormais peu utilisรฉs dans le cadre des gastronimes รฉtant donnรฉ les hautes doses nรฉcessaires, l’apparition de rรฉsistance au traitement chez certains patients et surtout la dรฉcouverte de molรฉcules plus efficaces. Une absence de rรฉponse ร  une thรฉrapie anti-ulcรฉreuse basรฉe sur l’utilisation des antagonistes des rรฉcepteurs H2 doit entraรฎner un changement de molรฉcules au bout de 10 jours.

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Table des matiรจres

TABLE DES ILLUSTRATIONS
ABREVIATIONS UTILISEES
INTRODUCTION
1 PREMIERE PARTIE :PHYSIOPATHOLOGIE ET THERAPEUTIQUE DES ULCERES
1.1 PHYSIOPATHOLOGIE
1.1.1 PHYSIOPATHOLOGIE DES ULCรˆRES GASTRO-INTESTINAUX ET OESOPHAGIENS
1.1.1.1 Ulcรจres gastro-intestinaux
1.1.1.2 Ulcรจres oesophagiens
1.1.2 PHYSIOPATHOLOGIE DES VOMISSEMENTS
1.1.2.1 Le rรฉflexe du vomissement
1.1.2.2 Etiologie des vomissements
1.2 TRAITEMENTS
1.2.1 LES MOLร‰CULES EMPรŠCHANT LA Sร‰CRร‰TION D’ACIDE GASTRIQUE
1.2.1.1 Les antagonistes des rรฉcepteurs H2
1.2.1.2 Les inhibiteurs de la pompe ร  protons
1.2.1.3 Les analogues des prostaglandines
1.2.2 LES MOLร‰CULES RENFORร‡ANT LES Dร‰FENSES DE LA MUQUEUSE
1.2.2.1 Les anti-acides
1.2.2.2 Les analogues des prostaglandines
1.2.2.3 Le sucralfate
1.2.3 LES ANTI-ร‰Mร‰TIQUES
1.2.3.1 Les anti-รฉmรฉtiques centraux
1.2.3.2 Les anti-รฉmรฉtiques pรฉriphรฉriques
2 DEUXIEME PARTIE :PHYSIOPATHOLOGIE ET THERAPEUTIQUE DE L’HYPOMOTRICITE DIGESTIVE
2.1 PHYSIOPATHOLOGIE
2.1.1 PHYSIOLOGIE DU SYSTรˆME NERVEUX ENTร‰RIQUE
2.1.1.1 Anatomie du systรจme nerveux entรฉrique
2.1.1.2 Electrophysiologie du systรจme nerveux entรฉrique
2.1.1.3 Organisation fonctionnelle du systรจme nerveux entรฉrique
2.1.1.4 Interaction entre l’innervation intrinsรจque et extrinsรจque
2.1.1.5 Les neurotransmetteurs du systรจme nerveux entรฉrique
2.1.1.6 Les fonctions physiologiques du systรจme nerveux entรฉrique
2.1.2 DIMINUTION FONCTIONNELLE DE LA MOTRICITร‰ DE L’ล’SOPHAGE
2.1.2.1 Physiologie de la motricitรฉ de l’ล“sophage
2.1.2.2 Hypomotricitรฉ de l’oesophage
2.1.3 DIMINUTION FONCTIONNELLE DE LA MOTRICITร‰ DE L’ESTOMAC
2.1.3.1 Physiologie de la motricitรฉ gastrique
2.1.3.2 Ralentissement fonctionnel de la vidange gastrique
2.1.4 DIMINUTION FONCTIONNELLE DE LA MOTRICITร‰ DU PETIT INTESTIN
2.1.4.1 Physiologie de la motricitรฉ de l’intestin grรชle
2.1.4.2 Hypomotricitรฉ intestinale
2.1.5 DIMINUTION FONCTIONNELLE DE LA MOTRICITร‰ DU COLON
2.1.5.1 Physiologie de la motricitรฉ du colon
2.1.5.2 Hypomotricitรฉ du colon
2.2 TRAITEMENTS
2.2.1 LES PROKINร‰TIQUES
2.2.1.1 Les antagonistes de la dopamine
2.2.1.2 Les molรฉcules motilin-like
2.2.1.3 Les agonistes de la sรฉrotonine
2.2.1.4 Les inhibiteurs de l’acรฉtylcholinestรฉrase
2.2.2 LES LAXATIFS
2.2.2.1 Les laxatifs rectaux
2.2.2.2 Les laxatifs oraux
3 TROISIEME PARTIE :PHYSOPATHOLOGIE ET THERAPEUTIQUE DES DIARRHEES
3.1 PHYSIOPATHOLOGIE
3.1.1 CLASSIFICATION PHYSIOPATHOLOGIQUE DES DIARRHร‰ES
3.1.1.1 Les diarrhรฉes osmotiques
3.1.1.2 Les diarrhรฉes sรฉcrรฉtoires
3.1.1.3 Les diarrhรฉes exsudatives
3.1.1.4 Les diarrhรฉes associรฉes ร  une perturbation de la motricitรฉ intestinale
3.1.2 ETIOLOGIE DES DIARRHร‰ES
3.1.2.1 Les diarrhรฉes aiguรซs
3.1.2.2 Les maladies inflammatoires chroniques de lโ€™intestin
3.1.2.3 Autres maladies chroniques de lโ€™intestin
3.2 TRAITEMENTS
3.2.1 LES PROTECTEURS ET LES ADSORBANTS
3.2.1.1 L’association kaolin-pectine
3.2.1.2 Le charbon activรฉ
3.2.1.3 Les sels de bismuth
3.2.1.4 Les anti-acides
3.2.1.5 Le sulfate de baryum
3.2.2 LES MODIFICATEURS DE LA MOTRICITร‰ ET DE LA Sร‰CRร‰TION INTESTINALES
3.2.2.1 Les agents anti-cholinergiques
3.2.2.2 Les opioรฏdes
3.2.2.3 Les autres molรฉcules modifiant la motricitรฉ et/ou la sรฉcrรฉtion
3.2.3 LES ANTIBIOTIQUES
3.2.3.1 Effets secondaires ร  l’administration d’antibiotiques
3.2.3.2 Indications de l’antibiothรฉrapie
3.2.3.3 Choix de l’antibiotique
3.2.3.4 Cas particulier du mรฉtronidazole
3.2.4 LES IMMUNOSUPPRESSEURS
3.2.4.1 La sulfasalazine
3.2.4.2 La mรฉsalamine et l’olsalazine
3.2.4.3 L’azathioprine
3.2.4.4 Les autres molรฉcules
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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