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TRAVAUX SUR LA PHARMACOLOGIE
Emplois traditionnels des différentes parties de la plante.
Nauclea latifolia Sm. entre dans la famille de grands médicaments utilisés dans la pharmacopée africaine. Toutes les parties de la plante sont utilisées ; la plante peut être employée seule ou en association avec d’autres plantes médicinales sous forme de décocté, de macéré, d’infusé ou de teinture alcoolique :
) le décocté aqueux d’écorces de tronc est utilisé dans le traitement des états fébriles et du paludisme soit seul, soit en association synergique avec d’autres végétaux comme Khaya senegalensis [48];
) les feuilles et les écorces sont utilisées comme antalgique, anthelminthique et diurétique. Elles sont également utilisées dans le traitement des abcès. Les feuilles fraîches sont utilisées comme anti-hémorroïdaire [1]. Le décocté des feuilles et de racines est recommandé pour corriger les aménorrhées et pour soigner la stérilité
des femmes [48] ;
) les racines entières sont utilisées comme anti-diarrhéique, antipaludique, anti-ictérique, antidiabétique, anti-abortifs, anthelminthique, purgatif [1, 17]. Elles sont surtout préconisées dans le traitement de la stérilité masculine et des insomnies [1];
) les écorces des racines sont employées comme antiémétique [1] ;
) l’écorce des tiges est utilisée, notamment par les Diola au Sénégal, pour accélérer la cicatrisation des plaies en particulier celle des circoncis [48] ;
) le décocté de racine en association avec Senseria liberia est un anti-ictérique [29];
) Le décocté des racines en association avec des racines d’autres espèces traite l’ascite [29] ;
) le macéré de racine associé au miel est utilisé contre l’impuissance sexuelle [48]
) il est aussi utilisé contre les douleurs abdominales, les parasitoses intestinales, les diarrhées infantiles, les aménorrhées et la fièvre jaune [48].
En plus de ces propriétés pharmacologiques, le fruit de Nauclea latifolia Sm., charnu et rouge à maturité est comestible ; sa chair sucrée est agréablement parfumée [48].
Etudes pharmacologiques
Nauclea latifolia Sm. fait l’objet de nombreuses investigations pharmacologiques qui ont débutées en 1937 avec RAYMOND [73], lorsqu’il a mis en évidence le pouvoir antipyrétique de l’extrait aqueux de feuilles et d’écorces de l’espèce nigériane.
Nauclea latifolia Sm. s’est révélé antalgique et antiseptique buccale et utilisée de ce fait en stomatologie [17, 22].
Il aurait aussi des propriétés tonique et anti-hypertensive [48].
Il a été montré que cette plante possède une action antimicrobienne dirigée contre les bactéries gram négatif et gram positif et également une activité antifungique. C’est ainsi que :
SOURABIE et al. [83] ont mis en évidence l’activité inhibitrice in vitro de Nauclea latifolia Sm et Holarrhena floribunda (G.Don) Dur et Schinz vis-à-vis de quatre germes pathogènes responsables de gastro-entérites infantiles au BURKINA-FASO. Cette activité a été mesurée par l’étude de la concentration minimale inhibitrice (CMI) vis-à-vis des germes suivants :
) Escherichia coli et Shigella flexneri : CMI =1,3mg /ml
) Salmonella typhi et Staphyloccocus aureus : CMI=2,5mg /ml.
GOMIS [33] a montré l’action spasmolytique de l’extrait éthanolique de la poudre d’écorce de racine de Nauclea latifolia Sm.
FALL [29], dans une étude réalisée en 2007 chez les poulets de chair, a mis en évidence les effets anticoccidiens des trois plantes : racines de Nauclea latifolia Sm., feuilles de Cassia italica et Aphania senegalensis.
Outre ses propriétés, Nauclea latifolia Sm. est une Rubiacée qui présente une certaine toxicité :
Au BURKINA-FASO des cas d’intoxication ont été observés chez les enfants [46]. Ces intoxications se caractérisent sur le plan clinique par :
¾ une hypotonie musculaire ;
¾ des troubles cardiaques ;
¾ des hémorragies généralisées ;
¾ un affaiblissement du pouls suivi de coma ;
¾ un refroidissement.
De plus LOMPO [57], a mis en évidence l’action cardiotoxique de l’extrait aqueux et de l’extrait hydro-alcoolique des racines sur le cœur isolé de grenouille.
Bien qu’il soit utilisé de manière traditionnelle comme aphrodisiaque, ce n’est qu’en 2007 que les travaux réalisés par RUKUNDO [77] chez le rat ont mis en évidence un effet androgénique de l’infusé des racines entières de Nauclea latifolia Sm. se traduisant par une amélioration de la croissance pondérale, le développement testiculaire, la stimulation de la spermatogenèse chez l’animal normal et un rétablissement de la fonction germinale des testicules chez l’animal insuffisant testiculaire.
L’année suivante, NTIVUGURUZWA [69], a rapporté que l’infusé de racines entières de Nauclea latifolia améliore les performances de croissance du poulet de chair avec un développement significatif des masses musculaires.
Les résultats obtenus par ISHIMWE [43], montrent que Nauclea latifolia améliore également les performances de reproduction des rattes saillies par des mâles traités à la plante.
En résumé, Nauclea latifolia Sm., plante largement répandue en Afrique s’est avérée utile dans le traitement de plusieurs pathologies dont celles liées à la fonction de reproduction. L’objectif de notre étude étant d’obtenir des informations précises sur les effets de cette plante sur la reproduction chez le mâle, il nous est apparu opportun d’examiner les circonstances dans lesquelles cette fonction peut être perturbée dans le cadre général de la physiopathologie du système reproducteur mâle chez les mammifères.
PHYSIOPATHOLOGIE DU SYSTEME REPRODUCTEUR MALE CHEZ LES MAMMIFERES
RAPPELS ANATOMO-HISTOLOGIQUES DE L’APPAREIL GENITAL MALE
LES TESTICULES
Chez la plupart des mammifères, les testicules d’abord en position intra-abdominale migrent de l’avant vers l’arrière pour se retrouver dans un petit diverticule de la cavité abdominale : le scrotum. Cette position extra-abdominale permet la spermatogenèse à une température inférieure à la température corporelle.
La migration des testicules s’opère à des périodes différentes suivant l’espèce ; elle est précoce chez les ruminants (5éme mois de la gestation), plus tardive chez les carnivores (3éme semaine après la naissance).
Conformation
Les testicules sont des organes pairs, pleins. Ils sont ovoïdes légèrement comprimés d’un coté à l’autre, de poids et de taille variables selon les espèces (chez les rats leur taille s’accroît en période d’activité sexuelle). Chaque testicule est formé de deux faces, deux bords et deux extrémités :
¾ les faces latérale et médiale sont lisses et arrondies. Elles montrent à travers la séreuse et l’albuginée de nombreux vaisseaux flexueux ;
¾ le bord libre est convexe et lisse : antérieur chez les ruminants plutôt inferieur chez les Equidés mais postérieur chez les porcins et les carnivores ;
¾ le bord épididymaire, en général moins convexe et un peu plus court est situé à l’opposé. Il reçoit l’insertion du Mesorchium et se trouve longé latéralement par l’épididyme ;
¾ l’extrémité capitée est en continuité de substance avec la tête de l’épididyme et reçoit médialement à celle-ci, l’attache du cône vasculaire du cordon qui lui est destiné ;
¾ l’extrémité caudée, formant le pôle opposé, est contournée par la queue de l’épididyme, à la quelle elle est unie par le bref ligament propre du testicule.
Structure
Le testicule est entouré par une charpente fibreuse densifiée sous la séreuse en une épaisse albuginée et un tissu propre qui se prolonge par des cloisons internes délimitant des lobules testiculaires (figure 5).
Séreuse, albuginée et charpente fibreuse
Le revêtement séreux correspond au péritoine testiculaire, partie de la lame viscérale de la tunique vaginale. Il est extrêmement adhérent à l’albuginée et se continue avec celui de l’épididyme et des mésos.
La tunique albuginée est une membrane fibreuse épaisse et blanchâtre, creusée d’un grand nombre de canalicules très flexueux et de tailles diverses, dans lesquels circulent les vaisseaux. La couche qui les renferme a été qualifiée abusivement de « tunique vasculaire ». De la face profonde de l’albuginée partent des cloisons (Septula testis) qui divisent le tissu sous-jacent en lobules assez réguliers. Les cloisons convergent en effet sur un axe conjonctif épais. C’est le médiastinum testis, anciennement appelé «corps d’Highmore» qui se met en continuité avec les cloisons. Il loge, outre de nombreux vaisseaux, un réseau de conduits excréteurs anastomosés: le rete testis, anciennement appelé «réseau de Haller ». Ce dernier collecte les tubes droits qui proviennent des lobules et émet d’autre part les canalicules afférents qui pénètrent dans la tête de l’épididyme.
Lobule du testicule
Sauf chez les très petites espèces, le testicule est constitué de 200 à 300 lobules non communiquant ou communiquant grâce à de nombreuses perforations.
Chacun d’eux est soutenu par un tissu conjonctif lâche continu avec celui des septums et parcouru par un riche réseau capillaire. Dans cette trame sont plongés les éléments caractéristiques de l’organe : tubes séminifères et tissu glandulaire interstitiel.
Tubes séminifères
Très flexueux, les tubes séminifères comportent deux parties très inégales, l’une contournée, dans laquelle sont produits les spermatozoïdes, et l’autre droite. Cette dernière se raccorde au rete testis et forme avec lui la partie initiale des voies d’excrétion du sperme.
On trouve à l’intérieur des tubes séminifères deux types de cellules : les cellules de Sertoli ou cellules sustentaculaires et les cellules germinales devant se multiplier et évoluer jusqu’au stade de spermatozoïdes. La longueur moyenne d’un tube séminifère est de 30 mm chez le rat.
Tissu interstitiel
Disséminé dans le conjonctif qui sépare les tubes séminifères, le tissu interstitiel est le siège de la fonction endocrine du testicule. Ce tissu est formé de cordons ou de petits amas de cellules interstitielles ou cellules de Leydig serrées sur le trajet des vaisseaux capillaires et plus ou moins abondantes selon les espèces.
Ces cellules interstitielles secrètent l’hormone mâle ou testostérone, nécessaire au développement et au maintien morphologique et fonctionnel des glandes accessoires de l’appareil génital mâle. Cette sécrétion contrôle en outre les caractères sexuels secondaires et l’activité sexuelle.
Les vaisseaux et nerfs du testicule
L’irrigation est assurée par l’artère testiculaire qui présente un trajet sinueux au voisinage du testicule et se trouve entourée par le plexus veineux pampiniforme intervenant dans le refroidissement du sang artériel. Des rameaux artériels pénètrent dans le testicule par le corps de Highmore et par la tunique albuginée, suivent le trajet des septa et donne des plexus capillaires autour des tubes séminifères.
L’irrigation veineuse de retour est superposable à l’irrigation artérielle.
Des vaisseaux lymphatiques en provenance du testicule et de l’épididyme et des filets nerveux sont disposés à la périphérie du complexe vasculaire.
Les testicules sont innervés par les rameaux qui accompagnent l’artère testiculaire. Près du testicule, les nerfs se divisent en fines terminaisons qui longent les branches terminales de l’artère testiculaire. De nombreuses terminaisons adrénergiques innervent les vaisseaux dont elles contrôlent la vasomotricité, les cellules musculaires lisses de la gaine péritubulaire et, chez certaines espèces, les cellules de Leydig elles mêmes. Des terminaisons cholinergiques se trouvent, en particulier dans la tunique fibreuse [81].
LES VOIES SPERMATIQUES
Les voies spermatiques intra-testiculaires
Elles réalisent la jonction entre l’extrémité distale des tubes séminifères et le début de l’épididyme. Les tubes séminifères se terminent en segments rectilignes courts qui s’organisent par la suite en réseau ( rete testis) à l’intérieur du corps de Highmore. Le rete testis peut se situer en position superficielle à la surface du testicule (rat, souris) ou en profondeur dans l’axe central de l’organe (Taureau, Chien, Cobaye)
Les voies spermatiques extra-testiculaires
Les voies spermatiques extratesticulaires sont constituées par les canaux efférents, les canaux épididymaires, les canaux déférents et les ampoules déférentielles.
Les canaux efférents
Ils relient le rete testis au canal de l’épididyme. Selon leur disposition topographique, on peut distinguer les animaux dont la tête de l’épididyme est presque entièrement formée par les canaux efférents qui débouchent isolement dans le canal épididymaire (Taureau, Bélier, Verrat, Chien, Chat), des animaux chez lesquels les canaux efférents pénètrent dans la tête de l’épididyme pour y constituer un seul petit canal qui débouche dans le canal épididymaire (Rat, Souris, Lapin)[88].
Les canaux épididymaires [11,37, 88]
Le canal épididymaire a une longueur variable selon les espèces ; il est extrêmement tortueux et replié sur lui-même avec un diamètre qui s’accroit lorsqu’on progresse de la tête vers la queue de l’épididyme. Les différentes parties de l’épididyme ont des rôles très spécifiques dans le processus de maturation, de stockage et de transport des cellules sexuelles. Son diamètre augmente progressivement de son début à son extrémité postérieure. La paroi est faite d’un épithélium prismatique simple, d’une lame basale, d’un chorion, d’une mince couche de cellules musculaires et d’une couche conjonctive.
L’environnement épididymaire intervient dans la maturation des spermatozoïdes qui deviennent fertiles au niveau de la queue de l’épididyme ; cette maturation dépend du taux d’hormone mâle.
Les canaux déférents
Le canal déférent s’étend de la queue de l’épididyme jusqu’à l’urètre : à son extrémité distale, il se dilate en une ampoule déférentielle. La lumière du canal est bordée par une paroi épaisse comportant une muqueuse et musculeuse avec trois plans de cellules musculaires [74].
L’ampoule déférentielle
Elle présente la même structure que les canaux déférents, mais les stéréocils sont moins nombreux et la muqueuse possède des formations diverticulées, s’enfonçant dans le chorion et assurant une sécrétion glandulaire.
L’ampoule déférentielle est absente chez le chat et le verrat [18, 88].
LES GLANDES ANNEXES
Les Vésicules séminales
Elles présentent de grandes variations morphologiques selon les espèces animales. Moyennement développées, elles forment deux masses allongées compactes chez le taureau et l’étalon.
Chez le verrat, elles sont très volumineuses et bosselées. Très développées chez le rat et la souris, elles sont arquées avec une surface lobulée chez le cobaye, elles présentent la forme de longs tubes plusieurs fois repliés sur eux-mêmes. Une vésicule séminale impaire, médiane chez le lapin. Elles sont absentes chez les carnivores [36].
La paroi des vésicules séminales présente une muqueuse très plissée dont l’épithélium est formé de cellules basales et cellules hautes non ciliées chargées de grains de sécrétion abondant dont le contenu représente une partie importante du liquide spermatique caractérisée par sa teneur en prostaglandines, substances réductrices et fructose [88].
La Prostate
La prostate élabore une partie du liquide séminal. Son développement varie considérablement avec l’espèce [36]: très développée chez le chien, le rat, la souris; moyennement chez le taureau, le bélier ; peu développée chez le verrat et rudimentaire chez le chat.
Glande tubulo-alvéolaire composée, elle enserre l’urètre à sa sortie de la vessie. La muqueuse est entourée par un stroma conjonctivo-musculaire [24]. Les cellules glandulaires élaborent une sécrétion prostatique ou liquide prostatique riche en acides aminés et en nombreuses enzymes qui a un rôle de liquéfaction du sperme [4].
Les Glandes de Cowper ou glandes bulbo-urétrales
Ce sont des glandes paires situées sur les faces dorso-latérales de l’urètre pelvien auquel elles s’accrochent. Ce sont les glandes lobulées tubulo-alveolaires. L’épithélium glandulaire est prismatique composé des cellules muqueuses. Les canaux excréteurs ont un épithélium prismatique simple devenant pluristratifié au voisinage de l’urètre. Chaque lobule est entouré d’un stroma conjonctif et de muscles striés. Le liquide de sécrétion clair, visqueux contient du galactose, de la galactosamine, de l’acide galacturonique, de l’acide sialique [45].
Les glandes préputiales ou glandes de Tyson [89]
Chez les rongeurs, elles forment un groupe très important de glandes cutanées s’étalant sous la peau inguinale et qui présentent une importante activité enzymatique de type phosphatase alcaline. Elles sont la source de production des phéromones, fondatrices de « effet mâle » dans les interactions éthologiques sexuelles entre les deux genres mâle et femelle.
L’organe copulateur
Le pénis ou verge est l’organe mâle de copulation et de miction chez les mammifères ; c’est le lieu de passage du sperme et de l’urine à travers l’urètre ; sa forme et sa direction diffèrent selon les espèces et le fait qu’il soit en état d’érection ou de flaccidité [89].
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : ETUDE BIOSYSTEMATIQUE DE Nauclea latifolia Sm
I.1. ETUDE BOTANIQUE
I.1.1. Position systématique
I.1.2. Etude spéciale
I.1.2.1.Synonymie
I.1.2.2. Dénomination
I.1.2.2.1.Noms français
I.1.2.2.2.Noms en quelques langues du Sénégal
I.1.2.3. Description botanique
I.1.2.3.1.Appareil végétatif
I.1.2.3.2.Appareil reproducteur
I.1.2.3.3.Les racines
I.2.ETUDE ECOLOGIQUE DE Nauclea latifolia Sm
I.2.1. Répartition géographique
I.2.2. Habitat au Sénégal
I.2.3. La culture
I.3. TRAVAUX SUR LA CHIMIE
I.4. TRAVAUX SUR LA PHARMACOLOGIE
I.4.1.Emplois traditionnels des différentes parties de la plante
I.4.2. Etudes pharmacologiques
Chapitre II : PHYSIOLOGIE DU SYSTEME REPRODUCTEUR MALE CHEZ LES MAMMIFERES
II.1.RAPPELS ANATOMO-HISTOLOGIQUES DE L’APPAREIL GENITAL MALE
II.1.1. Les testicules
II.1.1.1. Position
II.1.1.2. Conformation
II.1.1.3. Structure
II.1.1.3.1.Séreuse, albuginée et charpente fibreuse
II.1.1.3.2. Lobule du testicule
II.1.1.3.2.1. Tubes séminifères
II.1.1.3.2.2. Tissu interstitiel
II.1.1.3.3. Les vaisseaux et les nerfs du testicule
II.1.2. Les voies spermatiques
II.1.2.1. Les voies spermatiques intra-testiculaires
II.1.2.2. Les voies spermatiques extra-testiculaires
II.1.2.2.1. Les canaux efférents
II.1.2.2.2. Les canaux épididymaires
II.1.2.2.3. Les canaux déférents
II.1.2.2.4. L’ampoule déférentielle
II.1.3. Les glandes annexes
II.1.3.1. Les vésicules séminales
II.1.3.2. La prostate
II.1.3.3. Les glandes de Cowper ou glandes bulbo-urétrales
II.1.3.4. Les glandes préputiales ou glandes de Tyson
II.1.3.5. L’organe copulateur
II.2. LES FONCTIONS DES TESTICULES
II.2.1. La fonction germinale du testicule
II.2.1.1. Etapes de l’activité testiculaire
II.2.1.2. La spermatogenèse
II.2.1.2.1. Cycle de l’épithélium séminifère
II.2.1.2.2. Les phases de la spermatogenèse
II.2.1.2.3. Durée de la spermatogenèse
II.2.2. La fonction endocrine des testicules
II.2.2.1. Les hormones testiculaires
II.2.2.1.1. Les hormones stéroïdes androgènes
II.2.2.1.2. Les autres stéroïdes testiculaires
II.2.2.1.3. Les hormones protéiques testiculaires
II.2.2.2. Effets des androgènes testiculaires
II.2.2.2.1. Effets sur les caractères sexuels primaires
II.2.2.2.2. Effets sur les caractères sexuels secondaires
II.2.2.2.3. Effets sur les caractères sexuels tertiaires
II.2.2.2.4. Actions métaboliques des androgènes
II.2.2.2.4.1. Action sur le muscle strié squelettique
II.2.2.2.4.2. Action sur l’os
II.2.2.2.4.3. Action sur le gras
II.3. CONTROLE DE LA FONCTION TESTICULAIRE
II.3.1. Rôle des gonadostimulines hypophysaires
II.3.1.1. La FSH (follicle stimulating hormone)
II.3.1.2. La LH ( luteinizing hormone) ou ICH (Interstitial Cell Stimulating Hormone)
II.3.1.3. Hormone de croissance ou somatotrophine
II.3.1.4. La prolactine
II.3.2. Rôle des neurohormones hypothalamiques
II.4. FACTEURS INFLUENCANT LA FONCTION TESTICULAIRE
II.4.1. L’alimentation
II.4.2. La température
II.4.3. Les facteurs pathologiques
II.4.3.1. Pathologies de l’hypophyse
II.4.3.2. Pathologies des gonades
II.4.3.2.1. La cryptorchidie
II.4.3.2.2. La varicocèle
II.5. TRAITEMENT DE L’INFERTILITE MASCULINE
II.5.1. Traitement moderne
II.5.1.1. En médecine humaine
II.5.1.1.1. Traitements médicamenteux
II.5.1.1.2. Traitements chirurgicaux
II.5.1.2. En médecine vétérinaire
II.5.2. Traitement traditionnel de la stérilité masculine
II.5.2.1. En médecine humaine
II.5.2.2. En médecine vétérinaire
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I : MATERIEL ET METHODES
I.1. MATERIEL
I.1.1. Matériel végétal
I.1.2. Matériel et réactifs pour l’extraction lipidique et caractérisation des phytostérols
I.1.3. Matériel pour les essais pharmacologiques
I.1.3.1. Animaux d’expérience
I.1.3.2. L’androgène de référence
I.1.3.3. L’anti-androgène
I.1.3.4. Matériel de mesure et de pesée….
I.1.3.5. Autre matériel
I.2. METHODE
I.2.1. Méthode d’extraction lipidique
I.2.1.1. Principe de fonctionnement du Soxhlet
I.2.1.2. Technique d’extraction
I.2.2. Caractérisation des phytostérols
I.2.3. Les essais pharmacologiques
I.2.3.1. Protocole expérimental
I.2.3.1.1. Etape préliminaire
I.2.3.1.2. Préparation de certaines solutions
I.2.3.1.2.1. Préparation de l’anti-androgène
I.2.3.1.2.2. Dilution des extraits lipidiques
I.2.3.1.3. Mise en lot des rats
I.2.3.1.4. Evaluation de l’évolution pondérale
I.2.3.1.5. Evaluation de la croissance des testicules
I.2.3.1.6. Evaluation des concentrations en spermatozoïdes
I.2.3.1.7. Evaluation de la consommation alimentaire
I.2.3.1.8. Analyse statistique des résultats
Chapitre II : RESULTATS ET DISCUSSION
II.1.RESULTATS
II.1.1. Le rendement d’extraction
II.1.2. Résultat de la caractérisation des phytostérols
II.1.3. Effets des traitements sur l’évolution pondérale des animaux
II.1.3.1. Effets des traitements androgéniques directs sur l’évolution pondérale
II.1.3.2. Effets du traitement curatif sur l’évolution pondérale
II.1.4. Effets des traitements sur le poids des testicules
II.1.4.1. Effets des traitements androgéniques directs sur le poids des testicules des rats
II.1.4.2. Effets des traitements androgéniques curatifs sur les poids des testicules des rats
II.1.5. Effets des traitements sur la concentration en spermatozoïdes des testicules et de l’épididyme
II.1.5.1. Effets de traitements androgéniques directs sur la concentration en spermatozoïdes
II.1.5.2. Effets de traitement androgénique curatif sur la concentration en spermatozoïdes des testicules de l’épididyme
II.1.6. Effets des traitements sur la consommation alimentaire
II.2.DISCUSSION
II.2.1.Etude phytochimique
II.2.2. Effets des extraits lipidiques de Nauclea latifolia sur la croissance pondérale
II.2.3. Effets des extraits lipidiques de Nauclea latifolia sur le poids testiculaire
II.2.4.Effets des extraits lipidiques de Nauclea latifolia sur les concentrations en spermatozoïdes des testicules et de l’épididyme
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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