Physiologie de l’activité sexuelle de la vache gravide

LEVASSEUR et HUNTER, 1993

La Parturition

La parturition ou mise bas correspond à l’ensemble des phénomènes mécaniques et physiologiques qui aboutissent à l’expulsion du ou des fœtus, et de leurs annexes chez une femelle parvenue au terme de sa gestation.
L’ensemble des phénomènes mécaniques qui contribuent au processus de mise bas est placé sous un contrôle endocrinien.
La mise bas intervient suite à la rupture de l’équilibre hormonal gravidique, dont l’axe hypothalamo-hypophysaire du fœtus en est l’origine.
La chute de la progestéronémie lève l’inhibition exercée par cette hormone sur les contractions utérines. Les œstrogènes en l’absence de progestérone en forte quantité stimulent les contractions utérines, et favorisent la synthèse de la PGF2α (par le placenta et l’utérus) qui a un effet contracturant de l’utérus et dilatateur du col.
Une fois que le fœtus est engagé dans la filière pelvienne, la distension du col et du vagin conduit à la libération de l’ocytocine qui est un contracturant utérin, contribuant à l’expulsion du fœtus (délivrance) (DERIVAUX et ECTORS, 1986).

Le Post-partum

La période qui suit la mise bas, ou post-partum, se caractérise par des évènements importants liés au fonctionnement de l’appareil reproducteur de la femelle : involution utérine, reprise de l’activité ovarienne, mise en place d’une lactation dont le rôle est dans certains cas, essentiel pour les jeunes produits.
Dans les conditions modernes d’élevage, le délai entre la mise bas ou parturition et une nouvelle fécondation doit être le plus bref possible si on veut obtenir une productivité numérique annuelle maximale. Cependant, les bouleversements endocriniens de la gestation ne permettent pas dans tous les cas un redémarrage immédiat du cycle œstrien (BONNES et al., 1988).
Chez les Ruminants, la durée de l’anœstrus post-partum est très liée au mode d’élevage; elle est toujours plus longue chez les femelles allaitantes que chez les femelles traites (BONNES et al.,1988).
Chez la vache, il faut savoir que :
 l’involution utérine, dure 42-50 jours, et une nouvelle gestation peut démarrer avant la fin de l’involution utérine;
 le délai de réapparition des cycles ovariens et des chaleurs, après le part est de 15j, et le premier œstrus après le part est observé à 40-50j.
Dans la pratique, pour inséminer, il faut attendre la reprise d’un cycle après l’involution utérine.

GESTION DE LA REPRODUCTIONCHEZ LA VACHE

Induction et synchronisation des chaleurs

La maitrise ou gestion de la reproduction regroupe un ensemble de techniques propres permettant de diminuer au maximum les périodes improductives. Elle permet de planifier, de contrôler et de programmer toutes les étapes de la reproduction à des moments très propices pour l’éleveur (DERIVAUX et ECTORS, 1989). C’est en fait la capacité d’intervenir avec des agents pharmacologiques pour induire ou choisir le moment de l’œstrus et de l’ovulation (BROERS, 1995).
Vu des principaux outils de la gestion de la reproduction est l’induction et la synchronisation des chaleurs.

Intérêts

Selon DERIVAUX etECTORS (1989), la synchronisation des chaleurs comme dans tous les pays du monde, permet:
 de grouper les mises bas ;
 d’organiser le travail;
 d’utiliser l’IA de façon judicieuse sans surveillance des chaleurs;
 de provoquer la rupture de l’anœstrus;
 de diminuer l’intervalle vêlage-vêlage et donc de minimiser les périodes improductives des vaches;
 d’induire des chaleurs en toute saison ;
 d’utiliser la méthode de transplantation embryonnaire.
La synchronisation des chaleurs est indispensable en Afrique, car elle permet de définir des dates précises de rendez-vous avec l’éleveur. En effet, en élevage traditionnel, les vaches ne sont pas en stabulation, mais en transhumance ;il faut donc absolument fixer des dates pour que l’éleveur se rende au centre d’insémination.

Techniques ou Méthodes

Les méthodes utilisées pour cet outil de la maitrise de la reproduction sont d’ordre chirurgical et médical.

Méthode Chirurgicale

Elle consiste en l’énucléation du corps jaune, ce qui permet de déclencher un œstrus dans la semaine suivante (dans les 2 à 7 jours qui suivent l’intervention) par la suppression de la sécrétion de progestérone conduisant à la décharge de LH. Cet œstrus est souvent ovulatoire, et le pourcentage de fécondation peut être élevé (DERIVAUX et ECTORS, 1989).
C’est une méthode à risques, car elle est source d’hémorragie qui peut être mortelle, et de formation d’adhérences tubaires, cause d’infertilité passagère ou définitive.

Méthode médicale

Elle utilise essentiellement des hormones qui interviennent dans la régulation du cycle œstral. Ces hormones permettent de planifier la production et la reproduction en tenant compte des contraintes du milieu. Elles peuvent être utilisées seules ou en association pour induire les chaleurs.
Le tableau II, montre plusieurs hormones qui peuvent être utilisées pour induire les chaleurs chez la vache. Ces hormones sont :
 les œstrogènes ;
 la progestérone ;
 la gonadolibérine ;
 les prostaglandines ;
 les gonadotrophines.

Méthodes annexes de détection

D’autres dispositifs d’assistance ont été testés, mais ils ne sont pas utilisés couramment. Il s’agit entre autres :
 des caméras reliées à un poste de télévision situé dans la maison ou le bureau.
Elles permettent d’allonger la période d’observation et facilitent la détection des vaches en chaleurs ;
 d’une sonde qui mesure la baisse de la résistance électrique du vagin et des secrétions vaginales (ou vagino-cervicales) au cours de l’œstrus;
 des podomètres mesurant l’activité physique de la vache qui, au commencement des chaleurs, augmente de 2 à 3 fois ;
 des changements dans la consommation alimentaire, la température du lait et dans la production de lait sont des indices utiles pour prévoir le début des chaleurs.
Ces mesures sont moins laborieuses pour l’éleveur car elles peuvent être effectuées par voie électronique. Cependant, elle ne saurait remplacer l’observation visuelle d’une vache en œstrus. En effet, c’est le seul indicateur qui permet à l’inséminateur de déterminer le moment optimal de l’insémination.

Insémination artificielle bovine

L’insémination artificielle (IA) est une technique de reproduction qui consiste à déposer à l’aide d’un instrument approprié et au moment le plus opportun, la semence du mâle dans la partie la plus convenable des voies génitales femelles sans qu’il y ait un acte sexuel permettant une fécondation.

Intérêts de l’insémination artificielle

L’IA présente plusieurs avantages qui sont d’ordre sanitaire, technique, pratique, génétique et économique.

Intérêt Sanitaire

L’insémination artificielle est un outil de prévention de propagation de maladies contagieuses et/ou vénériennes grâce au non-contact physique direct entre la femelle et le géniteur. Cependant, il y a certains agents infectieux qui peuvent être présents dans la semence et transmis notamment, le virus aphteux, le virus bovipestique, le virus de l’IBR, Brucella abortus, campylobacter, etc. Toutefois le contrôle de maladies, grâce aux normes sanitaires strictes exigées au niveau des centres producteurs de semences, a permis de réduire considérablement le risque de transmission de ces agents par la voie « mâle ».
Par l’IA, il est possible d’éviter l’apparition des maladies génétiques liées à l’utilisation prolongée d’un seul reproducteur dans une même ferme.
L’IA permet aussi d’exploiter des reproducteurs performants souffrant d’impotence à la suite d’accident ou d’engraissement, par l’application des méthodes de collecte avec un électro-éjaculateur.

Intérêts Techniques et Pratiques

Au-delà d’un certain effectif, il devient indispensable de conduire son troupeau en bande, pour une meilleure organisation et rentabilité.
 L’IA permet une organisation plus rigoureuse des productions par une planification, une organisation du travail et un suivi permanent.
 L’IA offre une grande possibilité à l’éleveur du choix des caractéristiques du taureau qu’il désire utiliser en fonction du type de son élevage et l’option de production animale à développer.
 L’IA permet de résoudre les problèmes rencontrés chez les femelles aux aplombs fragiles.

Intérêts Génétiques

Considérée comme l’un des outils de diffusion performant du matériel génétique, elle est appliquée principalement pour assurer l’amélioration génétique rapide et sure des animaux domestiques (BENLEKHEL et al.,2000). La faible productivité du bétail en Afrique tropicale explique donc la place très importante qu’occupe l’insémination artificielle dans les stratégies de développement de l’élevage. En effet, l’IA permet:
 d’obtenir un grand nombre de descendants des meilleurs géniteurs;
 de mettre à la disposition de l’éleveur les meilleurs géniteurs;
 de prévoir les plans d’accouplement raisonnés.

Intérêts Economiques

 L’IA dispense l’éleveur d’entretenir un taureau au profit d’une semence de taureau sélectionné ;
 grâce à l’IA, on peut réaliser le croisement industriel et bénéficier ainsi d’un phénomène d’hétérosis. Cependant dans le contexte tropical, son utilisation reste liée à celle des techniques de groupage des chaleurs (synchronisation et/ou induction des chaleurs). En effet, si elle est judicieusement combinée aux techniques de groupage des chaleurs, l’IA peut contribuer à une meilleure gestion de l’élevage à travers :
 la réduction de l’intervalle entre mises bas ;
 le groupement des naissances en fonction des saisons.
 L’IA contribue à l’amélioration de laproductivité du troupeau (lait, viande) qui se traduit par l’amélioration du revenu de l’éleveur. Cet aspect est particulièrement perceptible chez les animaux croisés (obtenus par insémination artificielle des vaches locales) dont la production s’améliore de 100% par rapport au type local.
 L’IA contribue à la sécurité alimentaire à travers l’amélioration de la production nationale en lait et en viande.

Technique d’Insémination Artificielle

Moment d’IA

L’insémination doit être pratiquée à un moment assez proche de l’ovulation. Si l’on admet que la durée de l’œstrus est de 12 à 24 heures, que l’ovulation a lieu 10 à 12 heures après la fin de l’œstrus et que les spermatozoïdes doivent séjourner pendant environ 6 heures dans les voies génitales femelles (phénomène de capacitation), le meilleur moment pour obtenir une insémination fécondante est la deuxième moitié de l’œstrus (HASKOURI, 2001). Dans la pratique, les animaux observés en chaleurs le matin sont inséminés le soir et ceux en chaleurs le soir sont inséminés le lendemain matin (tableau III et figure 4).

Dosage des protéines Fœtales

Pendant la gestation, il y a libération par le fœtus de protéines spécifiques dans le sang.
Parmi ces protéines, plusieurs sont susceptibles d’être utilisées pour le diagnostic de gestation. On peut citer :
• la bPAG (Bovine Pregnancy Associated Glycoprotein) dont la concentration sérique augmente régulièrement jusqu’à 1 à 5 jours du part (ZOLI et al., 1993) ;
• la PSPB (Pregnancy Specific Protein B) qui est une hormone présente que chez les vaches gestantes avec un taux sérique augmentant régulièrement à partir du 24 ème jour (HUMBLOT et MARTIAL, 1988) ;
• l’OTP1 (Ovine Trophoblastin Protein 1) est une hormone détectée chezles bovins entre le 16ème et le 24ème jour de gestation (MARTIAL et al.,1988).
En résumé, la maitrise de la reproduction par les nouvelles biotechnologies, constitue un moyen pour améliorer la production laitière. Parmi les techniques pouvant conduire à une amélioration significative de la production laitière au Sénégal, l’IA sur chaleurs induites semble la plus appropriée. Mais le succès de l’IA est dépendant de celui de l’induction des chaleurs qui lui-même est tributaire du produit utilisé. C’est la raison pour laquelle, nous nous sommes proposé de voir dans quelle mesure le « PRID ND Delta» pourrait mieux induire les chaleurs chez les vaches locales. Ce sont les résultats de ces investigations qui font l’objet de la deuxième partie de ce document.

Le choix de l’inséminateurpar CEVA

L’insémination artificielle étant une technique nécessitant beaucoup d’expérience, le choix de l’inséminateur doit être judicieux. C’est ainsi que le programme d’IA dans lequel s’inscrit notre travail, a été confié par CEVA au docteur Omar THIAM directeur général de la SOPRODEL.

Réalisation des fiches de collecte des données sur le terrain

Ce travail qui a été réalisé à la SOPRODEL a permis d’établir trois types de fiche présentés en annexe 1.
 Une fiche de sélection qui contient les informations suivantes :
 la localisation du centre d’insémination (région, département, commune, date);
 l’identification de la vache et de son propriétaire ;
 les paramètres de reproduction de la vache (la race, l’âge, le niveau de lactation, le nombre dejours post-partum, la note d’état corporel, l’état ovarien).
 Une fiche de synchronisation et d’insémination dont les informations concernent:
 le protocole de synchronisation, les dates de mise en place du PRID ND Delta, d’injection de PGF2α, de retrait du PRID ND Delta, d’insémination artificielle, du diagnostic de gestation ;
 l’identification du propriétaire et de sa vache;
 la synchronisation des chaleurs (heure pose du PRID ND Delta, d’injection de la PGF2α, de retrait du PRID NDDelta et d’injection du PMSG);
 l’insémination artificielle (heure IA, nom de l’inséminateur, nom du taureau, race du taureau, observations) ;
 le diagnostic de gestation.
 Une fiche dedonnéesqui contient les informations suivantes :
 la tonicité utérine;
 l’écoulement du mucus;
 le chevauchement;
 l’identification de la vache et de son propriétaire.
Ces informations enregistrées ont permis d’apprécier l’influence des différents paramètres étudiés sur le taux de gestation.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE
Synthèse bibliographique
CHAPITRE I : MAITRISE DE LA REPRODUCTION BOVINE
I.1 Physiologie de l’activité sexuelle de la vache
I.1.1 Rappels anatomiques de l’appareil génital de la vache
I.1.1.1 Partie Glandulaire ou Ovaires
I.1.1.2 Tractus Génital
I.1.1.2.1 Partie gestative
I.1.1.2.2 Portion Copulatrice
I.1.2 Rappels physiologiques de l’activité sexuelle de la vache non gravide
I.1.2.1 Mise en place de la fonction sexuelle
I.1.2.1.1 Définition de la Puberté
I.1.2.1.2 Déterminisme et conséquences de la Puberté
I.1.2.1.3 Conditions d’apparition de la puberté
I.1.2.2 Fonction germinale de l’ovaire
I.1.2.3 Fonction endocrine de l’ovaire
I.1.2.3.1 Hormones ovariennes
I.1.2.3.2 Rôle des hormones ovariennes: le Cycle sexuel
I.1.2.3.2.1 Définition et durée du cycle sexuel
I.1.2.3.2.2 Caractéristiques du cycle sexuel
I.1.2.3.3 Contrôle hormonal du cycle sexuel: déterminisme de la cyclicité
I.1.2.4 Physiologie de l’activité sexuelle de la vache gravide
I.1.2.4.1 La Fécondation
I.1.2.4.2 La Gestation
I.1.2.4.2.1-Durée de la gestation
I.1.2.4.2.2 Régulation hormonale de la gestation
I.1.2.4.3 La Parturition
I.1.2.4.4 Le Post-partum
CHAPITRE II : GESTION DE LA REPRODUCTION CHEZ LA VACHE
II.1. Induction et synchronisation des chaleurs
II.1.1. Intérêts
II.1.2. Techniques ou Méthodes
II.1.2.1. Méthode Chirurgicale
II.1.2.2. Méthode médicale
II.2. Détection des chaleurs chez les vaches
II.2.1. Signes de reconnaissances des chaleurs
II.2.2. Moment d’Observation des chaleurs
II.2.3. Outils d’aide à la détection des chaleurs
II.2.3.1. Révélateurs de chevauchements
II.2.3.1.1. Application de peinture
II.2.3.1.2. Systèmes «Kamar et Oesterflash »
II.2.3.1.3. Détecteurs électroniques de chevauchement
II.2.3.1.4. Licols marqueurs
II.2.3.2. Méthodes annexes de détection
II.3. Insémination artificielle bovine.
II.3.1. Intérêts de l’insémination artificielle
II.3.1.1. Intérêt Sanitaire
II.3.1.2. Intérêts Techniques et Pratiques
II.3.1.3. Intérêts Génétiques
II.3.1.4. Intérêts Economiques
II.3.2. Technique d’Insémination Artificielle
II.3.2.1. Moment d’IA
II.3.2.2. Lieu de dépôt de la semence
II.3.2.3. Evaluation de l’IA
II.3.2.3.1. Moyens Cliniques ou moyens directs
II.3.2.3.2.Méthodes Para-cliniques ou moyens indirects
DEUXIEME PARTIE 
Etude expérimentale
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. Matériel
I.1.1. Site de l’expérimentation
I.1.2. Matériel biologique
I.1.2.1. Les animaux
I.1.2.2. Semences utilisées
I.1.3.Plateau Technique
I.1.3.1.Matériel pour les traitements médicaux des animaux
I.1.3.2.Matériel et médicaments pour la synchronisation des chaleurs
I.1.3.3.Matériel pour l’insémination artificielle
I.1.3.4. Autres matériels
I.2. Méthodes
I.2.1. Phase préliminaire
I.2.1.1. Le choix de l’inséminateur
I.2.1.2. Réalisation des fiches de collecte des données sur le terrain
I.2.1.3. Sensibilisation des éleveurs sur le programme de l’IA
I.2.1.4. Sélection des animaux
I.2.2. Synchronisation des Chaleurs
I.2.3. Observation des Chaleurs
I.2.4. Insémination artificielle proprement dite
I.2.4.1. Décongélation de la semence
I.2.4.2. Mise en place de la semence
I.2.4.3. Diagnostic de gestation
I.2.4.4. Saisie et analyse des données
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSIONS
II.1. RésultatsII.1.1. Résultats du traitement de l’induction des chaleurs
II.1.1.1.Tolérance au PRID ND Delta
II.1.1.2. Résultats de l’observation des chaleurs
II.1.1.2.1. Taux de synchronisation
II.1.2. Résultats de l’insémination artificielle
II.1.2.1. Taux de réussite global
II.1.2.2. Taux de réussite en fonction des variables intrinsèques de la vache
II.1.2.2.1. Taux de gestation en fonction de la race
II.1.2.2.2. Taux de gestation en fonction de l’âge
II.1.2.2.3. Taux de gestation en fonction du nombre de lactations
II.1.2.2.4. Taux de gestation en fonction du nombre de jours post-partum
II.1.2.2.5. Taux de gestation en fonction de la note d’état corporel
II.1.2.2.6. Relation entre le taux de gestation et la tonicité utérine
II.1.2.3. Taux de réussite de l’IA en fonction des variables extrinsèques à la vache
II.1.2.3.1. Taux de gestation en fonction de la race du géniteur utilisé
II.1.2.3.2. Taux de gestation en fonction du géniteur utilisé
II.1.2.3.3. Taux de gestation en fonction de l’intervalle heure retrait PRID ND Deltainsémination artificielle
II.2. Discussion
II.2.1. Résultats du traitement de l’induction des chaleurs
II.2.1.1. Tolérance au PRID ND Delta
II.2.1.2. Résultats de l’observation des chaleurs
II.2.1.2.1. Taux de synchronisation
II.2.2. Résultats de l’insémination artificielle
II.2.2.1.Taux de réussite global
II.2.2.2 .Taux de réussite de l’IA en fonction des variables intrinsèques de la vache
II.2.2.2.1. Taux de gestation en fonction de la race
II.2.2.2.2. Taux de gestation en fonction de l’âge
II.2.2.2.3. Taux de gestation en fonction du nombre de lactations
II.2.2.2.4. Taux de gestation en fonction du nombre de jours post-partum
II.2.2.2.5. Taux de gestation en fonction de la note d’état corporel à la sélection
II.2.2.2.6. Taux de gestation en fonction de la tonicité utérine
II.2.2.3. Taux de réussite en fonction des variables extrinsèques à la vache
CONCLUSION GENERALE 
Références bibliographiques 
Webographie
ANNEXES

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