PHYSIOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE

PHYSIOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE

PHYSIOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE

Le fonctionnement de la tunique musculaire est complexe et devrait รชtre vu comme un ensemble de structures dont lโ€™origine embryologique est distincte et qui coopรจrent afin dโ€™assurer un fonctionnement correcte du tube digestif.

FONCTIONNEMENT DES CELLULES INTERSTITIELLES

FONCTIONNEMENT DES CELLULES INTERSTITIELLES DE CAJAL

NOTION Dโ€™ONDES LENTES : LE COURANT PACEMAKER

La motilitรฉ du tube digestif dรฉpend de la dรฉpolarisation et de la repolarisation des muscles lisses viscรฉraux puisque ces variations de potentiels membranaires ont une action dรฉmontrรฉe sur la [Ca2+] cytosolique et entraรฎnent les contractions et les relaxations des CML Ce sont les ICC qui prรฉsentent des dรฉpolarisations membranaires rythmiques (SANDERS et al., 2006) (figure 15) et qui communiquent ces ondes lentes (oscillations du potentiel de membrane) aux CML environnantes grรขce aux couplages permis par les jonctions gap.Les ICC vont agir comme pacemaker vis-ร -vis des CML et rรฉguler la frรฉquence des ondes lentes des cellules musculaires. Cette frรฉquence diminue au fur et ร  mesure que lโ€™on progresse dans le tube digestif (3 ร  50 cycles/min selon HUIZINGA et al., 1997).Les ICC sont aussi ร  lโ€™origine des complexes moteurs migrants (caractรฉrisรฉs par deux types de variations de potentiel : des ondes lentes rythmiques, permanentes รฉtablissant un rythme de base et des ondes rapides, brรจves de type spike) prรฉsents durant les pรฉriodes inter-digestives.Lรฉgende : Des oscillations de grande amplitude du potentiel de membrane se produisent de maniรจre rรฉguliรจre. Lโ€™encart montre la ressemblance frappante avec les ondes lentes rencontrรฉes in vivo. Les pics de potentiel apparaissent indรฉpendamment de toute stimulation extrinsรจque et les oscillations nโ€™ont pas รฉtรฉ modifiรฉes par lโ€™utilisation du verapamil (qui bloque les canaux calcium de type L).

LE POTENTIEL Dโ€™ACTION

La pรฉriode de plus haute excitabilitรฉ correspond au plateau de dรฉpolarisation de lโ€™onde lente. Si ร  cet instant-lร , une stimulation excitatrice se produit, celle-ci conduit ร  une activation de canaux Ca2+ de type L et juste aprรจs, ร  lโ€™รฉmission dโ€™un potentiel dโ€™action. Ce potentiel dโ€™action est alors transmis de proche en proche jusquโ€™au niveau des CML, oรน il entraรฎne une augmentation intracellulaire en calcium qui conduit in fine ร  la contraction musculaire.La figure 16 rรฉsume la relation entre les ondes lentes, les potentiels dโ€™action et la contraction musculaire. On remarque que les potentiels dโ€™actions nโ€™apparaissent quโ€™au niveau dโ€™un plateau de dรฉpolarisation dโ€™une onde lente.

LE ROLE DE KIT

KIT est un monomรจre enzymatiquement inactif liรฉ ร  la membrane plasmique. Son ligand, le SCF, se prรฉsente sous forme soluble et dimรฉrisรฉ. L’interaction de KIT avec son ligand SCF entraรฎne la dimรฉrisation du rรฉcepteur, ce qui ร  son tour entraรฎne la phosphorylation et l’activation de la fonction tyrosine kinase de son domaine intracellulaire.Cette activation permet la phosphorylation de seconds messagers intracellulaires qui assurent la transmission du signal jusqu’au noyau (figure 17). Cette cascade de rรฉactions conduit ร  l’induction et ร  la rรฉgulation de la croissance et de la prolifรฉration cellulaire et au contrรดle de la diffรฉrentiation cellulaire.
Lรฉgende
(A): Le rรฉcepteur KIT se prรฉsente sous la forme d’un monomรจre inactif ร  la surface de la membrane plasmique.
(B): L’interaction de KIT avec son ligand SCF entraรฎne la dimรฉrisation du rรฉcepteur.
(C): Phosphorylation et activation des domaines TK1 et TK2.
(D): Les phosphotyrosines servent de site de liaison pour diffรฉrentes protรฉines intracellulaires effectrices, qui assurent la transduction d’un signal jusqu’au noyau.

FONCTIONNEMENT DES CELLULES PGDFRฮ‘+

Lโ€™une des particularitรฉs des FLC est lโ€™expression de canaux transmembranaires spรฉcifiques, les canaux potassiques calcium-dรฉpendants ร  faible conductance SK3 (small-conductance Ca2+-activated K+) (KLEMM et al., 2002 ; IINO et al., 2009) (figure 18).Ces canaux, ainsi que lโ€™innervation purinergique inhibitrice sont impliquรฉs dans les rรฉtrocontrรดles inhibiteurs entรฉriques et sont bloquรฉs par lโ€™apamine (BANKS et al., 1979 ; BLATZ et al., 1986, GALLEGO et al., 2006 ; MUTAFOVA-YAMBOLIEVA et al., 2007).
Lรฉgende : Echelle barre blanche/noire = 10ยตm
A-C, coexpression dโ€™eGFP (vert) et de PGDFRฮฑ (rouge) dans la rรฉgion du plexus myentรฉrique, de la couche musculaire circulaire (B) et de la couche musculaire longitudinale (C). Lโ€™eGFP est confinรฉ au noyau tandis que PGDFRฮฑ est exprimรฉe au niveau des membranes cellulaires.
D-F, eGFP (D) et PDGFRฮฑ (E) dans des cellules dispersรฉes de colon. Noyau de cellules PGDFRฮฑ+ contenant la protรฉine eGFP (F). et (H) reprรฉsentent la mรชme cellule PGDFRฮฑ+ (tรชte de flรจches) mais sous diffรฉrentes techniques de contraste microscopique. La flรจche noire reprรฉsente une CML.
I-J reprรฉsentent lโ€™expression de cibles molรฉculaires qui interviennent dans la neurotransmission purinergique avec la mรฉthode de RT-PCR (I) et de RT-PCR en temps rรฉel (J) sur des cellules PGDFRฮฑ+ hautement purifiรฉes. On constate que ces cellules nโ€™expriment pas le gรจne Kit (I).
Les cellules PGDFRฮฑ+ expriment abondamment P2ry1 (rรฉcepteurs P2Y1) et Kcnn3 (canaux SK3). Les barres blanches correspondent aux cellules PGDFRฮฑ+ et les barres noires aux cellules musculaires coliques. Remarquer lโ€™importance relative de lโ€™expression de P2ry1 et de Kcnn3 au sein des cellules PDGFRฮฑ+. Hprt est un gรจne constitutif cellulaire (Hypoxanthine guanine phosphoribosyl transferase). NTC : tรฉmoins nรฉgatifs.
Cette rรฉponse purinergique est complexe et fait trรจs probablement intervenir de nombreux rรฉcepteurs diffรฉrents. Parmi ceux-ci, les rรฉcepteurs P2Y1 (figure 18) se trouvant sur les cellules PGDFRฮฑ+ ont un rรดle fondamental. Leur neuromรฉdiateur est lโ€™ATP (et les autres purines secondairement) principalement. La rรฉponse aux purines est diverse : hyperpolarisation, dรฉpolarisation ou encore rรฉponses multi-phasiques (MONAGHAN et al., 2006).
Elles donnent naissance aux potentiels de jonction inhibiteurs IJP (pour Inhibitory Junction Potential) (dโ€™aprรจs KURAHASHI et al, 2011). Ces potentiels, tout comme ceux induits par le monoxyde dโ€™azote, sont fondamentaux dans la rรฉponse inhibitrice descendante du rรฉflexe pรฉristaltique (BAYLISS et al., 1899).

FONCTIONNEMENT DES MUSCLES LISSES DU TUBE DIGESTIF

NOTION DE MUSCLE LISSE UNITAIRE

Ces muscles prรฉsentent une continuitรฉ fonctionnelle et forment un syncytium fonctionnel : elles sont excitรฉes et se contractent ensemble (SHERWOOD, 2006).Les CML sont ainsi rรฉunis par des jonctions communicantes (GJ) qui exercent un couplage intercellulaire.Lorsquโ€™un potentiel dโ€™action se produit nโ€™importe oรน dans un muscle lisse unitaire, il se propage rapidement par ces jonctions ร  tout lโ€™ensemble qui se contracte en masse.La contraction est dite myogรจne car les muscles lisses unitaires sont auto-excitables ; ils peuvent se contracter en lโ€™absence de stimulation nerveuse. Ces cellules musculaires lisses se caractรฉrisent donc par lโ€™instabilitรฉ de leur potentiel de membrane ; celui-ci conduit ร  deux grands types de dรฉpolarisations induites par les ICC : les potentiels pacemakers et les ondes lentes de potentiel (figure 19).La gradation de la contraction du muscle lisse unitaire passe par une modification de la force dรฉveloppรฉe par les fibres musculaires. Une augmentation du calcium cytosolique, augmente la proportion de ยซ ponts ยป entre les deux myofilaments (actine et myosine) et permet ainsi de renforcer la contraction.
Lรฉgende : (a) Dรฉpolarisation progressive et pรฉriodique de la membrane jusquโ€™au seuil de potentiel en lโ€™absence de stimulation nerveuse. Les dรฉpolarisations pรฉriodiques des ICC dรฉclenchent des potentiels dโ€™actions spontanรฉs qui sont communiquรฉs aux CML.Prรฉsence dโ€™oscillations faites dโ€™hyperpolarisation et de dรฉpolarisation de la membrane. Si le seuil de potentiel est atteint, une salve de potentiels dโ€™action est gรฉnรฉrรฉe.

BIOMECANIQUE DES MUSCLES LISSES : CONTRACTION ET RELAXATION

La contraction de la cellule musculaire lisse est gรฉnรฉralement initialisรฉe par une รฉlรฉvation du taux de calcium intracellulaire bien quโ€™il existe une voie de signalisation Ca++ indรฉpendante faisant intervenir la ยซ rho-kinase ยป (figure 20 et 21).Cette augmentation de Ca++ stimule la kinase responsable de la phosphorylation de lโ€™une des deux chaรฎnes lรฉgรจre de la myosine (MLCK). La rรฉgulation de cette phosphorylation est opรฉrรฉe par le complexe Ca2+-calmoduline.Lorsque la chaรฎne lรฉgรจre de la myosine est phosphorylรฉe, la tรชte de myosine se fixe sur le filament dโ€™actine et produit la contraction.Quand celle-ci est dรฉphosphorylรฉe, la tรชte de myosine se dissocie de lโ€™actine.
Cette phosphorylation se produit lentement et la contraction maximale est souvent obtenue en un temps supรฉrieur ร  1 seconde.
Lรฉgende : Une stimulation par de la substance P (SP) atteint un rรฉcepteur transmembranaire et initialise la transduction du signal.
1-Voie de signalisation calcium-dรฉpendante : Elle fait intervenir une protรฉine G, la phospholipase C (PLC), lโ€™IP3, le rรฉticulum sarcoplasmique (SR), la MLCK, un canal calcique voltage-dรฉpendant (VOCC) ou rรฉcepteur-dรฉpendant (ROC) et la MLCP (myosin light chain phosphatase).
2-Voie de signalisation calcium-indรฉpendante : la Rho kinase phosphoryle la MYPT-1 (Myosin phosphatase target subunit 1) qui inhibe MLCP ce qui maintien la contraction musculaire.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
I. ORGANISATION ET PHYSIOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE DU TUBE DIGESTIF
A. ORGANISATION DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE
1. Les couches musculaires du tube digestif
a) Structure histologique
b) Ultrastructure
2. Les plexus entรฉriques
a) Organisation du systรจme nerveux entรฉrique
b) Mise en place des plexus entรฉriques
3. Les cellules interstitielles
a) Les cellules interstitielles de Cajal
(1) Organisation tissulaire et identification des cellules interstitielles de Cajal
(2) Organisation ultrastructurale des ICC
b) Les cellules ยซ fibroblaste-like ยป ou PGDFRฮฑ+
B. PHYSIOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE
1. Fonctionnement des cellules interstitielles
a) Fonctionnement des cellules interstitielles de Cajal
(1) Notion dโ€™ondes lentes : le courant pacemaker
(2) Le potentiel dโ€™action
(3) Le rรดle de KIT
b) Fonctionnement des cellules PGDFRฮฑ+
2. Fonctionnement des muscles lisses du tube digestif
a) Notion de muscle lisse unitaire
b) Biomรฉcanique des muscles lisses : contraction et relaxation
c) Rรฉgulations intrinsรจque et extrinsรจque
3. Fonctionnement des plexus entรฉriques
II. PATHOLOGIE DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE DU TUBE DIGESTIF
A. LES ANOMALIES DU DEVELOPPEMENT
1. Les atrรฉsies congรฉnitales
a) Prรฉsentation
b) Classification
c) Physiopathogรฉnie
(1) Atteinte des plexus et de lโ€™innervation entรฉrique
(2) Atteinte des ICC
(3) Atteinte des muscles lisses
d) Localisation lรฉsionnelle
2. Le mรฉgacรดlon
a) Le mรฉgacรดlon congรฉnital
b) Les mรฉgacรดlons acquis
c) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
3. Le mรฉgaoesophage
a) Dรฉfinition
b) Etiologie
c) Diagnostic
4. Les diverticules
5. Les stรฉnoses pyloriques congรฉnitales
a) Epidรฉmiologie
b) Physiopathogรฉnie
(1) Les facteurs environnementaux
(2) Les facteurs gรฉnรฉtiques
(3) Les facteurs hormonaux
(4) Les anomalies des cellules musculaires lisses
(5) Les anomalies des ICC pyloriques
(6) Les anomalies de lโ€™innervation pylorique
(7) Les facteurs de croissance
(8) Les protรฉines extracellulaires
c) Diagnostic
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
6. Aganglionose/hypoganglionose congรฉnitale
a) Epidรฉmiologie
b) Physiopathogรฉnie
(1) Le complexe RET/GDNF/GRFฮฑ1
(2) Les endothรฉlines
(3) La matrice extracellulaire (MEC)
(4) La diffรฉrentiation cellulaire
(5) Lโ€™atteinte des ICC
c) Diagnostic
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
7. Agรฉnรฉsie du muscle lisse sur une portion du tube digestif
B. LES ATTEINTES TUMORALES DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE
1. Lรฉรฏomyome, lรฉรฏomyosarcome et leรฏomyoblastome
a) Lรฉรฏomyome
(1) Epidรฉmiologie
(2) Quelques exemples lรฉsionnels
b) Lรฉรฏomyosarcome
(1) Distinction forme maligne/ bรฉnigne
(2) Diagnostic
(3) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
c) Le lรฉรฏomyoblastome
2. Les tumeurs stromales gastro-intestinales
a) Epidรฉmiologie
(1) Chez le chat et le chien
(2) Dans les autres espรจces
b) Physiopathogรฉnie : apport de l’immunohistochimie et de la biologie molรฉculaire
(1) Rappel
(2) Mutations et oncogenรจse
(3) Progression tumorale
c) Diagnostic
(1) Clinique
(2) Imagerie mรฉdicale
(a) Radiographie
(b) Echographie
(c) Endoscopie
(d) IRM, Scanner, Pet-Scan
(3) Diagnostic histopathologique
(4) Diagnostic immunohistochimique
(a) La protรฉine KIT ou CD117
(b) La protรฉine CD34
(c) La protรฉine PDGFRฮฑ
(d) Les nouveaux marqueurs
(e) Immunohistochimie et classification des GIST
b) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
(1) Traitement mรฉdical
(2) Traitement chirurgical
(3) Donnรฉes pronostiques
3. Les tumeurs des gaines nerveuses pรฉriphรฉriques
4. Tumeurs des plexus nerveux du systรจme nerveux autonome
a) Presentation
b) Localisation
(1) Des ganglioneuromes et des ganglioneuroblastomes
(2) De la ganglioneuromatose
c) Diagnostic
(1) Donnรฉes cliniques
(2) Diagnostic radiographique et endoscopique
(3) Diagnostic histopathologique et immunohistochimique
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
5. Les lymphomes gastro-intestinaux
a) Epidรฉmiologie et classification
(1) Chez le chien
(2) Chez le chat
(3) Dans les autres espรจces
(4) Le grade histologique des lymphomes gastro-intestinaux
b) Physiopathogรฉnie
c) Diagnostic
(1) Clinique, biochimique et hรฉmatologique
(2) Imagerie mรฉdicale
(3) Diagnostic histopathologique et immunohistochimique
(a) Chez le chien
(b) Chez le chat
(c) Chez le cheval
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic chez le chat et le chien
(1) Chez le chat
(2) Chez le chien
2. Le mastocytome gastro-intestinal
a) Prรฉsentation et donnรฉes รฉpidรฉmiologiques
(1) Chez le chat
(2) Chez le chien
b) Physiopathogรฉnie
c) Diagnostic
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
6. Les carcinomes et adรฉnocarcinomes gastro-intestinaux
(1) Epidรฉmiologie
(2) Etiologie
(3) Diagnostic
(a) Clinique
(b) Imagerie mรฉdicale
(c) Diagnostic histopathologique
(d) Diagnostic immunohistochimique
(4) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
B. LES DYSAUTONOMIES
1. Les dysautonomies รฉquines ou ยซ Equine Grass Sickness ยป
a) Epidรฉmiologie
b) Physiopathogรฉnie
(1) Action dรฉlรฉtรจre des neurotoxines
(2) Dysphagie et hypersalivation
(3) Stase gastro-intestinale et balance hydrique et ionique
(4) Douleur abdominale
(5) Importance des neurones nitrinergiques
(6) Variabilitรฉ de la dรฉgรฉnรฉrescence neuronale
(7) Rรดle des cellules de Cajal
c) Diagnostic
(1) Signes cliniques
(2) Diagnostic diffรฉrentiel
(3) Diagnostic expรฉrimental
(a) Test ร  la phรฉnylรฉphrine
(b) Analyse dโ€™urine
(c) Abdominocentรจse
(d) Endoscopie et radiographie de contraste de lโ€™oesophage
(e) Mesure des concentrations plasmatiques en acides aminรฉs
(f) Electromyographie (EMG)
(g) Diagnostic histopathologique ante-mortem
(h) Diagnostic histopathologique post-mortem
(i) Diagnostic immunohistochimique
d) Traitements et pronostic
2. Les dysautonomies canines et fรฉlines (syndrome Key-Gaskell)
a) Epidรฉmiologie
b) Diagnostic
(1) Clinique
(2) Examens complรฉmentaires
c) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
C. LES MALADIES DE SURCHARGE ET LES ATTEINTES METABOLIQUES
1. Lโ€™amyloรฏdose intestinale
2. Les lipofuscinoses et cรฉroรฏdoses intestinales (Syndrome de ยซ lโ€™intestin brun ยป)
a) Etiologie
b) Diagnostic
c) Conduite thรฉrapeutique
d) Cas particulier des cรฉroide-lipofuscinoses neuronales
3. La gastroparรฉsie diabรฉtique
a) Physiopathogรฉnie
(1) Lโ€™action du glucose
(2) Atteinte du systรจme nerveux vรฉgรฉtatif
(3) Perturbations de la neurotransmission au sein du SNE
(4) Les produits terminaux de la glycation (ยซ A.G.E products ยป)
(5) Stress oxydatif et atteinte des ICC
(6) Insulinopรฉnie et dรฉficience en IGF-1
(7) Importance des cellules immunitaires
b) Diagnostic
c) Conduite thรฉrapeutique
(1) Soutien nutritionnel
(2) Utilisation de prokinรฉtiques
(3) Antiรฉmรฉtiques
(4) Autres
D. LES AFFECTIONS DE LA TUNIQUE MUSCULAIRE MECONNUES EN MEDECINE VETERINAIRE : DES MALADIES Dโ€™AVENIR ?ย 
1. La pseudo-obstruction intestinale chronique
a) Classification anatomopathologique de la pseudo-obstruction chronique intestinale chez lโ€™homme
(1) Neuropathie viscรฉrale
(2) Myopathie viscรฉrale
(3) Mรฉsenchymopathies (ICC)
b) Un cas particulier de POIC : la cytopathie mitochondriale
c) Diagnostic
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
(1) Traitement diรฉtรฉtique
(2) Traitement mรฉdical
(3) Traitement chirurgical
2. Lโ€™encรฉphalomyopathie mitochondriale (atteinte viscรฉrale)
a) Etiologie
b) Diagnostic
c) Et les ICC ?
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
3. Canalopathies
a) Classification des canalopathies en neurogastroentรฉrologie
b) Perspectives thรฉrapeutiques
4. Sclรฉrodermie et sclรฉrose intestinale
a) Classification
b) Physiopathogรฉnie
c) Diagnostic
(1) Clinique
(2) Histopathologique
d) Conduite thรฉrapeutique et pronostic
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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