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BESOINS ET LEUR INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
BESOIN EN EAU ET SON INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
Besoin en eau
Il varie en fonction de l’âge des animaux. Comme le montre le tableau III, le poulet de chair consomme 74 ml d’eau au 14ème jour d’âge contre 163 ml au 28ème jour (Quemeneur, 1988).
La teneur en protéines de l’aliment peut être aussi source de variation du besoin en eau. En 1976, Scott rapporte que les aliments riches en protéines conduisent à une légère surconsommation d’eau qui s’expliquerait par les mécanismes de digestion protéique et d’excrétion rénale d’acide urique.
Le besoin en eau peut également varier en fonction de la température ambiante. Diop (1982) a montré que la consommation d’eau par heure passe de 10 à 50 ml chez le poulet de chair lorsque la température ambiante passe de 21°C à 41°C.
Influence de l’eau sur les performances
L’eau est le facteur limitant de toute production animale. Le déficit en eau affecte la consommation alimentaire, la croissance et l’indice de consommation. En effet, il existe une corrélation positive entre ingestion d’eau et consommation alimentaire. Ferrando (1969) trouve qu’une restriction d’eau de 50% de la consommation ad libitum fait baisser la prise alimentaire de 111 g/jour à 75 g/jour chez le poulet. Quant à la croissance et l’indice de consommation, Merck et al. (1965) ont constaté que la diminution de la quantité d’eau ingérée influe négativement sur ces deux paramètres (ralentissement de la croissance, augmentation de l’indice de consommation).
BESOIN EN ENERGIE ET INFLUENCE DE LA TENEUR EN ENERGIE DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES
Besoin en énergie
Chez les volailles, le terme d’énergie métabolisable est utilisé pour exprimer la concentration énergétique de la ration. Cette énergie métabolisable n’est rien d’autre que la différence entre l’énergie brute ingérée et l’énergie totale excrétée dans les fèces, l’urine et les gaz (Leclercq, 1981). Elle correspond, selon Smith (1992), à la portion de l’aliment dont dispose le poulet pour produire de la chair, conserver ses fonctions vitales et sa température. Tout comme l’eau, plusieurs facteurs (souche, régime alimentaire, température ambiante, période d’élevage) influencent les besoins en énergie. Les souches grasses ont des besoins énergétiques plus importants que les souches maigres car contrairement aux autres tissus, les tissus adipeux renferment très peu d’eau et sont surtout riches en lipides. Le besoin énergétique dépend aussi du régime alimentaire. En effet, Anselme (1987) a constaté qu’avec l’aliment en granulés le besoin énergétique n’est plus que de 2850-2900 kcal/kg au lieu de 3200 kcal/kg pour l’aliment en farine. Le besoin en énergie n’échappe pas à l’influence de la température. En période froide, les animaux augmentent leur consommation alimentaire pour pallier l’augmentation des dépenses énergétiques alors qu’en période chaude ils diminuent leur consommation alimentaire pour ne pas accumuler davantage de chaleur. En somme, les besoins énergétiques des poulets de chair varient entre 2900 et 3200 kcal/kg d’aliment et ce n’est qu’en tenant compte des facteurs précités et de l’influence de la teneur énergétique de la ration sur les paramètres zootechniques que le niveau énergétique est choisi.
Influence de la teneur en énergie de l’aliment sur les performances
L’énergie apportée par l’alimentation sert à couvrir les besoins énergétiques d’entretien et de production. Ainsi, lorsque l’apport est insuffisant l’animal puise dans ses réserves pour couvrir, du mieux qu’il peut, ses besoins ; il finit donc par maigrir et ses productions diminuent. Toutefois, ce n’est pas une raison pour que l’énergie soit excédentaire car dans ce cas, non seulement l’animal s’engraisse, mais il diminue également sa consommation alimentaire. L’INRA (1979) constate qu’un apport énergétique au-delà de 3300 kcal d’EM/kg d’aliment n’améliore pas les performances. Il semble que sous les tropiques, un niveau énergétique de 3000 kcal/kg d’aliment soit suffisant pour obtenir de bonnes performances de croissance chez le poulet de chair. Selon l’INRA (1979), l’accroissement du niveau énergétique conduit à une réduction de l’ingestion, une amélioration de l’indice de consommation mais son effet sur la croissance est perceptible jusqu’à 3200 kcal d’EM/kg pour les poussins de 0 à 4 semaines d’âge et jusqu’à 3000 kcal d’EM/kg pour les poulets âgés de 4 à 8 semaines. Coon et Becker (1981) ont également montré qu’il n’existe pas de variation significative de la vitesse de croissance chez des poulets de 0 à 28 jours recevant un aliment dont l’énergie métabolisable est comprise entre 3185 et 3410 kcal/kg. Par ailleurs, l’INRA (1979) estime qu’en dessous des valeurs précitées, la réduction du poids vif final est de 30 g pour chaque diminution du niveau énergétique de l’aliment de 100 kcal d’EM/kg.
BESOIN EN PROTEINES ET INFLUENCE DE LA TENEUR EN PROTEINES DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES
Besoin en protéines
Le besoin en protéines varie en fonction du niveau énergétique de la ration. Plus le niveau énergétique est élevé plus la ration est concentrée en protéines (tableau IV), cela s’expliquerait par le fait que l’animal diminue sa consommation alimentaire lorsque le niveau énergétique s’accroît. Une autre source de variation du besoin en protéines serait la souche. Okwuosa et al. (1990) ont montré que les besoins en protéines sont plus importants chez la souche Anak que chez les souches Hubbard et Starbo. La présentation de l’aliment influe également sur le besoin en protéines. Vias (1995) conseille d’apporter un complément en acides aminés lorsque les aliments sont présentés en granulés car la préparation des aliments en granulés nécessite un chauffage (70-80°C) qui détruit les protéines et acides aminés par la réaction de Maillard (Larbier et Leclercq, 1992). L’âge aussi est un facteur de variation du besoin protéique. Ainsi, dans les formulations, l’aliment démarrage est plus concentré en protéines que l’aliment croissance-finition.
Influence de la teneur en protéines de l’aliment sur les performances
Les protéines ne sont rien d’autre que l’association d’acides aminés reliés par des liaisons peptidiques. Leur apport dans l’alimentation a donc pour rôle d’apporter à l’organisme les acides aminés dont il a besoin pour la synthèse de ses propres protéines et des dérivés azotés. L’excès d’acides aminés est excrété sous forme d’acide urique car, contrairement au glucose et aux acides gras, ils ne peuvent être stockés dans l’organisme. Par contre, lorsque leur apport est insuffisant dans la ration ils deviennent des facteurs limitants de la croissance. Barnès et Mitller (1981) remarquent les effets néfastes d’un aliment pauvre en protéines sur le poids corporel des poulets de chair. Aussi, l’INRA (1979) montre qu’avec un régime contenant un niveau minimum de protéines, l’indice de consommation est légèrement plus élevé qu’avec un régime contenant un niveau optimum. De plus, il constate une diminution d’environ 0,35% de la teneur en graisse de la carcasse lorsque l’apport en protéines alimentaires est accru de 10 g/kg au-delà du niveau minimum. Cependant, les excès de protéines sont à éviter en raison de leur effet néfaste sur l’environnement.
BESOIN EN MINERAUX ET VITAMINES ET LEUR INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
Besoin en minéraux et vitamines
Le besoin en un minéral dépend du critère zootechnique à maximiser. Chez le poulet, l’apport d’un minéral qui minimise l’indice de consommation est souvent supérieur à celui qui optimise la vitesse de croissance. Il dépend aussi de la proportion d’un autre minéral dans l’aliment. Par exemple, pour le calcium et le phosphore, Mabalo (1993) pense que, pour une bonne rétention osseuse, le rapport phosphocalcique doit se situer entre 2 et 3. De même, pour Mongin (1980) et Sauveur (1980) l’apport de sodium, de potassium et de chlore doit être raisonné de façon globale et non séparée à cause de leur implication dans les équilibres acido-basique et hydro-minéral.
Le besoin en vitamines dépend quant à lui du régime alimentaire (un régime riche en glucides augmente le besoin en vitamine B1), des conditions d’élevage (température) et surtout de l’état sanitaire du troupeau (le besoin en vitamine A augmente notablement en cas d’infection ou de parasitose). Il dépend également de la présence d’antivitamines, des opérations de fabrication et de stockage des aliments qui rendent indisponible une partie des vitamines de la ration.
Influence sur les performances
Les minéraux et vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Alors que le déficit en calcium et phosphore provoque une fragilisation osseuse, leur excès est à l’origine de calcifications extra osseuses. La teneur en magnésium doit être aussi prise en compte non pas parce qu’il pourrait être déficitaire mais parce que son excès réduirait l’utilisation du calcium et du phosphore et pourrait être à l’origine de diarrhées. Il en est de même pour le chlore. Le magnésium et le zinc sont également des minéraux non négligeables car leur déficit provoque un ralentissement de la croissance.
Pour les vitamines A et D, ce sont les excès qui sont souvent signalés à cause de leur prix réduit. L’excès en vitamine A entraîne une diminution des performances alors que celui de la vitamine D entraîne des calcifications extra-osseuses tout comme l’excès de calcium et de phosphore. En ce qui concerne la vitamine E ce sont plutôt les carences à l’origine d’encéphalomalacie qui sont souvent signalées. Les carences en vitamines hydrosolubles (vitamine C et vitamines du groupe B) sont minimes mais lorsqu’elles surviennent elles entraînent souvent des pertes d’appétit et une diminution de la croissance.
MATIERES PREMIERES COURAMMENT UTILISEES
L’aliment est fabriqué à partir de matières premières locales ou importées. Ces matières premières apportent aux animaux, et ceci à des pourcentages variables, les nutriments nécessaires pour couvrir les besoins d’entretien et de production. Le tableau V montre la composition de quelques matières premières.
Selon leur teneur en un nutriment donné, les matières premières entrant dans la composition de l’aliment sont classées en matières premières sources d’énergie, matières premières sources de protéines et en matières premières sources de minéraux et de vitamines.
MATIERES PREMIERES SOURCES D’ENERGIE
Elles sont essentiellement constituées chez le poulet de chair par les céréales, notamment, le maïs et le sorgho. A côté de ces deux céréales prisées dans l’alimentation du poulet de chair, les sous-produits de céréales et les matières grasses occupent une place non moins importante.
Maïs
Originaire d’Amérique centrale, plus précisément, du Mexique (F.A.O., 1993), le maïs est la céréale de choix dans l’alimentation des poulets de chair (Smith, 1992). Cette place de choix est essentiellement due à sa valeur énergétique élevée. En effet, le maïs est la plus énergétique de toutes les céréales usuelles du fait de ses teneurs élevées en amidon et en matières grasses (Bourdon et al., 1989 ; Larbier et Leclercq, 1992 ).
En plus d’être énergétique, le maïs présente l’avantage d’avoir non seulement une bonne digestibilité mais également une richesse en pigments xanthophylles efficaces pour la coloration de la peau des poulets de chair (Larbier et Leclercq, 1992).
Cependant, soulignons la pauvreté du maïs en protéines elles-mêmes déficientes en lysine et en tryptophane, sa carence en calcium et en sodium et l’indisponibilité de son phosphore faute de phytases endogènes. De plus, le maïs peut renfermer au cours de son stockage des toxines fongiques plus ou moins dangereuses pour l’animal.
Sorgho
D’origine africaine, le sorgho est proche du maïs par sa composition chimique et sa valeur nutritionnelle mais contrairement au maïs il contient des tanins qui ont une action négative sur l’appétabilité et sur la digestibilité des protéines et de l’amidon (Stephenson, 1972 ; Bourdon et al., 1989 ; Larbier et Leclercq, 1992).
Rostango et al. cité par Gualtieri et Rapaccini (1990) montrent que la digestibilité apparente des acides aminés du sorgho riche en tanin est de 22% alors qu’elle est de 71% pour le sorgho contenant une faible teneur en tanins.
La mauvaise digestibilité de l’amidon se traduit par une baisse de la valeur énergétique proportionnellement à la teneur en tanins. L’augmentation de la teneur en tanins de 1% réduit la valeur énergétique de 10% (Larbier et Leclercq, 1992).
Par ailleurs, le sorgho riche en tanins entraîne des anomalies de pattes caractérisées par un élargissement du jarret (Gualtieri et Rapaccini, 1990).
Sous-produits de céréales
Les sons sont parmi les sous-produits de céréales les plus utilisés dans l’alimentation des volailles. Ils présentent par rapport aux céréales dont ils sont issus une valeur énergétique faible mais une teneur accrue en protéines (2 à 3 points) et un meilleur équilibre en acides aminés indispensables (Bourdon et al., 1989).
Matières grasses
Sources importantes d’énergie métabolisable pour l’alimentation des volailles (Scott et al., 1976), les matières grasses utilisées sont en général des sous produits des huileries et des abattoirs. Elles augmentent la concentration énergétique de l’aliment et par conséquent permettent de diminuer l’indice de consommation des volailles. De plus, les matières grasses ont un effet « extra-calorique », c’est-à-dire, qu’elles augmentent l’énergie métabolisable de l’aliment dans lequel elles sont incorporées au-delà de ce qui est prévisible par la simple addition des apports énergétiques. Ajoutons à cela que les lipides facilitent l’utilisation des matières premières riches en protéines mais présentant des niveaux d’énergie relativement bas. Cependant, il faut signaler que la valeur énergétique des matières grasses est inversement proportionnelle à leur teneur en acides gras saturés et, dans une moindre mesure, à la longueur de la chaîne carbonée des acides gras contenus dans la graisse.
Les matières grasses riches en acides gras saturés, notamment, les acides stéarique et palmitique interagissent négativement avec le calcium en excès.
Enfin, soulignons qu’il faut être prudent lors de l’utilisation des matières grasses dans les aliments démarrage car leur digestibilité est médiocre chez les poussins, en raison de l’insuffisance des sels biliaires impliqués dans la digestion des graisses (Bourdon et al., 1989 ; Larbier et Leclercq, 1992 ; Sakandé, 1993).
MATIERES PREMIERES SOURCES DE PROTEINES
Elles sont d’origine végétale ou animale.
Sources de protéines d’origine végétale
Les tourteaux d’arachide et de soja sont les principales matières premières sources de protéines végétales utilisées dans l’alimentation des volailles. Pauvres en matières grasses, ils renferment une proportion élevée de protéines qui fait tout leur intérêt en alimentation animale.
Tourteau d’arachide
C’est l’un des tourteaux les plus riches en protéines avec une bonne biodisponibilité, malheureusement il est déficient en lysine, en acides aminés soufrés et en tryptophane. Un autre défaut du tourteau d’arachide, et le principal d’ailleurs, est la présence d’aflatoxines provenant de champignons se développant lors d’un stockage défectueux de la graine. Cependant, Angulo-Chacon (1986) de même que Larbier et Leclercq (1992) estiment que, lorsque la teneur en aflatoxines est inférieure à 1 ppm, le tourteau d’arachide donne d’excellentes performances à partir du moment où il est bien supplémenté en lysine, méthionine et tryptophane. Ainsi donc, le tourteau d’arachide du Sénégal contenant 0,4 ppm d’aflatoxine peut être utilisé lorsqu’il est supplémenté en acides aminés essentiels dont il est déficient pour couvrir les besoins en protéines des volailles (Anselme, 1987).
Tourteau de soja
Les protéines du tourteau de soja sont très digestibles et présentent un profil équilibré en acides aminés. Ceci convient aux besoins des oiseaux en croissance malgré la déficience en acides aminés soufrés (Kébé, 1989 ; Larbier et Leclercq, 1992). Le principal problème du tourteau de soja réside dans la présence de facteurs à activité antitrypsique. Toutefois, il est possible de contourner ce problème grâce à la cuisson car les composés antitrypsiques du tourteau de soja sont thermosensibles. Une cuisson correcte élimine plus de 90% de l’activité antitrypsique mais à l’opposé, une cuisson excessive peut détériorer la biodisponibilité de certains acides aminés (Bourdon et al., 1989 ; Larbier et Leclercq, 1992).
Sources de protéines d’origine animale
Nous ne parlerons ici que des farines de poisson qui sont le plus souvent utilisées dans l’alimentation des volailles.
Les farines de poisson sont hétérogènes du fait de la variabilité des matières premières de base. En effet, elles peuvent être obtenues à partir des poissons entiers ou des déchets de poissonnerie, des poissons maigres ou gras. Elles sont d’excellentes sources de protéines et de minéraux mais leur utilisation est limitée par leur coût élevé et le fait qu’au-delà d’un certain seuil, elles donnent leur odeur à la viande. Le plus souvent, leur taux d’incorporation n’excède pas 5% dans la ration.
MATIERES PREMIERES SOURCES DE MINERAUX ET DE VITAMINES
Le calcium et le phosphore constituent chez les volailles les minéraux majeurs à apporter dans l’alimentation.
Les carbonates de calcium constituent, en alimentation animale, les sources courantes de calcium, mais les phosphates de calcium, les coquillages marins et les coquilles d’œufs sont aussi souvent utilisés.
Le phosphore quant à lui est apporté par les phosphates (phosphate de calcium, de sodium, de potassium etc.). Il faut dire qu’une quantité non négligeable de phosphore est apportée par les graines végétales (maïs, blé) malheureusement, la majeure partie (60 à 70% du phosphore total) est sous forme phytique ; or les oiseaux n’ont pas de phytase permettant l’utilisation du phosphore phytique. De plus, les phytases contenues dans le maïs, principale céréale utilisée dans l’alimentation des volailles, sont beaucoup moins actives que celles contenues dans le blé. Ceci rend donc cette forme de phosphore inutilisable chez les oiseaux (Bourdon et al., 1989).
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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : L’AVICULTURE AU SENEGAL
1.1- PRESENTATION DU SENEGAL
1.1.1- DONNEES GEOGRAPHIQUES ET CLIMATIQUES
1.1.2- DONNEES DEMOGRAPHIQUES
1.1.3- SITUATION ADMINISTRATIVE
1.2- PRODUCTIONS AVICOLES AU SENEGAL
1.2.1- AVICULTURE TRADITIONNELLE
1.2.2- AVICULTURE MODERNE
1.2.2.1- Production de poussins d’un jour
1.2.2.2- Production d’aliments volaille
1.2.2.3- Production et commercialisation de viandes de poulets
1.2.2.4- Production et commercialisation d’œufs de consommation
CHAPITRE II : L’ALIMENTATION DES POULETS DE CHAIR
2.1- PHYSIOLOGIE DE LA DIGESTION CHEZ LES VOLAILLES
2.1.1- BEC
2.1.2- CAVITE BUCCALE
2.1.3- PHARYNX
2.1.4- ŒSOPHAGE
2.1.5- JABOT
2.1.6- ESTOMAC
2.1.7- INTESTIN
2.1.8- CLOAQUE
2.1.9- GLANDES ANNEXES
2.2- BESOINS ET LEUR INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
2.2.1- BESOIN EN EAU ET SON INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
2.2.1.1- Besoin en eau
2.2.1.2- Influence de l’eau sur les performances
2.2.2- BESOIN EN ENERGIE ET INFLUENCE DE LA TENEUR EN ENERGIE DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES
2.2.2.1- Besoin en énergie
2.2.2.2- Influence de la teneur en énergie de l’aliment sur les performances
2.2.3- BESOIN EN PROTEINES ET INFLUENCE DE LA TENEUR EN PROTEINES DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES
2.2.3.1- Besoin en protéines
2.2.3.2- Influence de la teneur en protéines de l’aliment sur les performances
2.2.4- BESOIN EN MINERAUX ET VITAMINES ET LEUR INFLUENCE SUR LES PERFORMANCES
2.2.4.1- Besoin en minéraux et vitamines
2.2.4.2- Influence sur les performances
2.3- MATIERES PREMIERES COURAMMENT UTILISEES
2.3.1- MATIERES PREMIERES SOURCES D’ENERGIE
2.3.1.1- Maïs
2.3.1.2- Sorgho
2.3.1.3- Sous-produits de céréales
2.3.1.4- Matières grasses
2.3.2- MATIERES PREMIERES SOURCES DE PROTEINES
2.3.2.1- Sources de protéines d’origine végétale
2.3.2.1.1- Tourteau d’arachide
2.3.2.1.2- Tourteau de soja
2.3.2.2- Sources de protéines d’origine animale
2.3.3- MATIERES PREMIERES SOURCES DE MINERAUX ET DE VITAMINES
2.4- PRESENTATION DE L’ALIMENT
CHAPITRE III : LA THREONINE DANS L’ALIMENTATION DES POULETS DE CHAIR
3.1- BESOIN EN THREONINE
3.1.1- CRITERE ZOOTECHNIQUE A OPTIMISER
3.1.2- AGE, GENOTYPE ET SEXE DES ANIMAUX
3.1.2.1- Age
3.1.2.2- Génotype
3.1.2.3- Sexe
3.1.3- NIVEAU PROTEIQUE DE LA RATION
3.1.4- CONDITIONS D’ELEVAGE
3.1.5- METHODE STATISTIQUE DE DETERMINATION DU BESOIN
3.2- EFFET DE LA TENEUR EN THREONINE DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES
3.2.1- EFFET SUR LE GAIN DE POIDS
3.2.2- EFFET SUR L’INDICE DE CONSOMMATION
3.2.3- EFFET SUR LA COMPOSITION DE LA CARCASSE
3.3- RELATION ENTRE THREONINE ET LYSINE
3.3.1- EFFETS DE LA TENEUR EN LYSINE DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES DES POULETS
3.3.2- RATIO THREONINE / LYSINE
3.4- RELATION ENTRE THREONINE ET PROTEINE
3.4.1- DEVENIR DES PROTEINES ALIMENTAIRES
3.4.2- THREONINE POUR REDUIRE LE TAUX PROTEIQUE DE LA RATION
3.4.3- INTERETS DE LA REDUCTION DU TAUX PROTEIQUE DE LA RATION
3.4.3.1- Intérêt environnemental
3.4.3.2- Intérêt économique
3.5- ROLES METABOLIQUES DE LA THREONINE
Deuxième partie : PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1- PERIODE ET LIEU D’ETUDE
1.2- MATERIEL
1.2.1- CHEPTEL EXPERIMENTAL
1.2.2- MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
1.2.3- ALIMENTS UTILISES
1.3- METHODES
1.3.1- CONDUITE DE L’ELEVAGE
1.3.1.1- Préparation du local d’élevage
1.3.1.2- Arrivée des poussins
1.3.1.3- Alimentation des animaux
1.3.1.4- Occupation du poulailler
1.3.1.5- Eclairage du bâtiment
1.3.2- COLLECTE DES DONNEES
1.3.2.1- Consommation alimentaire et paramètres d’ambiance
1.3.2.2- Poids vif des animaux
1.3.2.3- Mortalités
1.3.2.4- Poids carcasse
1.3.3- CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.3.3.1- Consommation alimentaire individuelle
1.3.3.2- Gain moyen quotidien
1.3.3.3- Indice de consommation
1.3.3.4- Rendement carcasse
1.3.3.5- Taux de mortalité
1.3.4- ANALYSE STATISTIQUE DES DONNEES
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
2.1- RESULTATS
2.1.1- PARAMETRES D’AMBIANCE
2.1.2- PERFORMANCES DE CROISSANCE
2.1.2.1- Poids vif
2.1.2.2- Gain moyen quotidien
2.1.3- CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET INDICE DE CONSOMMATION
2.1.3.1- Consommation alimentaire individuelle
2.1.3.2- Indice de consommation
2.1.4- CARACTERISTIQUES DES CARCASSES
2.1.5- MORTALITES
2.1.6- ANALYSE ECONOMIQUE
2.2- DISCUSSION
2.2.1- PARAMETRES D’AMBIANCE
2.2.2- EFFET DE LA THREONINE SUR LA CROISSANCE
2.2.3- EFFET DE LA THREONINE SUR LA CONSOMMATION ET l’INDICE DE CONSOMMATION
2.2.4- EFFET DE LA THREONINE SUR LES CARACTERISTIQUES DES CARCASSES
2.2.5- ANALYSE ECONOMIQUE
2.3- RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
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