Perturbations mentales et effets sociaux de l’alcoolisme

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L’alcool dans l’organisme

Absorption

L’alcool pénètre principalement dans l’organisme par la bouche .L’absorption par voie digestive s’effectue par simple diffusion principalement au niveau du duodénum et du jéjunum proximal (70 à 80%) et pour une faible proportion à partir de l’estomac (Goullet et coll. ,2015).Un certain nombre de facteurs sont susceptibles de la ralentir ou de l’accélérer. La consommation simultanée d’aliments a tendance à minimiser le pic d’alcoolémie, mais ne modifie pas sa cinétique d’élimination (Mitchell et Teigen ,2014).Certains médicaments sont également susceptibles de modifier la motilité gastro-intestinale et ainsi d’agir sur la vitesse d’absorption.
Parmi les facteurs qui vont l’accélérer, figurent la vacuité de l’estomac, l’accélération de la motilité gastro-intestinale, mais également l’élévation du degré alcoolique de la boisson, ainsi que la présence de gaz carbonique (Mitchel etTeigen 2014).
IL existe d’autres voies de pénétration dont la pénétration par voie respiratoire celle-ci est estimée en moyenne à 60 % et la pénétration par voie cutanée environ 1%(Afsett, 2010).

Distribution

Une des caractéristiques essentielles de l’éthanol, liée à sa faible masse molaire et à sa grande hydrosolubilité, est qu’il diffuse très facilement dans tous les tissus de l’organisme car il suit les mouvements de l’eau. À l’exception des os et des graisses dans lesquels sa pénétration est négligeable, sa diffusion est très homogène, d’où un faible volume de distribution (Vd). Mesuré par Widmark en 1932, le volume de distribution s’établit en moyenne à 0,68 pour l’homme et à 0,55 pour la femme (Barceloux, 2012). Cette différence s’explique par une masse graisseuse plus importante chez la femme. Pour l’éthanol, il existe une étroite corrélation entre le volume de distribution et la teneur en eau dans l’organisme dans les deux sexes (Goullet et Guerbet, 2015). Du fait de son caractère peu liposoluble, la distribution de l’éthanol est surtout liée au contenu hydrique des différents organes et tissus (Morel et Anger, 2012).C’est ainsi qu’il franchit également la barrière placentaire et passe aussi dans le lait maternel et les concentrations chez le fœtus sont proches des concentrations plasmatiques de la mère pouvant entrainer un syndrome d’alcoolisme fœtal (Barceloux, 2012).

Métabolisation de l’éthanol

Métabolisme oxydative hépatique de l’éthanol

La principale voie de détoxication de l’éthanol est oxydative. Elle est essentiellement hépatique et représente 90 à 95 % (Kaphalia et coll., 2014) alors qu’au niveau de l’estomac, de l’intestin et du rein, elle n’est que de 5 à10 %. Le métabolisme fait intervenir deux réactions, la première transformant l’alcool en acétaldéhyde, la seconde l’acétaldéhyde en acide acétique. Trois systèmes de métabolisation sont utilisés par le foie pour dégrader l’alcool en acétaldéhyde (Kumar et coll., 2007) : le système de l’alcool déshydrogénase (ADH), enzyme cytoplasmique contenant du zinc, situé dans le cytosol et l’hépatocyte, utilisant le NAD (Nicotinamide Adénine Dinucléotide) comme coenzyme. Cette réaction demande de l’énergie qui est fournie par la dégradation du glucose, ce qui explique qu’un régime riche en sucre puisse accélérer la transformation de l’alcool ; le système MEOS (Microsomal Enzym Oxydation System)ou la voie des monooxygénases à cytochrome P450 situé dans le réticulum endoplasmique lisse du foie utilisant le NADP comme coenzyme et enfin le système catalasique, localisé dans les peroxysomes et semble peu important, car la quantité d’eau oxygénée nécessaire à la réaction, est limitée dans l’organisme. Il existe d’autres voies tout à fait mineures de métabolisation de l’éthanol, non oxydatives, principalement hépatiques (Goullet, 1999).
❖ L’oxydation de la fonction alcool en fonction aldéhyde qui fait intervenir l’alcool déshydrogénase (ADH)
Cette enzyme, essentiellement hépatique est capable de transformer l’éthanol en acétaldéhyde en utilisant un coenzyme le NAD+. L’oxydation d’une molécule d’éthanol s’accompagne de la réduction d’une molécule de NAD+ en NADH (Lieber, 1995).
L’acétaldéhyde est une substance très toxique qui est rapidement métabolisée en acétate par un acétaldéhyde déshydrogénase, enzyme plus actif que l’alcool déshydrogénase. Cette particularité évite le stockage métabolique toxique dans l’organisme (Attignon et coll., 2015).
❖ La voie des monooxygénases à cytochrome P450(CYP450) ou Microsomal Enzym Oxydation System(MEOS)
Système retrouvé au niveau du réticulum endoplasmique lisse des cellules hépatiques, il se met en action lorsque le taux d’alcool sanguin est de l’ordre de 0,30 grammes/litre (Attignon et coll., 2015). Ce système, qui interviendrait surtout lors d’intoxications alcooliques massives, serait inductible par l’éthanol lui-même en cas de consommation répétée. Son développement a été incriminé tant dans les phénomènes de tolérances que dans certaines hypo activations de médicaments eux-mêmes inducteurs, ou dégradés par ce système chez l’alcoolique chronique (Lieber, 1999).
❖ Le système catalasique
Egalement hépatique, il utilise les catalases et, à partir du peroxyde d’hydrogène (H2O2) fourni par des réactions biochimiques normales, entraine la formation d’acétaldéhyde en présence d’alcool. Il s’agit surtout d’une voie accessoire de secours (Morel et Anger 2012).
La catalase est une hémoprotéine localisée dans les peroxysomes de la plupart des tissus, accessoire , sauf chez l’éthylique chronique. Cette voie qui fait intervenir entre autres la xanthine oxydase et la catalase n’est active qu’en fonction de la quantité d’eau oxygénée produite au cours des réactions du métabolisme intermédiaire et parvenant au peroxysome. (Goullet, 1999).
L’acétaldéhyde est ensuite très rapidement oxydé dans la mitochondrie en acétate par l’acétaldéhyde déshydrogénase (ALDH) en présence de NAD. Cette enzyme est polymorphe et peut être inhibée par des médicaments tels que les disulfirames provoquant l’effet antabuse dû à l’accumulation brutale d’acétaldéhyde. L’acétate formé est oxydé à son tour en dioxyde de carbone et en eau au niveau des tissus périphériques et de certains organes : muscles, cœur, cerveau. L’acétate se combine au coenzyme A pour donner l’acétylcoenzyme A, impliqué dans la biosynthèse du cholestérol et des acides gras dans les tissus périphériques et le cerveau (Goullet et Guerbet, 2015).
❖ Alcool déshydrogénase (ADH) et acétaldéhyde déshydrogénase (ALDH)
L’ADH est une famille d’enzymes à zinc, NAD+dépendantes, oxydant l’éthanol en acétaldéhyde. Les ADH sont en réalité ubiquitaires, catalysant différents alcools en aldéhydes. Principalement localisées dans le cytosol hépatique, elles sont réparties en 5 classes définies par la structure primaire de l’enzyme, la mobilité électrophorétique des iso enzymes, leur affinité pour l’éthanol (Lhermitte et coll., 1999).
Sur le plan génétique, on connaît chez l’homme 8 gènes codant pour des ADH, situation qui se complique encore par le fait qu’il existe un polymorphisme génétique au niveau des loci ADH2 et ADH3.Des variations génétiques de l’ADH individuelles et/ou liées à la race vont affecter le métabolisme de l’éthanol (Goullet,1999).Sur le plan fonctionnel, chez l’homme, ce sont les isoenzymes de la classe I qui présentent le plus d’affinité pour l’éthanol et qui sont inhibées par le pyrazole et ses dérivés alkylés comme le 4-méthylpyrazole (Lhermitte et coll.,1999).Cette première étape aboutit à la formation d’acétaldéhyde, métabolite toxique de l’éthanol responsable en cas d’accumulation d’une symptomatologie à type de nausées, de vomissements, de céphalées, d’asthénie. Il existe également un métabolisme gastrique, lié à l’activité de l’ADH gastrique, indépendant du sexe, habituellement mineur, de l’ordre de 10 % de la quantité d’alcool ingérée ; métabolisme diminué en cas de lésion de la muqueuse gastrique (Goullet et Guerbet., 2015).Notons que tout le tube digestif (oropharynx, estomac, duodénum, intestin, rectum) sécrète diverses isoenzymes de l’ADH. La majorité des facteurs modulant l’activité de l’ADH gastrique agissent également sur le premier passage de l’éthanol (consommation chronique d’alcool, infection par Helicobacter pylori, cimétidine. . .) .La production locale d’acétaldéhyde au niveau des muqueuses digestives contribue à la toxicité locale et éventuellement à une cocarcinogènes. En effet, il a été constaté une augmentation du risque de cancer rectal et non du risque de néoplasie colique chez l’alcoolique chronique. Dans le même temps, le NAD réduit en NADH fragilise l’hépatocyte. (Goullet et Guerbet., 2015)
Les aldéhydes déshydrogénases (ALDH) sont un groupe d’enzymes de détoxication, NAD+dépendantes. L’acétaldéhyde déshydrogénase (ALDH2) catalyse dans la mitochondrie, la transformation de l’acétaldéhyde en acide acétique, selon un processus irréversible. Ces enzymes actives sur divers substrats aldéhydiques existent sous plusieurs formes avec des localisations tissulaires et cellulaires variées. Douze gènes des ALDH sont connus qui codent pour 10 isozymes : ALDH1 à ALDH8, ainsi que ɤALDHet FALDH, dont les formes actives sont des homodimères et des homotétramères. Chez l’homme, ce sont des isozymes de l’ALDH qui sont à l’origine des variations de susceptibilité individuelle, une métabolisation moins efficace de l’acétaldéhyde conduisant à son accumulation dans le sang. Celle-ci est responsable du syndrome de flushing des populations asiatiques, caractérisé par une congestion faciale, une tachycardie, des brûlures digestives. L’ALDH est inhibée par le disulfirame avec pour conséquence une accumulation d’acétaldéhyde. C’est l’effet antabuse qui se manifeste chez les sujets traités par ce médicament et qui consomment de l’alcool (Lhermitte et coll., 1999).

Métabolisme non oxydatif

Il existe aussi des métabolites mineurs comme l’éthylglucuronide, l’éthylsulfate, le phosphatidyléthanol et les esters d’acides gras et d’éthanol (FAEE). L’éthylglucuronide (EtG) est le produit de la réaction d’un acide glucuronique avec l’éthanol, tout ceci catalysé par une UDP‐glucuronyl‐transférase. L’éthylsulfate(EtS) provient de la sulfoconjugaison de l’éthanol, et l’enzyme permettant ce métabolisme est une sulfotransférase. Le phophatidylethanol est un métabolite qui se forme au niveau des membranes cellulaires en contact avec l’éthanol, sous l’action de la phospholipase D (Mura et coll., 2011).Enfin les esters d’acides gras et d’éthanol sont formés grâce à l’action de FAEE‐ synthétases et acylCoA‐Ethanol‐O‐Acyltransférase (Kintz, 2012).
❖ Bilan et conséquences des transformations métaboliques Le bilan général de l’éthanol est le suivant : C2H5OH + 3 O2→ 2 CO2+ 3 H2O + 7,1 calories par gramme. Il fournit donc 7, 1 cal/g alors que les glucides et les lipides produisent respectivement 4 cal/g et 9 cal/g. Contrairement aux glucides et aux lipides, l’éthanol n’est pas un nutriment .De plus, si on prend en compte la régénération des cofacteurs enzymatiques impliqués dans la métabolisation de l ‘éthanol, alors le bilan énergétique global devient négatif. Il n’est pas utile à l’effort musculaire, ni pour lutter contre le froid contrairement à une idée encore parfois répandue. De plus, certaines transformations métaboliques exercent un effet délétère, telle la surproduction de NADH cytosolique hépatocytaire qui est très réducteur (Lhermitte et coll.,1999).
Pour que le processus d’oxydation puisse se poursuivre, il faut qu’il y ait une réoxydation du NADH cytosolique en NAD. Ceci se réalise grâce à la réduction du pyruvate en lactate catalysée par la lacticodéshydrogénase cytosolique dont la conséquence est une hyperproduction de lactate (Lhermitte et coll., 1999). Celle-ci est à son tour à l’origine d’une augmentation de l’uricémie. De plus, l’afflux de NADH dans la mitochondrie retentit sur la chaîne d’oxydation phosphorylante, entrainant une carence relative en NAD+ indispensable au cycle citrique et surtout au processus de βoxydation des acides gras qui se trouve bloquée conduisant à une stéatose hépatique.

Epidémiologie de l’alcoolisme

Dans le monde, 3,33 millions de décès (45 000 décès en France) sont attribuables à l’alcool chaque année (OMS, 2014), ce qui en fait la deuxième cause de mortalité en France, après le tabac (Morel et Anger, 2012). Il est reconnu que plus de 70 millions d’individus dans le monde présentent un mésusage de l’alcool (Gicquela et coll., 2015).
Les quantités d’alcool ingérées et les modes de consommation permettent de distinguer plusieurs populations d’individus. Ainsi, le test AUDIT (Alcohol Use Disorders Identification Test) développé par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), qui tient compte à la fois de la fréquence de consommation au cours des douze derniers mois, du volume absorbé pendant une journée, du type de consommation et de la fréquence des épisodes d’alcoolisation ponctuelle importante, permet de définir quatre types de buveurs(Gicquela et coll. ,2015) :
− les abstinents et buveurs occasionnels sans risque ;
− les buveurs réguliers sans risque ;
− les buveurs festifs, à risque ponctuel ;
− les buveurs nocifs, à risque chronique.
Les buveurs « à risque ponctuel » boivent habituellement moins que les recommandations maximales courantes (moins de 30 g ou de 3 doses d’éthanol / jour) mais peuvent parfois boire au cours d’une soirée six verres ou plus (> 60 g d’éthanol), il s’agit de « binge drinking »courant chez les jeunes où une grande quantité d’alcool est prise au cours d’une fenêtre de temps très courte. Les buveurs « à risque chronique », quant à eux, boivent régulièrement plus que les recommandations courantes (> 30 g d’éthanol / jour) ou au moins une fois par semaine, six verres ou plus sur l’ensemble de la journée (Bahor et coll., 2001).Sachant qu’un tiers des décès liés à la prise d’alcool correspond à des accidents, l’aspect médicolégal de la consommation d’éthanol est très important, notamment du point de vue de la conduite automobile. Les délits routiers sous l’influence de l’alcool sont une préoccupation majeure des forces de l’ordre et la récente modification de la réglementation avec la baisse de la limite légale de l’alcoolémie chez les jeunes conducteurs à 0,20 g/L en est l’illustration (Gicquela et coll., 2015).
Au Sénégal, nous notons une grande consommation de boissons alcoolisées de marques de marques mondialement connu du faut d’une meilleure qualité de fabrication ou la différence de perception ou encore du rang social, d’autres par contre consomment la boisson fabriquée localement pour des raisons économiques, sociales ou culturelles (Bassene, 2017).
Le CEPIAD est l’une des services dans ce pays qui s’occupe des patients souffrant d’une dépendance à l’alcool.

Usage d’alcool

L’usage simple se définit par toute conduite d’alcoolisation n’entrainant ni complications somatiques ni dommages. Cette consommation d’alcool est prise en dehors de toute situation à risque ou de risque individuel particulier. L’usage est la consommation socialement réglée. Cependant, les « normes » de consommations ont varié avec le temps. Cet usage peut être occasionnel ou régulier mais modéré. Une consommation modérée est définie comme inférieure ou égale aux seuils définis par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). La personne dont la conduite d’alcoolisation est l’usage, est désignée de consommateur modéré ( Paille, 2002).
Les seuils de consommation définie par l’OMS sont les suivants :
− Pas plus de 21 verres par semaine pour l’usage régulier chez l’homme (3 verres par jour en moyenne)
− Pas plus de 14 verres par semaine pour l’usage régulier chez la femme (2 verres par jour en moyenne)
− Pas plus de 4 verres par occasion pour l’usage ponctuel
− Un verre correspond à un verre « standard » ou une Unité Internationale d’Alcool (UIA) qui représente 10g d’alcool pur.
À cette appréciation de la consommation éthylique, adaptant contenant (verre) au contenu (alcool), s’ajoutent les recommandations suivantes (Gallet, 2013) :
− pas plus de quatre verres par occasion pour l’usage ponctuel ;
− au moins un jour sans alcool dans la semaine ;

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’ALCOOL
I.1. Définitions
I.2. L’alcool dans l’organisme
I.2.1. Absorption
I.2.2. Distribution
I.2.3. Métabolisation de l’éthanol
I.2.4.1. Métabolisme oxydative hépatique de l’éthanol
I.2.4.2. Métabolisme non oxydatif
I.2.4. Elimination
I.3. Epidémiologie de l’alcoolisme
I.4. Usage d’alcool
I.5. Mésusages d’alcool
I.5.1. Usage à risque
I.5.2. Usage nocif ou abus
I.5.3. Usage avec dépendance ou alcoolodépendance
CHAPITRE II : ALCOOL ET SANTE
II.1. Pathologies associées à l’alcoolisme
II.1.1. Pathologies physiologiques
II.1.2. Perturbations mentales et effets sociaux de l’alcoolisme
II.2. Prise en charge clinique de l’alcoolisme
II.3. Marqueurs biologiques de l’alcoolisme
II.3.1. Les marqueurs aspécifiques
II.3.1.1. Les transaminases
II.3.1.2. La Gamma glutamyl transférase (ɤGT)
II.3.1.3. Le Volume globulaire moyen(VGM)
II.3.1.4. La transferrine déficiente en carbohydrate ou transferrine
désialylée
II.3.1.4.1. Structure et caractéristiques moléculaires
II.3.1.4.2.Synthèse et physiopathologie
II.3.2. Les marqueurs spécifiques
II.3.2.1. Ethanol
II.3.2.2. Ethylglucuronide et Ethylsulfate
II.3.2.3. Les esters d’acides gras et d’éthanol
II.3.2.4. Le phosphatidyéthanol
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. TYPE ET CADRE D’ETUDE
II. CONSIDERATIONS ETHIQUES
III. MATERIELS ET METHODES
III.1. Population d’étude
III.2. Matériels
III.3. Méthodes
III.3.1. Collecte des données
III.3.2. Prélèvements
III.3.3. Méthodes analytiques
III.3.3.1. Principe de la numération formule sanguine(NFS)
III.3.3.2. Principe de détermination de l’activité des transaminases
III.3.3.3. Principe de détermination de l’activité de la gamma glutamyl transférase
III.3.3.4. Dosage de la transferrine déficiente en carbohydrate
III.3.3.4.1. Principe
III.3.3.4.2. Mode opératoire
III.3.3.4.3. Interpretation du dosage de la CDT
III.3.4. Statistiques
IV. RESULTATS
IV.1. Caractéristiques générales de la population
IV.2. Répartition de la population suivant l’âge
IV.3. Répartition de la population suivant le sexe
IV.4. Répartition de la population suivant la quantité d’alcool consommée52
IV.5. Evaluation de la CDT dans notre population d’étude
IV.5.1. Répartition des sujets suivant le taux de CDT
IV.5.2. Evaluation des taux de CDT suivant l’âge
IV.5.3. Variations des paramètres biologiques suivant les taux de CDT55
V. DISCUSSIONS
V.1. Caractéristiques épidémiologiques de la population
V.2. Importance du dosage de la transferrine déficiente en carbohydrate(CDT) dans notre population
V.3. Variation des taux de CDT suivant l’âge
V.4. Variation des paramètres biochimiques de routine (VGM, ɤGT,
ASAT/ALAT) par rapport au taux de transferrine déficiente en carbohydrate(CDT)
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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