CARACTERISTIQUES ET IDENTIFICATION DโUN BIEN PUBLIC
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย En sโinspirant ร la thรฉorie de Cervaso SEMEDO, et en expliquant le tableau cidessous, il est possible dโobtenir beaucoup de connaissances en ces biens. Dโaprรจs ce tableau, on peut classer ces biens en trois catรฉgories : le bien publique, le bien privรฉ et le bien mixte notรฉs respectivement et . La question qui se pose est de : Comment identifier ces trois biens ? En Interprรฉtant ce tableau, si cโest un bien ร deux caractรจres : le non exclusivitรฉ et le non rivalitรฉ, il est alors un ยซ bien public ยป. C’est-ร -dire, tout le monde peut ressentir simultanรฉment une telle satisfaction par une quantitรฉ donnรฉe de ce bien. Cependant, quand ce bien a des caractรจres dโexclusivitรฉ et de rivalitรฉ, il est dit ยซ un bien privรฉ ยป. Prenons comme exemple la cotisation dโun club. Tous les membres de ce groupe ont le droit de connaรฎtre lโhistorique de leur compte, mais il est interdit de lโutiliser pour un seul membre. Dโautres informations peuvent รชtre obtenues ร propos de lโouvrage de Cervasio SEMEDO. Il a mentionnรฉ que tous les biens qui vรฉrifient les principes dโexclusion et de la rivalitรฉ par les prix sont des biens privรฉs. Par le principe de la rivalitรฉ, deux agents ne peuvent pas bรฉnรฉficier simultanรฉment de lโusage dโun mรชme bien. Par extension, une certaine exclusion en ressort : celui qui paie a le droit de consommer seul en cas de distribution gratuite (Restos du cลur). Le marchรฉ, par dรฉfinition, satisfait alors les besoins correspondant ร une demande solvable. Il existe de nombreux biens pour lesquels le principe de la rivalitรฉ ne sโapplique pas. Ces biens sont appelรฉs ยซ biens collectifs1 ยป. Prenons quelques exemples : le rรฉseau routier, la justice, lโรฉducation nationale, la dรฉfense nationale, les forรชts vierges โฆ Selon lui, parmi ces biens publics, il en existe certains, satisfaisant trois conditions supplรฉmentaires appelรฉes ยซ condition de Lindhall ยป :
โข Lโimpossibilitรฉ dโexclusion par le prix des biens : On ne peut pas rรฉserver lโusage dโun bien ร certains agents, car ce bien est mis ร la disposition de tous les agents ;
โข La seconde condition est lโobligation dโusage de ce bien : Aucun agent nโest maitre de la dรฉcision de disposer du bien et chacun a vocation ร consommer ce bien, dรจs lorsquโil est disponible ;
โข La troisiรจme condition est lโabsence dโeffet dโencombrement oรน la satisfaction quโun consommateur retire du bien publique ne dรฉpend pas du nombre dโusagers, qui en bรฉnรฉficient รฉgalement.
A part du bien collectif et privรฉ, il y a un autre bien appelรฉ ยซ bien mixte ยป ou ยซ bien intermรฉdiaire ยป que je vais รฉlargir ci-aprรจs. Dans le tableau prรฉcรฉdent, nous avons les biens notรฉs et . On remarque que, mรชme si la paritรฉ des biens collectifs et des biens privรฉs est vรฉrifiรฉ, on peut aussi envisager trois situations intermรฉdiaires qui nous aident ร connaitre la faรงon dโidentifier ces biens. Nous constatons que ses caractรฉristiques sont nombreuses. Nous allons parler des รฉchantillons suivants :
โข Les biens mixtes en termes de dรฉgradations des caractรฉristiques provenant entre ces deux biens. Donc les biens purement mixtes sont les biens publics et privรฉs qui sont aussi en mรชme temps purs ;
โข La deuxiรจme situation est celui du bien intermรฉdiaire qui est obtenu par la confusion de ces deux biens ;
โข Et la derniรจre, si ces biens dรฉpendent รฉgalement des effectifs, dโaprรจs Buchanan, ils sont aussi biens mixtes (ou intermรฉdiaires). On constate alors que, quand lโune de ces trois conditions est vรฉrifiรฉe.
Selon Buchanan, lโidentification de ces biens peut รชtre obtenu entre les liaisons du degrรฉ dโindivisibilitรฉ de ces biens et les effectifs des gents concernรฉs. Voici alors une figure dans un rectangle qui les explique clairement. Nous aurons en ordonnรฉes, le degrรฉ dโindivisibilitรฉ de ces biens et en abscisse, les nombres des agents rationnels intรฉressรฉs. Ils sont mesurรฉs en pourcentage, afin de prendre en main toutes les proportions possible dans le travail. Dans la position (a1), elle renvoie ce bien de maniรจre certaine au marchรฉ. Sur la situation (a2), il est impossible de laisser librement les associations ร sโorganiser et de faire nourrir ou fonctionner des quasi-marchรฉs. De mรชme dans le cas de la situation (a4). La position (a3) et aussi (a5) montrent quโils y ont des allocations non marchandes probables. On interprรจte alors que cette figure prรฉsente la possibilitรฉ de lโexistence des biens publics et privรฉs. Mais ils sont limitรฉs par le degrรฉ dโindivisibilitรฉ de ces biens et la taille des agents concernรฉs.
Remarque : Comme dans le cas de la production faite par plusieurs entreprises, cette activitรฉ de production a un coรปt spรฉcifique. Et ce coรปt est liรฉ ร lโexclusivitรฉ de ce bien. Dโoรน ยซ le coรปt dโexclusion ยป. Dans certains cas, on parle du prix dโexclusion car nous savons bien que rien nโest gratuit.
Dโabord, ยซ la production marchande ยป des biens publics purs et impurs peut รชtre faite par le marchรฉ publique ou non. Dans cette activitรฉ de production, on a un dรฉfaut de cette production marchande des biens publics, car le coรปt de cette activitรฉ reprรฉsente son intรฉrรชt. A vrai dire, lโabsence de ce coรปt dโexclusion est caractรฉrisรฉe par la sous optimalitรฉ de cette production marchande. Ensuite, cette production est faite par les associations ou une coopรฉration des consommateurs, ou bien les potentialitรฉs de regroupement des producteurs sont trรจs importantes. En 1965, James Buchanan a remarquรฉ quโil y a toujours un problรจme trรจs complexe sur les fondements et les caractรฉristiques de la production associative. Enfin, la production faite par les collectivitรฉs ou les entreprises publiques. Avant de faire cette activitรฉ de production, il faudrait poser les questions suivantes : quelle est la quantitรฉ optimale quโon veut produire de ce bien publique ? Quel est le prix important de ce bien pour pouvoir procurer un profit minimal ? Qui sont les consommateurs concernรฉs et fidรจles ร cette production, dโoรน ยซ la thรฉorie des entreprises publiques (et rรฉglementation) de BOITEUX, RAMSEY13 et STINGEN, car il ne faut pas produire, sans avoir analysรฉ les conditions dโรฉquilibre futur, dans lโallocution des biens publiques, c’est-ร -dire au sens de PARETO, la production de ces biens soit optimale quand la somme de taux marginaux deย substitutions entre ces biens et les biens privรฉs soient รฉgales au taux marginale de transformation. Nous avons vu que les associations, les entreprises publiques et le regroupement des consommateurs โฆ sont des agents qui pourraient allouer les biens publiques pour avoir de la production marchande. Et cette activitรฉ a un coรปt qui peut influencer le prix de cette production. Donc, aprรจs avoir analysรฉ les caractรฉristiques de ces biens, on va essayer de voir, quels sont les avantages liรฉs ร cette distribution ?
Comment ยซ mettre en place des quasi-marchรฉs ? ยป
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย La rรฉponse ร cette question est intรฉressante mais elle a des difficultรฉs diffรฉrentes quand on la rรฉalise selon Ronald COASE dans son ouvrage publiรฉ en 1937, intitulรฉ ยซ La nature des firmesยป. Lโouverture du quasi-marchรฉ est ร la fois concevable et vraiment alรฉatoire. Voici quatre raisons de la difficultรฉ de la mise en place du quasi marchรฉ :
– La premiรจre est le refus des collectivitรฉs ร se coopรฉrer. Donc, on a un problรจme dโauto-stoppeur. Tous ceux-lร sont obtenus par la caractรฉrisation des effets externes des biens publics ;
– La seconde situation est le non connaissance des fonctions de profits et des coรปts des fonctions de profits. Toutes les collectivitรฉs qui sont victimes de cette pollution nโont pas eu totalement le pouvoir dโentrer dans lโรฉcole, en consultant des informations et de lโรฉducation de base. En sโinspirant de la proposition de V. Hayek, ces collectivitรฉs sont intรฉressรฉes par ยซ la connaissance de juste-conduite ยป. Donc lโentreprise se dรฉveloppe trop vite en accumulant un niveau de profit รฉlevรฉ ;
– La troisiรจme est le non prรฉcision des ยซ droits de propriรฉtรฉs ยป qui est la source des blocages pour les victimes des effets externes nรฉgatifs. Les producteurs profitent de lโincompรฉtence de la population, en allouant toujours les biens publiques pour avoir un profit trop รฉlevรฉ ;
– La derniรจre est le problรจme dโorganisation et les coรปts des mรฉcanismes de contrรดle de cette entreprise et le marchรฉ. Faute de dialogue et de nรฉgociation entre les deux acteurs, on devrait sโinspirer de ยซ lโorganisation active de COMMONS ยป.
Rรฉglementation par le prix
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Par dรฉduction de ces deux figures, on fait une intervention sur le prix, c’est-ร -dire le prix PB de la quantitรฉ demandรฉe est รฉgale au coรปt marginal de ce bien (fig. ). Le monopole se situe forcรฉment au point B, en fixant seulement la quantitรฉ offerte QB. Grรขce ร cette intervention, le monopole se dรฉplacera au point A, et mathรฉmatiquement parlant, sa perte est รฉvidente et est รฉgale ร la diffรฉrence entre le Rmin et le coรปt moyennement multipliรฉ par les quantitรฉs offertes sur le marchรฉ. On constate quโil y a toujours un problรจme entre les deux acteurs. Dโoรน, on subventionne chaque unitรฉ de production en diffรฉrenciant le coรปt moyen par le coรปt moyen minimum. On a alors des quantitรฉs non consommรฉes ou sous-utilisรฉes.
Les ressources communes sont-ils des biens publics ?
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Elles ne sont pas confiscables car elles sont disponibles pour quiconque qui veut les utiliser gratuitement. Tandis quโelles sont aussi exclusives puisque la consommation dโune unitรฉ de ressources communes peut influencer la consommation des autres en ces mรชmes biens, dโoรน la tragรฉdie des ยซ pรขtures communautaires ยป pour les classiques. Voici alors les ressources communes trรจs importantes ร Madagascar :
โข Lโair pur et lโeau claire ;
โข Les champs de pรฉtrole de Bemolanga ou dans dโautres rรฉgions ;
โข Les produits ou les fruits de la mer comme les poissons, les baleines โฆ ;
โข Les autres animaux sauvages.
Diffรฉrents types de redistribution
ย ย ย ย ย ย ย ย ย Selon Jean Piรจrre TESTENOIRE, la distinction de la distribution verticale et horizontale (deux modalitรฉs de la redistribution) est indispensable car toutes les opรฉrations autours de ceux-lร sont inter-liรฉes. Dโune part, on parle de la redistribution verticale selon le rapport de Beveridge en 1942, quand lโobjectif principal de la redistribution est axรฉ sur la rรฉduction des inรฉgalitรฉs monรฉtaires de revenus et aussi la stabilisation des habitudes sur la consommation, par le biais de lโoffre des deniers publics non marchands et dโautre par, selon Besmarck, la redistribution horizontale est assurรฉe par les organismes de protection sociale comme la CNaPS (Caisse Nationale de Prรฉvoyance Sociale) ร Madagascar, et repose sur le principe dโassurance. La premiรจre est fondรฉe sur la solidaritรฉ entre citoyens et financรฉe par lโimpรดt. La derniรจre est sur la solidaritรฉ en actifs occupรฉs et inoccupรฉs, et financรฉe par les cotisations sociales. Le but est de protรฉger la population contre les รฉventuels risques sociaux.
Evolution de la technologie
ย ย ย ย ย ย ย ย La loi de la derniรจre rรฉunion du conseil de gouvernement (CST et CT ร Anosikely ร Tana, prรฉsidรฉ par le gรฉnรฉral RASOLOSON Dolin, le Ministre de la Tรฉlรฉcommunication a dit : de 2006 ร 2007, 6 % de la population malgache a utilisรฉ la tรฉlรฉphonie mobile. En 2012, lโEtat veut augmenter ce taux jusquโร 50 %. Pour lโutilisation dโInternet, on a eu 2 % ร 3 % de la population malgache qui le connaรฎt. En gรฉnรฉral, lโaugmentation de lโutilisation des rรฉseaux tรฉlรฉphoniques est la base de la technologie de lโinformation ร Madagascar. Voici un programme prioritaire de ce dรฉpartement : Installation de 13 localitรฉs de tรฉlรฉphonie fixe (GSM) et 24 localitรฉs pour la tรฉlรฉphonie mobile. La construction des infrastructures passives (pilonnes, Antennes) et le dรฉplacement des anciens pilonnes qui modifient les paysages de la ville sont des objectifs majeurs. La nouvelle lรฉgislation de la loi sur la tรฉlรฉcommunication et les dรฉcrets pour pouvoir les รฉvaluer, la refondation de ces lois proportionnelles aux programmes de lโUnion Internationale de la Tรฉlรฉcommunication. Prenons comme exemple, la planification de frรฉquence รฉlectronique et la loi sur lโInternet qui sont lโune des sources favorables de la souverainetรฉ numรฉrique quโon devrait surveiller et contrรดler. Le Ministre de la Poste Malagasy a affirmรฉ que le nouveau statut dans ce domaine est actuellement nรฉcessaire. Sinon, la libรฉralisation de la communication est encore prรฉcaire.ย Selon le rapport alternatif des ONG sur lโapplication du pacte international relatif aux droits civils et politiques, dans lโarticle 22 sur ยซ la libertรฉ dโassociation et la libertรฉ syndicale ยป et ยซ le droit de lโinformation ยป dans lโarticle 23, une croissance lente de la technologie de lโinformation est actuellement moyennement rare, surtout dans 20 rรฉgions de lโรle.
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Table des matiรจres
Introduction
Premiรจre partie : Thรฉories sur la demande de politique publique
Chapitre I : La demande de biens publics
1. Concepts et dรฉfinitions
2. Caractรฉristiques et identification dโun bien public
3. Les avantages ร la distinction de ces biens
Chapitre II : La demande de correction des effets externes
1. Dรฉfinition et prรฉsentation de effets externes
2. Classification et nature des effets externes
3. Principes de correction des effets externes
3.1. Comment ยซ mettre en place des quasi-marchรฉs ? ยป
3.2. Le principe dโintervention publique
3.3. Le dรฉbat imposition/rรฉglementation
Interprรฉtation
Chapitre III : La demande de correction des monopoles naturels
1. Contextes, dรฉfinition et historiques du monopole naturel
2. Illustration
3. Mode de correction des monopoles
3.1. Les rรจglementations des prix, des profits et des quantitรฉs
3.3.1. Rรฉglementation par le prix
3.3.2. La rรฉglementation des profits
3.3.3. La rรจglementation des quantitรฉs
3.2. La subvention croisรฉe et le monopole naturel
3.3. Du coรปt marginal dรฉcroissant aux prix des entreprises publiques
Chapitre IV : La demande de redistribution
1. Analyse รฉconomique de la politique de redistribution
2. Le problรจme du bien-รชtre social et les solutions adรฉ-quates
2.1. Le problรจme de lโรฉgalitรฉ de chance
Chapitre V : La demande dโinformation et dโassurance
1. Lโinformation publique et La Tรฉlรฉcommunication
2. La demande dโinformation
3. La demande dโassurance
Conclusion de la premiรจre partie
Deuxiรจme Partie : Analyses pratiques de la demande de politique publique ร Madagascar
Chap. I : Mode dโรฉvaluation de la demande de biens publics
1. Rappel sur les biens publics
1.1. Les biens publics importants
1.1.1. La dรฉfense nationale
1.1.2. La recherche fondamentale
1.1.3. Les programmes majeurs sur la lutte contre la pauvretรฉ
1.2. Les ressources communes sont-ils des biens publics ?
2. Cas pratique de lโintervention de lโEtat sur les biens publics
2.1. Objectifs et rapports des rรฉsultats faits par chaque ministรจre compรฉtent
Chap II : Analyses et pratiques de la redistribution
1. Objectifs de la redistribution
1.1. Les objectifs รฉconomiques
1.2. Les objectifs sociaux de la redistribution
2. Comment รฉvaluer la redistribution dโun revenu
2.1. Diffรฉrents types de redistribution
2.2. La redistribution proprement dite
2.3. Comment mesurer les niveaux de vie de certains agents avant et aprรจs ces opรฉrations de transferts sociaux ?
3. Etude statistique des tableaux de rรฉpartition de revenu
Chap. III : Concrรฉtisation et analyse de situation de lโinformation
1. Les TIC et lโinformation actuelle
1.1. Inventaires ou typologie des moyens de lโinformation (mรฉdias)
1.1.1. Les radios
1.1.2. Les tรฉlรฉvisions
1.1.3. Les journaux
1.1.4. La Poste
1.2. Evolution de la technologie
1.3. Les mรฉdias publics et privรฉs
1.4. Inventaires de lโutilisation des TIC ร Madagascar
2. Contexte actuel de la rรฉgularisation et de la lรฉgis-lation dans le domaine TIC ร Madagascar
2.1. Au niveau de la rรฉglementation dans le secteur de la tรฉlรฉcommunication
2.2. Les TIC et la croissance รฉconomique
3. Analyse critique de lโutilisation de lโinformation (TIC) ร Madagascar et la dรฉmocratie
3.1. Actualisation de lโinformation dans un rรฉgime dรฉmocratique
3.2. Utilisation de la technologie de lโinformation dans les secteurs dโactivitรฉ
3.3. Evolution de la technologie de lโinformation ร Madagascar
3.4. Dรฉbats-critiques de lโutilisation des TIC qui sont considรฉrรฉs comme outils de production
3.5. Les Coรปts des รฉquipements et fonctionnement
3.5.1. A usage domestique
3.5.2. Usage professionnelle
3.6. Solution et interprรฉtations
Chap. IV : Organisation de lโinternationalisation des externalitรฉs
1. Perspectives de lโinternationalisation
1.1. Rappels
1.1.1. Diffรฉrents approches sur lโinternalisation des externalitรฉs
1.1.2. Qui sont les organes compรฉtents ร cette opรฉration ?
1.1.3. Les champs dโรฉvolution de lโinternalisation
1.2. Etude dโimpacts des externalitรฉs
2. Inventaires des effets externes
2.1. Diffรฉrentes phases importantes et nรฉcessaires ร lโinventaire des effets externes nรฉgatifs
2.2. Diffรฉrentes catรฉgories des effets externes nรฉgatifs
2.2.1. Le bruit est-il un effet externe ?
2.2.2. La pollution atmosphรฉrique
2.2.3. La pollution des eaux
2.2.4. Les dรฉchets des entreprises et de mรชme leurs ordures
2.2.5. Cas particulier sur les zones dโactivitรฉs des industries
3. La lรฉgislation de lโinternalisation des externalitรฉs
3.1. Textes introduisant la dimension environnementale dans le domaine industriel
3.1.1. La police des installations classรฉes pour la protection de lโenvironnement : dรฉcret du 21 octobre 1924
3.1.2. La lรฉgislation de la santรฉ publique
3.1.3. Le rรฉgime des investissements ร Madagascar
3.1.4. La mise en place de lโoffice du guichet unique
3.1.5. Le rรฉgime de la responsabilitรฉ civile en matiรจre de pollution industrielle
3.2. Les normes appliquรฉes aux industries
3.3. Taxes et redevances pour diminuer les externalitรฉs nรฉgatives
3.4. Exemples de procรฉdures ร suivre pour pouvoir sโinstaller
Recommandations
Conclusion
Bibliographie
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