CONTEXTE GENERAL
L’évolution des styles de vie des dernières décennies a eu pour impact d’augmenter la prévalence des maladies non transmissibles (maladies cardio-vasculaires, diabète de type 2 …). Ces maladies se développent majoritairement du fait d’une alimentation inadaptée pour la santé et d’une pratique d’activité physique insuffisante. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), de nombreux adultes n’atteignent pas les recommandations d’activité physique et cela augmente leurs risques de développer des maladies non transmissibles . Pour diminuer la prévalence de ces maladies il est nécessaire de changer les habitudes d’alimentation et de pratique d’activité physique.
Avec l’avènement des technologies et la démocratisation des smartphones, les interventions dédiées au changement de comportement se sont de plus en plus digitalisées. Il existe de nombreuses interventions liées au changement de comportement en santé qui sont basées sur une technologie ou sur une application de téléphone (Orji et al., 2018 ; Taj et al., 2019). Une partie de ces interventions digitalisées ne se base pas sur une théorie de changement de comportement pour leur développement. Le développement d’une technologie visant un changement de comportement nécessite la rencontre de plusieurs domaines distincts (Hekler et al., 2013).
Le domaine de recherche du changement de comportement propose depuis de nombreuses années diverses approches et diverses techniques pour inciter les individus à changer leurs comportements et à les maintenir dans le temps (Gambrill, 1977 ; Bergin et Garfield, 1994). D’autres auteurs ont plus récemment créé une taxonomie regroupant les techniques de changement de comportement utilisées jusqu’à présent (Michie et al., 2013). Pourtant, il reste difficile de trouver les bons ingrédients pour soutenir des changements de comportements liés à la santé. Un premier objectif de cette thèse est donc d’approfondir les connaissances sur les facteurs pouvant influencer et soutenir le changement de comportement. Pour répondre à cet objectif théorique, nous nous sommes intéressés aux théories du changement de comportement mais aussi aux théories de la personnalité.
DIABETE DE TYPE 2
DEFINITION DU DIABETE
Le diabète est une maladie chronique, ce que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit comme « des affections de longue durée qui, en règle générale, évoluent lentement » . Selon la Fédération Internationale du diabète , le diabète correspond au fait d’avoir une augmentation de la quantité de glucose présente dans le sang à cause d’une absence ou d’un manque de production d’insuline par le corps ou parce que le corps ne parvient plus à utiliser l’insuline efficacement. L’insuline est une hormone qui favorise l’absorption du glucose présent dans le sang par les cellules de l’organisme. Cette atteinte du fonctionnement de l’insuline va générer des niveaux élevés de glucose dans le sang voire de l’hyperglycémie (c’est-à-dire un niveau de glucose dans le sang trop élevé pour l’organisme ce qui est nocif). La répétition des événements d’hyperglycémie et une durée prolongée de ces événements sont à l’origine des complications qui peuvent apparaître dans le cadre du diabète telles que des maladies cardio-vasculaires ou une neuropathie.
Il existe deux principaux types de diabète qui reposent sur des mécanismes différents : le diabète de type 1 et le diabète de type 2. Le diabète de type 1 apparaît généralement chez les enfants ou les adolescents. Il est caractérisé par une absence ou une très faible production d’insuline par l’organisme. Pour permettre l’absorption du glucose par l’organisme, le traitement va principalement être composé d’injections d’insuline . Le diabète de type 2 est un trouble métabolique progressif qui est provoqué par des facteurs environnementaux et des facteurs génétiques (Krook et al., 2004). Il est parfois appelé diabète non insulino dépendant ou diabète acquis et il apparaît plus généralement à l’âge adulte. Il est caractérisé par un niveau élevé de glucose dans le sang lié au développement d’une résistance à l’insuline par l’organisme. Il y a des facteurs génétiques qui peuvent accentuer l’apparition de cette résistance mais elle est surtout provoquée par les habitudes de vie liées au manque d’activité physique, à la sédentarité et à l’alimentation.
ENJEUX SOCIETAUX
Selon la Fédération Internationale du Diabète , en 2021 il y avait 537 millions d’adultes (entre 20 et 79 ans) atteints de diabète dans le monde dont 90 % sont atteints de diabète de type 2. De plus, en 2021, 6,7 millions de morts liées au diabète ont été recensées dans le monde, dont 1,1 millions en Europe. Cette prévalence du diabète ne fait que s’accentuer d’année en année du fait des changements de style de vie (plus de sédentarité, des aliments transformés et très sucrés …). En plus de cet impact sur les individus, le diabète représente aussi des coûts élevés pour la société. En effet, les coûts des soins liés au diabète en Europe en 2021 représentent 189 milliards de dollars.
Les complications rencontrées dans le diabète étant dues à des hyperglycémies vécues de manière trop fréquente et trop prolongée, le but du traitement est donc de diminuer la glycémie des individus atteints et d’améliorer leur contrôle glycémique. Il n’y a que trois aspects qui permettent d’influencer ces éléments dans le cadre du diabète de type 2 : l’activité physique, l’alimentation et les médicaments. La gestion de cette maladie nécessite donc un changement de style de vie de la part des personnes atteintes.
ENJEUX INDIVIDUELS
Les comportements d’autogestion au quotidien sont inhérents à la nature chronique des maladies chroniques. Audulv et al. (2019) ont développé une taxonomie de stratégies d’autogestion d’une maladie chronique au quotidien (rechercher activement des informations sur la maladie et le traitement ; décider qui informer de la pathologie et selon quelles conditions …). Cette taxonomie a été développée avec des individus présentant des troubles neurologiques mais la plupart des stratégies sont surtout liées au contexte particulier de la maladie chronique et de l’inclusion de celle-ci dans son quotidien. Chaque individu n’utilise pas toutes les stratégies et une personne atteinte de diabète pourrait bénéficier de l’apprentissage de stratégies qui ne sont pas encore employées.
L’hémoglobine glyquée (notée HbA1c) est mesurée grâce à une prise de sang et constitue le paramètre de référence dans la surveillance de l’équilibre glycémique. Elle influence les stratégies d’autogestion des personnes atteintes de diabète de type 2. C’est un indice proportionnel au taux de glucose dans le sang sur les 12 à 16 semaines qui ont précédé la mesure par prise de sang. La glycémie rend compte du taux de glucose immédiat tandis que l’HbA1c rend compte du taux de glucose moyen au cours des trois mois précédents. Cet indice biologique est généralement utilisé dans le cadre du diabète pour informer l’individu sur son équilibre global et donc son contrôle (Lane et al., 2000) .
Laiteerapong et al. (2019) ont réalisé une étude longitudinale sur une durée de 13 ans sur des personnes nouvellement diagnostiquées atteintes de diabète de type 2. Cette étude a montré que la valeur de l’HbA1c au cours de la première année suivant le diagnostic est liée à l’évolution de la maladie et aux complications qui peuvent survenir. Durant cette période, comparativement à une HbA1c inférieure à 6,5, une HbA1c supérieure à 6,5 est associée à une future augmentation des complications à long terme et une HbA1c supérieure à 7 est associée à une future augmentation de la mortalité. Il est donc nécessaire de maintenir un bon contrôle glycémique (c’est-à-dire une faible HbA1c) et ce dès le début de la maladie pour limiter les impacts négatifs futurs.
Activité physique
Définition
Caspersen et al. (1985) différencient l’activité physique de l’exercice. Selon eux, l’activité physique correspond à tous les mouvements du corps qui sont réalisés par des muscles squelettiques et produisent une augmentation de la dépense énergétique, c’est-à-dire, les activités telles que les tâches ménagères, l’activité liée à son travail ou la pratique de sport. L’exercice correspond quant à lui à un ensemble d’activités physiques qui sont planifiées, structurées et répétitives avec pour objectif (final ou intermédiaire) d’améliorer ou de maintenir ses capacités physiques. L’exercice est donc une activité physique mais l’activité physique n’est pas restreinte à l’exercice.
Il existe différentes intensités d’activité physique identifiées en fonction de la consommation énergétique associée (Ainsworth et al., 2000). Tremblay et al. (2017) ont défini trois niveaux d’intensité de l’activité physique : activité physique légère (par exemple marcher), activité physique modérée (par exemple faire du jardinage) et activité physique intense (par exemple courir).
Apport de l’activité physique pour l’autogestion du diabète de type 2
La pratique d’activité physique est centrale dans l’autogestion du diabète de type 2 et figure parmi les recommandations pour diminuer la glycémie et la valeur de l’HbA1c (Sigal et al., 2006). En effet, la diminution de la glycémie s’opère naturellement par deux mécanismes : un mécanisme lié à l’insuline et un mécanisme lié à l’activité physique (Krook et al., 2004). Bien que le mécanisme lié à l’insuline ne fonctionne plus efficacement dans le cadre du diabète de type 2, le mécanisme lié à la pratique d’activité physique est lui maintenu. Ainsi, l’activité physique va diminuer la glycémie en favorisant le transport du glucose dans les muscles squelettiques (Krook et al., 2004). Une pratique d’activité physique est bénéfique dès la première fois à travers trois phénomènes (Poppe, 2019). Le premier phénomène est que le niveau de glucose dans le sang va diminuer pendant l’activité physique car le corps a besoin d’énergie pour réaliser l’effort en cours. Le second phénomène est que les contractions des muscles vont favoriser l’entrée du glucose dans les cellules des muscles squelettiques. Le troisième phénomène est que le mécanisme lié à l’insuline va être amélioré jusqu’à trois jours après l’activité physique. Des bénéfices supplémentaires vont apparaître si la pratique d’activité physique est réalisée régulièrement et sur le long terme. D’une part, à long terme, l’activité physique va augmenter la sensibilité de l’organisme à l’insuline (ce manque de sensibilité étant le problème principal dans le cadre du diabète de type 2). D’autre part, grâce à l’augmentation de la masse musculaire, il y aura aussi une augmentation de la quantité de glucose qui va entrer dans les muscles squelettiques du fait d’une consommation plus importante de leur part (Poppe, 2019).
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Table des matières
INTRODUCTION
1 INTRODUCTION
1.1 CONTEXTE GENERAL
1.2 ORGANISATION DU MANUSCRIT
PREMIERE PARTIE : ETAT DE L’ART ET CADRE THEORIQUE
2 DIABETE DE TYPE 2
2.1 DEFINITION DU DIABETE
2.2 ENJEUX SOCIETAUX
2.3 ENJEUX INDIVIDUELS
2.3.1 ACTIVITE PHYSIQUE
2.3.2 ALIMENTATION
2.3.3 TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX
2.3.4 DETRESSE EMOTIONNELLE
2.4 RESUME DU CHAPITRE
3 LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
3.1 MODELE TRANSTHEORIQUE
3.2 APPROCHE SOCIO-COGNITIVE
3.3 THEORIE DE L’AUTO-DETERMINATION
3.4 RESUME DU CHAPITRE
4 LA PERSONNALITE : DETERMINANT DE LA MOTIVATION
4.1 APPROCHE DIMENSIONNELLE DE LA PERSONNALITE
4.1.1 BIG FIVE
4.1.2 RELATION ENTRE THEORIE DE L’AUTO-DETERMINATION ET BIG FIVE
4.2 APPROCHE SOCIO-COGNITIVE
4.2.1 THEORIE DE L’ORIENTATION REGULATRICE
4.2.2 PLEINE CONSCIENCE DISPOSITIONNELLE
4.3 RESUME DU CHAPITRE
5 TECHNOLOGIES ET INTERVENTIONS
5.1 TECHNOLOGIES PERSUASIVES ET MOTIVATIONNELLES
5.1.1 DEFINITION
5.1.2 METHODOLOGIE CENTREE UTILISATEURS
5.1.3 UTILISATION ET LIMITES
5.2 INTERVENTIONS POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
5.2.1 INTERVENTIONS BASEES SUR LA THEORIE DE L’AUTO-DETERMINATION
5.2.2 INTERVENTIONS BASEES SUR LA THEORIE DE L’ORIENTATION REGULATRICE
5.2.3 INTERVENTIONS POUR DES MALADIES CHRONIQUES
5.2.4 INTERVENTIONS POUR LE DIABETE
5.3 ETHIQUE
5.4 RESUME DU CHAPITRE
6 PROBLEMATIQUE
DEUXIEME PARTIE
7 IMPACT DE L’ORIENTATION REGULATRICE SUR LA SATISFACTION DES BESOINS
7.1 INTRODUCTION
7.2 OBJECTIF
7.3 METHODOLOGIE
7.3.1 MATERIEL
7.3.2 PARTICIPANTS
7.3.3 PROCEDURE
7.3.4 ANALYSES STATISTIQUES
7.4 RESULTATS
7.4.1 STATISTIQUES DESCRIPTIVES
7.4.2 DIFFERENCES ENTRE LES DEUX ECHANTILLONS
7.4.3 EFFETS DU CADRAGE
7.4.4 DIFFERENCE D’IMPACT ENTRE VALEUR DE L’ORIENTATION CHRONIQUE ET CADRAGE
7.5 ANNOTATIONS DES SOUVENIRS TOUT-VENANTS
7.6 DISCUSSION
7.7 RESUME DU CHAPITRE
8 RELATIONS ENTRE LES DETERMINANTS DE L’AUTOGESTION DU DIABETE DE TYPE 2
8.1 INTRODUCTION
8.2 OBJECTIF
8.3 METHODOLOGIE
8.3.1 PARTICIPANTS
8.3.2 PROCEDURE
8.3.3 MATERIEL
8.3.4 ANALYSES STATISTIQUES
8.4 RESULTATS
8.4.1 STATISTIQUES DESCRIPTIVES
8.4.2 MODELE DE MESURE
8.4.3 MODELE STRUCTUREL
8.4.4 DIFFERENCES ENTRE BONNE HBA1C, MAUVAISE HBA1C ET SANS HBA1C
8.4.5 DIFFERENCES ENTRE BONNE HBA1C ET MAUVAISE HBA1C
8.4.6 PRESENCE DE DETRESSE EMOTIONNELLE LIEE AU DIABETE
8.5 DISCUSSION
8.5.1 MODIFICATIONS ENTRE LE MODELE INITIAL ET LE SECOND MODELE
8.5.2 SATISFACTION DES BESOINS ET TYPES DE MOTIVATION
8.5.3 SATISFACTION DES BESOINS ET ORIENTATION REGULATRICE
8.5.4 SATISFACTION DES BESOINS ET PLEINE CONSCIENCE
8.5.5 PLEINE CONSCIENCE ET REGULATION EMOTIONNELLE
8.5.6 HEMOGLOBINE GLYQUEE ET AUTOGESTION
8.5.7 DETRESSE EMOTIONNELLE
8.5.8 LIMITES ET PERSPECTIVES DE L’ETUDE
8.6 RESUME DU CHAPITRE
9 Entretiens avec des personnes atteintes de diabète de type 2
9.1 INTRODUCTION
9.2 OBJECTIFS
9.3 METHODOLOGIE
9.3.1 GUIDE D’ENTRETIEN
9.3.2 APPROCHE PROSPECTIVE
9.3.3 CAS D’USAGE
9.3.4 PARTICIPANTS
9.3.5 PROCEDURE
9.3.6 ANALYSE DES ENTRETIENS
9.4 RESULTATS
9.4.1 STRATEGIES MISES EN PLACE AU QUOTIDIEN
9.4.2 EVALUATION D’ACCOMPAGNEMENT PAR UNE APPLICATION
9.4.3 EXPERIENCES D’USAGE
9.4.4 BARRIERES D’USAGE
9.5 DISCUSSION
9.5.1 STRATEGIES UTILISEES DANS UN CADRE DE SANTE
9.5.2 QUALITE DE L’AUTOGESTION
9.5.3 UTILISATION D’UNE APPLICATION D’AUTOGESTION
9.5.4 RECOMMANDATIONS
9.6 RESUME DU CHAPITRE
10 DEVELOPPEMENT ET EVALUATION D’UNE INTERVENTION DE PLEINE CONSCIENCE
10.1 INTERVENTIONS DE PLEINE CONSCIENCE EXISTANTES
10.1.1 APPORTS D’UNE PRATIQUE DE PLEINE CONSCIENCE
10.1.2 INTERVENTION DE PLEINE CONSCIENCE DANS LE CADRE DU DIABETE DE TYPE 2
10.1.3 INTERVENTIONS COURTES DE PLEINE CONSCIENCE
10.1.4 INTERVENTIONS DE PLEINE CONSCIENCE EN LIGNE
10.2 OBJECTIFS
10.2.1 PERSONNES ATTEINTES DE DIABETE DE TYPE 2
10.2.2 PERSONNES TOUT-VENANTS NON ATTEINTES DE MALADIE CHRONIQUE
10.3 DEVELOPPEMENT DE L’INTERVENTION DE PLEINE CONSCIENCE
10.4 METHODOLOGIE D’EVALUATION DE L’INTERVENTION
10.4.1 PROCEDURE DE RECRUTEMENT
10.4.2 PARTICIPANTS
10.4.3 MATERIEL
10.4.4 PROTOCOLE
10.4.5 HYPOTHESES OPERATIONNELLES
10.4.6 ANALYSES STATISTIQUES
10.5 RESULTATS
10.5.1 STATISTIQUES DESCRIPTIVES
10.5.2 COMPARAISON DES DEUX ECHANTILLONS
10.5.3 IMPACT DE L’INTERVENTION
10.5.4 ACCEPTABILITE DE L’INTERVENTION
10.6 DISCUSSION
10.6.1 PARTICIPANTS ATTEINTS DE DIABETE DE TYPE 2
10.6.2 PARTICIPANTS TOUT-VENANTS
10.6.3 MOTIVATION A LA PRATIQUE D’ACTIVITE PHYSIQUE ENTRE LES DEUX ECHANTILLONS
10.7 LIMITES ET PERSPECTIVES
10.8 RESUME DU CHAPITRE
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION GENERALE
11 RETOUR SUR LES CONTRIBUTIONS SCIENTIFIQUES DE LA THESE
11.1 SATISFACTION DES BESOINS ET PERSONNALITE
11.1.1 SATISFACTION DES BESOINS ET ORIENTATION REGULATRICE
11.1.2 SATISFACTION DES BESOINS ET PLEINE CONSCIENCE
11.2 INTERVENTION VIA UNE TECHNOLOGIE
11.2.1 MULTIPLICITE DES DOMAINES
11.2.2 UTILISATION DE THEORIES DE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
11.2.3 UTILISATEUR PASSIF VS ACTIF
11.2.4 ETHIQUE
11.2.5 RETOUR SUR LES ENTRETIENS AVEC DES PERSONNES ATTEINTES DE DIABETE DE TYPE 2
11.3 INTERVENTION DE PLEINE CONSCIENCE
11.3.1 DIMINUTION DES EMOTIONS NEGATIVES
11.3.2 INTERET DES EXERCICES POUR LES PERSONNES ATTEINTES DE DIABETE DE TYPE 2
11.3.3 INTERET DES EXERCICES POUR DES PERSONNES TOUT-VENANTS
11.3.4 INTERVENTION ET SATISFACTION DES BESOINS
11.4 ACCOMPAGNEMENT DU DIABETE DE TYPE 2
12 PERSPECTIVES ET CONCLUSIONS
12.1 CARACTERISTIQUES D’UN PRODUIT ET ORIENTATION REGULATRICE
12.2 EVALUATION DES COMPORTEMENTS
12.3 ACCOMPAGNEMENT AVEC UNE APPLICATION
12.4 EVALUATION DE L’INTERVENTION DE PLEINE CONSCIENCE
12.5 ACCOMPAGNEMENT DU DIABETE DE TYPE 2
CONCLUSION