PERFORMANCES D’UN RESEAU

Connexion à l’Internet par une liaison ADSL

                L’ADSL assure un débit plus élevé dans le sens du réseau vers l’abonné par rapport au sens de l’abonné vers le réseau, lui-même nettement supérieur à celui des modems classiques. Ces caractéristiques démontrent que la technologie ADSL est très adaptée à l’accès internet. Les trafics issus de plusieurs clients ADSL sont concentrés par le DSLAM. Un équipement appelé BAS ou Broadband Access Server, serveur d’accès large bande, reçoit les données en provenance du DSLAM. C’est un concentrateur d’accès large bande. Il effectue une liaison PPP avec la machine cliente ADSL. Pour relier le client au réseau de l’ISP, un circuit virtuel permanent, sous la forme de session IP, est établi entre le BAS et le « Point de Présence » ou POP de l’ISP. Ce circuit virtuel caractérise la capacité de connexion entre l’utilisateur et l’ISP. Le Proxy radius effectue l’authentification du client auprès de l’ISP. Le EAS ou Équipement d’Accès Service est un routeur reliant le réseau du transporteur, appartenant le plus souvent à l’opérateur de téléphonie, à celui de l’ISP. La liaison physique entre l’opérateur et l’ISP est une liaison haute débit.

G. Lite

                          L’ADSL Lite ou G. Lite est une version allégée de la version Full Rate. Elle a été développée par l’UAWG ou Universal ADSL Working Group, un groupe de travail fondé par un groupe de fabricants parmi lesquels Microsoft, Intel et Compaq, après une prise de conscience de la part des fabricants de la nécessité d’une normalisation de l’ADSL pour pouvoir développer celui-ci. Dans cette version, le splitter est intégré au modem car l’installation de celui-ci nécessitait le déplacement de techniciens chez l’abonné. De plus, elle met en œuvre un modem auto configurable ou Plug and Play. Tout ceci pour rendre plus facile l’installation d’une liaison ADSL chez l’abonné. Le DMT est fixé comme procédé de modulation, le nombre de porteuses utilisées avec DMT est réduit à 128 au lieu de 256 dans la version Full Rate. De même, les configurations QAM sont simplifiées car le nombre de bits par seconde et par hertz passe de 15 à 8. Ainsi, les débits maximum spécifiés se trouvent diminués à 1,8 Mbit/s dans le sens descendant et 384 kbit/s dans le sens montant. La FDM est prise comme technique de multiplexage, étant donné qu’elle est plus facile à mettre en oeuvre par rapport à l’annulation d’écho.

La commutation

                   Les commutateurs sont fonctionnellement de deux types, les centres d’abonnés et les centres de transit.
a. Les centres d’abonnés : Les centres d’abonnés sont les centres qui permettent le rattachement des abonnés. Ils sont différentiés en deux types:
– Les centres à autonomie d’acheminement CAA qui sont capables d’analyser les numéros qu’ils reçoivent et les traduire en un itinéraire parmi ceux possibles pour acheminer la communication vers l’abonné demandé.
– Les centres locaux CL qui ne sont pas capables d’analyser la numérotation ou ils sont seulement capables d’analyser les numéros des abonnés qu’ils desservent, les autres sont tous acheminés vers une seule direction. S’ils n’ont aucune intelligence et leur rôle se limite à la concentration, on les appelle aussi centres auxiliaires.
b. Les centres de transit : Les centres de transit permettent de connecter les commutateurs qui n’ont pas de liaison entre eux. Ceci permet d’avoir un réseau étoilé plus facile à gérer et moins onéreux. Les centres de transits sont aussi différenciés en deux types, les centres de transit secondaires et les centres de transit principaux. Les centres de transit permettant de connecter les réseaux de deux pays sont appelé centres de transit internationaux. Comme on peut le constater, le réseau est découpé en zones; on distingue :
• Zone locale (ZL), c’est la zone desservie par un centre local.
• Zone à autonomie d’acheminement (ZAA), c’est la zone desservie par un centre à autonomie d’acheminement. Une ZAA qui englobe plusieurs CAA est dite zone à autonomie d’acheminement multiple ZAAM.
• Zone de transit secondaire ZTS, c’est la zone desservie par un centre de transit secondaire.
• Zone de transit principale ZTP, c’est la zone desservie par un centre de transit principal.
c. La transmission : Le réseau de transmission relie entre eux les différents commutateurs et fournit les ressources pour transporter le trafic entre les commutateurs. Dans le central téléphonique, on trouve un centre de transmission qui est relié à un ou plusieurs autres centres de transmission par des lignes appelées circuit ou jonction. Pour fournir la capacité de transport nécessaire, plusieurs circuits sont utilisés et on parle de faisceau de circuit. Avec la numérisation et le multiplexage, un seul circuit peut transporter plusieurs communications téléphoniques. Une ligne ayant un débit de 2 Mb/s transporte 30 communications. Nous verrons plus loin comment ces lignes sont multiplexées pour obtenir des lignes de capacité encore plus importantes.

Le réseau de branchement

                  Ce type de réseau est constitué de câbles à 1 paire dont l’aboutement côté abonné constitue le dispositif d’entrée de poste. Ce câble est essentiellement aérien. Sa longueur ne doit pas dépasser 500 mètres, selon les normes. Après le commutateur de rattachement, on trouve le répartiteur d’entrée ou répartiteur d’abonné, appelé encore MDF pour « Main Distribution Frame ». L’interfaçage entre le réseau de transport primaire et le réseau de distribution est assuré par un équipement appelé sous répartiteur ou SR, celui entre le réseau de distribution et le réseau de branchement par un équipement appelé point de concentration ou PC.

Le répartiteur d’entrée

                    Le répartiteur d’entrée constitue l’interface entre le réseau de transport primaire et l’autocommutateur. C’est un point de flexibilité qui permet de raccorder chaque ligne d’abonné à une carte d’abonné dans l’autocommutateur de rattachement. Le répartiteur d’entrée se compose de deux parties:
réglettes verticale Un équipement où sont raccordées les lignes extérieures. Il est constitué de barres verticales sur lesquelles s’éclatent les têtes de câbles du réseau de transport primaire;
réglettes horizontales Un équipement où aboutissent les câbles de raccordement des équipements d’abonnés de l’autocommutateur. Il est constitué de broches métalliques, au nombre de deux ou trois par abonné, dont la continuité électrique peut être interrompue très aisément en cas de besoin. Un fil appelé jarretière, constitué de deux conducteurs en cuivre isolés sous matière plastique et torsadés, permet de raccorder aisément n’importe quelle ligne côté vertical à n’importe quelle broche côté horizontal. Ainsi, les tests sur les lignes d’abonnés et la conservation de numéro d’appel en cas de changement de domicile de l’abonné dans la même localité sont plus faciles à réaliser.En plus de la flexibilité de câblage, le répartiteur d’entrée assure également un rôle de protection des équipements et du personnel contre les effets de l’environnement des lignes d’abonnés, telles certaines surcharges électriques qui peuvent être dangereuses et qui sont dues aux orages. Le répartiteur est pourvu de micro parafoudres à fort pouvoir d’écoulement du côté des lignes d’abonnés.
Les sous répartiteurs Les sous répartiteurs constituent l’interface entre le réseau de transport et le réseau de distribution. Leurs rôles consistent à:
– répartir les câbles de grosse capacité du réseau de transport en des câbles de plus petite capacité du réseau de distribution ou du réseau de transport secondaire dans le cas d’une interfaçage entre un réseau de transport primaire et un réseau de transport secondaire;
– rendre plus souple l’utilisation des différentes paires de fils constituant les câbles puisqu’on peut relier une paire quelconque d’un câble de transport à une paire quelconque d’un câble de distribution à l’aide d’une jarretière amovible. La disponibilité des câbles de distribution raccordés sur un sous répartiteur est toujours supérieure à celle des câbles de transport, ce qui permet davantage de souplesse dans l’utilisation des lignes. Comme on l’a vu plus haut, on peut rencontrer deux types de sous répartiteurs : les sous répartiteurs de zone ou SRZ et les sous répartiteurs d’îlot ou SRI. Il existe trois catégories d’équipement selon le type de sous répartiteur de zone:
– les sous répartiteurs souterrains, qui sont des boîtes étanches dans des ouvrages en maçonnerie;
– les sous répartiteurs en locaux, qui sont des bâtis muraux;
– les sous répartiteurs sur la voie publique, qui se présentent sous la forme d’armoires métalliques.
Quant aux sous répartiteurs d’îlot, ils sont à l’intérieur des immeubles, car ce type de sous répartiteurs est destiné à desservir un très grand immeuble ou plusieurs immeubles.
Les câbles Les câbles utilisés sur les lignes d’abonnés vont bien entendu par paire. Selon la partie considérée du réseau, ils peuvent être uni paires ou multi paires. Ils sont constitués par des fils en cuivre, en bronze ou en aluminium. Les lignes d’abonnés possèdent deux caractéristiques distinctes pour une fréquence donnée et à une température donnée. Ces caractéristiques ont été initialement définies pour la plage de fréquences 300-3400Hz qui est celle du signal téléphonique:
– les caractéristiques électriques de la ligne qui sont:
• sa résistance de boucle, exprimée en Ω/km;
• sa résistance d’isolement, exprimée en MΩ/km;
• sa capacité effective qui est la capacité entre les deux conducteurs, exprimée en μF/km ;
• son inductance.
– les caractéristiques de transmission de la ligne qui sont:
• l’affaiblissement, exprimé en dB/km;
• la distorsion d’affaiblissement Δα: c’est la variation de l’affaiblissement pour la plage de fréquences donnée.
Il existe différents types de câbles. On distingue:
– pour le réseau de branchement, les câbles uni paires en aérien;
– pour les réseaux de transport et de distribution, les câbles multi paires, en aérien ou souterrain.
Les câbles uni paires sont destinés à être placés sur des artères aériennes et ont une gaine de polyéthylène à haute densité. Le tableau 2.02 en résume les différents types que l’on peut rencontrer sur le réseau de branchement. Notons que depuis les années 80, seuls les câbles 5/10 sont recommandés par les normes et sont installés.
Caractéristiques des câbles série 98
Caractéristiques des câbles série 74

Les Câbles à fibres optiques

              Les câbles doivent donc apporter une protection suffisante aux fibres, afin de les soustraire le plus possible aux contraintes mécaniques lors de leur installation et de leur utilisation. La structure du câble dépend :
– du nombre de fibres,
– des contraintes mécaniques (traduction, écrasement, rayon de courbure minimum,…),
– de la gamme de température de fonctionnement.
– des performances demandées, en fonction des contraintes ci-dessus (affaiblissement tout particulièrement ).

Multiplexage en longueur d’onde (WDM)

                Le multiplexage en longueur d’onde est une technique de multiplexage qui peut se superposer au multiplexage temporel. Le principe est le même que celui de multiplexage en fréquences ( Frequency Division Multiplexing, FDM ) Le multiplexage WDM est une approche qui permet de gérer l’importance discordance optoélectronique en termes de bande passante. Le spectre optique d’une fibre est découpé en un certain nombre d’intervalles de longueurs d’onde distinctes, dans les régions de faible atténuation, de telle sorte que chaque intervalle supporte un canal de communication transmettant au débit désiré, par exemple celui de l’électronique. Ainsi en autorisant la coexistence de plusieurs canaux WDM sur une même fibre, l’énorme bande passante optique peut être exploitée, en permettant aux équipements d’accéder au réseau au débit de l’électronique seulement. [26][27]

Déploiement interne du réseau dans la localité 1et localité 2

a. Utilisation de câble sous-thermo : Le câble sous-thermo a le rôle de transporter les signaux en provenance de l’entrée de poste jusqu’à une prise femelle installé par les clients.
b. Installations d’une prise : Une prise femelle sera alors installée par un électricien à l’intérieure de chaque maison, à la guise des utilisateurs. Un box ADSL est alors recommandé pour les utilisateurs afin de jouir de la ligne ADSL déployer à l’intérieur de chaque habitation.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : LA TECHNOLOGIE ADSL
1.1 Introduction
1.2 Les différents types de technologies xDSL
1.3 Techniques de modulation
1.3.1. La modulation CAP
1.3.2 La modulation DMT
1.4 Techniques de multiplexage
1.4.1. Technique Annulation d’écho
1.4.2. technique FDM
1.5 Architecture d’une liaison ADSL
1.5.1. Architecture générale
1.5.2. Connexion à l’Internet par une liaison ADSL
1.6 Équipements mis en œuvre pour une liaison ADSL
1.6.1. Modem ADSL
1.6.2 Splitter
1.6.3 DSLAM
1.6.4 Micro filtre
1.6.5 Routeurs
1.6.6 BAS
1.7 Les différentes types de l’ADSL
1.7.1. ADSL Full Rate
1.7.2 G. Lite
1.7.3 L’ADSL2+
1.7.4 Le READSL
1.8 Le dégroupage
1.8.1 Le dégroupage partiel
1.8.2 Le dégroupage totale
1.9 CONCLUSION
CHAPITRE II : le Réseau Téléphonique Commuté
2.1 Introduction
2.2 La ligne téléphonique
2.2.1 Paramètres primaires
2.2.1.1 Résistance
2.2.1.2 Inductance
2.2.1.3 Capacité
2.2.2 Paramètres secondaires
2.2.2.1 Atténuation
2.2.2.2 Impédance
2.3 Organisation du réseau téléphonique
2.3.1 Le réseau locale
2.3.1.1 Les postes téléphoniques
2.3.1.2 Les câbles de branchement
2.3.1.3 Les points de concentration PC
2.3.1.4 Les câbles de distributions
2.3.1.5 Les sous répartiteurs SR
2.3.1.6 Les câbles de transport
2.3.1.7 Le répartiteur général
2.3.2 Le réseau dorsal
2.3.2.1 La commutation
a. Les centres d’abonnés
b. Les centres de transit
c. La transmission
2.4 Principes généraux du raccordement des abonnés
2.4.1 Le réseau de transport primaire
2.4.2 Le réseau de distribution
2.4.3 Le réseau de branchement
2.5 Les équipements mis en œuvre dans la distribution
2.5.1 Le répartiteur d’entrée
2.5.1.1 réglettes verticale
2.5.1.2 réglettes horizontales
2.5.1.3 Les sous répartiteurs
2.5.1.4 Les câbles
2.5.1.5 Caractéristiques des câbles série 98
2.5.1.6 Caractéristiques des câbles série 74
CHAPITRE III : La transmission sur Fibre Optique
3.1 Propagation dans la fibre optique
3.1.1 Principes de propagation de la lumière
3.1.2 Ouverture numérique
3.2 Différents types de fibre optique
3.2.1 Monomode
3.2.1.1 Principes de fonctionnement d’une fibre monomode
3.2.1.2 Caractéristiques d’une fibre monomode
3.2.2 Les fibres multimodes
3.2.2.1 Les fibres à saut d’indice
a. Principes de fonctionnement d’une fibre multimode à saut d’indice
b. Caractéristiques
3.2.2.2 Les fibres à gradient d’indice
a. Principes de fonctionnement d’une fibre à gradient d’indice
b. Caractéristiques d’une fibre à gradient d’indice
3.3 Avantages de la fibre optique
3.3.1 les avantages
3.3.2 Inconvénients
3.4 Problèmes de la transmission par fibres optiques
3.4.1 Dispersion du signal dans la fibre
3.4.1.1 Dispersion intermodale
3.4.1.2 Dispersion chromatique
3.4.2. Atténuation du signal dans une fibre optique
3.4.2.1 atténuation intrinsèque
3.4.2.2 Diffusion
3.4.2.3 Absorption
3.5 Liaison par fibres optiques
3.5.1 Épissure par fusion
3.5.2 Épissure mécanique
3.5.3 Emetteurs optiques
3.5.4 Les lasers
3.5.5 Les modulateurs
3.5.6 Récepteurs optiques
3.5.7 Les Câbles à fibres optiques
3.6 Multiplexage optique
3.6.1 Multiplexage temporel TDM
3.6.2 Multiplexage en longueur d’onde
3.7 Conclusion
CHAPITRE IV : Déployement du réseau hybride dans le quartier
4.1 Caractéristiques des câbles
4.2 Les boitiers RPC/ PC
4.3 Conduites souterrains
4.3.1 Canalisation
4.3.2 Fourreaux en PVC
4.4 Quartier cible
4.4.1 Plan du quartier
4.4.2 Existants
4.4.3 Recensement des besoins
4.4.4 Déploiement du réseau dans la localité L1
4.4.4.1 déploiements externes
a. Extensions du câble
b.creuser la terre
c. Poses du câble
d. Mise en place d’une chambre numérotée 2
e. Installations de poteaux
f. Installation en façade d’une entrée de poste
g. Plan du génie civil pour la localité 1
4.4.5 Déploiement du réseau dans la localité 2
4.4.5.1 déploiements externes
a. Extension du câble 56 paires
b. creuser la terre
c. Poses du câble
d. Mise en place d’une chambre L4T numéro 3
e. Installations de poteaux
f. Installation en façade d’une entrée de poste
g. Plan de câblage de la localité 2
h. Plan du génie civil pour la localité 2
4.4.5.2 Déploiement interne du réseau dans la localité 1et localité 2
a. Utilisation de câble sous-thermo
b. Installations d’une prise
4.4.6 Déploiement du réseau optique
4.4.6.1 infrastructures externes
a. Passage du câble optique
b. Creusage
c. Installation d’une chambre numéro 4
d. Installation d’un sous-répartiteur numéro
e. Installation de deux poteaux
f. Mise en place d’un point de mutualisation externe
g. Mise en place d’une boite de pied d’immeuble
h. Installation d’une boite à épissure sur le poteau
i. Installation d’un boitier de raccordement sur chaque façade du cyber et de la maison M7
4.4.6.2 infrastructures internes
a. Point d’introduction optique
b. Câble d’immeuble CIM
c. Raccordement vertical
d. Installation de boitier d’étage
4.4.6.3 câblages internes du logement
a. Installation d’une gaine technique du logement (GTL)
b. Câblage résidentiel
c. Principe de câblage d’un logement
d. Réseau domestique en étoile
4.5 Conclusion
Chapitre V : SIMULATION SOUS MATLAB DE LA PERFORMANCE DU SIGNAL VEHICULE DANS LE CABLE DE TRANSMISSION
5.1 Présentation de MATLAB
5.2 Présentation du logiciel
5.3 Présentation de l’accueil
5.3.1 Choix de la performance optique
5.3.1.1 pages liaison optique
a. Les paramètres de données à compléter
b. Les paramètres de résultats
c. Traçage de courbe
d. Valeurs typiques
.e Graphe
5.3.2 Choix da la performance filaire
5.3.2.1 pages liaison filaire
a. Les paramètres de données à compléter
b. Les paramètres de résultats
c. Traçage de courbe
d. Valeurs typiques
e. Graphe
5.4 Conclusion
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE
BIBLIOGRAPHIE

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