Présentation
Répartis sur 8 000 m2, les locaux abritent une salle de lecture où les adhérents, – plus de 25 000 en 1998 – peuvent consulter les 650 000 ouvrages du fonds général et des fonds anciens ainsi que 60 000 périodiques. A leur disposition également une bibliothèque de prêt de plus de 180 000 ouvrages (pour l’ensemble des 7 bibliothèques de prêt), une discothèque-vidéothèque de 40 000 disques et cassettes et 2 700 vidéos. Ouverte du mardi au samedi, la bibliothèque conserve 2 000 manuscrits, 291 incunables, 30 000 imprimés avant 1810, 45 000 ouvrages de fonds local, 7 000 titres de périodiques, 40 000 estampes, gravures, cartes et plans, 30 000 cartes postales et 3 000 partitions dont 1 500 avant 181015.
Un service de prêt pour malvoyants et non-voyants a été mis en place.
L’abonnement à la bibliothèque de prêt est gratuit pour les Lillois, Hellemmois et Lommois; les autres services sont payants mais le prix de la cotisation a été fixé assez bas. Dans cette politique de développement de la lecture publique, les enfants ne sont pas oubliés. Toutes ces bibliothèques possèdent un secteur « jeunes ». Pendant la période scolaire, la médiathèque propose à ses jeunes adhérents « l’heure du conte ». Les bibliothèques de quartier mènent une politique de sensibilisation à la lecture dans les écoles maternelles, proposent des goûters lecture.
Depuis 1994, elles organisent pendant les vacances d’été l’opération Jardins de lecture : au bas des immeubles, elles animent des ateliers lecture pour un jeune public.
Comme la bibliothèque centrale, toutes les bibliothèques de quartier mettent à disposition de leurs adhérents les nouveaux supports de la communication. Les différentes bibliothèques se sont spécialisées : le cinéma, la musique et le roman policier à la bibliothèque centrale, le sport et les spectacles pour enfants à la bibliothèque Marx Dormoy (Bois-Blancs), les arts graphiques, le conte et l’éducation à la bibliothèque de Wazemmes, le monde du travail à la bibliothèque de Moulins, les beaux-arts, la science-fiction et la poésie à la bibliothèque de Fives… Les différentes bibliothèques sont ainsi des lieux de rencontre et d’ouverture et présentent régulièrement des expositions en collaboration avec diverses associations.
Cette multiplication de Voffre de lecture publique se traduit incontestablement par une augmentation du lectorat12 Le nombre des emprunteurs de la médiathèque Jean Lévy a ainsi plus que doublé de 1991 à1998.
La bibliothèque Marx Dormoy
La bibliothèque Marx Dormoy du quartier Bois-Blancs est donc la bibliothèque de quartier la plus ancienne et fut inaugurée en 1972. Elle comprend deux secteurs : le secteur adulte contenant plus de 20 000 ouvrages et le secteur enfant de plus de 10 000 ouvrages. Le premier est situé dans un bâtiment de forme circulaire17 sur deux niveaux, surmonté d’un dôme. Au rezde-chaussée sont situés les romans qui entourent la salle. Au milieu se trouvent les romans policiers et de science-fiction ainsi que les livres d’histoire, de géographie, de littérature, les biographies historiques et littéraires et le fonds consacré aux sports. On monte à l’étage par un escalier en colimaçon18 : on y découvre les usuels, les périodiques, le fonds régional et les documentaires de la classe
Dewey 000 à 700, donc en particulier les livres relatifs à l’ésotérisme. Au rez-de-chaussée est située une salle multimédia où le public peut consulter un ensemble de cédéroms très diversifié.
La bibliothèque est partie prenante dans le développement social du quartier en particulier en allant dans des crèches et dans les écoles maternelles avec des malles thématiques sur le conte, la ferme, etc. Elle est aussi active sur le plan culturel et du patrimoine. Une exposition sur les métiers d’autrefois a par exemple été inaugurée début juillet à l’entrée de la bibliothèque, ce qui a permis à des parents d’expliquer à leurs enfants à quoi servaient certains outils anciens.
Un cédérom sur l’histoire du quartier Bois-Blancs est actuellement conçu avec des documents iconographiques du début du siècle, en vue des Journées du
Patrimoine auxquelles participe la bibliothèque.
Le nombre d’ouvrages prêtés par la bibliothèque Marx Dormoy est passé de 97 095 en 1993 à 124 765 en 1998, celui des lecteurs actifs de 3 129 en 1995 à 3 443 en 1998 pour atteindre 3 485 en juillet 1999. Une partie importante des inscrits vient de Lambersart et de Lomme. La progression est particulièrement sensible chez les jeunes. De 1993 à 1999, le nombre de lecteurs de la tranche d’âge 13-17 ans a été multiplié par 2,5 et celui des 18-30 ans par trois19.
LES SCIENCES OCCULTES POUR TOUS ? ESOTERISME, SCIENCE & VULGARISATION
Paradoxe de la vulgarisation : peut-on vulgariser l’ésotérisme ?
H.-M. de Campigny dans l’introduction de son ouvrage intitulé Loccultisme pour tous ou la science des mages dévoilée 30 écrivait en 1938 :
L’occultisme pour tous peut être pris pour un paradoxe, car le propre de la science des mages est de rester secrète; et les fervents de l’ésotérisme répugnent généralement à faire du prosélytisme et à répandre leurs connaissances.
Il en est ainsi depuis la naissance de la science occulte, laquelle fut dans l’antiquité la science tout court. Mais nous pensons qu’aujourd’hui les raisons ne sont plus de laisser dans l’ombre des enseignements qui peuvent apporter à beaucoup un réconfort dans leurs peines, une éclaircie dans leurs ténèbres, une certitude dans leurs doutes.
Dans les époques de foi, quand les masses étaient satisfaites par un exotérisme religieux, lequel somme toute leur donnait le bonheur, avec les moyens de vivre droitement, du berceau à la tombe, et pour certains l’indication du chemin de la sainteté, il n’était nullement nécessaire de divulguer des doctrines qui eussent jeté letrouble dans l’âme des hommes de bonne volonté.
Dans les époques de scepticisme, comme la nôtre, il n’en est plus de même. Et nous croyons, contrairement à ce que pensent certains occultistes éminents, que la divulgation est permise. Les Maîtres de la Sagesse eux-mêmes en ont ainsi décidé, quand à la fin du XIXe siècle, ils ordonnèrent à H.-P. Blavatsky la publication de laDoctrine Secrète.
Cette publication, comme l’a écrit justement un éminent professeur, M. Denis Saurat, mit fin à l’occultisme proprement dit, et il n’y a plus de doctrine secrète que pour ceux qui ne savent pas lire.
Une autre raison nous a incité à écrire L’occultisme pour tous : c’est que sous le nom d’occultisme, on répand dans le grand public, avide de merveilleux, une marchandise singulièrement frelatée, présentée comme véritable ésotérisme par des « professeurs » de douteuses et quelquefois dangereuses doctrines.
Le véritable occultisme n’est pas celui qui s’étale dans la publicité de certains journaux. Le véritable occultisme n’est pas l’art de faire tourner les tables et de confondre le pied d’un guéridon avec l’esprit de Pythagore ou de Jeanne d’Arc. Le véritable occultisme n’a pas peuplé les asiles d’aliénés.
Le débutant qui lira ce petit livre et qui suivra nos conseils pour une étude plus avancée verra, au contraire que l’occultisme véritable reste dans le bon sens, et qu’il complète la science dite profane en éclairant d’un jour nouveau la géologie, l’anthropologie, la paléontologie, l’histoire, la physique, la chimie et même la sociologie. L’occultisme est le complément indispensable de toutes les connaissances, parce qu’il est la Connaissance.
Cette véritable profession de foi d’un vulgarisateur de l’occultisme,également auteur de La magie pour tous, ne fut pas sans nous interpeller.
Peut-on vraiment vulgariser l’occultisme ou l’ésotérisme ?
Pour élucider ce problème, il nous faut évidemment préciser ce que l’on entend par occultisme et par ésotérisme :
Pourquoi vulgariser des savoirs sur l’ésotérisme ?
On peut bien sûr se demander à quel besoin une vulgarisation des savoirs sur l’ésotérisme pourrait répondre.
Il existe déjà beaucoup de livre de vulgarisation dans le domaine de l’ésotérisme, des dictionnaires, des encyclopédies, des revues. Mais d’une part, ils ne sont pas toujours facilement accessibles ou lisibles pour le profane.
D’autre part, une recherche précise dans un ensemble de revues ou de dictionnaires peut s’avérer laborieuse pour un non-initié, même avec des index.
On peut donc envisager d’autres formes de vulgarisation utilisant un logiciel documentaire et permettant de naviguer entre les livres, les auteurs, les personnages, les symboles relatifs à l’ésotérisme.
REECRIRE & TRANSFORMER DES BIBLIOGRAPHIES ANALYTIQUES DE LIVRES ANCIENS D’ESOTERISME POUR VULGARISER LES SAVOIRS ESOTERIQUES
Présentation et analyse
Présentons donc le principal catalogue et les deux plus courantes bibliographies d’ésotérisme. Il s’agit de 50 :
-Bibliotheca Esoterica.
Catalogue annoté et illustré de 6707 ouvrages anciens et modernes qui traitent des sciences occultes comme aussi des sociétés secrètes.Paris : Dorbon Aîné, 1939. Réédité par Coulet et Faure, Paris, 1988. 658 p.
-Caillet, Albert. Manuel bibliographique des sciences psychiques et occultes. Paris : Dorbon, 1912. 3 tomes. A-D : LXVII-531 p., E-L : 533 p., M-Z : 767 Réédité par De Graaf, Pays-Bas, 1989.
-Fesch, Paul. Bibliographie de la franc-maçonnerie et des sociétés secrètes. Bruxelles : Georges A. Deny, 1976. 730 p. – 1459 col.
Face à ces documents, nous pouvons nous poser plusieurs questions : Par qui et pourquoi ont-ils été écrits ou publiés ? La liste d’ouvrages retenus dans chaque document est-elle exhaustive ou au contraire sélective sur le domaine annoncé ?
Quelles influences les idées de l’auteur ont-elles pu avoir sur le contenu desanalyses bibliographiques ?
•Le catalogue Bibliotheca Esoterica est couramment appelé le Dorbon du nom de son éditeur qui était spécialisé en ésotérisme. L’entrée se fait par auteur de A à Z jusqu’au n° 5336 puis s’ajoute un supplément de A à Z des numéros 5637 à6707, cequi est, avouons-le, guère pratique puisque, lorsqu’on cherche un auteur ou un titre, il faut procéder à une vérification à deux endroits dans le catalogue. Il n’y a aucun index. Les ouvrages publiés sous un pseudonyme sont répertoriés au pseudonyme même lorsque le nom de l’auteur est connu.
Il s’agit en fait d’un catalogue commercial qui était destiné à la vente des ouvrages disponibles chez l’éditeur-libraire Dorbon-Aîné. Un certain nombre denotices sontdépourvues d’analyse ou de commentaire. D’autres font référence àla table des matières de l’ouvrage ou à certains titres de chapitres. D’autres encore contiennent des commentaires ou des jugements de valeur soit sur le contenu de l’ouvrage (illustrations, idées de l’auteur, etc.), soit sur l’aspectbibliophilique de l’exemplaire en vente (reliure, état, envoi de l’auteur, exlibris, etc.). D’autres enfinne font que citer un passage de l’ouvrage ou lecommentaire d’un occultiste connu(Eliphas Lévi, Stanislas de Guaïta, etc).
D’autres encore sont un mélange des types précédents : titres de chapitres,commentaire, jugement de valeur, citation. Cela rend l’ensemble du catalogue peu homogène puisque la notice va du minimum de la collation seule à la noticede plus d’une colonne (par exemple, Dorbon 1327 ou Dorbon 4496).
Lecatalogue mentionne certains manuscrits, en particulier de Dorbon 2889 à Dorbon 2928. Il contient des illustrations extraites des ouvrages en vente : soit des figures dans le texte, soit des planches hors-texte (p. 28, 49, 65, 71, 113, 129, 145, 161, 177, 193, 225, 229, 238, 241, 243, 246, 273, 289, 353, 369, 397, 417, 443, 482).
La bibliographie Caillet est couramment appelée « la Caillet »
Son auteur, Albert Louis Caillet, est un ingénieur civil né à Paris en 1869 qui a, semble-t-il, peu écrit dans le domaine de l’ésotérisme.On lui doit :
Traitement mental et culture spirituelle. La santé et l’harmonie dans la viehumaine. Paris :Vigot Frères, 1912, in-8° de XIII-399 p. (Caillet 1924); (L’ouvrage aborde les techniques orientales de traitement mental telles que le yoga ainsi que le mesmérisme, l’hypnotisme, la suggestion mentale) Aperçu général sur le traitement mental. Paris : Hector et Henri Durville, s.d.[1912], in-8° de 25 p. (Il s’agit du texte d’une conférence faite à la SociétéMagnétique de France le 20 juin 1911)
L’auteur semble, de par les commentaires présents dans certaines notices et de par la classification décrite en tête de bibliographie, avoir un intérêt marqué pour l’orientalisme (hindouisme, yoga, théosophie, etc) et le magnétisme.
L’entrée se fait par auteur de A à Z du numéro 1 à 11609 et à nouveau deA à Z dans un petit supplément du numéro 11610 à 11648. Il n’y a pas d’index proprement dit mais l’auteur a conçu un système de classement par matières qu’il expose après la préface (p. V à LXVII). Il donne la liste des auteurs ayant écrit des ouvrages relatifs à la matière considérée en mettant en capitales les auteurs les plus importants. La classification est divisée en trois parties : ordre divin, ordre naturel et ordre humain.
La bibliographie répertorie 11 648 titres dont certains en langue étrangère (allemand, anglais, latin). L’auteur donne une petite notice biographique pour les auteurs les plus importants. Pour un ouvrage donné, l’auteur a le plus souvent recensé les différentes éditions. Labibliographie répertorie desouvrages de la fin du XVe siècle (quelques incunables) jusqu’à 1910 environ.
Certaines notices sont dépourvues d’analyse ou de commentaire. Le plus souvent, la notice décrit la table des matières de l’ouvrage. D’autres notices contiennent des résumés, des commentaires ou des jugements de valeur sur le contenu de l’ouvrage (illustrations, idées de l’auteur, citations d’autres auteurs, etc.). La bibliographie ne contient aucune illustration.
La bibliographie Fesch consacrée à la franc-maçonnerie et aux sociétés secrètes est le fruit des recherches menées par l’abbé Paul Fesch au cours des dix dernières années de sa vie. L’éditeur de la bibliographie, G. Deny, nous signale que Paul Fesch, mort le 11 mai 1910, est l’auteur de diverses oeuvres de recherche sociales, politiques et antimaçonniques. La bibliographie commença à paraître en fascicules en 1912 et 1913 mais sa publication fut interrompue par la mort de l’éditeur et par la guerre. Il fallut attendre 1976 pour que les épreuves complètes de la bibliographie soient éditées complètement par G. Deny à Bruxelles. L’entrée se fait par auteur. La bibliographie ne contient pas de numéros mais repère un auteur et ses ouvrages ou une publication (revue, bulletin, etc.) par le numéro de colonne où ils se trouvent. Les notices donnent en général le contenu de la table des matières et contiennent très peu de commentaires. La bibliographie ne contient pas d’illustration.
Constatons que les trois ouvrages, le Dorbon, la Caillet et la Fesch ont descaractéristiques assez différentes :
-aspect commercial du Dorbon édité par un libraire (illustrations, commentaires bibliophiliques, peu d’ouvrages antérieurs à 1700 mais ouvrages allant jusqu’à 1938, etc);
-aspect érudit et assez exhaustif de la Caillet (ouvrages antérieurs à 1500 et jusqu’à 1910, traitement des pseudonymes, renvois internes sur un sujet ou un auteur, système de classification par matières et listes d’auteurs, etc.);
-aspect très exhaustif de la bibliographie Fesch en ce qui concerne aussi bien les ouvrages d’auteurs maçonniques qu’antimaçonniques (très peu de commentaires subjectifs, ouvrages jusqu’à 1910). Ces ouvrages ont néanmoins des points communs, en particulier le fait de répertorier des ouvrages identiques. Certains titres se trouvent soit dans Dorbon et Caillet, ou Caillet et Fesch, voire pour certains dans Dorbon, Caillet et Fesch, ce qui permet un travail intéressant d’études comparatives de la collation, de l’analyse de contenu, du commentaire. Les bibliographies et le Dorbon permettent également de compléter la bibliographie d’un auteur car ils secomplètent l’un l’autre.
Si ces trois ouvrages sont consultables sur place à la Bibliothèque centrale de Lille par tout lecteur inscrit, il paraît assez clair que seuls des initiés peuventrechercher à les consulter.
Notons que, dans le catalogue informatisé de la Bibliothèque Municipale deLille, seul le Dorbon est accessible par sujet : Occultisme, bibliographie et Sociétés secrètes, bibliographie. La Caillet et la Fesch, soit les deuxbibliographies les plus exhaustives sur leur sujet, ne comportent pas de vedettematière sous Rameau alors qu’elles relèvent également des mêmes sujets que ceux du Dorbon. Le grand public est donc a priori peu à même de savoir que ces bibliographies existent puisqu’elles restent en magasin. Notons que ces ouvrages ne sont pas épuisés mais sont relativement chers.
Même les lecteurs qui pourraient les consulter pourraient éprouver des difficultés à faire des recherches approfondies du fait que les entrées se font principalement par auteur – sauf dans une certaine mesure dans la Caillet – et qu’une étude comparative entre les trois ouvrages nécessitent la manipulation de cinq volumes assez gros. Il semble donc intéressant à la fois pour permettre un accès
plus facile et des recherches plus efficaces et plus rapides de créer un système de bases de données à partir de ces ouvrages.
Module Gestion de thésaurus
Le module Gestion de thésaurus permet de créer la structure arborescente du thésaurus, de la modifier, d’y circuler en cliquant sur le terme retenu.
Quatre types de relations sont gérés : hiérarchie (10 niveaux), synonymie, association et note d’application. L’organisation multi-fenêtrée de l’interface permet de visualiser simultanément la liste alphabétique des termes ou la liste permutée (fenêtre du haut); la hiérarchie dans laquelle s’insère le terme choisi (fenêtre de gauche) et l’environnement sémantique du terme (fenêtre de droite).
Toute action dans l’une des fenêtres actualise automatiquement les contenus des autres fenêtres. Un simple clic suffit pour déployer ou réduire un noeud dans l’arborescence.
L’ajout/ modification / suppression de termes dans les hiérarchies sont soumis à des contrôles de cohérence afin de préserver l’intégrité du thésaurus. Le clic droit sur un terme donne accès à toutes les fonctions disponibles pour ce terme (copier-coller, création de termes spécifiques, établissement de relations, etc.).
Lorsqu’on utilise le thésaurus en indexant une notice, il est possible de visualiser l’environnement sémantique d’un terme. On peut relier jusqu’à quatre thésaurus par base. En saisie, il existe un contrôle total qui empêche la saisie d’un mot-clé hors thésaurus.
Le fait de choisir dans la liste alphabétique un terme non-descripteur conduit automatiquement à l’environnement du terme descripteur correct.
Il est possible après avoir retenu un terme descripteur, de faire porter la recherche de manière automatique sur tout ou partie des termes spécifiques de sa branche (autopostage).
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Table des matières
INTRODUCTION
I – LA BIBLIOTHEQUE DE LILLE & L’ORIGINE DU SUJET DE STAGE
1) La Bibliothèque Municipale de Lille
2) La Bibliothèque Marx Dormoy
3) Origine du sujet de stage
II- LES SCIENCES OCCULTES POUR TOUS ? ESOTERISME, SCIENCE & VULGARISATION
1) Paradoxe de la vulgarisation : peut-on vulgariser l’ésotérisme ?
2) Pourquoi vulgariser des savoirs sur l’ésotérisme ?
3) Où l’on découvre que l’ésotérisme n’est pas absent de la vulgarisation scientifique
III – REECRIRE & TRANSFORMER DES BIBLIOGRAPHIES ANALYTIQUES DE LIVRES ANCIENS D’ESOTERISME POUR VULGARISER LES SAVOIRS ESOTERIQUES
1) Présentation et analyse
2) Méthodologie
a) Critères de sélection des ouvrages et auteurs retenus dans le système
de bases de données
b) Choix et caractéristiques du logiciel documentaire Superdoc
c) Système de bases de données relationnelles
d) Module Gestion de thésaurus
3) Transformation et réécriture
a) Thésaurus Lingua Esoterica informatisé
b) Résumé
c)Indexation
d) Coupes et ajouts
e) Discours
f) Vulgarisation et accès à l’information
IV APPLICATIONS, MODES D’INTERROGATION & SITUATIONS DE RECHERCHE
1) Création des notices. Navigations intra et inter-bases
2) Modes d’interrogation
3) Exemples de situations de recherche et d’équations booléennes
V – AMELIORATIONS & EVOLUTION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES