Paludisme et impact socioéconomique

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Economie, Emploi et niveau de pauvreté

La lutte contre la pauvreté

La lutte contre la pauvreté reste jusqu’à maintenant la priorité de la Commune de Tamatave Suburbaine. Etant donné que 80% de la population malgache vivent dans le monde rural, l’atteinte du Développement rapide devra tenir compte des réalités en milieu rural et par conséquent, les responsables locaux prendront part au processus de ce développement rural.
Ces derniers temps, le PSDR (Projet de Soutien au Développement Rural) a tracé les grandes lignes du développement économique de Madagascar où toutes les couches sociales ont été conviées à prendre part à leur élaboration. Ensuite, des unités ont été mises en place dans la province à savoir l’UPEP, le PADR (Plan d’Action po ur le Développement rural), et le PPRR (Programme de Promotion des Revenus Ruraux).
La structure GTDR (Groupement de Travail pour le Développement Rural) est chargée de la programmation du développement régional. Cette structure a pour vocation d’aider le monde rural à sortir de la pauvreté.

L’agriculture

La riziculture occupe une place très importante dans la Commune de Toamasina suburbaine car c’est la principale source de revenus de la Commune. Elle occupe non seulement la grande majorité du temps des paysans mais surtout les meilleures terres. La production rizicole est destinée à la fois à la consommation et à la vente. Souvent, dans les villages, les paysans ne savent pas la mesure exacte de la superficie cultivée et s’ils le connaissent, c’est par le système de l’arpentage ou la mesure locale (nombre de pas). De même, pour les quantités de récolte en riz, les paysans n’utilisent pas l’unité de mesure universelle mais le « daba » (bidon) ou le « kapoaka » (gobelet).
Les cultures de manioc, la patate, la culture de rente (canne à sucre, café, litchis,…) prennent respectivement la seconde, la troisième et la quatrième place mais sont toutes pourtant importantes dans le domaine agricole.
Le prix actuel de daba de paddy est de 3.600 Ariary à 4.000 Ariary en période de récolte (Mai – Juin) et 5.000 Ariary pendant la période de soudure (Septembre-Octobre-Novembre et Février-Mars-Avril). Comme moyens de production, l’utilisation de matériels rudimentaires et rustiques comme les bêches, les couteaux à manche longue et les bœufs sans attelage, s’avère encore très pratique. Généralement, toutes les cultures sont faites d’une manière extensive, sans engrais ni produits phytosanitaires. Le mode d’exploitation est encore traditionnel et cette situation explique cette diminution de rendement des produits agricoles.

La production moyenne annuelle de la Commune est la suivante :
Manioc 20 tonnes par hectare par an
Canne à sucre 15 tonnes par hectare par an
Banane 45 tonnes par hectare par an
Letchis 75 tonnes par hectare par an

Technique culturale

Le calendrier cultural de la Commune Toamasina suburbaine se présente comme suit :
Août et Septembre : cultures à contre saison
Octobre – Décembre : cultures saisonnières.
La population utilise une technique culturale héritée de la technique traditionnelle. La culture sur brûlis est très pratiquée car la région souffre du manque de bas-fond. La culture sur brûlis est appelée traditionnellement « tavy ». Les cendres déposées sur la surface brûlée jouent le rôle d’engrais. Cette pratique de tavy provoque une dégradation très remarquable de la biodiversité. D’ailleurs, le terrain précédemment cultivé n’est plus cultivable l’année en cours donc il faut se déplacer pour trouver un autre terrain, souvent laissé au repos pendant au moins deux ans. Ce déplacement cultural est alors à l’origine de la dévastation forestière causée par la pratique du tavy.
La culture irriguée ou inondée est appelée localement « hôraka ». Ce type de culture souffre du problème de non maîtrise de l’eau soit pendant les mois de Février, Mars (période cyclonique ou d’abondance de pluie) soit pendant la sécheresse. Il est aussi à noter que le débit des cours d’eau ne cesse de diminuer d’année en année. Le rendement par ménage est très faible de l’ordre de 1,3 tonne par ménage par an.
Depuis 1998, le prix des produits de rente ne cesse de baisser et cette forte fluctuation se répercute sur le revenu annuel de la population qui se situe actuellement à un niveau très faible. L’absence de collecteurs amène parfois les gens à s e déplacer à pied à plus de 10 Km pour vendre leurs produits. Ce qui démotive certains paysans à produire de surplus agricole.

L’élevage

L’élevage avait connu une certaine baisse après le passage du cyclone en 1996. Par ailleurs, les paysans pratiquent l’élevage extensif et quelques embouches bovines. La population se livre à un élevage contemplatif, surtout pour le cheptel bovin ;le bœuf est inséparable à la société Betsimisaraka lors des cérémonies coutumières et parfois au piétinement des rizières. Le nombre de cheptel élevé est de 719 pour le cheptelbovin, 266 porcins et 2.212 pour les volailles. Dans le monde rural en général, ce secteur d’activités connaît plus de problèmes que de succès. La rentabilité n’est pas non plus prometteuse au niveau de la Commune. Les problèmes soulevés sont multiples, à savoir :
– les techniques d’élevage sont rudimentaires.
– le manque de pharmacie vétérinaire dans les Fokontany.
– les prix de médicament sont inaccessibles à tous
– la présence des maladies épidémiques non contrôlables : parasite et peste porcins ; peste et choléra aviaires ; poux, douve de foie et charbon pour le cheptel bovin.
– le problème de gardiennage du fait de vol : les voleurs sont des hommes ou prédateurs sauvages.

L’artisanat

Dans la Commune de Toamasina suburbaine, l’artisanat incombe souvent aux femmes. Les hommes sont moins habiles en la matière et se réservent plutôt des tâches dures telle que la construction et la recherche des matières nécessaires dans la forêt au risque de s’exposer aux dangers de la nature qui ne cessent de réserver des surprises. Si quelqu’un se livre à la forgerie, c’est souvent par dons naturels qui se transfèrent de génération en génération. Mais, pour les hommes comme pour les femmes, l’artisanat n’a pas été toujours une source de revenu sure
.C’est une filière qui se limite souvent à l’usage quotidien du ménage faute de débouché et d’encadrement.

Le transport et la communication

La communication interne est assurée par les quartiers mobiles. Ce sont des personnes recrutées par la Commune pour servir de guides aux hôtes et assurer la distribution des correspondances émanant de la Commune ou de l’Etat. Les médias sont constitués par les TV et radio (nationale et locales). Mais à plus de 30 Km de Toamasina, les radios FM (Fréquence moyenne) ne sont plus audibles. Les téléphones ne marchent que dans les parties urbaines de la Commune.

Les routes sont très difficiles sauf pour les passages sur les portions de la RN5 au sud et de la RN2 au nord. Quatre Fokontany seulement bénéficient de ce privilège dont Ambodisaina, Tanandava, Antsiramandroso et Ranomena. Ce qui rend souvent difficile l’évacuation des produits locaux vers la ville de Toamasina. Le transport des marchandises à dos d’homme reste la forme de transport des marchandises très pratiquée dans la Commune de Toamasina suburbaine du fait du mauvais état de la route, presque impraticable tout au long de l’année mais également du tarif qui est relativement faible : Ar100 à Ar 120 le kilo. Le transport fluvial est quelque peu utilisé pour le transport inter- Fokontany entre Ampangarinantelo et Antsiramandroso. La route et les moyens de communication sont des handicaps majeurs qui alourdissent le développement de la Commune de Toamasina suburbaine.

PCD et budget communal

La décentralisation effective s’inscrit dans la constitution de 1992. L’article 2 de cette loi constitutive garantit l’autonomie des collectivités territoriales décentralisées. Ces collectivités territoriales décentralisées concourent avec l’Etatcentral au développement de la communauté nationale. De plus, la constitution du 18 avril 1998 réaffirme le principe de « l’application du système d’autonomie pour assurer l’efficacité de ladécentralisation ».

Chaque Commune détient le pouvoir de décision et ed prise en charge de son avenir et de son développement. D’ailleurs, la possession d’un plan de développement est obligatoire pour une Commune car il est stipulé dans la loi, et la mise en œuvre du plan est imposée par ladite loi.
L’article 6 de la loi 95.005 du 25 juin 1995 stipule que « chaque collectivité doit disposer d’un programme d’investissement public triennal ou quinquennal ».
Dans la lutte contre la pauvreté stipulée dans le DSRP et appuyé par les bailleurs de fonds, toute approche du projet ou toute intervention des organismes de développement va à l’intention du monde rural. En vue de maintenir une répartition équitable des ressources et des financements entre les Provinces et les Communes, ces dernières doivent établir un plan communal où tous les acteurs locaux doivent participer à son élaboration afin d’harmoniser et de concerter les efforts pour un développement économique durable.

L’objectif principal de l’élaboration du PCD est de répondre aux aspirations de la population et d’ouvrir la Commune à tous les interv enants capables de prendre part au développement de la Commune. Lors des différentes tapesé de l’élaboration du PCD, la population doit participer activement à la détermination des problèmes, et à la proposition de solution. La Commune a deux sources budgétaires différentes :

– d’abord de l’Etat, qui participe au budget de la Commune à titre de : fonctionnement courant, de subvention et dons, de contribution en dotation d’immeuble ou infrastructures de base, fourniture de matériels divers.

– ensuite, la Commune elle-même à titre d’autofinancement. Certains Fokontany montent des projets et se livrent parfois à des activités à but lucratif pour renflouer leurs caisses à l’exemple de la vente aux enchères des produits locaux et de la vente exposition des produits artisanaux. Le « Dina », une autre forme de recette pour la Commune est une sorte d’amende populaire érigée de manière à baliser les mauvais gissementsa qui pourraient nuire à la sécurité civile de la communauté.

Projet de développement et d’investissement communal

L’ERP (Evaluation Rurale Participative) a permis d’ énumérer les différents problèmes et obstacles au développement d’une Commune. Après avoir établi la liste et la classification par secteur des priorités communales, on procède à l’élimination par pair pour permettre l’établissement d’un tableau récapitulatif de faisabilité des projets de développement de la Commune de Toamasina suburbaine. Cinq critères sont retenus dont la durabilité du projet, l’équité, la productivité, la stabilité et enfin coût le du projet.

Enseignement, niveau d’instruction

La Commune de Toamasina suburbaine possède 13 écoles primaires publiques, avec 27 enseignants. En moyenne, le taux de réussite du passage en classe supérieure des établissements primaires est de 70% de l’effectif total. Le nombre d’enfants scolarisables est de 3.177 dont 2.109 enfants scolarisés. Généralement, les enfants fréquentent l’école à l’âge de 7 ans pour la quitter à 10 ans. Beaucoup des raisons ont été évoquées pour justifier cet abandon prématuré à savoir l’éloignement entre les villages et l’école (conditions difficiles de traversée de rivière pendant la période de pluie), l’insuffisance des moyens matériels des parents ainsi que les maladies comme le paludisme, l’IRA et la diarrhée.

Santé

Pathologies dominantes

La prévalence de la fièvre et des IRA est particulièrement élevée dans les provinces de Toamasina. Selon les données SIGS DPS PF 2004, la prévalence de paludisme est de 26,3%.

Infrastructures sanitaires

Le seul CSB desservant toute la Commune est situé à Ranomena II . Il est construit le 11 Octobre 1994 et est ouvert au mois d’Avril 1995 par le financement du FNUAP en collaboration avec BRAGS. Tout le monde ne peut accéder qu’occasionnellement à un soin de santé publique à cause de l’éloignement de l’hôpital (plus de 5 Km de chez eux). A cause de l’éloignement de ce CSB1, beaucoup de patients préfèrent se rendre directement au CSB d’Ankirihiry pour se soigner. Soit, Ils sont contraints de pratiquer l’automédication ou la médecine traditionnelle en buvant une infusion ou décoction de tisanes et lianes. Les données statistiques du bureau technique sanitaire de Toamasina II nous montrent les situations suivantes concernant le CSB1 de Ranomena II :

– Nombre de consultation mensuel : 161
– Nombre d’évacuation par an (moyenne) : 07
– Nombre de dépositaire de médicament : 0
– Nombre de pharmacie communautaire : 01
– Taux de fréquentation annuelle de service de base: 32,69%
– Taux de convertie des accouchements : 0,37 %
– Taux de vaccination
o Polio : 49,7%
o BCG (Bacille de Calmette et Guérin): 56,1% o DTC Hep B : 30,2%
o ATR (Anti-rougeoleux) : 54,9%
L’effectif du personnel sanitaire fait état de 1 infirmier diplômé d’Etat, 1 dispensatrice et 1 gardien. L’infirmier est payé par l’Etat tandis que la dispensatrice et le gardien sont à la charge de la Commune. La Commune de Toamasina suburbaine n’a pas de dentisterie. Par conséquent, les malades dentaires et buccales sont obligés d’aller à Toamasina I pour se faire soigner.

PALUDISME ET IMPACT SOCIOECONOMIQUE

QU’EST CE QUE LE PALUDISME ?

Le paludisme est la maladie qui touche le plus de monde dans les pays en développement.
C’est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques et sa transmission se fait d’une personne à l’autre par l es piqûres d’un moustique dénommé anophèle femelle qui a besoin de sang pour nourrir ses œufs.
Du mot ancien palud, dérivé du latin palus qui veut dire « marais », le paludisme est appelé autrefois « fièvre des rivières » parce qu’on pensait que l’origine de la maladie provenait des zones chaudes et marécageuses. Une autre appellation est donnée au paludisme « malaria » qui veut dire mauvais air. (1)
Le paludisme est une maladie liée à l’eau et présente un « polymorphisme » épidémiologique en relation avec l’environnement et ses modifications.
En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause de la maladie, un parasite unicellulaire appelé Plasmodium.
Etymologiquement, l’anophèle vient du grec « anôphètes » qui signifie « nuisible ».
L’existence du paludisme nécessite la présence des3 éléments :
– la présence du parasite : Plasmodium
– la présence des vecteurs : les anophèles
– l’existence d’une population humaine réceptive
Le parasite du paludisme pénètre dans l’organisme de l’hôte humain lorsqu’un moustique anophèle contaminé fait un repas de sang.
Il existe quatre types de paludisme humain :
– plasmodium falciparum
– Plasmodium vivax
– Plasmodium ovale
– Plasmodium malariae
L’infection à falciparum est la plus sévère et peut entraîner la mort subite du patient. Le paludisme à Plasmodium falciparum est très répandu en Afrique subsaharienne où le taux de mortalité extrêmement élevé lui est en grande partie imputable.

Mortalité et morbidité dues au paludisme

Le paludisme reste aujourd’hui un fléau mondial, qui tue chaque année 1,5 à 2,7 millions de personnes à travers le monde dont un million d’enfants de moins de 5 ans.
Quatre vingt dix pour cent des décès dus au paludisme surviennent en Afrique, au sud du Sahara et principalement chez les jeunes enfants. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes.
Les enfants qui survivent après un accès de paludisme grave peuvent présenter des troubles de l’apprentissage ou une atteinte cérébrale.
La femme enceinte et son futur enfant sont aussi vulnérables face au paludisme qui en est la cause majeure de mortalité périnatale, du faible poids à la naissance et de l’anémie maternelle.
L’incidence du paludisme dans le monde est présentée dans la figure ci-dessous

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIER PARTIE : MATERIELS ET METHODES
Chapitre 1 : Contexte de recherche
1.1 – Situation géographique et socioéconomique de Madagascar
1.1.1 – La situation géographique
1.1.2 – La situation démographique
1.1.3 – Economie et niveau de pauvreté
1.1.4 – Emploi et chômage
1.1.5 – Enseignement, niveau d’instruction de la population
1.1.6 – Médias et moyens de communication
1.1.7 – Santé de la population
1.2 – Contexte géographique et socioéconomique de la Commune de Toamasina suburbaine
1.2.1 – La situation géographique
1.2.2 – Situation démographique
1.2.3 – Economie, Emploi et niveau de pauvreté
1.2.4 – Enseignement, niveau d’instruction
1.2.5 – Santé
Chapitre 2 : Paludisme et impact socioéconomique
2.1 – Qu’est ce que le paludisme ?
2.1.1 – Mortalité et morbidité dues au paludisme
2.1.2 – Répartition géographique du paludisme
2.2 – Poids socio économique du paludisme
2.2.1 – Paludisme et pauvreté
2.2.2 – Impact sur le capital humain
2.2.3 – Impact sur le développement économique d’un pays
2.3 – La lutte antipaludique
2.3.1 – La période empirique
2.3.2 – La période naturaliste
2.3.3 – La période chimique et la période actuelle
2.3.4 – La lutte antipaludique dans le monde et les initiatives mondiales ou régionales en matière de prévention de paludisme.
2.3.5 – Initiative nationale en matière de lutte contre le paludisme (9)
2.3.6 – Initiatives locales en matières de lutte contre le paludisme
2.3.7 – Politique nationale en matière de lutte contre le paludisme
2.4 – Intérêt de la recherche
2.4.1 – Définitions de ménage
2.4.2 – Composition des ménages
2.4.3 – Cadre juridique de la protection de la santé publique
2.4.4 – La place des MII dans la lutte contre le paludisme
Chapitre 3 : La méthodologie de recherche
3.1 – Compréhension de la situation existante
3.2 – La zone d’étude
3.3 – La population d’étude
3.3.1 – Critères d’inclusion
3.3.2 – Critères d’exclusion
3.4 – Le type de l’étude
3.5 – La méthode de l’échantillonnage
Chapitre 4 : Les matériels de recherche
4.1 – Les instruments de recueils de données
4.1.1 – Les rapports mensuels d’activités (RMA) du CSB
4.1.2 – Les recherches documentaires ou « desk research »
4.1.3 – Le formulaire d’enquête ou questionnaire
4.1.4 – Aspects éthiques
4.2 – La réalisation de l’étude
4.3 – La budgétisation de l’étude
4.4 – Le traitement des données
DEUXIEME PARTIE : RESULTATS SOCIOECONOMIQUES
Chapitre 5 : Présentation des résultats de l’étude
5.1 – Population étudiée
5.1.1 – Caractéristiques des femmes enceintes
5.1.2 – Caractéristiques des enfants de moins de 5 ans
5.1.3 – Caractéristiques des sujets enquêtés autres que les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans
5.1.4 – Situation socioéconomique des ménages
5.2 – Identification des connaissances, attitudes et pratiques des enquêtés vis-à-vis des moustiquaires.
5.2.1 – Connaissances
5.2.2 – Attitudes et pratiques
5.2.3 – Impact de l’utilisation des MII sur le cas présumé de paludisme
5.2.4 – Paludisme et impact économique
Chapitre 6 : Analyse des résultats
6.1 – Analyse des résultats
6.1.1 – Etude statistique : croisement des variables
6.1.2 – Sexe et utilisation des MII
6.1.3 – Possession et compréhension des avantages des MII
6.1.4 – Possession des MII et leur utilisation
6.1.5 – Possession des MII et raisons de non utilisation
6.1.6 – Utilisation des MII et habitude d’y dormir
6.1.7 – Durée d’acquisition et habitude de dormir sous MII
6.1.8 – Cas présumés de paludisme et utilisation des MII
6.1.9 – Utilisation des MII et absentéisme
6.2 – Analyse des coûts.
6.2.1 – Coût direct : Impact de l’utilisation des MII sur le coût du traitement
6.2.2 – Coût indirect : impact de l’utilisation des moustiquaires sur la productivité
Chapitre 7 : Evaluation économique
7.1 – types d’analyse économique
7.1.1 – Définition des coûts
7.1.2 – Coûts directs et indirects dus au paludisme
7.1.3 – Composantes des coûts
7.2 – Identification des circuits d’approvisionnement des MII
7.2.1 – Circuit de distribution commerciale (Marketing social)
7.2.2 – Circuit de distribution des Associations/ONG
7.2.3 – Circuit de distribution gratuite
7.3 – Identification des postes de consommation des ressources
7.4 – Mesures et évaluation des conséquences des différentes options
7.5 – Calcul des coûts directs et indirects des deux options
7.5.1 – Charges directes
7.5.2 – Charges indirectes
7.6 – Tableau recapitulatif des conséquences des deux options
7.6.1 – Analyse « coût/efficacité »
7.6.2 – Analyse « coût/bénéfice »
7.6.3 – Incidence de crise de paludisme sur la gestion mensuelle du portefeuille d’un ménage
Chapitre 8 : Implication managériale
8.1 – Impacts sociaux sur les ménages :
8.1.1 – Amélioration de la gestion des risques associés à l’utilisation des médicaments :
les effets secondaires et l’automédication
8.1.2 – Le raffermissement du tissu social
8.1.3 – La planification de leur vie par la diminution des interventions de gestion de détresses
8.1.4 – L’amélioration des comportements de la population, résultat de la diminution de malaise et tension internes
8.2 – Impacts économiques sur les ménages
DISCUSSIONS DES RESULTATS OBTENUS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES
BIBLIOGRAPHIE
INDEX
TABLE DES ILLUSTRATIONS
TABLE DES MATIERES
ANNEXE

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