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LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT VOLONTARISTE
En ce qui concerne les stratégies de développement volontariste, ils ont accès à la croissance des variables macro économique qui dépend de l’élévation de la valeur ajoutée et au dirigisme de l’économie. Ce sont surtout les pays anciennement colonisés qui ont opté pour cette stratégie. Les politiques volontaristes sont pour une économie administrée.
En effet, l’Etat joue des rôles importants dans différents secteur de l’économie : l’Etat intervient sur le marché en étant un régulateur, il assure le respect des règles du marché. L’Etat produit également des biens collectifs ne se trouvant pas sur le marché. Il joue le rôle de tuteur surtout dans le domaine de l’éducation et de la santé. Selon les structuralistes, pour favoriser le développement, l’Etat doit prendre en charge les infrastructures non rentable, fixe les priorités, gère les relation extérieur et les rythmes de la croissance démographique. L’Etat intervient également dans l’allocation intersectorielle par la politique de crédit, l’allocation inter temporelle par le choix du taux d’actualisation, l’allocation inter spatiale ou l’allocation inter groupe. L’Etat tient aussi le rôle de protecteur par l’application de la politique de protectionniste et assure la souveraineté nationale.
Mais pour bien contrôler le développement, l’Etat avoir des instruments qui lui permettent de bien gérer l’économie. Ces instruments sont : les prix administrés dont les objectifs sont l’efficacité et l’équité, puis l’inter dépendance ou accumulation, le contrôle du budget et des investissements publics, le contrôle des relations extérieurs par les instruments de protectionnisme et des réformes sectoriels Les stratégies volontariste centralisée diffèrent selon les régimes d’accumulation et les mode de développement. Ils planifient le développement. La planification du développement suppose la prise en compte de l’univers économique des sociétés surtout du tiers monde. Elle est expliqué par 3 modèles : le modèle Mahalanobis (1961), le modèle Feldman (1962) et le modèle de Sen. Cependant, la planification connaît des limites. On constate une insuffisante prise en compte des logiques des acteurs et des groupes d’appartenance.
LA CONCEPTION LIBERALE :
En ce qui concerne la conception libérale, les libéraux pensent que le moteur du développement se trouve dans la force du marché et dans l’intégration au marché mondial. Mais l’existence des » faux prix » crée des distorsions entre l’offre et la demande sur le marché (marché du travail, marché des capitaux, marché des biens, marché des devises) et même dans le domaine de l’agriculture.
Il y a également interdépendance entre le marché et le déséquilibre, si le marché ne marche pas à l’équilibre, il existe des économies ou de marché parallèle. Les libéraux intègrent également les modèles d’ajustement dans la stratégie de développement. Ils prennent en compte 3 modèles :
Le model monétariste de la balance de paiement regroupant le modèle Keynésien d’absorption, modèle monétariste,
Le model monétariste simplifié le modèle de change et la stratégie d’ouverture ou stratégie orientées vers l’extérieur (promotion d’exportation ou outward looking) ; Le model à deux secteurs : secteurs concurrencés et abrités.
Comme les premiers stratégies, la politique d’ajustement s’appui sur différent instruments : L’ouverture au marché mondial reposant sur les principes libéraux, la libéralisation interne par les principales reformes institutionnelles, la réduction et restructuration de la dépense, l’application des mesures distributifs (réduction rente).
Cependant, les modèles macro économique présentent des inconvénients, en effet, ces modèles ne prennent pas en compte ni les structures sociales, ni l’équilibre. Les programmes d’ajustement sont évalués dans le cadre national, ils ont un coût social élevé et leur efficacité est limitée par les échéanciers trop serrés.
LES STRATEGIES SECTORIELLES :
Les stratégies sectorielles se subdivisent en trois grandes parties les choix intersectoriels, la politique industrialisation, les stratégies des filières.
Le choix intersectoriel :
Dans le choix intersectoriel il existe 6 choix de types de croissance :
• La croissance équilibrée qui insiste sur la complémentarité entre les activités permet ainsi le développement de tous les différents secteurs
• La croissance déséquilibrée qui met l’accent sur la concurrence entre les activités basées sur la rareté des facteurs de production d’où le développement secteurs stratégiques.
• Les Investissements non directement productif sont les investissement à grande échelle qui peuvent dépasser les besoins de la collectivité pouvant entraîner ainsi de l’inflation.
• Les investissements productifs sont surtout l’infrastructure.
• L’agriculture est nécessaire car c’est la racine même du développement car elle donne aux pays pauvres les moyens de se procurer les devises nécessaires à sa croissance.
• L’industrie a des répercussions sur les facteurs socioculturels car nécessite une formation d’un personnel qualifié d’où l’augmentation de niveau d’éducation qui entraîne ainsi une urbanisation.
Si tels sont les différents choix intersectoriels, quelle politique industrielle doit-on appliquer ?
Les politiques industrielles :
Pour ce faire il existe deux types de politiques :
Les stratégies d’ ISI (Industrie de substitution des Importations) : qui doivent fournir des biens de consommation adoptées aux besoins des consommateurs internes et des biens de production nécessitant une grande dimension du marché.
La politique de promotion des exportations : est basé sur la conquête des marchés extérieurs en mettant en place un secteur public créant des externalités et des débouchés.
Choix des stratégies de filière :
La grande diversité du mode de produire, d’échanger, de consommer oblige à instituer un certains nombres de filière. Il existe quatre principales filières qui peuvent être différenciées : les filières à régulation domestique (locale), à régulation marchande (régionale), à régulation étatique (nationale) et à régulation capitaliste (internationale).
LES REGIMES D’ACCUMULATION :
Les régimes d’accumulation se subdivisent en deux grandes parties : les découpages du système productif et différents modes d’industrialisation.
Les découpages du système productif :
• Les secteurs
Secteur I : les biens de production
Secteur II : les biens de consommation.
Secteur III : les biens et services luxe.
Secteur IV : les biens primaires exportés servant à importer les biens de production et de consommation
• L’amont – l’aval
L’amont : regroupe les secteurs fournissant des inputs à d’autres secteurs.
L’Aval : regroupe les secteurs fournissant des biens pour la consommation finale.
Les modes d’industrialisation
Le model colonial d’économie de traite :
Secteur I : Inexistant
Secteur II ; Assuré par une agriculture traditionnelle ou artisanale Secteur III : Secteur moderne des biens et des services luxes
Secteur IV : Bien exportés servant à acheter des biens de production pour le secteur III.
Le model d’économie primaire exportatrice :
Ce model est dominé par le capital marchand : exporte des biens primaires et importe des biens de consommation. L’essentiel des profit et recettes résultent de la commercialisation des produits agricoles et des biens luxes importés.
Les économies rentières d’accumulation :
Ce modèle met l’accent prioritaire sur les hydrocarbures, les sidérurgies, les pétrochimies qui absorbent plus de la moitié des investissements. Elle fait l’impasse sur l’agriculture et l’industrie des biens de consommation. La reforme agraire doit s’opposer à la concurrence excessive de la propreté foncière d’où la polarisation des ressources.
Les économies semi industrialisées par substitution d’importation :
Le protectionnisme favorise la substitution d’aval d’où une surévaluation du change et une incitation pour créer une demande solvable .Ce modèle crée une accroissement de dépendance externe liée au rente monopolistique et aussi d’endettement permanent pour les pays qui sont incapables de générer un surplus exportable.
L’AJUSTEMENT STRUCTUREL
Les Origines du PAS :
LES EVENEMENTS ECONOMIQUES
Les événements économiques qui se passent à l’échelle mondiale peuvent influencer l’économie d’un pays ; dans les années 19803, les pays du tiers monde ont été forces à entreprendre le PAS vu l’état critique de leur économie.
En outre, l’essor du Développement des espaces économiques et la mondialisation de l’économie ont aussi marqué la période des pays.
Il est appliqué dans les pays envoi de Développement surtout dans les pays du tiers monde. Les pays ont entamé le PAS dans les années 80 parmi eux, citons Nigeria, le Burundi,,Madagascar,…
LA BALANCE DE PAIEMENT
Du point de vue économique, il est normal qu’un pays en transition, qu’il soit en développement ou entrain de passer de l’économie planifiée à l’économie de marché, surtout s’il n’est guère doté de ressources naturelles, complète sa propre épargne par l’épargne étrangère,à la fois pour financer son accession à un stade de développement supérieur et pour améliorer le niveau de vie de sa population.
Ces déséquilibres se concrétisent notamment par un déficit de la balance de paiement conjuguée aux problèmes budgétaires d’où intérêts d’entreprendre une reforme.
Ces dernières ont eu pour but de favoriser la gestion efficace des ressources, de créer les conditions d’une croissance économique durable et rétablir l’équilibre macro-économique.
Pour les pays du tiers monde, l’Ajustement Structurel est le moyen et l ‘espoir pour les faire sortir du marasme économique .Or Madagascar fait partie de ces pays et il est contraint d’effectuer le PAS pour se redresser.
DEVELOPPEMENT DES ESPACES ECONOMIQUE
Un pays ne peut pas se développer tout en restant fermé au monde extérieur, et on dit souvent que l union fait la force. C’est ainsi que des arrangement dont le but est d intégrer l’économie d un pays dans un groupement structure sont apparus.
Dans le groupe structuré, on assiste à un marché commun ou les prix d’un bien produit par un membre reste le même pour tous les pays membres : c’est l’union douanière ou le ZLE, dans les deux cas, un accord est établi entre les pays membres sur les tarifs douaniers à appliquer les échanges.
S’il s agit d’une ZLE les biens et services produit par un pays membre passent dans une autre sans se faire taxer qui est comme l’intégration verticale.
Les plus célèbres CEE qui devient union européenne
L’esprit de restaurer l’intégration s’est étendue dans les PED : SADC, COMESA, COI oü Madagascar est un membre actif.
Cependant un pays qui n’a pas d’atout qui a une économie fortement déséquilibrée est lésé car la concurrence est rude ; en effet, si les pays n’a pas par exemple un cadre propice à l ‘investissement, les investisseurs vont fuir, production va diminuer, cela va avoir un impact sur l ‘exportation et cette production peuvent même disparaître sur le marché car elle sera concurrencée par des produits venant des autres pays membres d’où l’intérêt du PAS.
MONDIALISATION DE L’ECONOMIE
La mondialisation n’a pas résulté d’un accord entre pays mais elle est venue toute seule et ne peut être refusée.
Elle a donc un fait qu’un pays doit accepter il doit adapter la structure et l ‘environnement économique pour accueillir et bénéficier des intérêts qu’offre la mondialisation.
Cependant, la mondialisation rime avec les progrès techniques mais elle a aussi entraîné une interdépendance à l’échelle mondiale.
Progrès technique et mondialisation
La mondialisation de l’économie a été favorisée par la progression technique, ce dernier a entraîné des changements structurels qui se sont opérés dans l’économie mondiale. Cette technologie a été la source de l ‘évolution des structures de la production, de l ‘échanges dans des nombreux domaines comme communication, information et même diverses industries et branches.
Grâce à la révolution technologique, la mondialisation est effective la distance entre les opérateurs dans le monde n’est plus un problème car on peut contracter un marché, acheter ou vendre les produits sans se déplacer. Les informations du pays scientifique ou culturel peuvent être captées en temp réel.
Mondialisation et décisions économiques
Le processus de la mondialisation a permis aux opérateurs de faire un choix de l’implantation des installations de production, de distribution, tout en tenant compte de la rentabilité.
Mondialisation et interdépendance
La mondialisation de l ‘économie a engendré le développement de l ‘interdépendance à l’échelle mondiale .Les liens entre les politiques nationales et les règles internationales sur le mécanisme du marché se sont resserrés .Par exemple, la politique commerciale à Madagascar doit être compatible aux règles de l’OCM.
LE PLAN ECHOUE DE LIBERALISATION TENTE EN INDE
Le plan échoué de libéralisation tenté en inde4 au milieu des années 60 .l’investissement en industrie lourde avait produit une crise combinée de la balance des paiements et de la sécurité alimentaire. Pour résoudre ce problème, la banque a mis a la disposition de l’aide à décaissement rapide en menant des négociations secrètes avec les gouvernement indien pour qu’il modifie ses politiques agricoles, le régime du contrôle des échanges et de l’industrie, ceci a entraîné peu d’amélioration au niveau économique et le processus de libération fut vite abandonné.
Mai la banque ne perd pas espoir et la preuve elle fit en fait des tentatives de même ordres au cours des années 70 en Afrique subsaharienne, notamment en Zambie, Kenya, …
Le financement de projets d’investissement de la banque devenait de moins en moins adéquat dans les années 70 pour véhiculer le transfert des fonds de l’aide. La première raison en était que le décaissement des fonds de projet se faisait très lentement d’où les difficultés que rencontrent la plupart des projets complexes, nécessitant une révision au cours de la réalisation. D’ou la nécessité des formes d’aide à décaissement plus rapide.
Le second motif était le problème des pays en développement qui n’avaient nul besoin davantage des projets. Ce qui veut dire que nombreux pays avait déjà accepté plus de projets qu’ils ne pouvaient en assurer avec les ressources intérieurs qu’ils pouvaient mobiliser. En conséquence, beaucoup de projets sont demi réalisées et même abandonnés ce qui entraînerait une perte totale des ressources qu’ils pouvaient mobilisés. D’où l appauvrissement du pays. Pour y remédier à ce problème, le changement de l environnement économique général, ce qui faciliterait l’utilisation rationnelle du financement des projets et non pas un accroissement du financement même des projets, il fallait en priorité trouver des fonds pour achever ou relancer les projets existants et les combiner avec une meilleure mobilisation des ressources afin de rendre durables a long terme.
Le troisième motif ,c’est l existence du prix faussé qui ne fait que rendre difficile la conception des projets économiquement viables pour toute la durée prévue. La solution est d’éliminer les projets dont la valeur nette actuelle est trop faible et de mobiliser les projets dont la valeurs nette actuelle est suffisante, mais ceci ne garantiront pad que des projets dont la valeur nette actuelle est suffisante soient bien mis en œuvre car des ressources de financement supplémentaire pourraient être nécessaires pour qu’ils restent solvables indépendamment du revenu qu’ils génèrent par des mécanismes de marché. Cette logique amena la direction de la banque à appliquer l alignement correct des prix étais fut vite abandonné d’où le recours a l’octroi des prêts d’ajustement structurel.
Aucun pays ne peut échapper à la compétitivité, on doit être prêt à la concurrence. Le PAS est un moyen de se préparer à affronter la mondialisation,
Le PAS est censé être la bonne politique économique. D’où son adoption par Madagascar.
La situation économique nationale conjuguée avec l’évolution du contexte économique mondial justifie que le PAS est incontournable à Madagascar.
Ce programme est supposé être celui qui corrige tous les maux de l’économie ; maintenant on va essayer par la suite clarifier, de synthétiser et d’analyser le PAS.
Définition et contexte du PAS
DEFINITION DU PAS
Pour les non initiés, l’ajustement structurel est effectué pour avoir des fonds de la part du FMI et de la Banque Mondiale .Pour eux, les fonds débloqués doivent avoir un impacts direct sur le niveau de vie.
D’après le lexique économique et financier et statistique, ‘l’Ajustement Structurel ”signifie une adaptation de la politique et des structures économiques pour rendre un pays plus productifs, augmentant ainsi les emplois et les revenus et améliorant le niveau de vie .Il est donc clair que des mesures s’imposent et doivent être prises dans le cadre de l’ajustement structure. Il est à noter qu’elles doivent s’adapter au contexte et à la situation du pays concerné.
Par ailleurs, l’ajustement structurel préconise une utilisation meilleure et efficace des ressources du pays :le gaspillage des fonds est à éviter ;il implique aussi que le pays sous programme ne doit pas vivre au dessous de ses moyens .Autrement dit ,la création de l’argent sans contre partie surtout à des fins de consommation est déconseillée comme c’est un ajustement structurel ,il est évident que des reformes ou réorientation des divers secteurs sont à effectuer pour rendre les pays plus productifs .
D ‘une manière générale, le PAS étant l’application d’un ensemble de mesure élaboré conjointement par le gouvernement du pays en concertation avec les institutions de breton woods que sont le FMI ainsi que la Banque Mondiale .Ces deux derniers sont les partenaires potentiels dans le processus .Le PAS se repose sur le principe de la libéralisme économique véhiculé par Adam Smith un des pères fondateurs de la théorie économie classique au 18ème siècle.
Sur le plan académique, le PAS est un ensemble de mesure qui tendent à restaurer l’équilibre macro économique global d’un pays donné, ce déséquilibre en question qui doit être corrigé est un déséquilibre durable engendré par des politiques économiques inadéquates.
Déjà, on peut dire que ses mesures que l’on doit appliquer sont des mesures structurels. Il faut également noter le fait que les mesures qui constituent le PAS concernent les fonctions publiques, les secteurs extérieurs ,le système financier et les prix.
Le PAS a été elaboré à partir du “ consensus de Washington ”5
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Table des matières
INTRODUCTION
Partie 1: APPROCHES THEORIQUES3
Chapitre 1 : APPROCHE THÉORIQUE DU DÉVELOPPEMENT ET STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT
Section 1 : Le financement de la transition
Section 2 : Les stratégies de développement
Chapitre II : L’AJUSTEMENT STRUCTUREL
Section 1 : Les Origines du PAS :
Section 2 : Définition et contexte du PAS
CHAPITRE III : APPROCHE THEORIQUE SUR LA PAUVRETE ET POLITIQUE DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETE
Section 1 : Approche théorique sur la pauvreté
Section 2. : Les stratégies d’intervention de lutte contre la pauvreté : LE DOCUMENT STRATEGIQUE DE REDUCTION DE LA PAUVRETE (DSRP)
PARTIE 2 : APERCU DES INTERVENTIONS DE LA BANQUE MONDIALE ET DU FMI DANS L’ECONOMIE DE MADAGASCAR
CHAPITRE 1 : LES PROGRAMMES D’AJUSTEMENT STRUCTUREL DE 1980-1996
Section 1. Origine et impacts des déséquilibres structurels de l’économie malgache
Section 2. Les reformes structurels et les mesures conjoncturelles
Section 3: Les effets globaux du Programme d’Ajustement Structurel
CHAPITRE 2 : LE DOCUMENT CADRE DES POLITIQUES ECONOMIQUES (DCPE) ET L’INITIATIVE DE REDUCTION DE LA DETTE DES PAYS PAUVRES TRES ENDETTES (PPTE)
Section 1. : Le Document Cadre des Politiques Economiques
Section 2. L’Initiative de réduction de la dette des pays pauvres très endettés ( Initiative PPTE )
CHAPITRE 3 : LE DOCUMENT STRATEGIQUE DE REDUCTION DE LA PAUVRETE (DSRP) 2002-2006
Section 1 : La transformation du PAS en DSRP
Section 2 : La situation de la pauvreté et analyse des indicateurs de la pauvreté
Section 3 : La mise en œuvre des quinze programmes inclus dans les trois axes stratégiques du DSRP
Section 4 : La performance générale des programmes de développement au niveau régionale
Section 5 : Suivi et évaluation
CHAPITRE 4 : MADAGASCAR ACTION PLAN (MAP) 2007-2012
Section 1 : Les huit objectifs du MAP
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIES
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