Origine des médicaments de la Pharmacie familiale

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Classification des médicaments

Selon la dénomination

Dénomination commune internationale

La dénomination commune internationale ou DCI correspond au vrai nom scientifique et international des médicaments et permet de les identifier quelles que soient les appellations commerciales utilisées dans différents pays, voire au sein d’un même pays. Elle a été conçue en 1953 par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), pour servir de langage commun à l’ensemble des professionnels de santé et des patients dans le monde. Elle est inscrite généralement sur les emballages des médicaments, en caractères plus petits que celui du nom commercial (Dangounau et al, 2006).

Spécialités pharmaceutiques

Le nom de marque ou de spécialité est un signe distinctif qui différencie un produit d’un autre. Il est choisi par le producteur du médicament ou le distributeur et est caractérisé par la firme concernée. Le même producteur peut disposer de plusieurs noms de marque pour un même médicament. Ils possèdent la même D.C.I. et donc ont la même efficacité thérapeutique (Ngandjui, 1998). Le signe ® qui accompagne les spécialités signifie « registred» en anglais, c’est à-dire propriété commerciale. Selon l’Article L601du CSP «aucune spécialité ne peut être débitée à titre gratuit ou onéreux, si elle n’a reçu au préalable le visa ou autorisation de mise sur le marché (AMM), délivrée par le Ministère chargé de la Santé» (DPM, 1998).

Médicaments génériques

On entend par «médicament générique toute copie d’un médicament original dit aussi médicament « leader », dont la production et la commercialisation sont rendues possibles notamment par l’expiration des brevets dans le domaine public » (Pennaforte, 1999).

Médicaments essentiels

Ce sont des médicaments qui répondent aux besoins de santé prioritaires d’une population. Ils sont sélectionnés en fonction de la prévalence des maladies, de l’innocuité, de l’efficacité et d’une comparaison des rapports coût – efficacité. Ils devraient être disponibles en permanence dans le cadre de système de santé opérationnel, en quantité suffisante, sous la forme galénique qui convient avec une qualité assurée et à un prix abordable au niveau individuel comme à celui de la communauté (OMS, 2012).
La majorité des médicaments essentiels trouvés sont issus de l’initiative de Bamako (IB) qui a été adoptée en 1987 par les pays ouest-africains en tant que politique de relance de la stratégie des soins de santé primaires.
La mise en œuvre de l’IB au Burkina Faso a commencé en 1992 (Valéry, 2005). Ce qu’il est convenu d’appeler « l’Initiative de Bamako » constitue une stratégie visant à améliorer durablement la situation sanitaire des pays en voie de développement, notamment par une meilleure diffusion, auprès des groupes sociaux les moins favorisés, des médicaments dits essentiels. Elle repose sur l’idée qu’il convient de mettre en place des circuits de distribution viables, impliquant les populations concernées tant sur le plan de la gestion que sur celui du financement (Brunet, 1992).

Le médicament multi-source

Toutes les industries de médicament générique peuvent fabriquer elles-mêmes le principe actif. C’est pourquoi l’OMS utilise la notion de « médicament multi source ». Par définition, les médicaments multi-sources sont des « médicaments équivalents du point de vue pharmaceutique, mais pas nécessairement du point de vue thérapeutique. Les médicaments multi-sources qui sont thérapeutiquement équivalents sont interchangeables ». « Des médicaments sont pharmaceutiquement équivalents s’ils contiennent la même quantité du ou des même(s) principes(s) actif(s) sous la même forme galénique, s’ils satisfont à des normes identiques ou comparables et s’ils sont destinés à être administrés par la même voie ». « Des médicaments sont thérapeutiquement équivalents s’ils sont pharmaceutiquement équivalents si les résultats d’études appropriées (étude de bioéquivalence, étude pharmacodynamique, clinique ou in vitro) montrent qu’après administration de la même dose molaire, leurs effets, tant en ce qui concerne l’efficacité que la sécurité, seront essentiellement les mêmes ». (OMS, 1996)

Selon les modalités de prescription

Les médicaments sont soit librement accessibles sans ordonnance (médicaments non listés), soit soumis à une réglementation de prescription, de dispensation, de détention.

Médicaments de prescription médicale facultative

Les médicaments contenant des substances ayant une toxicité modérée, dans des conditions normales d’utilisation, et ne nécessitant pas une surveillance médicale, peuvent être achetés librement en pharmacie sans être obligatoirement prescrits par un médecin. Ces médicaments sont dits à prescription médicale facultative.
Cependant, certains contiennent des principes actifs identiques aux médicaments uniquement disponibles sur ordonnance (exemple ibuprofène, codéine). Ils bénéficient d’une exonération lorsque le dosage est suffisamment faible et/ou lorsqu’ils ont un conditionnement pour une courte durée de traitement leurs permettant d’être en vente sans ordonnance (Ageneau, 2014).
Dans leur majorité, les médicaments de prescription médicale facultative sont entreposés derrière le comptoir, et peuvent être obtenus en pharmacie, en conseils, à l’occasion d’un symptôme décrit par le patient-client.
Les risques liés à ces médicaments sont habituellement perçus par la population comme faibles. Néanmoins, comme pour tout médicament, les règles d’usage, identiques à celles qui concernent les médicaments uniquement sur prescription médicale, s’imposent : respect de la posologie, de la durée d’utilisation, des contre-indications et la prévention des interactions médicamenteuses.

Les médicaments listés

Ce sont des médicaments de la Liste I et de la Liste II. Les principes actifs sur ces deux listes sont classés « substances vénéneuses », ils présentent des risques de divers ordres (toxiques, tératogènes, cancérogènes, mutagènes…). Les médicaments de La liste I ont un risque plus élevé, en principe.
La Liste des stupéfiants renferme des médicaments susceptibles d’entrainer des toxicomanies. La fabrication, la vente, la détention, et l’usage nécessitent une autorisation spéciale (Lechat, 2007). Dans cette liste nous retrouvons les médicaments contenant des dérivés de la morphine ; nous pouvons citer la Péthidine (Dolosal*), le Fentanyl (Durogésic*).

L’ordonnance et la délivrance

L’ordonnance

La délivrance de certains produits est subordonnée à la présentation d’une ordonnance.
C’est un document écrit par lequel le médecin prescrit au malade un traitement par des médicaments à des posologies appropriées et pour une durée précise. L’ordonnance doit être obligatoirement datée et signée
Elle doit mentionner lisiblement :
o les noms et âge éventuel du patient ;
o les noms des médicaments ou produits pharmaceutiques ;
o les nombres d’unité thérapeutique ou durée de traitement ou éventuellement le nombre de renouvellement ;
o La posologie et éventuellement les conseils hygiéno-diététiques associés ;
o Les noms et adresses du prescripteur, le cachet ou le tampon de la structure ou simplement du prescripteur (Konaté, 2004).

La délivrance ou dispensation

Le pharmacien doit vérifier avant exécution de l’ordonnance
o l’authenticité de la prescription
o la régularité technique de l’ordonnance. Dans ce cas, il vérifie :
 les droits de certains prescripteurs,
 les posologies, surtout chez l’enfant ; en effet, il doit attirer en cas de surdosage, l’attention du médecin qui doit confirmer la posologie en opposant la mention « je dis bien telle dose » sur l’ordonnance.
La délivrance doit être fidèle : le pharmacien ne peut modifier une prescription sans l’accord du médecin, il ne peut même pas corriger une ordonnance renfermant des lacunes ou des omissions.
Jusqu’à récemment, il n’avait pas droit de substitution.
 Les produits inscrits sur les listes I et II ne peuvent être remis que sur présentation d’une ordonnance qui doit dater de moins de 3 mois pour la première délivrance.
 Pour les stupéfiants, l’ordonnance, ne peut être exécutée que pendant les 7 ou 60 jours (selon le cas) qui courent à compter de sa date d’établissement et seulement pour la durée de la prescription restant à courir.
 Tous les autres médicaments peuvent être délivrés à quiconque, sur simple demande, ce qui favorise l’automédication dont les abus sont préjudiciables à la santé.
 Il ne peut être délivré en une seule fois une quantité correspondante à une durée de traitement supérieur à un mois. Toutefois, les médicaments contraceptifs peuvent être délivrés pour une durée de 3 mois (Konaté, 2004).
Cependant le non-respect des règles de délivrance favorise le stockage des médicaments dans les ménages sous le nom de pharmacie familiale.

Pharmacie familiale

Définition

Elle comporte l’ensemble des médicaments administrés aux différents membres d’une famille. Ces médicaments sont prescrits par le médecin, conseillés par le pharmacien ou achetés sans avis d’un professionnel de santé (Angofi, 2012).

Origine des médicaments de la Pharmacie familiale

Les travaux de Dia (2012) ont montré que les médicaments retrouvés dans les ménages étaient obtenus, dans 67,8% des cas, par prescription médicale, 19,8% par conseil du pharmacien et 12, 4% par automédication.
Si l’automédication reste un secteur peu développé en France, une étude de la Sofres en 2001 (Auzanneau, 2001) montre que 80% des adultes déclarent avoir utilisé des médicaments sans avoir recours à un avis médical. Selon Boutin (2007), l’essentiel des médicaments consommés en France est constitué de produit à prescription médicale obligatoire.

Médicaments de la pharmacie familiale

En fonction des membres de la famille on peut retrouver différentes catégories de médicaments. Selon Bordenave et coll. (2012), 70% des pharmacies familiales étaient constituées de médicaments pour l’appareil digestif et musculaire et 15,5% de psychotropes.
Selon l’étude de Angofi (2012), les médicaments les plus retrouvés étaient les antalgiques, soit 18,26%, avec comme chef de file le paracétamol, les antigrippaux, les anti-inflammatoires et les polyvitamines venaient en deuxième position avec une fréquence de 10,45%.
Selon l’étude de Dia (2015), les médicaments les plus rencontrés étaient les antalgiques, soit 19,9% dont la majorité était du paracétamol sous différents noms. Les anti-inflammatoires (7,9%) occupaient la quatrième place après les antiseptiques (19,1%) et les antibiotiques (11,3%).

L’automédication

Selon l’OMS, « l’automédication consiste pour une personne à choisir et à utiliser un médicament pour un symptôme qu’elle a elle-même reconnu » (Parrot, 2007).
Ainsi, le patient utilise un médicament de sa propre initiative et responsabilité, sans avis d’un médecin. L’automédication doit être distinguée de la médication officinale correspondant à une proposition du pharmacien.
Il existe en réalité deux formes d’automédication: la première procède des « médicaments d’automédication », que le malade peut acheter en pharmacie sans ordonnance. La seconde consiste à prélever dans la « pharmacie familiale » les restes des médicaments prescrits antérieurement au malade ou à ses proches, pour le même symptôme qu’aujourd’hui ou pour un autre qu’il juge, à tort ou à raison, comparable. Affirmons tout de suite que cette seconde variété d’automédication est la plus dangereuse, car elle concerne des médicaments prescrits sur ordonnance, habituellement plus actifs et dont l’usage peut être inapproprié » (Queneau; 1998). Ainsi nous pouvons différencier l’automédication proprement dite, qui concerne les médicaments à prescription facultative, de l’auto prescription consistant à utiliser un médicament délivré uniquement sur ordonnance et pouvant avoir été stocké dans la pharmacie familiale (Derlange ,2004).
D’après une enquête réalisée par la Direction de la Santé en France en 2001, le premier recours face à une douleur ou à un symptôme était de se tourner vers l’armoire à pharmacie familiale. La majorité des personnes réutilise des médicaments antérieurement prescrits et conservés à domicile. La motivation la plus importante pour recourir à l’automédication semble être le besoin de soulagement rapide, du fait que le problème est considéré comme bénin et ne nécessite pas de consultation médicale ou qu’il s’agisse d’un problème familier pour lequel le médicament est déjà connu (Auzanneau, 2001).
Selon Angofi (2012), 20,7% des médicaments acquis par les familles étaient par automédication. Selon l’AFSSAPS (2009), une pharmacie familiale bien conçue est essentielle pour pratiquer une automédication responsable et pour soulager les douleurs de tous les jours. Mais elle peut aussi devenir un vrai danger si quelques règles élémentaires de prudence ne sont pas respectées.

Les dangers de l’utilisation des médicaments

Les progrès de la recherche médicale et pharmaceutique ont permis d’importantes avancées en ce qui concerne les traitements des différentes maladies. Mais les médicaments par leurs effets multiples sur l’organisme présentent cependant des risques non négligeables qui portent généralement sur les effets indésirables et/ou toxiques du médicament.

Effets indésirables

Un effet indésirable est une réaction nocive et non voulue se produisant aux posologies normalement utilisées chez l’homme pour la prophylaxie, le diagnostic ou le traitement d’une maladie ou la modification d’une fonction physiologique, ou résultant du mésusage du médicament (OMS, 1972).
Les effets indésirables peuvent être prévisibles, liés aux propriétés pharmacologiques du médicament. Comme exemple nous pouvons citer les AINS et l’ulcère gastroduodénal. Cependant les allergies sont des effets indésirables non prévisibles (Spinewine, 2008).

Intoxications médicamenteuses

Les intoxications médicamenteuses représentent le danger le plus important de la mauvaise utilisation des médicaments. Elles constituent un problème de santé dans le monde et interviennent le plus souvent à domicile lorsqu’une dose importante de médicaments a été absorbée (Bencheikh, 2010).
Les intoxications médicamenteuses peuvent être volontaires ou accidentelles. En France, la morbidité suicidaire est constituée à 90% d’intoxication médicamenteuse volontaire (Pommereau, 2007). C’est la méthode de tentative de suicide la plus fréquemment utilisée. Dans l’étude de Angofi (2012) les intoxications signalées étaient volontaires dans 14,3% des cas.
Les intoxications médicamenteuses accidentelles sont plus fréquentes chez les jeunes enfants parvenus à un âge où ils explorent l’environnement et ont tendance à porter à la bouche tout ce qui est à leur portée. La facilité d’accès aux lieux de stockage des médicaments dans les ménages constitue un facteur de risque majeur (Dorothée, 2013).
Le stockage des médicaments dans les ménages doit se faire avec prudence. Ainsi pour plus de sécurité la pharmacie doit être installée en hauteur et fermée à clé de sorte qu’elle soit hors de portée des enfants. Pour une meilleure conservation des médicaments, elle doit être placée à l’abri de la chaleur et de l’humidité, dans un lieu frais (15° à 22°). C’est pour cela qu’il est préférable de l’installer dans la chambre à coucher et non dans la salle de bain (AFSSAPS, 2012).

Iatrogénie médicamenteuse

La iatrogénie est définit selon l’OMS comme : « Toute réponse néfaste et non recherchée à un médicament survenant à des doses utilisées chez l’homme à des fins de prophylaxie, de diagnostic et de traitement ». Par ailleurs, souvent ce n’est pas le médicament seul qui en est la cause, mais la manière dont il interagit avec d’autre composants chimiques dans l’organisme, particulièrement lorsque ce dernier est fragilisé (Fradet et coll., 1996).
Les symptômes devant faire évoquer une pathologie iatrogène sont : les troubles de l’équilibre et les chutes, les malaises et les syncopes, le syndrome confusionnel et les troubles cognitifs, les troubles digestifs, les troubles extrapyramidaux/tremblements (Vial, 2010).
Ainsi il parait important d’avoir un réflexe iatrogénique devant tout événement clinique nouveau à l’admission ou en cours d’hospitalisation, en particulier en cas de modification thérapeutique récente (molécule et/ou posologie) (Mallot et coll., 2010).La iatrogénie est deux fois plus fréquente après 65ans et sa prévalence est élevée variant de 10 à 40% selon les études (AFSSAPS, 2005). Elle est potentiellement grave, puisque 10 à 20% des motifs d’hospitalisation des plus de 75ans sont en partie liés à des effets médicamenteux indésirables. Ces chiffres sont vraisemblablement sous- estimés par la sous- notification et la sous-identification de nombreux événements iatrogènes. De plus 30 à 60% des effets indésirables des médicaments sont prévisibles et évitables : on parle de iatrogénie médicamenteuse évitable (Ankri, 2005).
Ils sont le plus souvent la conséquence d’une erreur thérapeutique (mauvaise indication, non-respect des contre- indications, posologie excessive ou traitement trop prolongé), d’une mauvaise observance du traitement ou d’une automédication inappropriée chez des patients polymédiqués, âgés et fragiles (AFSSAPS, 2012).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : Généralités sur les médicaments et la prescription médicale
I Définition du médicament
I-2 Classification des médicaments
I-2-1-1 Dénomination commune internationale
I-2-1-2 Spécialités pharmaceutiques
I-2-1-3 Médicaments génériques
I-2-1-4 Médicaments essentiels
I-2-1-5 Le médicament multi-source
I -2-2 Selon les modalités de prescription
I-2-2-1 Médicaments de prescription médicale facultative
I-2-2-2 Les médicaments listés
II L’ordonnance et la délivrance
II-1 L’ordonnance
II-2 La délivrance ou dispensation
CHAPITRE II : Pharmacie familiale
I Définition
II Origine des médicaments de la Pharmacie familiale
III Médicaments de la pharmacie familiale
IV L’automédication
V Les dangers de l’utilisation des médicaments
V-1 Effets indésirables
V-2 Intoxications médicamenteuses
V-3 Iatrogénie médicamenteuse
DEUXIEME PARTIE : LES RESULTATS DE L’ENQUETE
I MATERIEL ET METHODE
I-1 Cadre de l’étude
I-2 Type d’étude
I-3 Population d’étude
I-4 Taille de l’échantillon
I-5 Déroulement de l’enquête
I-6 Résultats attendus
I-7 Analyse des résultats
II : RESULTATS
II-1 Caractères sociodémographiques
II-1-1 Répartition des ménages enquêtés selon les communes d’arrondissement visités
II-1-2 Répartition des personnes retrouvées selon l’âge et le sexe
II-1-3 Répartition des enquêtés selon la situation matrimoniale
II-1-4 Distribution des enquêtés selon leur niveau d’instruction
II.1.5 Répartition des enquêtés selon leur activé professionnelle
II.1.6 Répartition des ménages selon qu’ils bénéficiaient d’une prise en charge
II.2 Pharmacie familiale
II-2-1 Présence de médicament dans la maison
II-2-2 Méthodes d’acquisition des médicaments
II-2-3 Raisons de la présence des médicaments
II-2-4 Lieux de stockage des médicaments
II.2.5 Moyens de rangement des médicaments
II-2-6 Accessibilité des médicaments aux enfants
II-2-7 Origine des médicaments retrouvés
II-2-8 Médicaments retrouvés dans les ménages
II-2-8-1 Répartition des médicaments par classe thérapeutique
II-2-8-2 Répartition des médicaments par forme galénique
II-2-8-3 Présence de médicaments périmés
II-2-8-4 Devenir des médicaments non utilisés après traitement
II-2-8 -5 Respect de la posologie des médicaments
II-2-8-6 Lecture de la notice des médicaments
II-3 Accidents médicamenteux rencontrés dans les ménages
II-3-1 Répartition des causes d’accidents médicamenteux
II-3-2 Répartition des accidents médicamenteux selon l’âge
II-3-3 Les types d’accidents rencontrés
II.3.4 Répartition des médicaments incriminés
III-3-5 Attitudes adoptées après la survenue des accidents
DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBIOGRAPHIQUES 

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