Origine de la ferrure et du métier de maréchal-ferrant

Aspect démographique

La population du Sénégalest estimée à 10.817.844 habitants en 2005. Le taux d’accroissement annuel inter censitaire a été de 2,7% entre 1976 et 1988. Il est de 2,4% entre 1988-2002. La population sénégalaise est très inégalement répartie entre les onze régions administratives du pays. Ainsi, la région de Dakar regroupe 23% de la population sur une superficie ne représentant que 0,3% du territoire national. Elle est la région ayant la plus forte densité au Km 2 soit 4484 habitants au Km 2.
Tandis que Tambacounda est la régionprésentant une faible densité au Km 2 soit 11 habitants au Km 2 pour une superficie de 59542 Km 2.

Aspects économiques

Les réformes structurelles ont profondément modifié le paysage économique du Sénégal, en particulier les privatisations d’entreprises publiques, dans la filière agricole et dans les infrastructures. Le secteur primaire se caractérise par la forte vulnérabilité de l’agriculture suite aux aléas climatiques et aux menaces acridiennes.
Les activités du secteur secondaire (21% duPIB) sont fondées sur les minéraux et sur la transformation des oléagineux (arachide,soja) et des produits de la mer. Les investissements immobiliers dela diaspora soutiennent l’activité du bâtiment et la production de ciment. Le secteur tertiaire (62% du PIB) bénéficie de l’excellence des infrastructures de télécommunications, qui favorise des investissements dans les télé services et l’informatique. Le secteur du tourisme est en revanche fortement en baisse (-20 %). S’agissant de la dette publique extérieure, le Sénégal a atteint enavril 2004 le point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvre et Très Endetté) renforcée[26].

Elevage

L’élevage au Sénégal est encore une activité à dominante traditionnelle, ayant parfois une infime caractéristique professionnelle sous tendue par des objectifs en termes de production et/ou de productivité de viande ou de lait. Le secteur traditionnel est caractérisé par le pastoralisme fait de transhumances au gré des saisons, sur des parcours ancestraux conformément à un ensemble de croyances, de rites en rapport avec l’essence de la vie peuhl. L’élevage desbovins et petits ruminants (ovins, caprins) est généralementpratiqué en mode extensif. Ainsi l’élevage est donc une activité essentiellement informelle occupant en 2004 environ 608 000 actifs (en équivalent temps plein)soit une croissance cumulée de 56,4% depuis 1980. Cependant, le poids du secteur de l’économie en terme d’actifs est en recul sur la période 1980 – 2004 avec une baisse cumulée de 17,4%[26].
Le cheptel est estimé en 2005 à 3 081 000 bovins, 4 855 000 ovins, 4 051 000 caprins, 520 000 équins, 422000 asins, 300 000 porcins et quelques 4 100 camelins.
Il y a eu globalement un accroissement moyen annuel de 1,6% du cheptel toute espèce confondue[26].
L’aviculture tend à se moderniser de plus en plus, avec la présence de sociétés industrielles modernes de production de viande, d’aliments, de poussins, et/oud’œufs. Cependant, il subsiste encore un grand nombre d’unités de production familiales, modestes, indépendantes, donc de faible influence économique[26].

Elevage du cheval au Sénégal

Origine du cheval au Sénégal

Les premiers chevaux domestiques arabes descendants de la race mongole, furent introduits en Egypte par les tribus nomades Hyksos en provenance du Nord-Est de la Syrie. Les Arabes venus d’Orient pour répandre l’islam au Maghreb vers le VII ème siècle, s’en servirent laissant parfois sur place les quelques chevaux arabes qui donnèrent plus tard la sous-race de chevaux barbes des régions berbères. Vers le XIII ème siècle, à la faveur des activités commerciales et de la conquête islamique, les races nord africaines ont été diffusées dans toute la zone soudano-sahélienne où sous l’action de l’homme et de la nature,ils ont donné naissance à différents types de chevaux dont le cheval du Sahel. Le cheval du Sahel comporte lui-même des variantes : les chevaux Fleuve et les chevaux Foutanké du Sénégal.Naguère, cheval du chef, le cheval Fleuve s’est retrouvé parmi l’élite des coursiers et de l’équitation.
Progressivement, la race barbe a supplanté en Afrique de l’ouest les poneys dont l’aire d’extension actuelle est réduite à certaines régions de la bande soudano sahélienne [32].

Conduite de l’élevage

Au Sénégal l’élevage du cheval est caractérisé par la cohabitation des systèmes traditionnel et moderne. Ces systèmes sontà faible niveau d’intrants. La quasi totalité des chevaux (environ 99,5%) sont élevés dans les systèmes agricoles ruraux des zones nord et centre du pays. Dans ces zones le nombre d’équins est fortement corrélé à la surface agricole emblavée par le producteur. Les races exploitées sont surtout locales (le cheval Fleuve, le Foutanké, le cheval Mbayar et le Cheval Mpar).
Le système moderne est surtoutpratiqué en zone urbaineet périurbaine où se localisent les écuries. Ces dernières exploitent pour la plupart du temps des chevaux de race importée ou améliorée (le Pur-sang Arabe, le Pur-sang Anglais et le Pursang Anglo-Arabe).
L’utilisation des chevaux pour la traction, les travaux agricoles et le transport, fait que leur mode d’alimentation fait appel aux sous-produits agricoles comme les fanes d’arachide et à une complémentation alimentaire en mil ou sorgho. Tout comme d’autres filières, la filière équine fait face à de nombreuses contraintes d’ordre essentiellement alimentaires (sous-alimentation des chevaux qui sont surexploités) ; sanitaires (La peste équine, le tétanos, la trypanosomose,de la lymphangite épizootique) ; et des contraintes organisationnelles qui trouvent peu à peu résolution avec le PRODEFE (Projet de Développement de la Filière Equine).
Malgré ces contraintes, le nombre global de chevaux du Sénégal fut estimé à 513700 têtes 2005 [30]. L’effectif équin connaît une croissance de 3,2% en 2005.

Importance socio-économique du cheval

Importance socio-culturelle

Au plan social, le cheval occupe une place importante dans les sociétés traditionnelles africaines. En effet, chez les Wolofs, les Peulhs du Sénégal, le cheval fait partie de la dote exigée au mari. Les chevaux danseurs du Cayor constituent un régal pour les publics. L’attirance indéniable du grand public aux multiples réunions hippiques, aux fêtes données par les sociétés rurales et urbaines montre bien le réel intérêt accordé à ces manifestations [20].

Importance économique

Le cheval est présent dans plusieurs secteurs d’activités économiques. Il intervient dans la traction hippomobile urbaine et rurale, l’industrie des courses hippiques,l’équitation sportive ou d’agrément et, dans une moindre mesure, dans lachorégraphie équine et la boucherie hippophagique. Après l’Ethiopie, le Sénégal est classé parmi les cinq premiers pays africains du point de vue des effectifs chevalins.
Ainsi le cheval de trait et la traction hippomobile jouent un rôle fondamental dans les relations et les échanges ruraux, la commercialisation des produits agricoles, l’approvisionnement en intrants et produitsde consommation et le transport des personnes.

les métiers du cheval

Selon le dictionnaire de français Le Micro Robert [36]; le métier est le genre de travail déterminé reconnu ou toléré par la société et dont on peut tirer ses moyens d’existence, c’est l’emploi, la fonction, legagne-pain ou la profession. Le métier est aussi une occupation permanente.
En Afrique les métiers induits par le cheval sont pour l’essentiel dans le secteur informel. Ils sont exercés généralement sans formation préalable. Au Sénégal il existe une tradition multiséculaire de pratique équestre mais, certains métiers du cheval ne sont pas répandus.

Dans l’agriculture

Éleveur de chevaux et Inséminateur équin

L’éleveur est un exploitant agricole qui assure la reproduction, la surveillance des juments et de leurs poulains jusqu’à la vente de ces derniers et leur départ pour l’entraînement.
L’inséminateur est un professionnel qui collecte la semence des étalons puis l’insémine aux poulinières en chaleur. C’est un métier en pleine expansion au Sénégal.

Palefrenier soigneur

Il s’occupe du nettoyage des écuries, et assure l’alimentation, le pansage, les soins vétérinaires élémentaires des chevaux d’élevage ou de sport. Il peut prendre part aussi au dressage et occasionnellement à la monte des chevaux. Il repère toute anomalie liée à l’état de santé, au comportement d’un cheval pour qu’il y soit remédié au plus vite [25].

Sellier- harnacheur bourrelier

Le sellier – harnacheur bourrelier fabrique, entretient et répare tout l’équipement du cheval et du cavalier : licols, filets, brides, harnais, selles, protection [25].

Conducteur d’attelage hippomobile

Le conducteur d’attelage encore appelé cocher ; le métier de conducteur d’attelage hippomobile est répandu un peu partout dans le monde. Au Sénégal, c’est un métier qui occupe une place de choix et joue un rôle économique fondamental [25].

Dans l’équitation et les courses

Lad-jockey, Lad-driver et Entraîneur

Le Lad-jockey ou cavalier d’entraînement dans les écuries de courses au galop, participe au travail quotidien des chevaux. Il travaille sous la direction de personnes plus compétentes dont il dépend et leur fournit tous les renseignements utiles sur l’état du matériel et des chevaux dont il a la charge.
Le Lad-driver assure au niveau des écuries de courses de trot, le même type d’emploi que le Lad-jockey.
L’entraîneur héberge, soigne, entraîne et fait courir les chevaux que lui confient lespropriétaires [25]. Le métier d’entraîneur est aussi très rencontré au Sénégal.

Moniteur et Instructeur d’équitation

Le Moniteur d’équitation dispense l’enseignement de base (mise en confiance, mise en selle), et conduit les élèves vers la maîtrise de l’équitation sportive élémentaire.
L’instructeur d’équitation est un cavalier passionné qui dispense l’enseignement secondaire (conduite du cheval, dressage, saut d’obstacle, concours completd’équitation).

Gestionnaire et Animateur de manège équestre

Encore appelé exploitant de manège, le gestionnaire gère le matériel d’équitation,contrôle les achats d’aliments et participe à l’organisation des compétitions.
L’Animateur de manège équestre apporte le soutien aux enseignants, participe à la gestion du centre et à l’accueil des clients.

Anatomie du pied du cheval

En anatomie, le pied constitue le segment distal du membre postérieur, alors qu’enextérieur et en maréchalerie, le pied est la partie distale de chaque membre enfermée dans une boîte cornée appelée sabot [34]. C’est une région importante du membre qui subit toutes les pressions exercées par le poids du corps du cheval.
Celles-ci augmentent d’autant plus que l’allure est élevée.
Le pied est composé de trois parties principales : la couronne, le paturon et le sabot.
Le sabot contient et protège les parties sensibles quiterminent les membres et la surface solaire en contact avec le sol.Le fonctionnement intense du pied demande une intégrité parfaite de tous les éléments qui le constituent : la boite cornée ou sabot, la couche charnue génératrice de la corne, l’appareil d’amortissement, les ligaments et les tendons, enfin les os [7].

Organisation externe

Le sabot

Le sabot est la boîte cornée exactement moulée sur la membrane kératogène qui la produit et à laquelle elle adhère de façon solide. Il résulte de l’union de la corne de trois constituants très intimement soudés, mais qui diffèrent par la texture comme par la situation : la paroi, la sole et la fourchette (figure 2).

La paroi

Lorsque le pied est posé au sol,seule la paroi est visible : elle est subdivisée d’avant en arrière en pince, mamelles, quartiers ettalons. C’est la partie du sabot par laquelle se fait l’appui au sol. Elle représente un ongle modifié et extrêmement puissant, épais et solide (figure 2)[17].
Première partie : Etude bibliographique

La sole

Enserrée de toutes parts dans le bord solaire de la paroi, la sole est visible quand on soulève le pied. Elle a la forme d’un croissant, avec une partie moyenne ou corps prolongé par deux branches latérale et médiale, légèrement inégales.

La fourchette

C’est un revêtement recouvrant le coussinetdigital (plantaire). Elle est formée de corne souple. De forme triangulaire, elle est enclavée entre les barres.

Articulation interphalangienne distale

C’est une articulation synoviale(diarthrose), de type condylaire. Elle unit la troisième phalange et le petit sésamoïde. Son rôle principal est d’absorber les irrégularités du sol lors du poser du pied. Les surfaces articulaires sont représentées proximalement,par l’extrémité distale de la phalange moyenne et distalement, par la surface articulaire de la phalange distale complétée du côté palmaire par l’os sésamoïde distal. Les moyens d’union sont les ligaments collatéraux, le tendon extenseur du doigt et le muscle fléchisseur profond du doigt. On note la présence d’une vaste synoviale [5].

Vaisseaux sanguins et nerfs

Les artères

Le sang est apporté au pied par les artères digitales propres palmaires médiales et latérales. Issues des artères tibiales caudale et crâniale, les artères plantaires vont donner au niveau de l’arcade tarsienne deux artères métatarsiennes. Ces dernières vont donner ensuite des artères digitales qui s’anastomosent au niveau de l’apophyse basilaire de la troisième phalange pour former l’arcade semi-lunaire.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE PREMIER: LE CHEVAL ET SON EXPLOITATION AU SENEGAL
I.1 Données géographiques
I.1.1 Aspects physiques
I.1.2 Climat
I.2 Données administratives et socio-économiques
I.2.1 Découpage administratif
I.2.2. Aspect démographique
I.2.3. Aspects économiques
I.3. Elevage
I.4. Elevage du cheval au Sénégal
I.4.1. Origine du cheval au Sénégal
I.4.2 Conduite de l’élevage
I.5. Importance socio-économique du cheval
I.5.1. Importance socio-culturelle
I.5.2 Importance économique
I.6. les métiers du cheval
I.6.1. Dans l’agriculture
I.6.1.1. Éleveur de chevaux et Inséminateur équin
I.6.1.2. Palefrenier soigneur
I.6.1.3. Sellier- harnacheur bourrelier
I.6.1.4. Conducteur d’attelage hippomobile
I.6.2. Dans l’équitation et les courses
I.6.2.1. Lad-jockey, Lad-driver et Entraîneur
I.6.2.2. Moniteur et Instructeur d’équitation
I.6.2.3. Gestionnaire et Animateur de manège équestre
I.6.3. Dans le commerce et le tourisme
I.6.3.1. Courtier et Marchand de chevaux
I.6.3.2. Accompagnateur de tourisme équestre (ATE)
I.6.3.3 Guide de tourisme équestre (G.T.E.)
I.6.4. Dans l’armée et les services de sécurité
I.6.5. Dans la santé
I.6.5.1. Vétérinaire
I.6.5. 2. Maréchal-ferrant
CHAPITRE DEUXIEME: PARTICULARITES ANATOMO-PHYSIOLOGIQUES DU PIED DU CHEVAL
II.1 Anatomie du pied du cheval
II.1.1 Organisation externe
II.1.1.1 Le sabot
II.1.1.2 Propriétés du sabot
II.1.2 Organisation interne
II.1.2.1 La membrane kératogène
II.1.2.2 Dispositif d’amortissement
II.1.2.3 Le complexe ostéo-articulaire
II.1.1.3 Vaisseaux sanguins et nerfs
II.2 Les aplombs
II.2.1 Définition
II.2.2 Aplomb transversal
II.2.2.1 Pied naturellement posé à terre
II.2.2.2 Pied levé par l’observateur, seul ou avec son aide
II.2.2.3 Aplombs vus de profil
II.2.2.4 Aplomb en marche
II.2.2.5 Conséquences des aplombs défectueux
II.3 Fonctionnement du pied du cheval
II.3.1 Cinétique du pied du cheval
II.3.1.1 Le pas
II.3.1.2 Le trot
II.3.1.3 Le galop
II.3.2 Fonction d’amortissement des chocs
II.3.3 Rôle de la circulation sanguine
II.4. Entretien et principales pathologies du pied
II.4.1 Entretien du pied
II.4.2 Affections du pied
II.4.2.1 Les boiteries
II.4.2.2 Cailloux au pied
II.4.2.3 Contusion de la sole
II.4.2.4 Bleimes
II.4.2.5 Piqûre au pied
II.4.2.6 Seimes et fissures du sabot
II.4.2.7 Pourriture de la fourchette
II.4.2.8 Fourbure ou laminite
II.4.2.9 Maladie naviculaire
CHAPITRE TROISIEME: ELEMENTS DE MARECHALERIE
III.1 Origine de la ferrure et du métier de maréchal-ferrant
III.1.1 Origine de la ferrure
III.1.2 Origine du métier de maréchal-ferrant
III.2 Description du fer à cheval et du clou
III.2.1 Fer à cheval
III.2.2 Clou
III.3. Atelier du maréchal-ferrantet instruments de ferrure
III.3.1. Atelier de maréchalerie
III.3.1.1. Matériel de forge
III.2.4. La ferrure
III.2.4.1. Divisions
III.2.4.2. Techniques
III.2.4.3. Temps successifs de l’opération de la ferrure
III.2.4.4. Ferrures spéciales
III.2.4.5. Les accidents de ferrure
III.2.4.6. Ferrures orthopédiques
DEUXIEME PARTIE
ETAT ACTUEL DE LA MARECHALERIE AU SENEGAL
CHAPITRE PREMIER: MATERIEL ET METHODES
I.1 Cadre d’étude
I.1.1 localités choisies
I.1.2. Acteurs de la profession
I.2. Méthodologie
I.2.1. Période d’étude
I.2.2. Revue documentaire
I.2.3. Enquêtes
I.2.3.1. Enquête exploratoire
I.2.3.2. Population de l’étude
I.2.3.3. Enquête informelle
I.2.3.4. Enquête formelle
I.2.3.5. Traitement des données
CHAPITRE DEUXIEME
RESULTATS
II.1 Acteurs de la maréchalerie
II.1.1 Propriétaires des chevaux
II.1.1.1 Typologie des propriétaires
II.1.1.2. Exploitation et entretien des chevaux par leur propriétaire
II.2.2. Maréchaux-ferrants
II.2.2.1. Typologie et profil
II.2.2.2. Niveau d’équipement
II.2.2.3 Matériaux et techniques
II.2.3 Fournisseurs en matériels, instruments et matériaux de maréchalerie
II.2.3.1 Haras et quincailleries français
II.2.3.1 Centres équestres et quincaillerie de la place
II.2.3.3 Ferrailleurs et vendeurs de charbon
II.3 Aspects socio-économiques de la maréchalerie au Sénégal
II.3.1 Organisation et activité des maréchaux-ferrants
II.3.1.2 Activité des maréchaux-ferrants
II.3.2.3 Charges et recettes des maréchaux-ferrants
CHAPITRE TROISIEME : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
III.1. Discussion
III.1.1. Sur l’origine et l’évolutionde la maréchalerie au Sénégal
III.1.1.1. Origine de la maréchalerie
III.1.1.2 Evolution de la maréchalerie
III.1.2. Sur les acteursde la maréchalerie
III.1.2.1. Les propriétaires des chevaux
III.1.2.2 Les maréchaux-ferrants
III.1.3 Aspects socio-économiques
III.1.3.1 Législation et activités du métier
III.1.4.2 Charges et recettes des maréchaux-ferrants
III.2 Recommandations
III.2.1 Recommandations aux acteurs de la maréchalerie
III.2.1.1 Propriétaires des chevaux
III.2.1.2 Maréchaux-ferrants
III.2.2 Recommandations à l’Etat sénégalais
III.2.3. Recommandations aux institutions de formation
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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