ORGANISATION DU SYSTEME SANITAIRE

Le contrôle technique

Le contrôle technique des médicaments est assuré par le laboratoire de contrôle des médicaments qui est bien équipé. Les procédures de contrôle au niveau du laboratoire sont validées. Son financement est assuré par l’état et les partenaires au développement telles ; la Banque Mondiale et union économique.
Il y a cependant des difficultés à mobiliser ce budget. Pour ce qui concerne la formation du personnel du Laboratoire National de Contrôle des Médicaments (LNCM), il existe un programme annuel de formation cependant il y a un manque de personnel.

Le système de pharmacovigilance au Sénégal

Il est institué par arrêté ministériel N° 004012 du 02 juin 1998 et a pour objet, la surveillance du risque d’effets indésirables résultant de l’utilisation des médicaments ainsi que les manifestations indésirables liées à l’administration des vaccins, en vue des mesures à prendre pour diminuer ou supprimer leur impact sur la santé des populations.
Il est mis en œuvre par la direction de la pharmacie et des laboratoires et comprend en outre, la Commission Nationale de Pharmacovigilance, le Comité Technique du Médicament, le Comité technique des Vaccins et les Centres Régionaux de Pharmacovigilance. La surveillance des manifestations PostImmunisation (MAPI) a été renforcée.
En effet, les personnels de santé des districts ont été formés et sensibilisés sur les formulaires de collectes de données et surtout sur le système de pharmacovigilance .Cependant les difficultés rencontrées pour assurer un meilleur fonctionnement du système sont liées à un manque de clarification des rôles des acteurs principaux qui sont à la DPet à la Direction de la Prévention Médicale (DPM).

Les structures chargées de cette politique

La Direction des Pharmacies et du Médicament

Au plan institutionnel, la Direction de la Pharmacie et du Médicament (DP) a été créée en tant qu’autorité nationale de la réglementation. Elle est chargée, d’élaborer et de mettre en œuvre la politique pharmaceutique, l’inspection et l’enregistrement des médicaments. La formation des pharmaciens inspecteurs est une illustration de ses attributions.
Les missions essentielles de la DPse résument comme suit :
Élaborer et veiller à l’application des textes législatifs et réglementaires relatifs à la pharmacie, aux médicaments, aux substances vénéneuses, aux produits de laboratoire et aux dispositifs médicaux.
Ainsi, des lois, décrets et arrêtés ont fixé les conditions d’octroi de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) des médicaments, de l’administration des prix, de la substitution des médicaments, de l’ouverture des établissements pharmaceutiques, et de l’inspection.

l’Ordre National des Pharmaciens

L’Ordre National des Pharmaciens du Sénégal est institué par la loi N° 73- 62 du 19 décembre 1962. L’Ordre des pharmaciens est un établissement public à caractère professionnel, doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière. L’Ordre a pour objet d’assurer le respect des devoirs professionnels ainsi que la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession.
A sa tête, est placé un conseil national de l’ordre des pharmaciens, dont le siège est à Dakar.
Aucun pharmacien ne peut exercer son art sur le territoire du Sénégal s’il n’est pas régulièrement inscrit à l’ordre des pharmaciens, à l’exception des pharmaciens appartenant au cadre actif du service de la santé de l’Armée sénégalaise et des pharmaciens militaires étrangers servant au titre de l’assistance militaire.

La région médicale

L’échelon régional qui correspond à la région médicale comprend 11 régions médicales. C’est la structure de coordination du niveau régional ou intermédiaire et elle correspond à une région administrative. Elle est dirigée par un médecin spécialisé en santé publique qui est le principal animateur de l’équipe cadre composée de l’ensemble des chefs de service rattachés à la région médicale. Au niveau de chaque région, la référence régionale est représentée par un hôpital ou établissement public de sante (EPS) de niveau 2. Le Ministère de la Santé a initié la signature de contrats de performance avec les médecins-chefs de région dans lesquels les indicateurs liés au VIH/Sida, au paludisme et à la tuberculose occupent une place prépondérante.

Le niveau central

L’échelon central ou national comprend outre le cabinet du ministre, les 7 directions et services rattachés, les 7 Hôpitaux nationaux ou établissements publics de santé de niveau 3. En dehors du Programme Elargi de vaccination (PEV)qui est logé à la Direction de la Prévention Médicale, la Direction de la Santé comprend : la Division Sida /IST, le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNT)et le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP). La Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA), érigée en Etablissement Public de Santé (EPS), est chargée de l’achat des médicaments et produits sur le marché international, de la gestion et de la distribution au niveau périphérique par l’intermédiaire des Pharmacies Régionales d’Approvisionnement (PRA).
En résumé on a :
Les cases de santé : c’est le niveau communautaire du système de santé. La structure est communautaire. Elle est tenue par un ASC(Agent de Santé Communautaire).
Les postes de santé : C’est le premier niveau de structures de soins. Il est dirigé par un Infirmier Chef de Poste (ICP)diplômé d’Etat ou par un agent sanitaire dans les zones où il n’y a pas d’infirmiers. Les activités de soins de santé primaires y sont menées : Vaccination, Information éducation communication,
Soins primaires, Consultation prénatale, etc.
Les centres de santé : C’est le premier niveau où l’on trouve un médecin. On y mène des activités de soins et d’hospitalisation, des activités de maternité, de laboratoire, etc. C’est la structure de référence des postes de santé.
Les hôpitaux régionaux ou CHR: Plusieurs médecins y travaillent, surtout des spécialistes : ORL, Radio, Ophtalmo, Gynéco-Obstétrique, etc. On y mène des activités de soins, d’hospitalisation, de laboratoire, etc. C’est la structure de référence des centres de santé.
Les CHU : C’est le domaine des spécialités le plus élevé de la pyramide sanitaire; c’est également le lieu de formation des étudiants (Médecine, Pharmacie et Odontologie), du personnel en spécialisation [9].

La contrefaçon au Sénégal

La définition proposée par l’OMS constitue une référence malgré qu’elle varie énormément d’un pays à un autre. Elle fut proposée à la suite de la première réunion internationale sur les médicaments contrefaits, un atelier organisé conjointement par l’OMS et la Fédération Internationale de l’Industrie Pharmaceutique (FIIM)en 1992. Cet atelier a permis de retenir la définition suivante:
« Un médicament contrefait est un médicament qui est délibérément et frauduleusement muni d’une étiquette n’indiquant pas son identité et/ou sa source véritable. Il peut s’agir d’une spécialité ou d’un produit générique, et parmi les produits contrefaits, il en est qui contiennent les bons ingrédients ou de mauvais ingrédients, ou bien encore pas de principe actif et il en est d’autres où le principe actif est en quantité insuffisante ou dont le conditionnement a été falsifié ».
Au Sénégal un important réseau de vente illégale de médicaments existe et les produits concernés par cette vente illicite se présentent généralement sous forme de comprimés ou de crèmes dermiques. Le dynamisme de cette vente illégale de médicaments s’explique par certains aspects tels que:
– des prix plus abordables que ceux pratiqués dans les officines de pharmacie;
– la non application des textes législatifs (article 591 du code de la santé publique;
– le contrôle du marché parallèle par des autorités politiques, religieuses et économiques occultes.

L’insuffisance des moyens au niveau de la DP

Cette réglementation pharmaceutique ne sera appliquée correctement par les professionnels que lorsque le Sénégal disposera d’un corps de pharmaciens

Les dangers du marché illicite

La qualité des soins obtenus grâce au marché illicite est très en dessous des exigences qui permettent une efficacité optimale, c’est à dire une amélioration maximale de l’état de santé. Les conséquences de l’anarchie sur la vente de médicament sont autant d’ordre sanitaire qu’économique ; ce sont ces deux composantes que nous allons développer successivement.

Sur la santé des populations

L’échec thérapeutique, les phénomènes de résistance, les intoxications et la toxicomanie sont autant de conséquences directes de la vente du médicament comme un bien de consommation banal (sans contrôle ni réglementation).
Les défauts de qualité des médicaments qui sont distribués sur le marché illicite, accompagnés d’un usage irrationnel de ceux-ci, exposent la santé de chacun des individus qui y ont recours, mais aussi de manière plus globale, la santé publique ; à des dangers.

Echecs thérapeutiques

L’échec thérapeutique est très probable lorsque le malade a recours au médicament de la rue mais ne sera pas forcément visible aux yeux du consommateur. L’usage irrationnel et inadapté pénalisera le rétablissement du malade puisque le choix du médicament sera rarement approprié : par exemple, un traitement symptomatique sera souvent administré au dépend du traitement curatif. L’échec thérapeutique se traduira par une aggravation de l’état général de la personne au cours du temps, entrecoupée par de brèves périodes de soulagement du fait de la prise d’un traitement symptomatique. Le malade va mobiliser des sommes importantes pour apaiser sa douleur ou se redonner des forces au cours de sa maladie sans que la cause de son mal soit réellement traitée et prise en charge. Parfois c’est la posologie choisie qui sera inadaptée. La dose administrée ne sera pas suffisante (par soucis d’économie ou du fait de l’ignorance du vendeur et de l’acheteur) et ne permettra pas d’éradiquer complètement la maladie. Dans le cas extraordinaire où le traitement serait correctement prescrit et administré, la qualité intrinsèque du médicament acheté sur le marché illicite n’est pas garantie, pouvant amener de la même manière à un échec thérapeutique. Le développement de résistances aux antibiotiques est aussi une forme d’échec thérapeutique.

Résistances aux anti-infectieux

Sous l’effet du phénomène de « pression sélective » exercée par l’antibiotique, les bactéries sont soit éliminées par le traitement, soit sélectionnées. Celles qui s’adaptent et survivent, portent des gênes de résistance qu’elles peuvent ensuite transmettre. La sélection de ces germes est favorisée lorsque les doses d’antibiotique sont insuffisantes ou administrées sur une trop courte période. Toute utilisation inadéquate des antimicrobiens renforce considérablement la probabilité que les micro-organismes s’adaptent et se multiplient au lieu de disparaître.

Intoxication

Il est difficile d’avoir des informations précises sur les effets iatrogènes produits dans les pays en développement. Le travail réalisé par Hamado SAOUADOGO sur les dossiers cliniques des personnes hospitalisées au service des urgences du Centre Hospitalier National « Yalgado Ouédraogo » à Ouagadougou pour intoxication s’est confronté à de nombreuses contraintes dont le principal est la difficulté d’accès à l’information. Les médicaments du marché parallèle ne figurent pas systématiquement sur le dossier clinique et les antécédents ne sont pas systématiquement enregistrés. Le malade ne va pas forcement reconnaître qu’il s’est approvisionné sur le marché illicite et il sera peu évident de récupérer des informations claires et précises sur les produits qu’il aura ingéré. Pourtant de nombreuses personnes sont reçues en urgence pour des insuffisances rénales aiguës. Les troubles cardiaques, respiratoires et psychiques sont aussi nombreux puisque les consommateurs associent parfois café, alcool et plusieurs médicaments.

Toxicomanie

Le marché parallèle des médicaments favorise l’apparition de la toxicomanie du fait du non respect de la réglementation concernant certains produits potentiellement dangereux et pouvant entraîner une accoutumance. Le danger est d’autant plus grand que les consommateurs et les vendeurs sont rarement conscients de la toxicité de ces produits.

Au niveau des établissements publics de santé

La diminution de fréquentation baisse le budget des centres de santé qui commanderont les médicaments en plus faible quantité. La baisse en volume des commandes augmentera la proportion des coûts de transaction dans le budget.
L’insuffisance des fonds réunis exercera à son tour une contrainte sur le réapprovisionnement et le prix des médicaments. Si la fréquentation des centres de santé diminue, on comprend que les programmes en tout genre (vaccination, prévention, sensibilisation;…) qui s’appuient sur les professionnels de santé du secteur privé et public de tous les niveaux de la pyramide sanitaire auront un impact beaucoup moins important du fait qu’une part non négligeable de la population ne sera pas atteinte. L’éducation en santé des populations ne pourra s’effectuer efficacement et demandera des moyens beaucoup plus importants afin de faire passer l’information à l’ensemble de la population. Ces carences dans le fonctionnement du système de santé sont le fruit d’un manque de maîtrise des itinéraires thérapeutiques suivis par la population. Les malades, en se rendant sur le marché parallèle échappent à toute initiative de Santé Publique.

Impacts de ladite ville sur l’économie du pays

En dehors de son statut de carrefour commercial, la ville de Touba se distingue par le grand Magal que les musulmans célèbrent chaque année correspondant au 18 safar du calendrier musulman. Ce magal constitue une manne pour l’économie nationale. L’ampleur du Magal reste une preuve tangible pour illustrer la grâce que Dieu a accordée à Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké. Aujourd’hui, il apparaît de manière formelle qu’au-delà du religieux illustré par les prières, les offrandes et autres largesses, le Magal participe à l’émergence socio-économique du Sénégal. La ville sainte de Touba accueille en moyenne 3 millions de pèlerins au moins pendant 48 heures. Le Magal reste l’événement attendu par les habitants de Touba et un bon nombre de sénégalais et étrangers pour faire fructifier leurs affaires. Pendant la période du Magal, les entreprises voient leurs chiffres d’affaires augmenter grâce au tourisme, aux transferts d’argent, à la téléphonie et au commerce. Ainsi, à travers son caractère social, culturel, et économique, «on voit que le mouridisme est un projet de société qui aspire au développement humain».

Méthodologie

Nous nous sommes fixés essentiellement trois objectifs principaux qui étaient de:
– Décrire les caractéristiques de la vente à savoir, la provenance des médicaments vendus à Touba, les principales familles thérapeutiques rencontrées, les sites de vente et les modalités de la vente ;

CONCLUSION

La maîtrise du circuit du médicament doit garantir l’efficacité, la qualité et l’innocuité de ceux-ci. Dans de nombreux pays en développement, cette maîtrise fait défaut à tel point que beaucoup de médicaments sont retrouvés dans la rue.
Ainsi, la vente illicite des médicaments constitue un véritable problème dans ces pays à revenu intermédiaire et faible. Le recours à ce marché est intégré au quotidien, les vendeurs sont connus de la population et les zones concernées sont autant rurales qu’urbaines.
Les dangers pour la santé de ce que les pays d’Afrique francophone ont appelés « les médicaments de la rue » sont considérables. La consommation anarchique de médicaments a des répercussions dramatiques sur la santé des individus .Elle encourage le développement de résistances aux antibiotiques, échecs thérapeutiques, les intoxications diverses et le développement de toxicomanies.
Aujourd’hui, la concurrence acharnée imposée par le commerce illégal déstabilise les politiques nationales de santé en affaiblissant les structures de santé déjà existantes. Il est donc nécessaire et urgent d’agir. Les gouvernements des pays en développement connaissent les mesures de base pour la lutte contre ce fléau à savoir sensibiliser les populations sur les risques encourus, promouvoir le générique et réprimer les vendeurs.
La complexité des échanges, la multiplicité des acteurs et la diversité des enjeux impliqués dans la vente illicite des médicaments sont autant d’arguments qui nous ont poussés à effectuer une étude de la dite vente à Touba, qui constitue une véritable plaque tournante de cette vente illégale.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
I- POLITIQUE PHARMACEUTIQUE AU SÉNÉGAL
I-1- Législation et réglementation
I-1-1- Définition du médicament
I-1-2- Monopole pharmaceutique
I-1-3- Circuit officiel d’approvisionnement des médicaments au Sénégal
I-1-4- Gestion des médicaments et produits pharmaceutiques
I-1-5- Financement et coût des médicaments
I-1-6- L’assurance qualité des médicaments au Sénégal
I-2- Les structures chargées de cette politique
I-2-1- La Direction de la pharmacie et du médicament
I-2-2- Le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments
I-2-3- l’Ordre National des Pharmaciens
I-2-4- la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement(PNA)
I-2-5- Les Pharmacies Régionales d’Approvisionnement(PRA)
I-2-6- Secteur privé: grossistes répartiteurs et production locale
II- ORGANISATION DU SYSTEME SANITAIRE AU SENEGAL
II-1- Le district sanitaire
II-2- La région médicale
II-3- Le niveau central
III- LE MARCHE ILLICITE DES MEDICAMENTS AU SENEGAL
III-1- Essai de définition
III-2- Ampleur du phénomène
III-3- Organisation du circuit illicite d’approvisionnement
III-3-1- Sources internes
III-3-2- Sources externes
III-4- Qualité des médicaments du marche illicite
III-4-1-La contrefaçon au Sénégal
III-4-2- Contrefaçon et malfaçon
III-5- Les causes de la vente illicite des médicaments au Sénégal
III-5-1- Causes conjoncturelles
III-5-2- Causes structurelles
III-6- Les dangers du marché illicite
III-6-1- Sur la santé des populations
III-6-2- Sur l’économie du pays
I-CADRE DE L’ETUDE ET METHODOLGIE
I-1- Cadre de l’étude
I-1-1- Présentation de la ville de Touba
I-1-2- Données démographiques
I-1-3- Données socio-économiques
I-1-4- Données sur les structures sanitaires
I-1-5- Impacts de ladite ville sur l’économie du pays
I-2- Méthodologie
I-2-1- Sites de l’enquête
I-2-2- Population d’étude
I-2-3- Type d’enquête
I-2-4- Critères d’inclusion
I-2-5- Critères d’exclusion
I-2-6- Période d’étude
I-2-7- Echantillonnage
I-2-8- Collecte des données
I-2-9- Les Variables étudiées
I-2-10- Exploitation des donnés
I-2-11- Difficultés rencontrées
II- RESULTATS
II-1- Résultats de l’enquête menée auprès des vendeurs
II-1-1- liste des médicaments recensés chez les vendeurs ambulants
II-1-2- Répartition des vendeurs selon le sexe
II-1-3- Répartition des vendeurs selon l’âge
II-1-4- Répartition des vendeurs selon le niveau d’étude
II-1-5- Répartition des vendeurs selon le motif du choix de ce travail
II-1-6- Répartition des vendeurs selon leur connaissance sur les produits vendus
II-1-7- Répartition des vendeurs selon leur situation matrimonialeII-1-8- Répartition des vendeurs selon leur connaissance sur les effets indésirables de leurs produits
II-1-9- Répartition des vendeurs selon les conditions de vente de leurs produits
II-1-10- Répartition des vendeurs en fonction des interpellations sur l’efficacité de leurs produits
II-1-11- Répartition des vendeurs en fonction des types de problèmes
II-1-12- Répartition des vendeurs selon la consommation de leurs produits
II-2- Résultats de l’enquête menée auprès des consommateurs
II-2-1- Répartition des consommateurs selon le sexe
II-2-2- Répartition des consommateurs selon l’âge
II-2-3- Répartition des consommateurs selon le niveau d’étude
II-2-4- Répartition des consommateurs selon la Connaissance sur l’origine des produits
II-2-5- Répartition des consommateurs selon la pathologie ou l’état répertorié
II-2-6- Répartition des consommateurs selon le rythme d’utilisation des médicaments
II-2-7- Répartition des consommateurs selon leur avis sur l’efficacité du traitement par les médicaments du marché illicite
II-2-8- Répartition des consommateurs selon leur avis sur l’influence de la bonne conservation du produit sur son efficacité
II-2-9- Répartition des consommateurs selon la confiance accordée aux vendeurs
II-2-10- Répartition des consommateurs selon les troubles observés suite à la prise des médicaments du marché illicite
III- DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *