organisation du cabinet NPNM AUDIT

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nature des prestations du cabinet

Le cabinet fournit une large gamme de services, il étend ses activités dans deux (2) champs d’action: l’audit et le commissariat au compte.
audit
C’est une vérification indépendante par un examen suffisamment étendu en vue d’exprimer une opinion motivée sur la sincérité et la fidélité de la situation financière, du résultat d’exploitation, de l’évolution de la situation financière pour un exercice donné.
L’audit contractuel est effectué par un cabinet d’audit à la demande expresse d’un client. Les modalités d’intervention sont alors déterminées par le cabinet avec le client, en fonction de ses besoins.
Son  champ d’application est tout ce qui concourt à la détermination de résultat8 comme : société commerciale, établissement public, association ou ONG et projet.
Son contrat contient  l’identification  du  Client  et  l’auditeur,  l’Objectif  de l’audit, les responsabilités des parties, la durée et le calendrier, la méthodologie et le coût de l’intervention.

commissariat au compte :

Le commissariat au compte ou audit légal est régi par la loi sur les sociétés commerciales à Madagascar. Nul ne peut être commissaire au compte sans avoir le titre d’expert-comptable.
Son objectif est de certifier la régularité et la sincérité des comptes. Il utilise les techniques d’audit pour mener à bien sa mission.  Il est aussi une activité obligatoire orientée vers l’environnement de l’entreprise.
Ses modalités d’intervention, sa finalité et sa périodicité sont déterminées par des critères légaux et réglementaires. Il est mandaté et nommé par l’assemblé général.
Les sociétés commerciales, SA et SARL constituent le domaine intéressé de Cac.
Normalement, le SARL est conditionnée par l’un des 3 critères suivants :
–  Capital social > Ar 20 000 000
–  CA > Ar 200 000 000
-Effectif de personnel permanent > 50.

Explication de l’organigramme

L’Associé-Gérant représente le cabinet. Il a la responsabilité ultime d’un mandat et assure le respect des normes d’audit. Outre ses fonctions stratégiques dans la gestion du cabinet, il a notamment les responsabilités de maintenir le contact avec les clients, planifier et superviser les missions. Il est le signataire des rapports d’audit. Selon 10 l’importance des clients, le nombre de missions dont il est responsable peut varier. Il révise en détail le rapport de l’auditeur, les états financiers et les recommandations avant de les soumettre à l’associé.
Il existe deux (02) Directeurs de mission ou Managers qui sont experts comptables et financiers. Ils définissent aussi la stratégie et la planification. Ils supervisent les travaux sur terrain et le rapport d’audit. Ils sont aussi en contact avec le client.
Le Chef de mission ou le senior : regroupe deux (02) experts comptables et financiers stagiaires et un auditeur. Il assure la conduite de mission sur terrain. Il fait la revue des travaux. Il réalise la préparation et la rédaction du rapport d’audit. Il est aussi en contact permanent avec le client. Il est le principal représentant du cabinet sur le terrain. Il informe chaque membre de l’équipe du travail à faire. Il s’assure qu’il n’y ait pas d’éléments en suspens non réglés à son niveau. Le senior effectue la revue des états financiers, du projet de rapport et du projet de recommandation au client.
L’Auditeur expérimenté ou le junior II: il est assuré par un seul auditeur. Il exécute également la conduite de mission sur terrain et fait la revue de travaux. Il réalise autant la préparation et la rédaction du rapport. D’ailleurs, il exécute les travaux sur terrain.
L’Auditeur assistant rassemble cinq (05) auditeurs. Ce sont le nouveau recruté. Il passe la plupart de son temps chez le client, c’est encore celui qui exécute tout le travail demandé par le chef de mission. Il accomplit les tâches spécifiques qui lui sont attribuées et a besoin habituellement d’être bien encadré. Il rend compte au senior tous les problèmes rencontrés avant d’en discuter avec le client. L’Assistante de direction effectue toutes les tâches administratives comme la préparation des documents à faire signer, la réception des factures. Elle assiste dans la gestion du personnel en vérifiant chaque feuille de temps du personnel ainsi que dans des autres tâches administratives du cabinet. Elle est appuyée par un coursier pour le règlement de quelques affaires sociales et fiscales du cabinet.
autres matériels utilisés 11
Le cabinet dispose des dossiers dans lesquels pourraient être définir les conditionnalités de financement. Donc, pour pouvoir réaliser ce travail, il faut présenter ces dossiers et le projet objet de l’étude afin de mieux maitriser les procédures de financement.
référentiels utilisés :
Les normes sont le référentiel qui se définit un ensemble de prescription s’imposant à une organisation ou retenue par elle et auxquelles un auditeur va se référer pour comparer ce qu’il va constater à ce qui devrait être. Il y a trois (03) catégories des normes, à savoir les :
-normes de comportement : les normes professionnelles posent clairement un ensemble de règles professionnelles propres à garantir le bon exercice des missions.
-normes de travail : les normes professionnelles ont trait au cadre ou à l’esprit dans lequel doit travailler le vérificateur.
-normes de rapport : elles ont pour le membre de l’Ordre un caractère obligatoire.
Tout cela est justifié par les normes d’audit, les normes comptables et autres référentiels.
normes d’audit
Ce sont les normes ISA (International Standard of Audit) et ISRS (International Standard on Related Services).
• normes ISA 200 à 800
Une mission d’audit doit être effectuée selon les normes internationales de l’audit ISA et de l’IFAC ou fédération internationale de comptable. En effet, les normes utilisées à Madagascar sont inspirées par la combinaison des normes ISA et IFAC. Le cabinet utilise les normes ISA 200 à 800 comme un outil important pour exécuter le travail d’audit au sein d’une société ou d’un organisme. A titre de résumé, ce norme stipule les conditions à respecter par les auditeurs pendant l’audit afin d’atteindre l’objectif. Le 12 résumé de la Norme ISA 200 à 800 se trouve en annexe I.
• normes ISRS 4400
L’origine de la norme ISRS 4400 est les normes ISA 920. Elles sont applicables et spécifiques pour l’audit des projets. La norme ISRS 4400 concernant les «Missions d’exécution de procédures convenues en relation avec les informations financières» qui couvre les missions relatives aux informations financières peut également fournir des orientations utiles pour les missions concernant des informations non financières, étant entendu que l’auditeur maîtrise adéquatement la connaissance du sujet considéré et qu’il existe des critères raisonnables sur lesquels il puisse fonder ses observations.
normes comptables :
La comptabilité est un système d’organisation de l’information financière permettant de saisir, classer, évaluer, enregistrer des données de base chiffrées ou non correspondant aux opérations de l’entité et de présenter des états financiers donnant une image fidèle de la situation financière, de la performance et de variations de la situation financière de l’entité à la date de clôture des comptes.
Les normes comptables sont cohérentes avec les normes IAS/IFRS. Leur cadre réglementaire est rendu officiel par le décret 2004-272 du 18 février 2004, constitué par le guide sectoriel suivant arrêté du 11 janvier 2005, le guide annoté du PCG 2005 suivant arrêté n°3169 du 14 avril 2005. Leurs champs d’applications s’intéressent à toutes les personnes physiques ou morales astreintes et soumises au code de commerce, à toutes entreprises publiques ou parapubliques ou économie mixte, à toutes les associations ou ONG ou coopératives et à toutes les entités produisant des biens ou des services si leur activité économique est fondée sur des actes répétitifs.
autres référentiels
Les autres référentiels concernent le Code Général des Impôts (CGI) et la Loi de Finance (LF) pour la fiscalité ; le Code de travail, le Code de prévoyance et la Médecine d’entreprise pour la Paie et le personnel et les textes légaux et règlementaires du secteur d’activité du client. Chaque référentiel a son propre importance dans la réalisation 13 de la mission.
projet objet de l’étude
Un projet est maintenu à l’étude, on est astreint de respecter l’anonymat du projet pour la raison du secret professionnel. Donc, le projet est nommé projet X et il est choisi comme une référence de l’étude. Ce paragraphe expose ses caractéristiques avec quelques informations sur son cadre logique, son bailleur de fonds et son bénéficiaire.
bailleur du projet : UNION EUROPEENNE 15
Le temps ne permet pas d’exposer tous les cas des différents bailleurs de fonds, alors l’Union Européenne est choisi. Elle forme un groupe avec des ONG pour mener des projets sociaux. Selon elle, les trois (03) phases d’un projet comportent six (06) cycles dont la première est constituée par les cycles programmation, identification, instruction et financement. La seconde est formée par le cycle mise en œuvre du projet et le cycle évaluation constitue la dernière phase.
Les directives de l’U.E en matière d’audit sont définies dans les termes de référence ou TdR portant notamment sur l’identification du projet et son contexte, les spécifications du plan d’audit, les objectifs d’audit, les modalités et le format du rapport d’audit,…
Le plus souvent, les projets financés par l’U.E sont cofinancés par des autres bailleurs. Comme le cas du projet X, il est cofinancé par le GSDM ou Groupement Semis Direct de Madagascar dont l’ONG responsable à Madagascar est membre, par la FAO ou Food and Agriculture Organization suivant des contrats de prestation.
bénéficiaire : ONG
Les bénéficiaires se sont des organismes sociaux ou des personnes physiques qui demandent des fonds jugés obligatoires pour la réalisation de leur projet. Ils sont caractérisés par une triple conditions à respecter que les bailleurs ne vont pas prêter à ce qui ont fait la demande sans les assurer, à savoir, qu’ils sont capables de rembourser le fonds dans un délai négocié ; d’utiliser l’argent selon l’objectif de l’accord et de fournir une garantie pour confiance.
La dite ONG est dirigée par un représentant français. Elle est une association professionnelle française de solidarité internationale, qui agît depuis plus de trente (30) ans dans une quarantaine de pays. Elle intègre systématiquement le souci de l’après-projet, c’est-à-dire l’objectif de pérennité économique, sociale, environnementale et institutionnelle des dispositifs.
Elle n’a pas de vocation à gérer des actions de façon permanente, mais à 16 participer à la construction de politiques publiques et de dispositifs institutionnels capable de mettre en œuvre à plus grande échelle les innovations expérimentées. Cela passe par des actions dans la durée, par une insertion approfondie dans des pays, et par la capacité à les quitter sans couper le lien. Quelques informations concernant cet ONG se situe dans le tableau II en annexe III.
La raison d’être d’un bénéficiaire est l’existence des financements externes qui sont des fonds accordés aux organismes ou ONG par les bailleurs pour exécuter le projet. Ce sont des subventions qui sont destinées au financement d’activité limitée dans le temps et dont l’utilisation doit se faire conformément au budget convenu avec les partenaires financiers. Les financements externes sont considérés comme une dette de l’organisation envers le bailleur et doivent être justifiés conformément à la fréquence convenue dans le protocole de partenariat.
Ce chapitre matériels montre tous les détails nécessaires pour justifier la zone de l’étude et le projet. Cela amène à entamer le chapitre méthodes.
La réalisation de tout travail scientifique doit obéir à une démarche logique qui impose des règles rigoureuses devant guider l’esprit du chercheur dans l’établissement de la vérité. La description des méthodes est composée par le cadre théorique et le cadre pratique.
cadre théorique
Cette section expose les notions théoriques qui sont en rapport avec le thème.
Diagramme d’ISHIKAWA
Le diagramme d’Ishikawa est un outil qui permet d’identifier les causes possibles d’un effet constaté et donc de déterminer les moyens pour y remédier. Cet outil se présente sous la forme d’arêtes de poisson classant les catégories de causes inventoriées selon la loi des 5M (Matière, Milieu, Main d’œuvre, Matériel, Méthode). Ce diagramme est représenté .
supports documentaires et de recherche
causes de l’audit 
Par l’analyse de 5M nous pourrons citer les différentes causes suivantes :
Tout projet doit sujette à un audit parce que le bailleur de fonds l’exige pour éviter la mauvaise pratique de gestion dans certains cas.
La plupart des organismes ont montré très peu de capacité à assurer une bonne 18 gestion financière or ils dépendent largement de financement externe pour mener à bien leur mission et élargir leurs activités. C’est la raison pour laquelle que tout projet à financement externe ne peut pas s’échapper de l’audit.
un projet doit passer également à un audit pour éviter les risques fiscal, juridique et social dans le pays bénéficiaire.
effets de l’audit :
Selon cette méthode, les effets des causes précédentes sont cités comme suit : l’intervention de l’audit conduit à la maximisation de la chance de réussite du projet en obtenant des recommandations qui contribuent à la réussite. l’audit expose toujours des recommandations nécessaires pour réduire les risques d’échec du projet. toute information financière certifiée par l’audit accroit la confiance de l’administration fiscale. C’est pour cela que l’audit peut découvrir les aspects problématiques et déterminer les causes possibles des difficultés. l’audit sert d’outil au projet afin d’éviter la répétition des erreurs du passé.
Section II : cadre pratique
Le cadre pratique énonce les collectes des données et le compte rendu du stage.
collectes des données et des informations
La collecte d’information est nécessaire afin de recueillir le maximum de données possibles. Plusieurs méthodes de collecte d’information sont à notre disposition, par conséquent, on expose quelques-unes.
visite d’entreprise
Une semaine de visite d’entreprise et de voyage d’étude a été mené par le département gestion pour que les étudiants puissent exploiter des connaissances plus convaincantes. Cela nous apporte de développer nos connaissances.
recherche documentaire 
Trois (03) documents sont consultés au sein du cabinet : les normes d’audit, la formation en audit financier (programme de vérification) et quelques types de documents de projet audité par le cabinet. Le projet X est pris comme échantillon de l’étude. Ces documents permettent de dégager l’approche des auditeurs du cabinet et les caractéristiques du projet audité.
recours au site web
Les sites Internet renseignent des informations qui doivent être nécessaires pendant l’encadrement et ils servent beaucoup d’idées afin d’améliorer la qualité des informations et les actualisées ainsi que de compléter la connaissance. Le recours au site web renforce le degré de la véracité de la plupart des résultats de la recherche.
compte rendu du stage
Un stage de quatre (04) mois a été effectué au sein du Cabinet NPNM AUDIT.
Il permet de dégager les informations nécessaires à la préparation de ce mémoire.
enquête au près de personnel
L’enquête est un des outils importants pendant la phase de collecte d’information, il est primaire par le biais d’un questionnaire sur le terrain qui est présenté en annexe II.
Il est impossible de recueillir les avis de tous les personnels, alors l’échantillon est limité à quelque auditeur et expert-comptable du cabinet. Le questionnaire est rédigé selon les éléments recueillis pendant la pré-enquête. Le dépouillement des réponses est établi manuellement. Les questions sont classées suivant le degré de liberté de réponse et la plupart est des questions ouvertes pour que l’échantillon puisse exprimer des réponses libres.
observation directe
Pendant le quatre (04) mois de stage, la démarche procède à l’observation directe de chaque catégorie d’emploi afin de déterminer clairement et précisément les tâches ainsi que les exigences requises pour le poste observé. Des informations nécessaires 20 sont retenues avec notre participation dans la réalisation de quelque tâche.
terrain
C’est l’outil le plus essentiel non seulement en tant que pratique mais aussi pour le développement de la connaissance en la matière. Il nous aide à formuler toutes les recommandations utiles. Il peut être la base de tous les résultats obtenus et la qualité de celui-ci dépend de sa fiabilité. L’audit du projet X est passé sur terrain pendant trois (03) semaines. Nous sommes astreints de respecter certaines informations concernant les projets même si nous étions assistés pendant leur stade d’audit.
La vérification des pièces justificatives ou le pointage, l’inventaire des immobilisations, le contenu d’une convention, le recoupement par des valeurs significatives sont quelques connaissances que nous avons retenues.
traitement des données conduisant aux résultats
Que seraient les études sans le traitement des données ? Quelles que soient les techniques de collecte utilisées, les informations brutes obtenues ne peuvent servir que si elles sont traitées. Le traitement est important parce qu’il assure la qualité de l’étude et il permet de tirer des bonnes conclusions.
• l’analyse d’ISHIKAWA
Cette analyse est renforcée par le diagramme d’ISHIKAWA dont le tableau récapitulatif de l’analyse se trouve dans le tableau III en annexe IV.
limite de l’étude
L’équipe du cabinet procède à l’audit du projet X depuis 2010 mais l’étude se limite sur l’audit de l’année 2012. Donc la recherche est représentative de l’audit du projet X 2012.
chronogramme
Pour le respect du calendrier du stage, un chronogramme a été établi préalablement. Ce chronogramme résume et définit les tâches à accomplir durant le stage de fin d’étude. Il a été élaboré à partir d’un modèle de GANTT et donne un aperçu des travaux accomplis par rapport aux temps alloués et à la planification du travail.

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Table des matières

INTRODUCTION
Partie I : : MATERIELS ET METHODES
Chapitre 1 : MATERIELS
Section I : zone de l’étude
1.1- identification du cabinet NPNM AUDIT
1.1.1-historique
1.1.2- ressources du cabinet
1.1.2.1- ressources matérielles
1.1.2.2- ressources humaines
1.1.3-nature des prestations du cabinet
1.1.3.1- audit
1.1.3.2- commissariat au compte
1.2- organisation du cabinet NPNM AUDIT
1.2.1- organigramme du cabinet
1.2.2-explication de l’organigramme
Section II : autres matériels utilisés
2.1- référentiels utilisés
2.1.1- normes d’audit : ISA-ISRS
2.1.2- normes comptables
2.1.3- autres référentiels
2.2- projet objet de l’étude
2.2.1- caractéristiques du projet
2.2.2- bailleur du projet : UNION EUROPEENNE
2.2.3- bénéficiaire : ONG
Chapitre II : METHODES
Section I : cadre théorique
1.1- diagramme d’ISHIKAWA
1.2- supports documentaires et de recherche
1.2.1-causes de l’audit
1.2.2-effets de l’audit
Section II : cadre pratique
2.1- collectes des données et des informations
2.1.1-visite d’entreprise
2.1.2-recherche documentaire
2.1.3-recours au site web
2.2-compte rendu du stage
2.2.1-enquête auprès de personnel
2.2.2-observation directe
2.2.3-terrain
2.3- traitement des données conduisant aux résultats
 analyse d’ISHIKAWA
2.4-limite de d’étude
2.5- chronogramme
PARTIE II : RESULTATS
Chapitre I: CONNAISSANCES DE FONCTIONNEMENT DE GESTION DE PROJET
Section I – méthodes de décaissement
1.1- conditions d’éligibilité des dépenses
1.2- différentes méthodes de décaissement
1.2.1-méthode d’avancement de fonds
1.2.2-méthode de remboursement des dépenses
1.2.3-méthode de paiement direct
1.2.4-méthode de paiement par lettre de crédit
Section II – bonne gouvernance du projet
2.1- gestion financière saine
2.1.1-utilisation économique efficiente et efficace du fonds
2.1.2-gestion sincère par rapport à la convention
2.1.3-fiabilité du système comptable
2.2- quelques conditions nécessaires pour la gestion
2.2.1-coopération
2.2.2-participation
2.2.3-gestion participative
Section III – mise en évidence des tendances lourdes
3.1- contrat de gestion de projet
3.2- exigences de partenaire
3.3- causes racines par l’analyse SWOT
Chapitre II : CONNAISSANCE DE L’AUDIT DES PROJETS
Section I – approche des auditeurs
1.1-raison d’être de l’audit
1.1.1- définitions
1.1.2- nature de l’audit comptable et financier
1.2- approche méthodologique du cabinet
1.2.1- stratégie d’audit
1.2.2- planification d’audit
1.2.3- étapes d’intervention et d’obtention des éléments probants
Section II : documents de projet nécessaires à l’audit
2.1- documents écrits
2.1.1- accord avec les partenaires
2.1.2- comptes financiers
2.2- cycles de projet analysés
2.2.1- cycle financement ou caisse
2.2.2- cycle décaissement
2.2.3- cycle immobilisation
2.2.4- cycle paie
2.2.5- gestion des marchés et/ou conventions
Section III : difficultés rencontrées par l’auditeur
3.1- problèmes liés au projet
3.2- problèmes liés au cabinet
3.3-limites de l’audit
PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Chapitre I : DISCUSSIONS
Section I – effets des problèmes susmentionnés
1.1- conséquences des tendances lourdes en gestion
1.1.1- risque de suspension de financement
1.1.2-risque de restitution de fonds
1.2- effets des problèmes d’audit
1.2.1- effets liés au projet
1.2.2- effets liés au cabinet
Section II – impacts de l’audit sur le projet
2.1- fiabilité des informations financières
2.1.1- fiabilité
2.1.2- utilité du rapport d’audit
2.1.3- influence du rapport d’audit
2.2- impacts au niveau des erreurs et des fraudes
2.2.1- diminution de risque d’erreurs au niveau EF
2.2.2- diminution des fraudes potentielles
2.3- les impacts sur le contrôle interne et les procédures
2.3.1-amélioration de contrôle interne
2.3.2-détection des failles au niveau des procédures
2.4- financement externe et audit
2.4.1- concepts primordiaux d’une gestion efficace
2.4.2- intervention de l’audit dans un projet
Chapitre II : RECOMMANDATIONS
Section I- solutions possibles
1.1-au niveau du cabinet
1.1.1- personnel
1.1.1.1- personnel en général
1.1.1.2- formation des équipes d’audit
1.1.1.3- organisation des équipes
1.1.2-organisation
1.1.2.1-organisation interne
1.1.2.2- gestion du personnel
1.2- pour le projet et son contrôle interne
1.2.1- amélioration de l’achat
1.2.2- amélioration de la paie
1.2.3- amélioration de la trésorerie
1.2.4- amélioration du projet
Section II- choix de solution prioritaire
2.1- critères d’évaluation
2.2- évaluation des solutions
2.3- impacts des propositions
2.3.1- avantages
2.3.2- inconvénients
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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