Organisation de l’approvisionnement dans les trois centres de collecte de Dahra, Sagatta et Déali 

Formation et professionnalisation des éleveurs

Au niveau de la filière, dans le système traditionnel, il existe une absence de spécialisation des producteurs surtout en amont. L’éleveur est, en même temps, producteur de lait et de viande. L’absence d’un programme de formation et de professionnalisation des éleveurs dans le domaine de la production laitière en est une cause mais un tel programme se heurteraitaujourd’hui à un manque de techniciens qualifiés en nombre suffisant et susceptibles de former les producteurs. Ainsi, tout programme de formation dans la filière lait devra intéresser aussi bien les producteurs que l’encadrement technique.

La recherche vétérinaire et zootechnique

Les Centres de Recherches Zootechniques (CRZ) de Dahra etde Kolda sont en léthargie du fait de contraintes budgétaires qui limitent leur action en matière de recherches zootechniques et vétérinaires. Au niveau du Laboratoire National d’Elevage et de Recherche Vétérinaires (LNERV), les problèmes sont similaires.
S’ils sont disponibles, les résultats de recherche souffrent de beaucoup d’obstacles à leur application correcte. Ils sont en effet, soit ignorés, soit mal ou peu appliqués. Les raisons de cette situation relèvent essentiellement de deux facteurs que sont :
– l’insuffisance de l’implication des partenaires dans le choix des priorités de recherche et dans l’évaluation des technologies proposées ;
– la faiblesse des interactions entrela recherche et le développement.
A ces deux contraintes, il convient d’ajouter que le transfert et la diffusion des acquis de la recherche sont liés à des mesures d’accompagnement qui font souvent défaut, comme la formation de techniciens susceptibles de servir de relais entre la recherche et les producteurs.
Pour ce qui est spécifique à laproduction laitière, à part les tentatives d’introduction de races laitières à haut potentiel génétique dans les Niayes, on constate l’absence d’un programme de recherche/action conséquent en dehors des actions liées à l’insémination artificielle.
Avec le regain d’intérêt que suscitent l’amélioration génétique et la modernisation de l’élevage, il est urgent de concevoir un programme de dynamisation des centres de recherches vétérinaires et zootechniques, en vue de leur permettre de jouer pleinement leur rôle dans le transfert des technologies, et notamment, dansl’utilisation des biotechnologies animales.

La collecte et lacommercialisation du lait

L’un des obstacles majeurs au développement de la production laitière est constitué par l’ensemble des contraintes liées à la collecte et la transformation du lait, en raison de la dispersion des exploitations et de l’enclavement des zones de production. On imagine l’importance de ces contraintes, si on sait que le lait est une denrée hautement périssable alors que le principalprocédé de transformation utilisé est la production de beurre cuit dont les rendements sont faibles car il faut 20 à 25 litres de lait frais pour un litre de beurre cuit.
La couverture de la demande locale en lait et produits laitiers n’est pas satisfaite par le production locale du fait des contraintes techniques et économiques. Ainsi, les importations constituent le seul moyen pour combler le déficit de l’insuffisance de l’offre locale.

Les conditions de l’élevage bovin au Sénégal

Les considérations ethno-sociologiques conditionnent la conduite des troupeaux qui se traduit le plus souvent en terme de possession ou patrimoine plutôt qu’en terme d’exploitation comme la production laitière. Le maintien et plus encore l’augmentation du nombre de têtes demeurent l’objectif des éleveurs. Ce n’est que récemment que la croissance quantitative des troupeaux a été freinée dans plusieurs pays de l’Afrique par suite de la pression foncière exercée par les agriculteurs à la recherche de nouvelles terres à exploiter, diminuant par là même les possibilités de parcours (prairies et zones de transhumance) (Metzger et coll., 1995). Ainsi par exemple au Burundioù la pression démographique est particulièrement forte, le nombre de bovins est en sensible régression.
Les objectifs traditionnels d’exploitation prenaient peu en compte la production laitière des troupeaux et rarement la production deviande. C’est seulement depuis 10 ou 15 ans, avec l’intensification des échanges marchands et la très forte croissance démographique et son corollaire l’explosion urbaine générale que les éleveurs d’un côté et de l’autre les responsables économiques – privés ou publics – ont ressenti le besoin d’organiser, d’améliorer, d’encourager la production laitière dans un double souci d’approvisionnement des populations urbaines et de développement rural. Mais les filières lait qui se sont mises en place spontanément pour répondre à la demande n’ont pas toujours entraîné les effets escomptés, particulièrement en amont où la productivité reste médiocre. Pour pallier cette insuffisance, il a été fait largement appel aux importations qui aujourd’hui couvrent une bonne partie d’une demande encore trop modeste au regard du minimum souhaitable.

Les systèmes de production laitière

Evolution des systèmes de production

Il subsiste actuellement en Afrique, en général, et, au Sénégal, en particulier, un système traditionnel dominant d’élevage bovin aux mains des ethnies qui de tout temps ont eu pour activité principale la conduite de troupeaux. Au Sénégal, ces éleveurs appartiennent en majorité à l’ethnie Peul. La recherche de pâturages reste un objectif primordial pour les conducteurs de troupeaux, recherche qui s’est longtemps traduite par un nomadisme permanent. Aujourd’hui le nomadisme recule devant différentes contraintes, notamment l’effet de l’emprise agricole. La mobilité reste cependant un élément nécessaire à la survie. La transhumance saisonnière ou le déplacement quotidien permet de trouver un minimum de nourriture, lorsque la saison sèche s’installe. Une évolution des systèmes d’élevage nomades semble nécessaire pour nombre de transhumants : fixation,utilisation de sous produits agro-alimentaires, de coproduits agricoles, de cultures fourragères.
Les sécheresses sévères depuis 1973 en Afrique de l’Ouest, la volonté politique de sédentariser les nomades, le désir pour les pasteurs d’intégrer leurs enfants dans un système agro-pastoral plus porteurd’avenir grâce à l’éducation, la diversification des activités ont conduit la plupart des nomades à sefixer, la nécessité de transhumer se faisant sur une période plus courte et avec une partie seulement du troupeau (mâles, vaches taries) (Metzger et coll., 1995).
En se sédentarisant, les éleveurs ont souvent développé des activités de cultures, alors que parallèlement les agriculteurs ont vu dans les activités d’élevage une possibilité de diversifier leurs productions tout en bénéficiant des animaux comme force de travail et source d’engrais (fumier).
Mais, aujourd’hui la croissance démographique en zone rurale restreint les parcours et les pâturages nécessaires aux animaux alors que s’accroît la pression foncière, et l’on assiste à des conflits plus ou moins intensesentre activités d’élevage et cultures.
A proximité des centres urbains, la demande en produits alimentaires s’est accrue, entraînant un passage progressif des systèmesd’élevage extensif vers des systèmes agro-pastoraux plus intensifs nécessitantune nouvelle approche de la conduite des troupeaux (sélection, complémentation, soins vétérinaires…).

Situation actuelle des systèmes de production

En considérant que le nomadisme pastoral a reculé, on retrouve actuellement selon Diao (2003) trois systèmes d’élevage au Sénégal.

Le système pastoral traditionnel et le système agro-pastoral

Le système pastoral traditionnel est un élevage extensif qui utilise des parcours très vastes et dans lequel plus de 50 % du revenu brut proviennent de l’élevage. Présent dans deux zones au Nord (figure 2) et au Centre-nord du pays (le Ferlo et la Vallée du Fleuve), ce système intéresse 30 % du cheptelnational bovin et participerait à hauteur de 38 % à la production nationale de lait (Diao, 2003). Ce mode d’élevage est en recul du fait de la sédentarisation progressive des populations pastorales et la progression des zones de cultures.
Le système agro-pastoral se trouve davantage dans les zones à vocation mixte du Centre (Bassin arachidier) et du Sud du pays (figure 2). Il englobe près de 70 % du cheptel bovin et fournirait61 % de la production nationale de lait (Diao, 2003).
Considéré comme un moyen d’épargne et un outil de production(traction animale), le cheptel bovin bénéficie de sous-produits agricoles et agro-industriels(fanes et tourteaux d’arachide, graine de coton,tourteau de sésame, etc). C’est dans le système agropastoral que l’on trouve des essais d’implantation de petites filières de lait local (généralisation de la complémentation des vaches en production, organisation d’un réseau de collecte du lait et mise en place depetites unités de transformation du lait).

Le système intensif

Apparu au début des années 1980, le système intensif est le fruit de l’initiative privée d’origine citadine, mais avec l’appui des institutions publiques (recherche). Il est localisé dans les régions de Dakar et de Thiès (figure 2) et utilise des races exotiques. Il existe un cheptel laitier d’environ 1000 vaches dont les performances assez faibles ne permettent qu’une production d’un million de litre par an, soit moins de 1 % de la production nationale(Diao, 2003).

Les conditions de l’élevage bovin au Sénégal

Les considérations ethno-sociologiques conditionnent la conduite des troupeaux qui se traduit le plus souvent en terme de possession ou patrimoine plutôt qu’en terme d’exploitation comme la production laitière. Le maintien et plus encore l’augmentation du nombre de têtes demeurent l’objectif des éleveurs. Ce n’est que récemment que la croissance quantitative des troupeaux a été freinée dans plusieurs pays de l’Afrique par suite de la pression foncière exercée par les agriculteurs à la recherche de nouvelles terres à exploiter, diminuant par là même les possibilités de parcours (prairies et zones de transhumance) (Metzger et coll., 1995). Ainsi par exemple au Burundioù la pression démographique est particulièrement forte, le nombre de bovins est en sensible régression.
Les objectifs traditionnels d’exploitation prenaient peu en compte la production laitière des troupeaux et rarement la production deviande. C’est seulement depuis 10 ou 15 ans, avec l’intensification des échanges marchands et la très forte croissance démographique et son corollaire l’explosion urbaine générale que les éleveurs d’un côté et de l’autre les responsables économiques – privés ou publics – ont ressenti le besoin d’organiser, d’améliorer, d’encourager la production laitière dans un double souci d’approvisionnement des populations urbaines et de développement rural. Mais les filières lait qui se sont mises en place spontanément pour répondre à la demande n’ont pas toujours entraîné les effets escomptés, particulièrement en amont où la productivité reste médiocre. Pour pallier cette insuffisance, il a été fait largement appel aux importations qui aujourd’hui couvrent une bonne partie d’une demande encore trop modeste au regard du minimum souhaitable.

Les systèmes de production laitière

Evolution des systèmes de production

Il subsiste actuellement en Afrique, en général, et, au Sénégal, en particulier, un système traditionnel dominant d’élevage bovin aux mains des ethnies qui de tout temps ont eu pour activité principale la conduite de troupeaux. Au Sénégal, ces éleveurs appartiennent en majorité à l’ethnie Peul. La recherche de pâturages reste un objectif primordial pour les conducteurs de troupeaux, recherche qui s’est longtemps traduite par un nomadisme permanent. Aujourd’hui le nomadisme recule devant différentes contraintes, notamment l’effet de l’emprise agricole. La mobilité reste cependant un élément nécessaire à la survie. La transhumance saisonnière ou le déplacement quotidien permet de trouver un minimum de nourriture, lorsque la saison sèche s’installe. Une évolution des systèmes d’élevage nomades semble nécessaire pour nombre de transhumants: fixation,utilisation de sous produits agro-alimentaires, de coproduits agricoles, de cultures fourragères.
Les sécheresses sévères depuis 1973 en Afrique de l’Ouest, la volonté politique de sédentariser les nomades, le désir pour les pasteurs d’intégrer leurs enfants dans un système agro-pastoral plus porteur d’avenir grâce à l’éducation, la diversification des activités ont conduit la plupart des nomades à sefixer, la nécessité de transhumer se faisant sur une période plus courte et avec une partie seulement du troupeau (mâles, vaches taries) (Metzger et coll., 1995).
En se sédentarisant, les éleveurs ont souvent développé des activités de cultures, alors que parallèlement les agriculteurs ont vu dans les activités d’élevage une possibilité de diversifier leurs productions tout en bénéficiant des animaux comme force de travail et source d’engrais (fumier).
Mais, aujourd’hui la croissance démographique en zone rurale restreint les parcours et les pâturages nécessaires aux animaux alors que s’accroît la pression foncière, et l’on assiste à des conflits plus ou moins intensesentre activités d’élevage et cultures.
A proximité des centres urbains, la demande en produits alimentaires s’est accrue, entraînant un passage progressif des systèmesd’élevage extensif vers des systèmes agro-pastoraux plus intensifs nécessitantune nouvelle approche de la conduite destroupeaux (sélection, complémentation, soins vétérinaires…).

Situation actuelle des systèmes de production

En considérant que le nomadisme pastoral a reculé, on retrouve actuellement selon Diao (2003) trois systèmes d’élevage au Sénégal.

Le système pastoral traditionnel et le système agro-pastoral

Le système pastoral traditionnel est un élevage extensif qui utilise des parcours très vastes et dans lequel plus de 50 % du revenu brut proviennent de l’élevage. Présent dans deux zones au Nord (figure 2) et au Centre-nord du pays (le Ferlo et la Vallée du Fleuve), ce système intéresse 30 % du cheptelnational bovin et participerait à hauteur de 38 % à la production nationale de lait (Diao, 2003). Ce mode d’élevage est en recul du fait de la sédentarisation progressive des populations pastorales et la progression des zones de cultures.
Le système agro-pastoral se trouve davantage dans les zones à vocation mixte du Centre (Bassin arachidier) et du Sud du pays (figure 2). Il englobe près de 70 % du cheptel bovin et fournirait61 % de la production nationale de lait (Diao, 2003).
Considéré comme un moyen d’épargne et un outil de production(traction animale), le cheptel bovin bénéficie de sous-produits agricoles et agro-industriels(fanes et tourteaux d’arachide, graine de coton,tourteau de sésame, etc). C’est dans le système agropastoral que l’on trouve des essais d’implantation de petites filières de lait local (généralisation de la complémentation des vaches en production, organisation d’un réseau de collecte du lait et mise en place depetites unités de transformation du lait).

Le système intensif

Apparu au début des années 1980, le système intensif est le fruit de l’initiative privée d’origine citadine, mais avec l’appui des institutions publiques (recherche). Il est localisé dans les régions de Dakar et de Thiès (figure 2) et utilise des races exotiques. Il existe un cheptel laitier d’environ 1000 vaches dont les performances assez faibles ne permettent qu’une production d’un million de litre par an, soit moins de 1 % de la production nationale(Diao, 2003).

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LE LAIT ET LES PRODUITS  LAITIERS AU SENEGAL
CHAPITRE I : LE SOUS-SECTEUR DE L’ELEVAGE ET LES CONTRAINTES DE PRODUCTION LAITIERE AU SENEGAL 
I-1. Les effectifs
I-2. Les systèmes d’élevage
I-2-1. Le système agro-pastoral
I-2-2. Le système pastoral
I-2-3. Le système péri-urbain
I-3. Place de l’élevage dans l’économie nationale
I-4. Les contraintes liées à la production laitière
I-4-1. Contraintes sanitaires
I-4-2. Contraintes alimentaires
I-4-3. Contraintes d’abreuvement
I-4-4. Contraintes génétiques
I-4-5. La faiblesse du financement publique
I-4-6. Le crédit
I-4-7. Contraintes organisationnelles
I-4-7-1. Les organisations d’éleveurs
I-4-7-2. Formation et professionnalisation des éleveurs
I-4-8. La recherche vétérinaire et zootechnique
I-4-9. La collecte et la commercialisation du lait
CHAPITRE II : LE LAIT ET LES PRODUITS LAITIERS AU SENEGAL
II-1 L’offre de lait et de produits laitiers au Sénégal
II-1-1. L’offre locale de lait et de produits laitiers
II-1-1-1. Les conditions de l’élevage bovin au Sénégal
II-1-1-2. Les systèmes de production laitière
II-1-1-2-1. Evolution des systèmes de production
II-1-1-2-2. Situation actuelle des systèmes de production
II-1-1-2-2-1. Le système pastoral traditionnel et le système agro-pastoral
II-1-1-2-2-2. Le système intensif
II-1-1-3. L’offre de lait local au Sénégal
II-1-1-4. Les bassins laitiers
II-1-1-5. La productivité des troupeaux bovins
II-1-2. Les importations de lait etproduits laitiers au Sénégal
II-1-2-1. Considérations générales
II-1-2-2. Evolution des importations de lait et produits laitiers
II-1-2-3. Composition des importations laitières au Sénégal
II-1-2-4. Régime des importations et taxations
II-1-2-5. L’aide alimentaire
II-1-2-6. Origine des importations
II-1-2-7. Importations et marché mondial des laits et produits laitiers
II-2. La demande de lait et produits laitiers au Sénégal
II-2-1. La consommation de lait et de produits laitiers en milieu rural
II-2-2. La consommation de lait et produits laitiers en zone urbaine
II-2-3. Facteurs de variation et d’évolution de la consommation
II-3. Les circuits de distribution de lait et produits laitiers au Sénégal
II-3-1. Les circuits de distribution des produits locaux
II-3-2. Les circuits de distribution de lait et produits laitiers importés
II-3-3. Les unités de traitement dans le circuit du lait et des produits laitiers
II-3-3-1. Les échecs des installations laitières
II-4. Les prix du lait et produits laitiers
II-4-1. Formation des prix du lait local
II-4-2. Formation des prixdes produits importés
CHAPITRE III : LES PROJETS LAITIERS AU SENEGAL
III-1. Les projets laitiers au Sénégal
III-1-1. L’expérience des projets laitiers au Sénégal
III-1-1-1. Projets de développement de laproduction laitière intensive dans les Niayes
III-1-1-2. La ferme SOCA (Société de Conserves Agro-alimentaires)
III-1-1-3. Projet de Nestlé-Sénégal dans la région du Ferlo
III-1-2. Les enseignements des diverses expériences
III-1-3. Nouvelles stratégies mises en œuvre
III-1-3-1. Les étables fumières
III-1-3-2. Expérience de métissage parl’insémination artificielle
III-1-3-3. L’expérience du Projet Intégré de la Moyenne Casamance
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DES CIRCUITS DE COMMERCIALISATION DU LAIT EN ZONE SYLVOPASTORALE DU SENEGAL
CHAPITRE I : DESCRIPTION DELA METHODE DE RECHERCHE
I-1. Présentation de la zone d’étude
I-1-1. Eléments de climat
I-1-1-1. La pluviométrie
I-1-1-2. Ressources hydriques
I-1-1-3. Infrastructures de vaccination
I-1-1-4. Ressources végétales
I-1-1-5. Ressources animales
I-2. Historique du rayon laitier
I-3. L’approche retenue
I-3-1. L’étude filière
I-4. L’organisation de l’étude
I-4-1. Le travail de terrain
– Au niveau de la production
– Au niveau de la collecte
– Au niveau de la transformation
I-4-2. L’échantillonnage
I-4-3. L’exploitation des données
I-4-4. Limites de l’étude
CHAPITRE II : PRESENTATION DES RESULTATS58
II-1. La production de lait
II-1-1. Caractéristiques socio-économiques des producteurs
II-1-2. Estimation de la production laitière
II-1-3. Stratégies d’approvisionnement en intrants
II-1-3-1. Approvisionnementen intrants alimentaires
II-1-3-2. Approvisionnementen intrants vétérinaires
II-1-4. L’exploitation du lait
II-1-4-1. La commercialisation
II-1-4-2. L’autoconsommation
II-1-5. Résultats économiques de la production laitière
II-2. La collecte de lait
II-2-1. Flux collectés de 1991 à 2003
II-2-2. Nombre de fournisseurs de 1991 à 2002
II-2-3. Organisation de l’approvisionnement dans les trois centres de collecte de Dahra, Sagatta et Déali
II-2-3-1. Structure et fonctionnement des centres de collecte
II-2-3-2. L’approvisionnementdes centres de collecte
II-2-3-2-1. Les bassins de production
II-2-3-2-2. Flux collectés par les trois centres en 2004
II-2-3-2-3. Nombre de fournisseurs des centres de Dahra et Déali
II-2-3-2-4. La réception et le contrôle du lait frais au niveau des centres
II-2-3-3. Les pertes de lait au cours de la campagne de collecte 2004
II-2-3-4. La commercialisation du lait collecté
II-2-3-4-1. Les ventes des centres de Dahra et de Déali
II-2-3-5. Les performances économiques du centre de Dahra pour la campagne de collecte 2004
II-2-3-5-1. Le coût de collecte
II-2-3-5-2. Le coût de la commercialisation extérieure
II-2-3-5-3. Les recettes des centres de Dahra et de Déali
II-3. La transformation du lait
II-3-1. La transformation artisanale individuelle
II-3-2. Les mini-laiteries
II-3-3. Approvisionnement en matière première
II-3-4. La production des laiteries
II-3-5. La commercialisation desproduits des laiteries
II-3-6. Performances des mini-laiteries
II-3-6-1. Flux collectés par les mini-laiteries
II-3-6-2. Flux vendus par les mini-laiteries
II-3-6-3. Résultats économiques des laiteries
CHAPITRE III : DISCUSSION DES RESULTATS ET RECOMMANDATIONS
III-1. Discussion des résultats
III-1-1. La production de lait
III-1-2. La collecte de lait
III-1-2-1. La collecte de lait frais par la société Nestlé
III-1-2-2. La collecte frais par l’UPPRAL
III-1-3. La transformation de lait
III-1-4. Les circuits de commercialisation du lait
III-1-4-1. La filière traditionnelle
III-1-4-2. La filière moderne
III-2. Recommandations pour le développement de la filière lait
III-2-1. Recommandations aux producteurs de lait
III-2-1-1. Organisation des producteurs
III-2-1-2. Hygiène de la traite et du transport
III-2-2. Recommandations à l’U.P.P.R.A.L
III-2-2-1. Relèvement du niveau des ressources humaines
III-2-2-2. Diversification de la production
III-2-3. Recommandations aux transformateurs de lait
III-2-4. Recommandations aux ONG impliqués dans la filière
III-2-4-1. Coordination des programmes de développement
III-2-5. Recommandations en direction du PAPEL
III-2-5-1. Relèvement du potentiel génétique des vaches locales
III-2-5-2. Vulgarisation de la constitution de réserves fourragères
III-2-5-3. Connexion des acteurs de la filière
III-2-6. Recommandations en direction des structures de recherche
III-2-7. Recommandations à l’Etat
III-2-7-1. Mise en place d’une politique de réhabilitation de la production laitière nationale
III-2-7-2. Mise en place des infrastructures
CONCLUSION

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