OPTIMISATION DE LA P OPTIMISATION DE LA PERFORMANCE EN COURSE ERFORMANCE EN COURSE ERFORMANCE EN COURSEDE VITESSE DE VITESSE DE VITESSE DES ATHLETES

La motivation

                   Pour plusieurs, la motivation est un concept abstrait sur lequel nous n’avons pas de pouvoir. Un état qui va et vient au gré du vent ou des forces nous échappent. Qu’en est-il vraiment ? La motivation est un état dynamique qui a ses origines dans les perceptions qu’une personne a d’elle-même et de son environnement et qui l’incite à choisir une activité, à s’y engager et à persévérer dans son accomplissement afin d’atteindre un but ou de réussir ce que nous entreprend. Ainsi, voici les quatre indicateurs de la motivation :
Le choix
La persévérance
L’engagement cognitif
La performance
Alors, un sportif qui s’engage dans une compétition, en prenant soin d’aller à ses entrainements, de suivre les exercices proposé par son entraineur, se sentira plus en contrôle et ce sentiment influencera à son tour son choix de s’engager davantage dans des compétitions de niveau plus élevé.

La surdité

Définition La surdité est la perte complète ou la grande diminution du sens de l’ouïe. La déficience auditive signifie la diminution de l’audition. Il existe deux types de déficience auditive. La déficience auditive de transmission est un problème de l’oreille externe ou moyenne. Elle est souvent curable médicalement ou chirurgicalement. L’infection chronique de l’oreille moyenne en est un exemple courant. La déficience auditive neurosensorielle ou surdité de perception est un problème de l’oreille interne, ou parfois du nerf auditif. Elle se corrige efficacement par des appareils auditifs. L’exposition des sons très forts peut-être son origine. Qu’il soit de naissance due à une maladie ou à un accident, le handicap auditif compromet semblable à la communication et à l’accès de l’information sur l’environnement n’y veille pas. La personne sourde ou malentendante développe sa propre stratégie pour contourner son handicap et à se communiquer. Face à cela et souvent sous-estimé, certaines personnes sourdes réagissent en évitant les contacts et parfois en s’isolant progressivement. De ce fait, les nouvelles méthodes d’apprentissage, les modes de communication et l’appareillage leur permettent de s’intégrer et de vivre normalement. On distingue plusieurs grades ou degrés de déficience auditive et certains sont en relation avec l’audition vocale, mais le degré le plus grave est appelé la surdité.
– Déficience auditive légère : la difficulté d’entendre les paroles chuchotées ou des paroles normales dans un environnement bruyant.
– Déficience auditive modérée : la difficulté de conversation parlée.
– Déficience auditive sévère : la difficulté de percevoir des voix fortes ou très fortes.
– Surdité, incapacité d’entendre le langage parlé même avec l’aide d’une amplification.

Sourd et environnement social

                   Socialement, la déficience auditive peut parfois peser une lourde charge même dans la famille, la collectivité, et le pays. L’altération de la fonction auditive chez l’enfant peut retarder le développement du langage et des aptitudes cognitives, ce qui peut se traduire par des retards scolaires. Les adultes atteints de déficience auditive ont souvent de la peine à trouver un emploi à exercer et à garder. Enfant et adulte atteints de déficience auditive sont fréquemment victimes des stigmatisations sociales et d’ostracisme. Les pauvres souffrent d’avantage de déficience auditive car ils n’ont pas les moyens de s’offrir des soins préventifs et réguliers qui leur permettraient de l’éviter, ni les prothèses auditives qui rendraient leur handicap plus supportable. Il est également plus difficile pour ceux qui présentent une altération de la fonction auditive d’échapper à la pauvreté, car leur progrès scolaire et professionnel sont ralentis et ils sont isolés socialement. Les coûts liés à l’enseignement spécialisé et à la perte d’emploi due aux déficiences auditives peuvent peser une importante charge économique sur les pays.

Les résultats et la discussion

                 Dans le 50 m courbe, les sprinters ont montré une augmentation dynamique au premier 50 m, dans la vélocité de course jusqu’à 8,18 m/s ce qui était le résultat des augmentations intensives aussi bien au niveau de l’amplitude que de la fréquence dans la foulée jusqu’à 4,22 Hz. Dans la présente étude, les sprinters ont augmenté le taux de l’amplitude de la foulée qui était de 120 cm à 210 cm. De manière générale, cela explique la différence entre la dynamique de l’accélération dans la première section de 50 m. donc, la fréquence de la foulée était la principale variable cinématique qui avait un impact sur l’augmentation de la vélocité de la course. En contraste avec le premier 50 m, l’accélération ici était le résultat d’une augmentation dans l’amplitude de la foulée. Pour les athlètes ces premier 50 m pourraient être appelés la phase d’accélération initiale. Dans le second 50 m, la vélocité diminue de 0,52 m/s, la fréquence de la foulée à diminuer jusqu’à 3,50 Hz par contre l’amplitude moyenne de la foulée continue à pousser à atteindre une valeur de 212 cm. Le changement significatif dans l’amplitude de la foulée dans cette phase est apparemment dû à l’augmentation de la vélocité dans l’accélération initiale, qui permet aux athlètes de couvrir plus de terrain au cours des phases d’impulsions des foulées. En effet, nous constatons une accélération prolongée jusqu’à la sorti de virage puisque certains sprinters augmentent leur vélocité de 0,20 m/s. A la sorti de virage, le taux d’augmentation de la fréquence de la foulée et de la vélocité était assez constant sur la troisième section de 50 m tandis que l’amplitude de la foulée à augmenter de 100% pour atteindre le 150 m de la course. La fréquence était en moyenne à 3,55 Hz qui est presque constant et ensuite passer à une augmentation de 3,65 Hz à la fin de 150 m (une augmentation de 0,10 Hz). Dans cette partie de la course, la vélocité augmente et qui tend vers 8 m/s mais à un rythme plus lent (augmente de 0,10 m/s) d’où la régulation de celle-ci. Cette augmentation était principalement due à celle de 2,7% de l’amplitude de la foulée étant donné que la fréquence est restée quasiment constant. Les différences dans la dynamique des paramètres cinématiques sont assez significatives. Au dernier 50 m, la fréquence de la foulée augmente jusqu’à 4,15 Hz qui est due à la diminution de l’amplitude de 011 cm par rapport à la section antérieure. Par conséquent, la vélocité augmente de 1,03 m/s, les changements au développement des variables cinématiques dans la dernière ligne droite en assurent l’identification d’augmentation. Ici le rythme de la foulée a continué à accroitre. Pour les deux sections de 50 m antérieurs, les sprinters ont ralenti par rapport à leur maximum de vélocité à cause d’un déséquilibre entre les deux paramètres cinématiques puisqu’une perte d’équilibre entre la fréquence et l’amplitude de la foulée entraine une perturbation dans l’augmentation de la vélocité. Par contraste, on aperçoit une chute de l’amplitude moyenne étant donné que la moyenne de la fréquence a montré une augmentation en valeur. Cependant, si nous nous focalisons sur le dernier 50 m de la course, nous observons que la vélocité était légèrement plus élevée (9,09 m/s). Cela est dû à un équilibre dans la proportionnalité de l’amplitude et de la fréquence de la foulée.

Suggestions et propositions

                    La vélocité de la course est le produit de l’amplitude et de la fréquence d’une foulée (V= L x F). Par conséquent, une augmentation de la moyenne de la vélocité et, une baisse de temps de course pour une distance donnée peuvent seulement résulter des changements de ces deux paramètres : une augmentation de l’amplitude de la foulée (avec une baisse du nombre de foulées ou la fréquence) ou inversement une baisse de l’amplitude de la foulée (avec une augmentation du nombre de foulée). De ce fait, il peut exister trois possibilités logiques pour améliorer la performance en course de vitesse :
1- Augmenter l’amplitude et garder la fréquence constante.
2- Augmenter la fréquence et garder l’amplitude constante.
3- Augmenter les deux paramètres en même temps.
Donc, le tendon d’Achille joue un rôle efficace dans la technique de la foulée. Parce que, si le contact avec le solétait le talon alorsla transmission d’énergie serait difficile. Il faut donc :
Se faire léger et passer rapidement de la mise en tension au renvoi pour diminuer le temps passé au sol.
Jouer le rôle des bras et mouvement de la jambe libre vers le haut.
Insister l’alignement et la solidité lors de l’impact au sol et lors du renvoi.
Bien dérouler le pied,
Eviter d’avoir un bassin en antéversion (coureur penché en avant)
Eviter d’avoir le membre inférieur pas assez tendu à la prise de contact au sol
Eviter d’avoir le bassin trop bas et en rétroversion (coureur assis).

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I : POSITION DE LA RECHERCHE
1.1.Historique
1.1.1. Handisport dans le monde
1.1.2. Handisport à Madagascar
1.2. Position du problème
1.2.1. La pratique sportive à Madagascar et la fédération
1.2.2. Les objectifs de la fédération
1.2.3. Les disciplines fédérales
1.3. Etat des lieux
1.3.1. Course de vitesse des sourds à Madagascar
1.3.1.1. En milieu scolaire
1.3.1.2. En milieu Fédérale
1.3.2. Les résultats
1.3.2.1. Championnat nationaux
1.3.2.2. JIOI
1.3.3. Origines de blocage de la performance
1.3.3.1. La participation à des compétitions
1.3.3.2. L’entrainement
1.3.3.3. La motivation
1.4. Problématiques
CHAPITRE II : CADRE THEORIQUE
2.1. La surdité
2.1.1. Définition
2.1.2. Causes
2.1.3. Prévention
2.1.4. Solution
2.1.5. Communication et expression avec les sourds
2.1.6. Sourd et environnement social
2.2. La course de vitesse
2.2.1. Définition
2.3. La foulée
2.3.1. Amplitude de la foulée
2.3.2. Fréquence de la foulée
2.4. Hypothèse
CHAPITRE III : METHODOLOGIE
3.1. Objet de la méthodologie
3.2. Protocole expérimental
3.2.1. Définition de l’échantillon
3.2.2. Détermination des méthodes de vérification
3.2.3. Détermination de la population
3.2.4. Choix du test
3.2.5. Déroulement de l’expérience
3.2.6. L’entrainement
3.2.7. Les résultats et la discussion
3.3. Traitement mathématique des résultats
3.3.1. Analyse préliminaire
3.3.2. Application numérique
3.3.3. Analyse du contenu
3.4. Suggestions et propositions
3.5. Apprentissage
3.5.1. Les bases fondamentales en course
3.5.2. Les exercices de placement en course
3.5.3. Travail du pied
3.5.4. Exercice de la foulée
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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