Nutrition chez les enfants scolarisés en milieu rural à Haouz

Nutrition chez les enfants scolarisés en milieu rural à Haouz

INTRODUCTION

La nutrition est une composante essentielle de la santé des enfants, pour une croissance correcte, un bon développement psychomoteur et intellectuel et afin qu’ils développent leur potentiel optimal, il est vital de fournir une alimentation équilibrée, respectant les normes diététiques et permettant de répondre aux besoins énergétiques et nutritionnels; ce qui représente un droit fondamental à la vie.
La malnutrition est une pathologie à double facettes, d’une part la sous –alimentation: le manque de nutriments essentiels, les vitamines, minéraux, acides gras et acides aminés essentiels, due surtout au problème de disponibilité alimentaire liée à la pauvreté, d’autre part il y a l’obésité résultant d’un déséquilibre énergétique entre l’apport et la dépense calorique.
L’origine de ce déséquilibre est multifactorielle mettant en jeu les modifications du mode de vie, la consommation alimentaire excessive et une baisse de l’activité physique [1].

On constate la persistance de la sous-alimentation et l’augmentation de l’obésité dans le même environnement c’est ce qu’on appelle « Le double fardeau nutritionnel», phénomène peu documenté, attribué à une transition nutritionnelle accélérée dans les pays en voie de développement. Les systèmes de santé de ces pays se trouvent de plus en plus confrontés simultanément à la sous-nutrition et à la surnutrition, au sein d’une même société voire d’une même famille [2].
Les séquelles de la malnutrition carentielle provoquent un affaiblissement des défenses immunitaires, une sensibilité accrue aux maladies, un retard de développement physique et intellectuel qui sont sources de maladies infectieuses; elles constituent aussi un obstacle au processus d’apprentissage, résultant d’une accumulation de difficultés scolaires et un taux élevé d’abandon [3].

De même le surpoids a un retentissement sur la mortalité et la morbidité à moyen et à long terme en étant un facteur de risque majeur associé à plusieurs maladies telles les maladies cardiovasculaires, le diabète non insulinodépendant de type II et les anomalies des lipides sanguins [4].

 OBJECTIFS GENERAUX 

• Déterminer les perturbations nutritionnelles chez l’enfant d’âge scolaire.
• Rechercher les déterminants socioéconomiques ou culturels pouvant expliquer ces perturbations.

OBJECTIFS SPECIFIQUES 

• Evaluer l’état nutritionnel des enfants scolaires de milieu rural.
• Explorer les habitudes alimentaires.
• Estimer les taux de la prévalence de la malnutrition carentielle.
• Estimer les taux de la prévalence de l’obésité infantile.
• Faire une corrélation entre les facteurs socio-économiques et alimentaires et l’insuffisance pondérale.
• Mesurer les liens entre l’obésité infantile et le statut socio-économique, les deux marqueurs de la dépense énergétique (l’activité physique et le comportement sédentaire) et les habitudes alimentaires.

population et sujets de l’étude

Cette recherche fait partie d’un projet de recherche subventionné par le comité mixte inter Maroco-Français, Projet Volubilis, numéro : MA/08/99 et qui fait participer :
-Equipe de recherche « l’enfance, la santé et le développement », Faculté de Médecine et de Pharmacie de Marrakech, Université Cadi Ayyad.
-Laboratoire d’écologie humaine de la Faculté des Sciences Semlalia de Marrakech (professeur Mr A.Baali, professeur Mr M.Cherkaoui et professeur Mme H.Amor)
-l’IRD, Université de la méditerranée (professeur Mr Patrice Vincerd) La présente étude a été menée dans la province d’AL Haouz qui fait partie de la région Marrakech Tensift Al Haouz, l’une des 16 régions du Royaume [8] :
Position et données naturelles : La province d’Al Haouz est délimitée au sud par les provinces d’Ouarzazate et Taroudante, au nord par les préfectures de Marrakech EL Kelaa des Sraghna, à l’est par la province d’Azilal et à l’ouest par la province de Chichaoua. La province d’Al Haouz s’étend sur le versant du haut Atlas occidental, entre l’oued Tassaoute à l’est et l’oued Assif Al mal à l’ouest. Le relief de la province est caractérisé par 3 zones distinctes : la plaine du Haouz :
relativement plate et riche en terres cultivables, la zone du Dire : débouchés des grands oueds atlasiques tels que l’Ourika, le Righaya et le N’fis et la zone montagneuse, la zone la plus étendue de la province et se divise en 3 compartiments selon l’altitude.

 Mesures et indices anthropométriques 

Le poids et la taille des écoliers ont été mesurés selon des techniques standard au moyen d’un pèse-personne et d’une toise, l’Indice de Masse Corporelle (IMC) a été calculé en divisant le poids (en kg) par la taille au carré (en mètre), l’IMC varie en fonction du sexe et en fonction de l’âge, la valeur calculée est reportée sur la courbe de corpulence : courbe graduée en percentiles, établie en collaboration avec Rolland-Cachera (INSERM) et l’Association pour la Prévention et la prise en charge de l’Obésité en Pédiatrie (APOP) et validée par le Comité de Nutrition de la Société Française de Pédiatrie (SFP).

Il est basé sur des données de l’étude séquentielle française de la croissance du Centre International de l’Enfance et des seuils établis par l’International Obesity Task Force (IOTF) ainsi:
– lorsque l’IMC est supérieur au 97eme percentile, l’enfant est obèse.
-lorsque l’IMC est inférieur au 3eme percentile, l’enfant est en insuffisance pondérale [9].

 Méthodes d’analyse statistique

La saisie et l’exploitation des données ont été faites sur le logiciel Epi Info version 6 qui permet une description quantitative et qualitative de l’échantillon.
Les informations provenant du rappel du 24 heures sont traitées par un logiciel type Régal-micro qui se base sur des données validées et reconnues, et déjà testé par plusieurs équipes de nutritionnistes. Il permet de déterminer la valeur énergétique et l’apport en nutriments d’un groupe d’aliments, et aussi comparer les résultats par rapport à des profils nutritionnels types [15].

 Etat nutritionnel et structure de ménage 

La comparaison de l’état nutritionnel des enfants selon la structure du ménage, montre que le pourcentage le plus élevé de l’insuffisance pondérale est enregistré chez les enfants vivants dans les familles nombreuses (7 personnes et plus) avec 12.8%, suivis par 10.3% chez les enfants des familles moyennes (5-6 personnes) et 8.3% chez les enfants des familles réduites.
En ce qui concerne l’obésité, la fréquence la plus basse est révélée chez les enfants vivants dans des familles réduites avec 4.1% suivis par les enfants des familles moyennes avec 6% et les enfants des familles nombreuses avec 6.8%.
L’analyse statistique du lien entre la structure de ménage et l’état nutritionnel des enfants montre que la différence est significative.

Etat nutritionnel et nombre de revenu 

Les résultats montrent que l’insuffisance pondérale est révélée chez 17.6% des enfants des familles à 2 revenus, chez 14.2% des enfants des familles à 3 revenus et plus et chez 9.8% des enfants des familles ayant un seul revenu.
L’obésité est révélée chez 6.4% des enfants des familles ayant un seul revenu et chez 5.9% des enfants des familles à 2 revenus.
Cependant, l’analyse statistique de la relation entre le nombre de revenu et l’éta nutritionnel des enfants ne montre pas de différence significative.

 Etat nutritionnel et niveau d’instruction des parents 

 Etat nutritionnel et niveau d’instruction des pères 

Les résultats révèlent que le pourcentage de l’insuffisance pondérale le plus élevé est révélé chez les enfants ayant des pères analphabètes avec 12.2% et que le pourcentage le plus élevé de l’obésité est révélé chez les enfants ayant des pères qui ont un niveau d’instruction secondaire avec 12%.

 Etat nutritionnel et habitudes alimentaires 

 Etat nutritionnel et qualité de la diète, test KIDMED 

L’insuffisance pondérale est révélée chez 13% des enfants ayant une très mauvaise qualité de la diète, chez 8.6% des enfants ayant une diète qui a besoin d’amélioration et chez 9.5% des enfants avec une diète optimale.
Quant à l’obésité, elle est révélée chez 8.6% des enfants ayant une diète qui a besoin d’amélioration, chez 5% des enfants qui ont une très mauvaise qualité de la diète.

DISCUSSION

 Généralités – Définitions 

La nutrition est une science pluridisciplinaire consacrée à l’étude des aliments et de leur valeur nutritionnelle, des réactions du corps à l’ingestion de nourriture ainsi que des variations de l’alimentation chez le sujet sain ou malade; la notion de nutrition comprend l’alimentation mais les deux termes ne sont pas synonymes [16].
L’importance de la nutrition comme déterminant majeur de la santé individuelle ou publique est maintenant bien argumentée sur le plan scientifique en assurant la vie, la croissance, le fonctionnement normal des organes et de leurs tissus ainsi que la production d’énergie.
Comme une bonne nutrition est dans «l’intérêt supérieur de l’enfant», elle devient de ce fait un droit, en effet, l’article 24 de la convention relative aux droits de l’enfant, précise que les Etats parties doivent prendre les mesures appropriées pour lutter contre la maladie et la malnutrition par l’utilisation de techniques aisément disponibles ainsi que par la fourniture d’aliments nutritifs et d’eau potable [17].
Le terme de la malnutrition se rapporte à plusieurs maladies, chacune est liée à un ou plusieurs nutriments et caractérisée par un déséquilibre cellulaire entre l’approvisionnement en nutriments et en énergie, d’une part, et les besoins de l’organisme pour assurer la croissance et diverses fonctions d’autre part.

La malnutrition contrairement à la faim, ne dépends pas seulement de la satisfaction de l’appétit : un enfant qui mange suffisamment pour calmer sa faim immédiate peut néanmoins être malnutri.

En effet, les trois quarts des enfants qui meurent de causes liées à la malnutrition, sont atteints de formes modérées ou légères, de façon souvent chronique, qui ne s’accompagnent d’aucun signe extérieur [18]. Ainsi, la malnutrition a trois formes à savoir la sous alimentation (manger insuffisamment), les carences alimentaires (manger de façon déséquilibrée) et la suralimentation (manger trop) :
La malnutrition proteino-énergétique Elle est provoquée par une rupture dans l’alimentation et peut être mortelle sans prise en charge rapide. Les signes cliniques sont très peu apparents mais elle rend vulnérables à tous types d’infections et entrave la croissance en poids et en taille de l’enfant. Il y a deux formes sévères de la malnutrition protéinoénergétique : le marasme: l’enfant présente une maigreur spectaculaire, les os sont saillants, les yeux enfoncés, la peau distendue, il prend alors l’allure d’un petit vieillard et peut ne plus peser que la moitié du poids normal pour son âge, il s’agit d’une forme de malnutrition sévère qui menace la vie de l’enfant et demande une attention médicale urgente, en deuxième lieu, le kwashiorkor : les oedèmes, les cheveux se décolorent et tombent, la peau est sèche et squameuse; le comportement change également, l’enfant ne sourit plus, ne joue plus, devient indifférent à toute stimulation, pleure et refuse la nourriture [18].

 Niveau socioéconomique 

L’état nutritionnel dépend fortement de l’alimentation, cette dernière est très liée au niveau socioéconomique qui constitue une macrovariable importante, dans l’ensemble du monde en développement, l’échec de la réduction des inégalités socioéconomiques est source de la persistance de la malnutrition chez l’enfant [44].
Associée à la pauvreté, la malnutrition contribue au cercle vicieux créé par une mauvaise qualité de l’eau et des conditions médiocres d’assainissement un fardeau accru de maladies, un retard de développement et une aptitude réduite au travail, en plus, l’expérience de nombreux pays en développement montre qu’une réduction importante de la pauvreté a un impact significatif sur les taux de la malnutrition, en effet, les efforts d’augmenter les revenus, de diminuer le prix des aliments et de redistribuer les richesses, ainsi que bien d’autres politiques économiques, peuvent avoir des effets majeurs sur la nutrition [32].

Il est vrai que, dans la majorité des pays, c’est surtout, chez les pauvres que l’on trouve des enfants souffrant de MPE grave ou modérée ou présentant des signes évidents de carence en vitamine A, des anémies nutritionnelles et des troubles de la carence en iode, mais ce qui apparaît de plus en plus clairement dans une société donnée, c’est le lien qui existe entre surcharge pondérale/obésité et un faible pouvoir d’achat ainsi que des conditions de vie en dessous du seuil de pauvreté [45].
En plus de la pauvreté, une autre composante de niveau socioéconomique est importante à étudier, c’est la planification familiale et l’impact sur l’état nutritionnel, en effet, une famille de huit personnes qui produit et achète la même quantité de nourriture qu’une famille de quatre personnes dispose de moins de nourriture par personne, toutefois, dans les familles de producteurs, plus la famille est nombreuse, plus la productivité familiale peut être importante.

CONCLUSION

Le Maroc à l’instar de plusieurs pays en développement doit affronter le « double fardeau » de la malnutrition: une sous-alimentation persistante et la montée de l’obésité chez les enfants, dont le risque des maladies chroniques tel que le diabète et les maladies cardio vasculaires, entraînant une charge de soins élevée pour les familles et la collectivité, c’est pourquoi, il est utile d’identifier les comportements menant à ce déséquilibre, en particulier ceux qui sont modifiables et sur lesquels peuvent porter les actions de prévention .
Ce double problème de malnutrition, a été révélé dans la présente étude chez des enfants d’âge scolaire de la région rurale de Al Haouz, avec 11% pour d’insuffisance pondérale et 6% pour l’obésité infantile, cette étude a permis aussi de dégager certains déterminants de l’état nutritionnel, en effet, la fréquence de l’insuffisance pondérale la plus élevée est enregistrée chez les enfants des pères analphabètes, des parents sans professions, les enfants vivants dans les familles nombreuses à grande taille de ménage et les enfants qui ont une très mauvaise qualité de la diète selon l’indice kidmed, notant aussi que ce travail a permis la mise en évidence de certains traits des comportements associés à l’augmentation de la fréquence de l’obésité infantile : l’absence d’activité sportive, l’augmentation du temps consacré à la télévision, et l’habitude de prise d’une collation matinale.

Néanmoins, d’autres études sont nécessaires pour affiner les déterminants de la malnutrition et l’identification des groupes plus vulnérables, par leur contexte socio-économique et culturel ou leur comportement alimentaire, ou sédentaire.
Pour répondre à la complexité de ce double fardeau nutritionnel, des interventions de promotion de l’état nutritionnel des enfants s’imposent pour une amélioration du niveau économique et du niveau d’éducation; en plus, une prévention précoce semble opportune pour agir sur la pratique de l’activité physique et le suivi d’un comportement alimentaire sain dont l’école pourrait être un lieu privilégié pour la réalisation de ces actions, elle permet en effet l’accès à un nombre élevé d’enfant pouvant bénéficier d’un suivi prolongé et d’une éducation dont on espère qu’elle aura une influence sur le comportement, cela après la mobilisation des acteurs impliqués dans les différents champs de la nutrition et la formation de nouveaux professionnels, spécialistes en pédagogie et nutritionnistes.

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Table des matières

INTRODUCTION
OBJECTIFS
POPULATION ET METHODES
I. Population et sujets d l’étude 
II. Questionnaire
III. Mesures et indices anthropométriques
VI. Evaluation de l’activité physique
V. Evaluation de l’alimentation
V. 1. Test de qualité de la diète méditerranéenne ou indice KIDMED 
V. 2. Enquête alimentaire type Recall
VI. Méthodes d’analyse statistique
RESULTATS
I.RESULTATS DESCRIPTIFS
I.1.Caractéristiques socioéconomiques et biodémographiques.
I.1.1 .Répartition par classe d’âge
I.1.2 .Répartition par sexe
I.1.3. Statut socioprofessionnel des parents 
I.1.4. Nombre de personne dans le ménage 
I.1.5. Nombre de revenus par ménage
I.1.6. Statut matrimonial des parents
I.1.7. Niveau d’instruction des parents
I.2.Etat nutritionnel
I.2.1. Evaluation de l’état nutritionnel
I.2.2. Etat nutritionnel par sexe
Nutrition chez les enfants scolarisés en milieu rural à Haouz
I.3. Activité physique et sédentarité
I.3. 1. Activité physique
I.3. 2. Télévision
I.4. Habitudes alimentaires
I.4. 1. Nombre de repas par jour 
I.4. 2. Petit déjeuner
I.4. 3. Collation matinale
I.4. 4. Collation du soir
I.4. 5. Test KIDMED, Qualité de la diète méditerranéenne
I.5. L’enquête alimentaire
I.5.1. Apports journaliers moyens en énergie et en macronutriments
I.5.2 .Apports journaliers moyens en minéraux
I.5.3 .Apports journaliers moyens en vitamines
II.RESULTATS ANALYTIQUES
II.1. Evaluation de l’état nutritionnel par sexe
II.2. Etat nutritionnel et caractéristiques socioéconomiques
II.2. 1. Etat nutritionnel et statut socioprofessionnel
II.2. 2. Etat nutritionnel et structure des ménages 
II.2. 3. Etat nutritionnel et nombre de revenu
II.2. 4. Etat nutritionnel et niveau d’instruction des parents
II.3. Etat nutritionnel et activité sportive
II.4. L’état nutritionnel et la télévision
II.5. L’état nutritionnel et habitudes alimentaires
II.5.1 Etat nutritionnel et qualité de la diète, test KIDMED
II.5.2 L’état nutritionnel et collation matinale
Nutrition chez les enfants scolarisés en milieu rural à Haouz
DISCUSSION
I. Généralités – Définitions
II. Prévalences de la malnutrition
III. Déterminants de l’état nutritionnel
III.1. L’environnement de l’enfant
III. 1.1 Lieu de résidence
III. 1.2 Niveau socioéconomique
III. 1.3 Niveau d’instruction des parents
III.2. Le Comportement alimentaire
III.2.1.Test de qualité de la diète méditerranéenne
III.2.2 Petit déjeuner
III.2.3 Collation matinale
III.3. L’activité physique
III.3.1 Rôle de l’activité physique 
III.3.2 L’évaluation de l’activité physique de l’enfant 
III. 3.3 Promouvoir l’activité physique chez l’enfant 
III.4. L’agriculture
III.5. Le Système sanitaire
IV. Conséquences de la malnutrition
IV. 1. La malnutrition carentielle
IV. 2. La malnurition par excès ou l’obésité
V. Apport nutritionnels
V. 1. Nutriments
V. 1.1 Apports en macro-nutriments 
V. 1.2 Apports en vitamines  
V. 1.3 Apports en minéraux
Nutrition chez les enfants scolarisés en milieu rural à Haouz
V. 2. Apports recommandés en nutriments  
V. 3. Evaluation de l’apport alimentaire 
V. 3.1 Méthodes
V. 3.2 Résultats
V. 4. Conseils nutritionnels
V. 4.1 Le concept d’équilibre alimentaire
V. 4.2 Le choix des aliments
V. 4.3 Rythme des prises alimentaires
CONCLUSION 

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