NUMERISATION DES IMAGES ET DE TRANSFERT DES FILMS ECHOCARDIOGRAPHIQUES
TRAITEMENT INFORMATIQUE DES IMAGES ET DES SONS
Traitement des films DV
Les cassettes miniDV ont l’avantage d’enregistrer la vidéo dans un format numérique (DV : Digital Video). Le transfert des films vers un ordinateur se fait aisément grâce à la connexion au port IEE1394 (firewire ou encore i-Link) sans avoir besoin de carte d’acquisition vidéo performante. Les seuls impératifs sont d’avoir un port de ce type (carte d’extension PCI ou PCMCIA sur un portable) et de procéder à l’acquision de la vidéo sur un disque dur pouvant soutenir le flux de la vidéo soit un minimum 3.6Mb/s (disque dur à 7200 tr/s). Pour nos vidéos, nous les avons transférées sur un ordinateur portable Pentium III 600 Mhz grâce à une carte PCMCIA IEE1394 de marque BELKIN et au logiciel VideoWave III de MGI. Les différents montages ont été réalisés grâce à ce logiciel et publiés au format DV pour le transfert vers un autre logiciel pour le traitement final et la compression. Le format DV n’étant pas compressé, un ordinateur peu puissant peut permettre le visionnage de telles vidéos. L’inconvénient est qu’un Cd-rom est limité en capacité : 650 ou 700 Mo par CD et que les vidéos non compressées prennent de la place (2 Go pour environ 10 minutes de film). Il est donc indispensable de les compresser à l’aide d’un codec (Compression-Décompression). Le meilleur codec disponible à leur actuelle est le Divx, permettant de copier un film de 1h30 sur un Cd-rom de 700 Mo avec une qualité proche du DVD. Ce format étant très compressé, le visionnage de telles vidéos nécessite des calculs rapides pour la décompression et donc l’utilisation d’un ordinateur haut de gamme. A l’inverse, les vidéos DV peuvent être visionnées par un ordinateur moins puissant à condition que le flux de données puisse être soutenu entre le support (disque dur ou lecteur de Cd-rom) et l’ordinateur. Le traitement final consistant à couper les marges inutiles et à compresser la vidéo au format Divx a été effectué avec le logiciel Virtual Dub, téléchargeable sur internet.
Traitement des images fixes
Les photographies des animaux ont été transférées sur l’ordinateur, selon le même protocole que celui des films DV.Les radiographies ont été numérisées au service de Radiologie de l’ENVA à l’aide du scanner du service, et données sous forme de fichiers informatiques JPEG, format qui permet une bonne compression avec un minimum de perte de qualité de l’image. Les tracés électrocardiographiques ont été imprimés sur papier (un seul a été photocopié) puis numérisés au format JPEG, à l’aide d’un scanner à plat. Les diapositives des fonds d’œil, ainsi que celles de microfilaires et de filaires ont été numérisées au format JPEG, à l’aide d’un scanner à plat avec un adaptateur à diapositives. Toutes les images ont été retouchées à l’aide des logiciels Microsoft Picture it ! et Corel Painter Classic. Les retouches ont consisté à ajuster la luminosité, le contraste et les couleurs des photos, à les légender et les couper au plus juste. Les artéfacts ont été gommés.
Traitement des sons d’auscultation cardiaque. Les fichiers au format wave ont été importés dans le logiciel Flash 5 et compressés au format mp3 lors de la publication de la présentation finale. Ce format qui altère les sons en sélectionnant exclusivement ceux audibles par l’oreille humaine, est très économe en taille sur le disque.
Enregistrement des explications orales Les commentaires oraux ont été enregistrés dans des fichiers au format wave, à l’aide du microphone intégré de l’ordinateur, commandé par le magnétophone de Windows. Ils ont ensuite été convertis au format mp3 directement dans le logiciel Flash 5.
Mise en forme des cas cliniques
Les cas cliniques ont été mis en forme avec le logiciel Flash 5 de Macromedia qui permet une créativité et la mise en place d’une interactivité infinies. Une illustration sommaire du principe de fonctionnement est disponible en annexe 1. Pour l’insertion des vidéos dans les cas, nous avons utilisé un logiciel qui transforme les fichiers publiés par Flash 5 de sorte que les films soient exécutables en tant que fichier externes. Ce logiciel est FM Projector 1.2 de Flashants. Il a l’avantage de décoder le Divx, format qui est de bien meilleure qualité et beaucoup plus léger que le format Quicktime seul importable directement dans Flash 5. La mise en place des cas suit un ordre logique d’une consultation de cardiologie vétérinaire. Les étapes de la consultation sont classées sous forme de pages articulées par des boutons. Elles ont été réalisées de telle sorte d’impliquer l’étudiant et de le faire réfléchir tout en lui donnant les réponses aux questions qu’il pourrait se poser.
Guide du mémoire de fin d’études avec la catégorie LES INCONVENIENTS DU SUPPORT INFORMATIQUE |
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Table des matières
SOMMAIRE
SOMMAIRE
1 INTRODUCTION
I. MATERIEL ET METHODE
A. ANIMAUX UTILISES
B. PHOTOGRAPHIES ET VIDEOS DES PATIENTS
C. IMAGES ET VIDEOS ECHOGRAPHIQUES
D. IMAGES RADIOGRAPHIQUES
E. IMAGES DES FONDS D’ŒIL
F. IMAGES DES ELECTROCARDIOGRAMMESé
G. IMAGES D’ANALYSE CYTOLOGIQUE ET DES PIECES D’AUTOPSIE
7 H. IMAGES DES MICROFILAIRES ET DES FILAIRESé
I. SONS D’AUSCULTATION CARDIAQUE
J. TRAITEMENT INFORMATIQUE DES IMAGES ET DES SONS
1. Traitement des films DV
2. Traitement des images fixe
3. Traitement des sons d’auscultation cardiaque
4. Enregistrement des explications orales
9 5. Mise en forme des cas cliniques
II. RESULTAT : UN CD-ROM DE CAS CLINIQUESé
A. FONCTIONNEMENT GENERAL DU CD-ROM
B. ETUDE D’UN EXEMPLEé
1. Contenu des casé
2. Utilisation des cas et analyse de la démarche
3. Hypothèses diagnostiques
21 4. Examens complémentaires
5. Diagnostic final
6. Approche thérapeutique
7. Références bibliographiques
II. DISCUSSION
A. LIMITES DU PROJET
B. CHOIX DE LA TECHNIQUE DE NUMERISATION DES IMAGES ET DE TRANSFERT DES FILMS ECHOCARDIOGRAPHIQUES
C. LES INCONVENIENTS DU SUPPORT INFORMATIQUE
1. Le coût du matériel
2. Vitesse de chargement
3. Limites du support informatique dans le cadre du projet
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
A. CONCEPTION DU CD-ROM
. CAS CLINIQUES
ANNEXES PRINCIPES DU FONCTIONNEMENT DU LOGICIEL FLASH
PRIX D’ACHAT DE DIFFERENTS LOGICIELS
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