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Médicament générique (OMS(1999))
« Un médicament générique est un médicament généralement destiné à être interchangeable avec le médicament innovant fabriqué et commercialisé après expiration du brevet et autre droit d’exclusivité ».
L’urgence :
Selon Pardya. N (2011) En médecine, l’urgence se définit par toute situation empirant rapidement, ou susceptible de le faire, sans intervention médicale ou même avec, elle est classée typiquement en quatre catégories :
• Urgence vitale: pathologie mettant en jeu le pronostic vital immédiatement, urgence absolue ou extrême urgence
• Urgence vraie: pathologie aiguë grave menaçant le pronostic vital
• Urgence relative: pathologie subaiguë ne mettant pas en jeu le pronostic vital
• Urgence différée: pathologie pouvant être soignée avec délai.
La pédiatrie :
Selon Yaffe S et al(2005) La pédiatrie est la spécialité qui traite de la santé de l’enfant et de l’adolescent, de la prévention, au diagnostic et au traitement des maladies infantiles, de la croissance et du développement de la naissance jusqu’à l’âge adulte.
EPIDEMIOLOGIE
La demande de soins en urgence augmente partout dans le monde, aussi bien pour l’enfant que l’adulte. Cela met en péril l’ensemble du dispositif de soins et des efforts de réflexion de la part des médecins et des soignants Bilette de Villemeur T(2011).
En France, les urgences pédiatriques représentent 25 à 30% de l’ensemble des urgences avec une augmentation moyenne annuelle de 5% et une prédominance des jeunes enfants de moins de 5 ans et dans 50 à 56% des cas elles sont médicales Blanchard B(1994) et Bobossi-Seringne B(2002). En Afrique subsaharienne :
Au Congo, surtout les urgences médicales pédiatriques représentent 18,54% des admissions. Les principaux groupes étiologiques sont dominés par des maladies infectieuses et parasitaires (principalement le paludisme), ainsi que les maladies de l’appareil respiratoire et digestif Atanda H.L(1991)
Au Centre national hospitalier de Cotonou (Bénin), et sur 2818 cas d’hospitalisations ,60% l’ont été dans une situation d’urgence Atanda H.L(1994),
Au Sénégal, les urgences pédiatriques représentent 52% des admissions avec un taux de mortalité de 15,9%. Les principaux groupes étiologiques sont dominés par les troubles respiratoires dans 19% des cas, les troubles digestifs dans 16,5% des cas et la malnutrition dans 15,5% des cas. Thomas G (2015)
Les urgences médicales pédiatriques restent une réalité quotidienne, un véritable problème de santé, une préoccupation à la laquelle tout le personnel sanitaire est confronté. C’est pourquoi la connaissance des principaux groupes étiologiques constitue la clé de la prévention dans certains cas.
PERCEPTION DE L’URGENCE Selon Gilbert et al(1988) :
L’urgence se confond avec l’idée d’un danger pour la vie, imminent ou seulement proche.
La perception de l’urgence se fait à deux niveaux. D’abord, celui des Parents qui motive la consultation, ensuite celui du corps médical. L’appréciation du degré d’urgence peut être différente à ces deux niveaux ; permettant ainsi de classer les urgences pédiatriques :
Les « urgences vraies ou « urgences prioritaires » il s ‘agit des Malades admis dans un tableau de détresse vitale nécessitant une prise en charge rapide.
Les « urgences ressenties » ou « urgences fausses » il s’agit que des enfants présentant une affection ne menaçant pas le pronostic vital et les Parents décident d’amener aux urgences pour des raisons socioéconomiques ou l’existence d’un plateau technique rassurant ou parce qu’ils sont inquiets.
Dans tous les cas, l’étiquette d’urgences « prioritaires « ou «ressenties » n’est portée qu’a posteriori : après l’examen de l’enfant.
A cet effet, nous avions considéré comme urgent ; des enfants présentant :
-Une fièvre ≥ 39°c non corrigé
-Un enfant présentant une détresse neurologique -Un enfant présentant une détresse hématologique -Un enfant présentant une urgence chirurgicale -Un enfant présentant une détresse respiratoire
NOTIONS GENERALES DE CERTAINS SYMPTOMES ADMIS EN L’URGENCE
Le coma :
Selon Labrune P et al. (2004) le coma traduit une souffrance cérébrale sévère avec une perte de conscience et de vigilance. La gravité dépend de la cause et de la profondeur mais elle est inversement proportionnelle à l’Age. Les causes de coma chez l’enfant sont par ordre décroissant, traumatisme crânien, intoxication, ischémie-anoxie, désordre métabolique et infection du système nerveux.
Selon Molyneux M et Marsh K(1991) On le classe en quatre stades selon le score de Blantyre:
– Coma léger ou stade 1 : Il y a une abolition incomplète de la conscience à la stimulation nociceptive. On peut provoquer des réactions motrices ou vocales relativement bien adaptées. On ne note aucune perturbation végétative.
– Coma de moyenne gravité ou stade 2 : IL y a une abolition complète de la conscience, une disparition des fonctions de relation (sensibilité, motricité) mais les fonctions végétatives sont peu perturbées.
– Coma profond ou stade 3 et 4: Il y a une abolition totale de la conscience et de la vie de relation, une grave perturbation des fonctions végétatives, respiration rapide, superficielle pouvant entraîner une augmentation du CO2 sanguin, une forte libération de catécholamines ce qui vont provoquer une tachycardie, une élévation de la tension artérielle, une défaillance circulatoire, le collapsus, l’hyperthermie.
La Détresse respiratoire
Selon Couvreur J, (1988) Costil J et al (1999) Blanchard B(1994) elle est la traduction d’une insuffisance respiratoire aiguë rapidement progressive avec polypnée à l’air ambiant, insuffisance due à une défaillance de la fonction respiratoire secondaire soit à une atteinte directe de l’échangeur (parenchyme pulmonaire) soit à une anomalie de la mécanique ventillatoire ou l’associatio n des mécanismes. Elle est très fréquente au cours des infections respiratoires aiguës basses (atteinte infectieuse des parties suivantes de l’appareil respiratoire : larynx, bronches et poumon) on parle d’atteinte broncho-pulmonaire.
C’est une urgence qui en l’absence de traitement adéquat peut entraîner un arrêt cardiaque brutal par hypoxie, source de séquelles neurologiques grave (Lebel, M.H (1998)).
Diarrhée et déshydratation
Selon Agrere A, Tshasana M.J et al(1989), et Henry S. (1989) La diarrhée aiguë est une affection fréquente rencontrée en pédiatrie. En raison de sa gravité potentielle, elle reste un véritable problème de santé publique.
La déshydratation est la principale complication de cette affection et est de nos jours encore responsable d’un grand nombre de décès à travers le monde. En France, la déshydratation aiguë sur gastroentérite était la première cause décès évitable chez les enfants admis dans un centre de réanimation pédiatrique
Les intoxications
Selon Daniel V et al (1990), Hantson P, Baud F(1995) l’intoxication est l’ensemble des manifestations pathologiques consécutives à l’administration d’aliments ou l’absorption de produits ou de médicaments qui se comportent comme un poison dans l’organisme. Les intoxications sont et restent une cause fréquente de consultation et d’hospitalisation chez l’enfant. Il s’agit le plus souvent de l’ingestion accidentelle d’un médicament laissé imprudemment à sa portée, il peut aussi s’agir d’un accident thérapeutique par erreur de posologie; ou une intoxication par ingestion de produits domestiques ou de substances chimiques tel que les pesticides ou la soude caustique. Les intoxications médicamenteuses aiguës représentent 50% des intoxications de l’enfant. Par ailleurs, les intoxications par les produits domestiques sont le plus souvent accidentelles. Le pétrole et dérivés sont les causes principales d’intoxication (essence de térébenthine). Le risque de cette intoxication est essentiellement pulmonaire par inhalation directe du produit lors d’une fausse route. L’ingestion d’une quantité importante peut conduire à l’apparition de signes d’irritation digestive et à une dépression nerveuse centrale.
La fièvre:
Selon Labrune P et al (2004) la fièvre ,définie comme une température supérieure ou égale à 38°C , est l’un des motifs de recours aux urgences les fréquents en pédiatrie .la majorité des enfants qui consultent pour la fièvre sont âgés de moins de trois ans.la fièvre est un symptôme qui pose plusieurs problèmes : Son origine, sa tolérance, sa prise en charge.si dans la majorité des cas elle n’est que l’un des signes d’une maladie infectieuse bénigne, elle peut être le signe d’alarme d’ une pathologie sévère et ou rapidement évolutive ,qu’il est impératif de prendre en charge en urgence. L’Age est un facteur essentiel à prendre en compte. Une démarche rigoureuse s’impose dans tous les cas dans laquelle la clinique est irremplaçable.
La température est régulée en permanence autour de 37°C grâce à une Égalité constante entre la quantité de chaleur produite et la quantité de Chaleur perdue par l’organisme. La fièvre peut être due à une déshydratation. Elle est aussi observée dans les hyperthyroïdies, les maladies du système nerveux (Encéphalites, les tumeurs).
Les méningites purulentes
Selon Umberto S (2000) Les méningites purulentes sont particulièrement fréquentes chez l’enfant. Leur diagnostic précoce est difficile chez le nourrisson, à fortiori chez le nouveau-né, le syndrome méningé classique manquant habituellement. La ponction lombaire est largement pratiquée en cas de syndrome infectieux inexpliqué chez le nourrisson et elle l’est systématiquement constituée une urgence thérapeutique : Une évolution fulminante par choc septique, une hypertension intracrânienne compliquée sont possibles en cas de retard de diagnostic ou de traitement. Le pronostic est vital et neurologique.
Acétyl salicylate de lysine (Aspégic)
Définition
Selon kettanin (2008), Makris Greaves M et al (1997) L’acétyle salicylate de lysine a été synthétisé en 1853, et utiliser pour la première fois en 1899. L’origine de sa découverte remet à des travaux réalisés sur l’écorce de Saule qui a été utilisé pour combattre la fièvre. Il possède des propriétés antalgiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires et antiagrégants plaquettaires, toutes liées à l’effet inhibiteur sur la synthèse des prostaglandines.
Mécanisme d’action
Selon Schucks Herve A (1997), allan H et al (1997) Ils inhibent l’activité de la cyclooxygénase : ils bloquent ainsi la synthèse des prostaglandines, connus pour un rôle sensibilisateur des nocicepteurs aux médiateurs algogénes (histamine, bradykinine, sérotonine).
Les indications, effets indésirables, contre-indications présentations et posologie (Vidal (2008)) :
Indications
– Traitement de courte durée des douleurs intenses.
– Traitement des douleurs d’origine inflammatoire.
– Traitement des rhumatismes inflammatoires.
– Traitement symptomatique de la fièvre lorsque l’administration par voie orale n’est pas possible.
– Prévention de l’infarctus du myocarde dans l’angor.
– Prévention des thromboses dans le post-infarctus du myocarde.
– Prévention de l’HTA gravidique.
Effets indésirables
– Effets sur le système nerveux central: bourdonnements d’oreille, sensation de baisse de l’acuité auditive, céphalées, acouphène, vertige, insuffisance rénale et respiratoires qui sont habituellement la marque d’un surdosage (le salicysme).
– Effets gastro-intestinaux: ulcères gastriques, hémorragies digestives patentes (hématémèse …) ou occultes, responsables d’une anémie ferriprive. Ces hémorragies sont d’autant plus fréquentes que la posologie utilisée est plus élevée.
– Effets hématologiques: syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura…) avec augmentation du temps de saignement.
Cette action persiste 4 à 8 jours après arrêt de L’aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique en cas d’intervention chirurgicale.
– Réaction d’hypersensibilité: accidents de sensibilisation (œdème de Quincke, urticaire, asthme, accidents anaphylactiques).
– Autres: douleurs abdominales, hépatite discrète habituellement asymptomatique.
– Effets liés à la voie d’administration possibilités de douleur au point d’injection et de réactions locales
Contre-indications
Absolues :
– Hypersensibilité connue aux salicylés et aux substances d’activité proche, notamment anti-inflammatoires non stéroïdiens.
– Ulcère gastroduodénal en évolution.
– Toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise.
– Risque hémorragique.
– Autres AINS avec les salicylés à fortes doses, anticoagulants oraux lorsque les salicylés sont utilisés à faibles doses, héparines par voie parentérale, ticlopidine.
– Allaitement.
Présentations
Poudre pour solution injectable IM, IV 500 mg/ 5 ml, boite de 6.
Pour solution injectable IM, IV 1000 mg/ 5 ml, boite de 6.
Posologie
Pour affections douloureuses et / ou fébriles :
Enfant > 27kg : 50 mg/kg/J en 3 à 4 prises avec dose max de 2 g/J Enfant de plus de 40 kg avec dose max de 3 g/J.
le paracétamol
Définition
selon Henry S (1989) et Ivan T(1997) Le paracétamol par ses propriétés antalgique et antipyrétique constitue une indication de choix dans le traitement symptomatique des affections douloureuses et /ou fébriles
Mécanisme d’action
C’un faible inhibiteur de la cyclo-oxygénase (isoforme1et2) .l’existence d’isoforme cox3, considéré comme sensible au paracétamol est discuté. Par ailleurs, des travaux déjà anciens de flower et vane ont démontré que le paracétamol possède un effet inhibiteur modeste des cyclo-oxygénase périphérique alors que les enzymes centrales seraient plus fortement inhibés (Lazorthes Y (1993))
Posologie
La dose usuellement pédiatrique est de 60mg/kg/j soit 15 mg/kg par dose d’administration à 6 heures d’intervalle Dieppe Pet al (1993).
L’hépatotoxicité du paracétamol ne doit pas être négligé même si à dose usuelle elle est rare. Chez les enfants et les insuffisants hépatiques, elle peut être grave. Sur ces terrains le paracétamol (même à dose normale) peut générer une cytolyse aiguë d’origine toxique potentiellement sévère. En cas d’intoxication, lorsque la dose totale du paracétamol ingérée est supérieure à 10g, l’hépatotoxicité est gravissime et nécessite une hospitalisation et un traitement par la N-acétyl cystéine, antidote du paracétamol.
L’hépatotoxicité du paracétamol est favorisé par les inducteurs enzymatiques tels que l’alcool, les antiépileptiques et d’autres médicaments inducteurs du cytochrome p 450
Morphine
La morphine est utilisée en urgence pédiatrique habituellement par la voie intraveineuse ainsi Des microinjections de morphine ont montré son action aux différents niveaux de la transmission nociceptive (Dickenson et Le Bars, 1987).
Alors selon Brasseur (2013) L’utilisation de la morphine par voie orale était rare aux Urgences Pédiatriques du CHU de Tours. En effet au cours du premier trimestre 2012, un seul enfant avait reçu de la morphine par voie orale. Cette faible utilisation était due à de multiples réticences tant médicales : craintes des chirurgiens que ce traitement ne masque des symptômes cliniques, telle qu’une contracture abdominale, que paramédicales : risque de dépression respiratoire et donc nécessité d’une surveillance accrue de l’enfant. Or l’indication de la morphine par voie orale à libération immédiate pour des douleurs aiguës modérées et intenses, utilisée seule ou en association, est recommandée par l’ANAES et l’AFSSAPS. Des études aux Urgences Pédiatriques en France ont montré la faisabilité et l’efficacité de l’utilisation de la morphine par voie orale dans l’indication des douleurs aiguës post traumatiques. Les effets indésirables dans ces indications sont rares et mineurs.
Les formes de morphine orale à libération immédiate disponibles aux Urgences Pédiatriques du CHU de Tours étaient le sirop d’Oramorph® (sulfate de morphine sous la forme liquide) sous forme d’ampoules de 5 ml à une concentration de 2 mg/ml et des gélules d’Actiskénan® de 5 mg, 10 mg et 30 mg. La posologie était de 0,2 mg/kg/prise avec une posologie maximale de 10 mg. Cette dose pouvait être renouvelée au bout de 30 minutes à 2 reprises, en fonction du score de douleur si l’analgésie était insuffisante. La posologie choisie était volontairement la dose minimale efficace afin d’éviter les effets secondaires notables qui auraient d’emblée pu être un obstacle à l’adhésion du personnel à cette procédure. Un tableau indiquait le volume d’Oramorph® en ml et la posologie d’Actiskenan® en mg à administrer en fonction du poids de l’enfant. Ce tableau servait de repère afin de limiter les risques de surdosage.
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Table des matières
INTRODUCTION
1. Objectif général
2. Objectifs spécifiques
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’URGENCE PEDIATRIQUE
CHAPITRE I : RAPELS DE QUELQUES DEFINITIONS
I.1.Définition du médicament (OMS)
I.2. Classification des médicaments :
I.3. Médicaments essentiels (OMS(1996))
I.4. Médicament générique (OMS(1999))
I.5. L’urgence :
CHAPITRE II : EPIDEMIOLOGIE
CHAPITRE III : PERCEPTION DE L’URGENCE
CHAPITRE IV : NOTIONS GENERALES DE CERTAINS SYMPTOMES ADMIS EN L’URGENCE
IV.1. Le coma :
Tableau I : les différents stades de coma sont les suivants en Fonction de score
Tableau II : Score de Blantyre
IV.2. Les convulsions
IV.3. La Détresse respiratoire
IV.4. Diarrhée et déshydratation
IV.5.Les intoxications
IV.7.Les méningites purulentes
DEUXIEME PARTIE: UNE SYNTHESE D’ETUDE SUR LES MEDICAMENTS D’URGENCES UTILISENT EN PEDIATRIE
CHAPITRE I : ANTALGIQUE, ANTIPYRETIQUE ET ANTIINFLAMMATOIRE
I.1.Classification par L’OMS des antalgiques :
I.2. Acétyl salicylate de lysine (Aspégic)
I.2.1. Définition
I.2.2. Mécanisme d’action
I.2.3. Les indications, effets indésirables, contre-indications présentations et posologie (Vidal (2008)) :
I.2.3.1. Indications
I.2.3.2. Effets indésirables
I.2.3.3. Contre-indications
I.2.3.4.Présentations
I.2.3.5.Posologie
I.3.le paracétamol
I.3.1. Définition
I.3.2. Mécanisme d’action
I.3.3. Posologie
I.4. Morphine
I.4.1.Pharmacodynamique de la morphine sur la douleur.
I.4.2.Pharmacocinetique
I.4.3. Effets indésirables
I.4.4. Dépendance et syndrome de sevrage.
I.4.5. Recommandations d’utilisation de la morphine par voie orale aux urgences pédiatriques en France
I.5. Les corticoides
CHAPITRE II : ANTICONVULSIVANT INJECTABLE
II.1. Benzodiazépines
II.1.1. Diazépam VALIUM*
II.1.1.1.Mode d’action
II.1.1.2. Les indications, effets secondaires, contre-indications et posologies
II.1.1.2.1.Indications
II.1.1.2.2. Effets secondaires
II.1.1.2.3.Contre-indications
II.1.1.2.4. Posologie
II.1.1.3.Les Présentations :
CHAPITRE III : LES ANTIPALUDIQUES
III.1. Définition
III.2. La quinine (quinimax®)
III .3.L’Artémisinine (quinghaosou)
III.3.1. L’artésunate (Arsumax®)
III.3.2. L’artéméther (Paluter®)
CHAPITRE IV : LES ANTIBIOTIQUES
IV.1. Céftriaxone (rocephine*)
IV.1.1.Mécanisme d’action
IV.1.2.Les indications, effets indésirables, contre-indications, présentations et posologie (Vidal (2008)) :
IV.1.2.1. Indications :
IV.1.2.2. Effets secondaires
IV.1.2.3. Contre-indications
IV.1.2.4. Posologie
IV.1.3. les Présentations
CHAPITRE V : LES SYMPATHOMIMETIQUES
V.1. α – β mimétique injectable
V.1.1.Epinéphrine (adrénaline)
V.1.1.1. Définition et mécanisme d’action
V.1.1.1.1. Définition
V.1.1.1.2.Mécanisme d’action
V.1.1.2. Les indications effets indésirables contre Ŕ indication, présentations et posologies (Dorotz P (2002))
V.1.1.2.1. Indications
V.1.1.2.2. Effets indésirables
V.1.1.2.3. Contre-indications
V.1.1.2.4. Présentations
V.1.1.2.5. Posologie
V.2. β2mimétique injectable
V.2.1.Définition
V.2.2. Mécanisme d’action
V.2.3.Salbutamol
V.2.3.1. Intérêt du salbutamol
V.2.3.2. Les indications
CHAPITRE VI : ANTI-ANGOREUX
VI.1. Trinitrine (NATISPRAY FORT *)
VI.1.1. Les indications, effets indésirables, contre-indications, et posologies (Dorotz P (2002))
VI.1.1.1. Indications
VI.1.1.2. Effets indésirables
VI.1.1.3.Contre-indications
VI.1.1.4. Posologie
VI.1.2.Présentation
CHAPITRE VII : OXYGENOTHERAPIE (collège national des enseignants de réanimation médicale (2002))
CHAPITRE VIII : LES DIURETIQUES
VIII.1. Définition
VIII.2. Mécanisme d’action
VIII.3. Furosémide LASILIX*
VIII.3.1.Les indications, effets indésirables, contre-indications et posologies
VIII.3.1.1. Indications
VIII.3.1.2.Effets indésirables
VIII.3.1.3. Contre-indications
VIII.3.1.4. Posologie
VIII.3.1.5. Présentation
CHAPITRE IX : LES SOLUTES ET LES ABSORBANTS
IX.1. Sérum glucosé hypertonique 30% (Vidal (2008)
IX.1.1. Indications
IX.1.2. Effets secondaires
IX.1.3. Contre-indication
IX.1.4.Présentation
IX.1.5.Posologie
IX.2. Chlorure de sodium (NACL) 10% solution hypertonique (Plaisance P et al(2000)
IX.2.1. Indications
IX.2.2.Effets secondaires
IX.2.3.Contre-indications
IX.2.4. Présentation
IX.2.5. Posologie
IX.3.Mannitol (Plaisance Pet al (2000))
IX.3.1. Indications
IX.3.2.Effets secondaires
IX.3.3.Contre-indications
IX.3.4.Présentation
IX.3.5. Posologie
CHAPITRE X : LES VITAMINES :
CHAPITRE XI : LES ANESTHESIQUES LOCAUX
XI.1. La Lidocaïne
XI.1.1. Propriétés physico-chimiques
XI.1.2. Utilisation
CHAPITRE XII : LES ANTISEPTIQUES
XII.1. La classification des antiseptiques
XII.1.1. Les antiseptiques majeurs
XII.1.1.1. Les alcools
XII.1.1.1.1. Mode d’action
XII.1.1.1.2. Indication
XII.1.1.1.3. Effets indésirables et précautions d’emploi
XII.1.1.1.4. Contre-indications
XII.1.2. Les antiseptiques mineurs
XII.1.2.1. Les carbanilides
XII.1.2.1.1. Le triclocarban
XII.1.2.1.1.1. Mode d’action
XII.1.2.1.1.2. Présentations
XII.1.2.1.1.3. Indications
XII.1.2.1.1.3. Effets indésirables :
XII.1.2.1.1.4. Précautions d’emploi
XII.1.2.2. Les diamidines
XII.1.2.2.1.L’hexamidine
II.1.2.2.1.1. Mode d’action
XII.1.2.2.1.2. Indications
XII.1.2.2.1.3. Contre-indication et précautions d’emploi
CONCLUSION
REFERENCES BIOGRAPHIQUES
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