Notion d’efficacité et de performance d’une IMF

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Notion d’efficacité et de performance d’une IMF

A posteriori, on pourrait analyser les impacts des activités d’une IMF pour pouvoir porter un jugement sur son fonctionnement. Toutefois, on peut apprécier ce dernier, a priori, en voyant de près l’efficacité de cette IMF. Contrairement à l’efficacité, la performance d’une IMF ne peut être évaluée qu’à partir des données ncernantco celle-ci.

En fait, l’efficacité doit être la principale qualité des IMF pour pouvoir contribuer de manière significative à un développement rural durable à Madagascar. Dans cette section, nous traiterons de l’efficacité d’une IMF, mais nous n’oublierons pas pour autant de traiter des autres critères sur lesquelles les IMF exerçant à Madagascar devront porter une attention particulière à savoir la performance, la pérennitéet la viabilité.

L’efficacité d’une IMF

Œuvrer auprès des populations pauvres, en les finançant, en vue d’améliorer leurs conditions de vie, voilà en quoi consiste la mission origine d’une IMF. Nous disons alors que les IMF poursuivent un objectif de politique sociale et d’équité. Cependant, les IMF doivent insister sur la nécessité d’une gestion efficace de leurs ressources afin de fonctionner sur une base soutenable pour permettre un accès durable des populations pauvres au crédit.
En d’autres termes, insister sur l’efficacité intrinsèque des IMF, voilà sur quoi va se concentrer cette sous-section.

Notion d’efficacité

En premier lieu, apprécier l’efficacité d’une IMF dépend de l’optique suivant laquelle on veut l’apprécier. On peut donc approcher l’efficacité aussi bien de manière technique qu’allocative.

· Efficacité technique et efficacité allocative
L’efficacité technique consiste en la poursuite d’une efficacité qui résulterait d’une considération plutôt technique (i.e. IMF efficace par la technique qu’elle utilise). Ainsi, dans un contexte d’approche par la production (puisqu’effectivement, une IMF et une unité productive d’épargne et/ou de crédit uo encore outputs), l’efficacité technique permet à l’IMF de produire le maximum d’o utputs avec une quantité donnée de dépôt ou de ressource appelé encore inputs.
L’efficacité allocative, quant à elle, consiste en une optimisation de la production d’outptus sous la contrainte des coûts. C’est-à-dire, en vue de la production, l’efficacité allocative permet de choisir la meilleure combinaison productive d’inputs compte tenu de leurs prix 14.

Cette distinction entre efficacité technique et allocative est due à Farrell 15.
Nous sommes amenés à nous demander laquelle de l’efficacité technique et de l’efficacité allocative convient le mieux à la situation des IMF situées en zone rurale à Madagascar. Pour répondre à cette question, nous allons voir jusqu’à quel point chacune de ces deux efficacités sont discutables.

« On peut dire que l’efficacité allocative est discutable de par le seul fait qu’elle se réfère à l’optique d’optimisation du profit (c’est-à-dire ca lcul économique de l’efficacité orienté vers coût et avantage produit par le choix d’inputs).

Quant à l’efficacité technique, elle est moins discutable, car même en cas d’inefficacité technique, on peut clairement justifier cette inefficacité. De façon plus claire, il est impensable que les IMF renoncent à la recherche de l’efficacité technique au risque de ne pouvoir soutenir durablement leurs actions en faveur des catégories pauvres»16.

Pour le cas des IMF à Madagascar alors, retenir l’ efficacité technique comme mesure appropriée de performance est plus convenable que de retenir l’efficacité allocative.

· L’approche
Une autre distinction, qu’on doit impérativement faire, porte sur l’approche suivant laquelle il convient d’estimer l’efficacité.
Il existe deux types d’approches : approche frontière et approche financière
Par souci de continuité du raisonnement, on ne traitera ici que l’approche frontière et on ne verra l’approche financière que dans la sous-section qui va suivre (sous-section 2.2, p.8) (L’évaluation financière est une pratique plus courante que la mesure par les frontières d’efficacité).

L’approche frontière : Il s’agit ici de définir unefrontière de production PP’ à partir de laquelle on va juger de l’efficacité d’une IMF17.

C’est Farrell qui a mis au clair la distinction entre l’efficacité technique et l’efficacité allocative grâce à son approche par la frontière de production18.

Le graphique ci-dessous nous éclaircit sur les notions d’approche frontière, efficacité technique et efficacité allocative, dans lequel :
PP’ : la frontière de production
tt’ : rapport du prix des inputs définissant la contrainte des coûts.
rr’ : coût théorique que doit supporter l’IMF
Point O : origine
Point B : niveau de production théorique correspondant à une IMF techniquement efficace
Point D : point où devrait se trouver une IMF techniquement et allocativement efficace
Au point A :
– inefficacité technique = OA/OB<1 car OA<OB
– inefficacité allocative = OB/OC avec OB<OC
OC : coût que supporte l’IMF qui se trouve en A

Mesure de l’efficacité : Approche paramétrique ou pprochea non paramétrique

Il a été tiré au clair dans la section précédente que l’approche par les frontières est préférable à l’approche financière et l’efficacité technique sur l’efficacité allocative. Il importe alors de savoir lesquelles des méthodes d’estimation, paramétrique ou non paramétrique, doit – on retenir lorsqu’on veut évaluer l’efficacité d’une IMF à l’aide d’un indicateur synthétique.

On peut distinguer deux principaux types d’approches suivant que l’on ait recours à des paramètres ou non22.

· L’approche paramétrique
Les approches paramétriques peuvent être regroupées n deux catégories :
– si tout écart observé est uniquement dû à l’inefficacité (la méthode d’estimation de la frontière est inférentielle avec recours aux Moindres Carrées Ordinaires), la frontière de production est dite déterministe.
– si, en plus de la défaillance, on prend en compte un autre terme aléatoire qui englobe les erreurs23 qui peuvent influencer la production, la frontière devient alors stochastique.

· L’approche non paramétrique
Le choix de la méthode non paramétrique est conseillé lorsqu’on n’a aucune indication sur la forme fonctionnelle de la fonction à maximiser ou à minimiser, lorsqu’on est en présence de plusieurs outputs et inputs, ou lorsqu’on présume que les facteurs aléatoires ont un effet peu significatif sur la mesure de l’efficacité.
L’efficacité d’une IMF correspond donc à ce qu’on v ient de décrire jusqu’ici. Cependant, on a l’habitude de juger de l’efficacité d’une IMF de par sa performance. C’est ce dont parlera la section qui suit.

Mesure de performance

La performance d’une IMF est souvent déduite à partir de sa situation financière. Plus précisément la mesure de la performance d’une IMF passe par plusieurs retraitements de ses états financiers, et ce n’est qu’ensuite qu’on pourra obtenir des indicateurs de performance relatifs à l’IMF 24. (Cette section traitera aussi de l’efficacité financière que l’on a volontairement omis de mentionner dans la sous-section 2.1) .

Retraitements des états financiers

Ces retraitements concernent les retraitements comptables et les retraitements au titre de l’inflation et de subvention

· Retraitements comptables : ces retraitements sont au nombre de quatre à savoir : Pertes sur créances irrécouvrables (PCI)
La prise en charge des PCI est un élément importantde la gestion financière d’une IMF et aussi l’un des plus mal gérés. Pour obtenir une image fidèle de la performance financière de l’institution, il est nécessaire de déterminer quelle proportion de son portefeuille génère effectivement des revenus et quelle proportion est susceptible d’être irrécouvrable. Ceci peut être fait en examinant la qualité du portefeuille edcrédits, en constituant une provocation des créances douteuses et en procédant à des abandons de créances régulières.

Provisions pour créances douteuses (PCD)
Le compte PCD correspond au montant du capital restant dû que l’institution pense ne plus pouvoir recouvrir. C’est un montant destiné à couvrir les pertes sur le portefeuille de crédits. Les PCD sont enregistrées comme actifs négatifs aubilan. Elles viennent en réduction de l’encours net de crédits. Le montant des PCD est déterminé à partir des données historiques d’impayés et la durée des retards. En matière de remboursement, les performances passées sont les meilleurs indicateurs des performances futures.

Traitement de l’amortissement des immobilisations
De nombreuses IMF procèdent à l’amortissement de le urs immobilisations conformement aux principes comptables généralement reconnus. Cependant, toutes ne le font pas. Si l’analyse des états financiers d’une institution révèle qu’une inexistence de compte d’exploitation appelé « amortissement » sur le compte de résultat,ou si la taille de ce compte semble inappropriée par rapport au montant des immobilisations portées sur le bilan, il est nécessaire de retraiter les états financiers et de procéder àl’amortissement de chaque immobilisation, en se fondant sur le nombre d’années découlées depuisleur acquisition par l’institution.

Les intérêts comptabilisés d’avance (ICA) et charged’intérêts comptabilisés d’avance (CICA)
ICA : On parle d’ICA lorsque l’on enregistre des in térêts qui n’ont pas encore été reçus. On se fond sur l’hypothèse que les intérêts seront perçusà une détermination ultérieure, et on les enregistre comme produits et comme actifs sous ICA ou intérêt à recevoir.
CICA : A la fin de l’exercice comptable, le bilan doit donner une image fidèle de la situation financière que l’institution verse périodiquement. A la fin de l’exercice, il est probable que l’institution doive des intérêts sur les fonds empruntés pour la période allant du dernier remboursement à la date de clôture de l’exercice. L es états financiers doivent par conséquent être ajustés de façon à refléter ces charges de financement qui sont dues mais pas encore payées. On parle alors de charges d’intérêts comptabilisés d’avance.

· Retraitement au titre de subvention et de l’inflation
Contrairement aux quatre retraitements que l’on vient de décrire, ces deux derniers types de retraitements ne sont pas toujours dictéspar les normes comptables.
Les retraitements au titre des subventions et de l’inflation doivent être effectués pour faire apparaitre la viabilité financière réelle de l’institution.

Retraitement au titre des subventions
De nombreuses IMF financent leurs portefeuilles de crédit essentiellement à l’aide de dotations en capital ou d’emprunts concessionnels. Les crédits concessionnels, les subventions d’exploitation et les dotations en capital sont tous considérés comme des subventions accordées aux IMF. Il est nécessaire dedistinguer les subventions et de retraiter les états financiers, de façon à déterminer les performances financières de l’institution comme si elle se finançait par dettes et par fonds propre s plutôt que par fonds subventionnés .

Il existe trois grands types de subventions accordés habituellement aux IMF :
i. Les subventions destinées à couvrir les charges d’exploitation et les subventions en nature
ii. Les crédits concessionnels
iii. Les dotations en capital

Pour effectuer le retraitement au titre des subventions, la première étape consiste à déterminer la valeur des subventions, puis à passer les écritures comptables. En ce qui concerne les crédits concessionnels et les dotations en capital,il est également nécessaire de déterminer le coût des ressources approprié à appliquer aux subventions.

Retraitement au titre de l’inflation
L’inflation se définit comme une augmentation substantielle des prix et de la masse monétaire, ayant pour conséquence une diminution dela valeur de l’argent 30.

Pour effectuer ce retraitement, on considère :
– La réévaluation des actifs non financiers
– Le coût de l’inflation sur la valeur réelle des fonds propres.
Les actifs non financiers comprennent les immobilisations telles que les terrains, les constructions et l’équipement. La valeur des immobilisations, en particuliers des terrains et des constructions, est supposée augmenter avec l’inflation. Cependant, cette augmentation n’est habituellement pas enregistrée dans les étatsfinanciers des IMF. Ainsi leur valeur réelle peut être sous-estimée.
Etant donné que la plupart des IMF financent leurs actifs principalement avec leurs fonds propres, les fonds propres doivent augmenter suivant un taux au moins égal au taux d’inflation pour que l’institution puisse continuer à financer son portefeuille.
Des retraitements, comme détaillés ci-dessus, doivent alors être effectués avant de mesurer la performance d’une IMF, mais cette mesure se fait en ayant recours aux indicateurs de performance.

La microfinance et le contexte actuel des IMF à Madagascar

On va entamer ce chapitre par l’historique de la microfinance (apparition dans le monde et historique à Madagascar), puis on traitera le contexte actuel des IMF à Madagascar.

Historique de la microfinance

Pour mieux introduire la situation actuelle des IMF à Madagascar on va d’abord revenir sur l’origine de la microfinance depuis son apparition dans le monde et son historique à Madagascar.

Origine de la microfinance

Dans le passé, les pratiques visionnaires de certains moines franciscains qui avaient fondé au XVe siècle des mots de piété présentaientdes orientations communautaires. Toujours en Europe, en 1849, un bourgmestre prussien Friedrich Wilhelm Raiffeisen, fonde en Rhénanie la première société coopérative d’épargne et de crédit, une institution qui offre des services d’épargne aux populations ouvrières pauvres et exclues des banques classiques38. L’épargne collectée permet de consentir des créditsà d’autres clients. Ces organismes sont dits mutualistes. Le mutualisme y compris financier connaît à partir de 1941, un développement assez exceptionnel au Pays basque espagnol autour des coopératives de Mondragon. Mis à part le cas de Mondragon, les orga nismes et les institutions qui se développent sur cette base en Europe et en Amériquedu Nord, puis, après la Seconde Guerre mondiale dans les pays du Sud se focalisant sur l’épargne et offrent peu de services de crédit .

Dans les années 1970, avec la Grameen Bank, Muhammad Yunus développe le microcrédit au Bangladesh et ouvre la voie à de nombreuses autres expériences menées dans le monde entier. Des institutions sont créées pourfournir aux pauvres des moyens de créer leur gagne-pain et les outils pour gérer le risque associé, c’est-à-dire les services financiers normaux qui sont proposés aux catégories plus riches40. Le succès de la Grameen Bank qui compte maintenant comme clients plus de 7 millions de pauvres au Bengladesh, a connu un écho dans le monde entier, dans la pratique, il s’est avéré difficile de recopier cette expérience. Dans les pays où les densités de population sont plus faibles, il est beaucoup plus problématique de réunir les conditions de rentabilité pour créer des services et commerces de proximité. Il n’empêche que la Grameen a démontréueq non seulement les pauvres remboursent leurs crédits, mais qu’ils peuvent payer des intérêts élevés et que l’institution peut donc couvrir ses propres coûts41.

A la fin des années 1980, les initiatives se multiplient. En Amérique latine, des institutions accordant des crédits en milieu urbain commencent à couvrir leur frais sans subvention. L’ONG bolivienne PRODEM créée en 1986 écide de filialiser ses activités de microfinance sous forme de banque en créant la Banco Solario SA, plus connue sous le nom de Bancosol. C’est l’émergence d’une « industrie de la microfinance »42.
Beaucoup de progrès ont été effectués, mais tous sleproblèmes n’ont pas été résolus, et la grande majorité de la population qui gagne moins d’un euro par jour, spécialement dans les zones rurales, ne bénéficie toujours d’aucun acès au secteur financier normal. Le secteur de la microfinance a connu une croissance régulièrejusqu’à atteindre en 2007 25 milliards de dollars pour l’ensemble des crédits relevant de la microfinance43. Il en faudrait dix fois plus pour fournir aux populations pauvres le capital dont elles ont besoin. Le secteur de la microfinance a connu une forte croissance, au point qu’on a pu se demander s’il n’y avait pas un risque à laisser filer autant de capitaux vers u n secteur qui n’était pas forcément géré correctement.

Historique de la microfinance à Madagascar

L’histoire de la Micro Finance comporte trois périodes distinctes44 : avant 1990, de 1990 à 1995 et 1996 à nos jours. Ainsi, l’origine d e la Micro Finance à Madagascar remonte à une vingtaine d’années. Les défaillances du systèmebancaire en milieu rural ont favorisé la création des Institutions de Micro Finance (IMF) à partir de 1990 à Madagascar.
Avant 1990 : « Aucune Institution de Micro Finance n’existait encore à cette époque. Néanmoins, la Bankin’ny Tantsaha Mpamoatra (BTM), Banque Nationale depuis 1976 et reprise en 1999 par la Bank Of Africa (BOA) dans le cadre de sa privatisation, était la seule banque qui intervenait dans le secteur de la Micro Finance »45. Mais, ses activités dans ce domaine étaient limitées à l’octroi de crédit au paysannatet n’atteignaient qu’une frange limitée de la population rurale. L’intervention de cette banque en faveur du secteur de la Micro Finance s’est toutefois maintenue après sa privatisation.
1990 – 1995 : phase d’émergence des IMFs :
L’émergence des IMFs a été surtout favorisée par conjugaisonla des interventions de trois entités :
i. les Bailleurs de fonds (Banque Mondiale, Union Européenne, Agence Française de Développement, Coopération Allemande, Inter-coopération Suisse, …)
ii. le gouvernement au travers de sa politique en faveur de ce secteur avec le concours du financement de la Banque Mondiale à travers :
le projet d’exécution Projet d’Assistance Technique aux Finances Rurales / Association pour le Développement du Mouvement Mutualiste d’Epargne et de Crédit (PATFR/ADMMEC) jusqu’en 1997 puis le Projet Micro Finance (PMF) pour une phase de deux ans 1998-1999
et l’AGEPMF : gestion du Programme Micro Finance planifié sur quinze ans dont le démarrage officiel a débuté enuinj 1999.
iii. Les Agences d’Implantation et de Développement ou opérateurs techniques spécialisés et qui ont assuré l’encadrement technique des IMF. Il s’agit entre autres de Développement International Desjardins (DID), Formation pour l’Epanouissement et le Renouveau de la Terre (FERT), Institut de Recherche et d’Application des Méthodes de Développement (IRAM), Centre International de Développement et de Recherche (CIDR).

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : Cadre théorique et situation des IMF à Madagascar
Chapitre 1 : Cadre théorique de la microfinance et notion d’efficacité
Section 1 : Les théories applicables à la microfinance
1.4- La microfinance
1.5- Asymétrie d’information
La selection adverse
L’aléa moral
1.6- Les théories qui introduisent la microfinance
L’épargne
Le crédit
Le financement
L’assurance
Section 2 : Notion d’efficacité et de performance d’une IMF
2.1- L’efficacité d’une IMF
A- Notion d’efficacité
Efficacité technique et efficacité allocative
L’efficacité technique
L’efficacité allocative
L’approche
L’approche frontière
B- Mesure de l’efficacité
Approche non paramétrique
Approche paramétrique
2.2- Mesure de performance d’une IMF
A- Retraitement des états financiers
A1-Retraitements comptables
Provision pour créances douteuses
Traitement de l’amortissement
Intérêts comptabilisés d’avance et charges d’intérêts comptabilisés d’avance
A2-Retraitement au titre de l’inflation et de subvention
Au titre de subvention
Au titre de l’inflation
B-Indicateur de performance
Qualité de portefeuille
Viabilité financière
Productivité et efficacité
Rentabilité
Effet levier et adéquation
2.3- Pérennité des IMF
Autonomie financière
Autonomie Organisationnelle
Autonomie Institutionnelle et sociale
Chapitre 2 : La microfinance et le contexte actuel des IMF à Madagascar
Section 1 : Historique de la microfinance
1.3- Origine de la microfinance
1.4- Historique de la microfinance à Madagascar
Avant 1990
1990-1995
A partir de 1996
Données sur l’évolution de la microfinance ) Madagascar
Section 2 : Le contexte malagasy
2.5- Structuration de la profession et les principaux acteurs
APIFM
AIM
2.6- L’environnement de la microfinance à Madagascar
Les actions du gouvernement
Cadre de libre marché
Responsabilité des acteurs
2.7- Cadre légal et réglementaire
2.8- Politique nationale
PARTIE 2 : Analyse de l’efficacité des IMF dans les milieux ruraux à Madagascar : Cas du réseau CECAM
Chapitre 1 : Les IMF dans les milieux ruraux et leurs efficacités
Section 1 : Le financement rural
1.3- La demande et l’offre de financement rural à Madagascar
La demande de financement rural à Mcar
Les besoins en matière de financement rural
Les spécificités du risque du financement rural et agricol
Comment analyser les besoins
L’offre de financement rural
Financement informel
Projets de développement
Banques de développement
Banques commerciales
La microfinance
1.4- Source de financement de la microfinance rurale à Madagascar
A-Les principales sources de financement de la microfinance rurale
L’aide extérieure
La collecte d’épargne
Le refinancement bancaire
La constitution d’un capital propre
B-Les IMF à Mcar
CECAM
OTIV
TIAVO
AECA
ADéFI
MAHAVOTSE objectif sud
SIPEM
VOLA MAHASOA
APEM
EAM
CEM
Microcréd
PAMF
AFD
6PNUD/FENU
Section 2 : Les limites de la microfinance
Endettement des agents
Nouvelle forme de domination
Travail des enfants
Chapitre 2 : L’efficacité du réseau CECAM
Section 1 : Présentation du réseau CECAM
1.4- Fonctionnement d’une CECAM
1.5- Structure du réseau CECAM
1.6- Les services du réseau
A-L’épargne
Le dépôt à vue
Le plan épargne
Le dépôt à terme
B-Le crédit
Le crédit productif
Le crédit dépannage ou social
Le GCV
La LVM
Section 2 : Etude d’impact du réseau CECAM
2.3- L’efficacité du réseau CECAM
Orientation rurale
Offre de services adaptés au besoin des ruraux
Politique de crédit de moyen terme
Réseau qui touche les pauvres
2.4- Les limites du réseau CECAM
Le taux d’intérêt
La garantie
L’extrème pauvreté
CONCLUSION 

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