Notion de dépense énergétique de repos et de dépense énergétique de 24h 

Variations en fonction de la taille

Pour permettre une prévision encore plus précise, l’O.M.S a déterminé des équations prenant en compte la taille du sujet, en plus de son poids, de son âge et de son sexe. Dans le tableau ci-dessous, P représente le poids en kilos et T représente la taille en mètres.

Variations en fonction du sexe

La masse maigre (= masse active ou masse musculaire) entraîne une dépense énergétique d’entretien huit à dix fois supérieure à celle engendrée par la masse grasse.
La femme a une masse grasse plus importante que l’homme qui a, en contrepartie, une masse maigre supérieure à celle de la femme. Ceci explique que les besoins énergétiques d’un homme soient supérieurs à ceux d’une femme.

Variations en fonction de l’âge

Avec l’âge, la masse grasse augmente tandis que la masse maigre diminue compte tenu de la fonte musculaire et de la réduction de la taille des organes. Ce phénomène naturel est d’autant plus marqué que les personnes vieillissantes ont une activité physique moins importante.

Variations en fonction de l’état physiologique

Le métabolisme de base correspond essentiellement, chez un sujet adulte en bonne santé, aux dépenses énergétiques liées à la circulation sanguine et à la respiration. Il diminue pendant le sommeil.
Jusqu’à l’âge de 15 ans pour les filles et 18 ans pour les garçons, il inclut la dépense énergétique liée à la croissance.

Variations en fonction du régime alimentaire

Notre organisme adapte ses dépenses énergétiques en fonction des apports. En cas de sous-alimentation prolongée, le métabolisme de base diminue de façon à pouvoir survivre « à l’économie ». Ce phénomène d’adaptation fonctionne autant dans le cas contraire : une suralimentation habituelle entraîne une augmentation du métabolisme basal.

Variations en fonction de l’activité physique

Lorsqu’on pratique une activité sportive importante plusieurs fois par semaine, le métabolisme de base augmente de 5 à 10%, ce qui s’explique par l’accroissement de la masse musculaire.

Variations en fonction de certaines substances

Les psychostimulants (caféine, nicotine) augmentent le métabolisme de base.
Les sédatifs et hypnotiques produisent l’effet inverse.

Besoins et apports énergétiques 

Les besoins en un nutriment ou en énergie correspondant à la qualité nécessaire pour maintenir des fonctions physiologiques et un état de santé normal et faire face à certaines périodes de la vie telles que la croissance, la gestation, la lactation.
Un homme ayant une activité physique réduite a des besoins énergétiques correspondant à son métabolisme de base x 1,56.

Dépenses énergétiques dues au travail musculaire

Qu’elles entraînent un mouvement ou non, les contractions musculaires sont responsables d’une forte dépense énergétique qui peut être mesurée par l’étude de la consommation d’oxygène, laquelle est proportionnelle au travail effectué.
En réalité, l’énergie dépensée correspond non seulement au travail mécanique mais aussi à l’adaptation de l’organisme à l’effort et à l’augmentation de la thermogenèse.

Dépenses énergétiques dues à la digestion

Lors de la digestion, deux types de dépenses énergétiques sont cumulées : le travail digestif lui-même et l’assimilation des nutriments.
La digestion, dont le but est de nous apporter de l’énergie (entre autres), a un coût énergétique variable en fonction de ce que nous mangeons, qualitativement (c’est ce que l’on appelle l’action dynamique spécifique des nutriments ou ADS) et quantitativement.
Ainsi, lorsque nous mangeons une ration riche en protéines, nous procédons à un gaspillage énergétique important puisque notre dépense énergétique s’accroît de3% pour l’utilisation d’une ration glucidique, de 10% pour une ration lipidique etenfin de 30% pour une ration protéique !
Pour un repas, cette dépense correspond à une élévation de 20 à 30% du métabolisme de base : elle commence dès le début du repas et se poursuit pendant 3 à 5 heures après le repas.
L’assimilation des nutriments est responsable d’une libération d’énergie thermique, l’extra chaleur postprandiale (ECPP), qui n’est autre que cette sensation de chaleur qui nous envahit après manger. Celle-ci peut contribuer à lutter contre le froid. En revanche, dans un environnement chaud, il est préférable d’éviter un apport excessif en protéines qui perturberait les efforts de thermorégulation de l’organisme, notamment chez les jeunes enfants.
Puisque la digestion induit des dépenses énergétiques, cela veut-il dire que si l’on fractionne sa ration énergétique en 5 petits repas au lieu de 3 gros, on dépensera plus d’énergie pour les digérer ? La réponse est oui. Il convient donc d’en tenir compte tant chez les personnes dénutries, pour éviter le gaspillage énergétique, que chez les personnes en surpoids, pour accroître les dépenses énergétiques. Mais attention, fractionnement de la ration alimentaire ne veut pas dire grignotage désordonné et interrompu…

Dépenses énergétiques dues à la thermorégulation

Pour maintenir notre corps à une température à peu près constante lorsque la température ambiante n’est pas dans la zone de neutralité thermique, nous engageons des dépenses énergétiques liées à la thermogenèse (= production de chaleur) ou à la thermolyse (= perte de chaleur). Cette thermorégulation s’opère par divers moyens : la conduction, échange de chaleur entre notre peau et un solide, c’est le cas par exemple lorsque nous réchauffons nos mains au contact d’un objet chaud ; la convection, échange de chaleur entre notre peau et un fluide, par exemple lorsque nous nous rafraîchissons en prenant une douche froide ; le rayonnement, flux d’énergie émis et reçu par notre corps ; l’évaporation cutanée, qui nous permet d’évacuer de la chaleur sous forme de vapeur d’eau. Plus il fait chaud, plus la thermolyse par évaporation s’accroît.
Lorsque nous luttons contre le froid, la thermogenèse s’accroît par le biais de l’augmentation du tonus musculaire ajoutée à une vasoconstriction périphérique destinée à limiter les pertes par conduction, convection, rayonnement et évaporation. C’est ce qu’on appelle le métabolisme de sommet : il peut atteindre jusqu’à 5 fois le métabolisme de base. Mais nous pouvons lutter plus efficacement encore contre le froid grâce à l’exercice musculaire volontaire, lequel peut atteindre jusqu’à 15 fois le métabolisme de base, et cela tant que nous avons des réserves énergétiques. Rappelons également que l’extra chaleur post prandiale (ECPP) (voir plus haut) contribue à nous réchauffer.
Lorsque nous luttons contre la chaleur, nous ne pouvons annuler la thermogenèse liée au maintien de nos fonctions essentielles (respiration, circulation, etc.), c’est donc principalement l’évaporation cutanée qui nous permet de nous refroidir : nous pouvons perdre jusqu’à 10 litres de sueur par jour.

Intérêt de l’IMC

L’Organisation mondiale de la santé a défini cet indice de masse corporelle comme le standard pour évaluer les risques liés au surpoids chez l’adulte. Il a également défini des intervalles standards (maigreur, indice normal, surpoids, obésité) en se basant sur la relation constatée statistiquement entre l’IMC et le taux de mortalité (41).
Les compagnies d’assurance américaines l’utilisent afin de déterminer les risques d’accident cardio-vasculaire chez leurs assurés à partir de données restreintes, et font varier les primes demandées selon ce critère. Les accidents cardiovasculaires sont de toute façon rares avant 65 ans et il existe bien des manières beaucoup plus scientifiques de déterminer un risque : cholestérolémie, rythme cardiaque avant et après effort, etc., examens que les dites compagnies ne peuvent légalement pas demander à leurs clients (73).
Cet indice est surtout utile pour mettre en évidence l’augmentation des facteurs de risques. Il n’a pas vocation à déterminer précisément la valeur de la masse grasse et encore moins de la masse musculaire et osseuse.
L’IMC est corrélé avec une hausse de la mortalité toutes causes confondues, mais on constate particulièrement une hausse des décès due aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers et au diabète au fur et à mesure de l’augmentation de l’IMC.

Composition corporelle des sujets 

En fonction du sexe et de l’âge

La composition corporelle est très différente selon le sexe, la femme présentent une masse grasse beaucoup plus développée que l’homme même lorsque l’on tient compte de la masse corporelle : 23% chez la femme, 15% chez l’homme.
Le pourcentage de graisse s’élève inexorablement d’environ 3,6% par an a partir de 20 an s chez la femme et de 2,4% par an chez l’homme de plus de 30 ans, soit environ 1 gramme de graisse par jour (1kh tous les trois ans).
La masse maigre suit l’évolution inverse justifiant l’intérêt de l’activité physique chez le sujet âgé.
L’eau corporelle diminue avec l’âge. Chez la femme, cette variation est très importante après 60 ans. Elle est parallèle à la perte de masse maigre si bien que l’hydratation de la masse maigre varie peu.

Chez l’enfant et l’adolescent 

La masse maigre croit très régulièrement jusqu’à 20 ans (2) de même que la masse grasse. Chez le garçon, un pic du pourcentage de graisse est observé vers 13-14 ans, correspondant à un retard relatif de la croissance de la masse maigre.
La masse maigre croit de façon à peu près identique chez le garçon et la fille jusqu’à la puberté, puis elle croit plus rapidement chez le garçon.
Le poids maigre est maximal à 20 ans, il déclinera progressivement pendant la vie adulte.
L’hydratation de la masse maigre décroit régulièrement pendant la croissance passant de 86% d’eau par kg de masse maigre au début de la vie fœtal à 80% chez le nouveau-né puis 73% à la fin de l’adolescence.

Calcul de l’indice de la masse grasse (IMG)

De très nombreuses formules ont été proposées chez l’adulte (Durnin et womersley ; 1974, comme chez l’enfant(Brook ;1971 ; Durnin et Rahaman ; 1967 )pour calculer la masse grasse à partir de l’épaisseur des plis cutanés, leur précision est de l’ordre de 5%.
Leurs résultats ont été validés par densitométrie, impédancemétrie ou par mesure du potassium totale.

Chez l’enfant

Les formules habituellement utilisées sont celles proposées par Brook et validées à partir de la mesure de l’eau totale pour les enfants âgés de moins de 12ans (Brook).

Chez les adolescents

Les formules proposées par Durninet Rahamanet validées par densitométrie.
Ces formules permettent de calculer la densité de l’organisme à partir de la somme des 4 plis cutanés.

Population de références anthropométriques nutritionnelles

Les mesures anthropométriques doivent être comparées avec celles d’une population proche de celle étudiée sur le plan de la situation nutritionnelle. C’est la population de référence (19, 39, 47, 48, 65,69).
La première population de référence utilisée est celle de HAVARDmais actuellement l’OMS recommande d’utiliser celle du National Center for Health Statistics (NCHS) comme base de comparaison internationale (22, 24,69).

Quelle population choisir ?

LES NORMES LOCALES

Le choix de cette population de référence soulevait de nombreuses discussions.
Plusieurs auteurs défendaient l’idée selon laquelle il fallait utiliser les standards locaux qui prenaient en considération les facteurs constitutionnels plutôt que les références des pays développés. Seulement il serait difficile d’établir un standard international à partir de données recueillies dans un pays ou justement les cas de malnutrition sont nombreux.
En outre on peut considérer que les populations normales de divers pays tendent vers un équilibre proche en ce qui concerne le poids par rapport à la taille. Un travail très complet a été fait au Kenya par Stephensonet coll. En comparant sur le plan des valeurs anthropométriques un groupe des individus de deux régions du Kenya avec les références standards (NCHS, DENVER, HAVARD), ils notaient que les mesures des individus kenyans issus des couches sociales aisées étaient superposables aux références internationales.
Aussi des valeurs de référence standard telles celles du NCHS recommandées par l’OMS pouvaient servir de base de comparaison (61, 30).

LES NORMES NCHS ( National Center Health Statistics)/OMS

Jusqu’en Avril 2006, se basant sur le postulat comme quoi toutes les populations ont un potentiel génétique de croissance similaire, l’OMS recommandait depuis 1979, l’utilisation des références du NCHS des Etats-Unis concernant le poids et la taille, recueillies auprès des enfants uniquement américains dont la plus part d’entre eux étaient nourris au biberon, pour évaluer l’état nutritionnel. Elles sont encore utilisées comme valeurs de référence (75, 36).

LES NORMES OMS/ MGRS 2006

L’origine de ces nouveaux standards date du début des années 1990 quand l’OMS a entrepris une analyse des références anthropométriques disponibles ainsi qu’une synthèse des données portant sur la croissance d’enfants nourris au sein. Il a ainsi été montré très clairement que la croissance des enfants nourris au sein et en bonne santé s’écartait de façon notable des courbes internationales de référence NCHS/OMS (67).
L’OMS a alors conclu que les courbes de croissance NCHS/OMS ne décrivaient pas de façon satisfaisante la croissance physiologique, définie comme celle des enfants nourris au sein, et a recommandé l’élaboration de nouveaux standards.
L’étude OMS multicentrique de la croissance ( Multicentre Growth Reference Study) a ainsi débuté en 1997.
L’objectif de l’étude MGRS était de décrire la croissance d’enfants en bonne santé. Cette étude s’est déroulée entre 1997 et 2003. Il s’agit d’une étude au niveau de populations conduite en six pays de régions géographiques diverses:Brésil, Etats-Unis d’Amérique, Ghana, Inde, Norvège, et Oman.
L’étude comportait un suivi longitudinal de la naissance à l’âge de vingt-quatre mois couplé à une analyse transversale de la croissance chez des enfants âgés de dix-huit à soixante-onze mois. Pour la composante longitudinale, les enfants et les nouveau-nés étaient recrutés à la naissance et suivis à domicile, avec un total de vingt- un visites, d’abord lors des semaines un, deux, quatre, six puis mensuellement entre le deuxième et le douzième mois, et ensuite tous les deux mois (43).
Les populations étudiées vivaient dans des conditions socio-économiques favorables à la croissance. Les critères d’inclusion étaient les suivants : pas de facteurs de santé ou environnemental connus pouvant avoir un effet négatif sur la croissance, mère acceptant de suivre les recommandations de l’OMS en matière d’alimentation (allaitement maternel exclusif ou prédominant pendant au moins quatre mois, diversification alimentaire à l’âge de six mois, et poursuite de l’allaitement jusqu’à l’âge de douze mois), mère non fumeuse avant et après l’accouchement, grossesse non gémellaire et absence de pathologie notable.
Les enfants nés à terme mais de faible poids de naissance n’ont pas été exclus de l’échantillon. Les critères d’éligibilité pour la composante transversale étaient les mêmes que pour l’étude longitudinale, à l’exception des pratiques d’alimentation.
Un minimum de trois mois d’allaitement était cependant requis pour les participants à l’étude transversale. Des méthodes de collecte et de gestion des données rigoureusement standardisées entre les sites fournirent des données d’excellente qualité (43).

Expression des indices nutritionnels

L’expression des indices anthropométriques en relation avec la population de référence se fait soit en pourcentage de la médiane de la population de référence ou soit en écart-type ou z-score.

LE POURCENTAGE DE LA MEDIANE

Le pourcentage de la médiane du poids-pour-taille (WHM, Weight for Height in percentage of the median en anglais), compare le poids de l’individu au poids médian des individus de la même taille dans la population de référence. Le calcul du WHM pour chaque individu est basé sur le poids de l’individu et le poids médian pour les individus de la même taille et du même sexe dans la population de référence (37).
WHM : poids observé / Poids médian de la population de référence ×100

LE Z-SCORE

Le z-score est une autre mesure de la différence entre le poids de et le poids médian de la population de référence (WHZ, Weight for Height in z-score en anglais). Les individus de la même taille au sein de la population de référence sont distribués le long de la médiane, certains plus lourds, d’autres moins.
Pour chaque groupe d’individus, il y’a un écart-type de la population de référence. Cet écart-type est exprimé en kilogrammes pour chaque type. Le zscore de l’individu mesuré est le nombre d’écarts-type (de la population deréférence) entre le poids de l’individu et la valeur médiane (37).

INDICATEURS NUTRITIONNELS

Un poids ou une taille devient un indicateur lorsqu’il est exprimé en pourcentage de la valeur de référence ou en écart-type (21). Les indicateurs nutritionnels sont une interprétation des indices nutritionnels basée sur des valeurs de référence (valeurs seuils). Alors que les indices sont un simple chiffre, les indicateurs représentent une interprétation des indices.
Les indicateurs nutritionnels sont utilisés pour mesurer l’ampleur de la malnutrition. Un bon indicateur permet d’identifier, autant que possible, la population à risque de malnutrition ou de mortalité (sensibilité) sans inclure trop de personnes qui ne sont pas à risque (spécificité). Un bon indicateur de malnutrition doit également être lié au risque de morbidité.

Critères d’inclusion

Ont été inclus dans cette étude, des adolescents de la région de Dakar âgés de 15 à 18 ans, sans distinction de sexe, de race, d’origine ou de religion.

Critères de non inclusion

Ne sont pas inclus dans cette étude, les sujets n’étant pas nés à Dakar et/ou présentant une pathologie respiratoire, cardiaque…

Distribution de la population d’étude

Pour une évaluation conçue pour estimer l’état nutritionnel des adolescents ainsi que l’impact de leurs situations socio-démographiques et socio-économiques sur leur état nutritionnel, nous avons procédé à un échantillonnage par grappe constituée d’unités à partir desquelles les sous-échantillons suivants ont été choisis. Ces sous-échantillons ont concerné des sujets jeunes :
En situation scolaire, à savoir :
o Des élèves du secondaire : sujets de la classe de 6 e à la classe de Terminale.
En dehors du système scolaire, à savoir :
o Des apprentis : sujets employés par un maître artisan qui les initie à son métier.
o Des chômeurs : sujets sans emploi.

Etat nutritionnel de la population d’étude

Statut nutritionnel global de la population d’étude

Dans le but d’évaluer l’état nutritionnel de la population d’adolescents (15-18 ans), nous avons procédé à leur regroupement par classe en fonction de la valeur de l’IMC mesurée selon la classification de l’OMS. Les différentes classes représentent les états de nutrition normale, d’insuffisance et d’excès pondéral.
L’évaluation de l’état nutritionnel a révélé que globalement notre population d’étude présente un statut nutritionnel normal (Tableau II). En effet, l’IMC moyen de la population est de 19,12±0,13 kg /m2 . Cependant, après analyse des différents résultats de l’IMC obtenus chez les garons et les filles (Tableau II),nous avons observé les mêmes situations nutritionnelles chez les deux groupes,avec des proportions différentes.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: REVUE DE LA LITTERATURE
CHAPITRE I: DONNEES GENERALES SUR LA NUTRITION
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
I.1.1. La nutrition
I.1.2. Les aliments
I.1.3. Les nutriments
I.1.4. Etat nutritionnel
I.1.5. L’anthropométrie
I.2. BESOINS NUTRITIONNELS DE L’ADOLESCENT
I.2.1. Glucides
I.2.2. Lipides
I.2.3. Protéines
I.2.4. Sels minéraux
I.2.5. Vitamines
CHAPITRE II: GENERALITES SUR LA MALNUTRITION 
II.1. DEFINITIONS
II.2. TYPES DE MALNUTRITION
II.2.1. La sous-nutrition
II.2.2. La malnutrition secondaire
II.2.3. Les troubles de pléthore
II.2.4. Les troubles carentiels
CHAPITRE III : ESTIMATION DES BESOINS NUTRITIONNELS
III.1. LA DEPENSE ENERGETIQUE DE FOND (METABOLISME DE BASE)
III.1.1. Définitions et généralités
III.1.2. Détermination du métabolisme de base
III.1.3. Facteurs de variabilité
III.1.4. Besoins et apports énergétiques
III.2. NOTION DE DEPENSE ENERGETIQUE DE REPOS ET DE DEPENSE ENERGETIQUE DE 24H
III.2.1. Dépense énergétique de 24 H
III.2.2. Dépenses énergétiques dues au travail musculaire
III.2.3. Dépenses énergétiques dues à la digestion
III.2.4. Dépenses énergétiques dues à la thermorégulation
CHAPITRE IV: PARAMETRE DE MESURE DES VARIABLES ANTHROPOMETRIQUES ET NUTRITIONNELS
IV.1. Paramètres anthropométriques et nutritionnels
IV.1.1. Variables anthropométriques
IV.1.2. Indices de la composition corporelle
IV.2. Population de références anthropométriques nutritionnelles
IV.3. Expression des indices nutritionnels
IV.4. Indicateurs nutritionnels
DEUXIME PARTIE: TRAVAIL PERSONNEL
CHAPITRE I: OBJECTIFS
I.1. Objectif général
I.2. Objectifs spécifiques
CHAPITRE II: APPROCHE METHODOLOGIQUE 
II.1. Cadre de l’étude
II.2. Sujets et méthodes
II.2.1. Les sujets
II.2.1.1.Taille de l’échantillon
II.2.1.2. Critères d’inclusion
II.2.1.3. Critères de non inclusion
II.2.1.4. Distribution de la population d’étude
II.2.2. Méthodes
II.2.2.1. Recueil des données
II.2.2.2. Déterminations des paramètres étudiés
II.2.2.3. Analyse et interprétation des données
CHAPITRE III: RESULTATS 
CHAPITRE IV: DISCUSSION 
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXES

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