Normes industrielles majeures utilisées actuellement dans la gestion du risque

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Responsabilité sociétale des entreprises : origine et définitions

La montée en flèche du concept de RSE a fait couler beaucoup d’encre dans la littérature, pendant plusieurs années. Plusieurs définitions lui sont attribuées et plusieurs points de vue sont, ici, présentés.
Les questions fondamentales en matière de responsabilité sociétale d’une entreprise sont aussi anciennes que l’entreprise elle-même mais, constituent jusqu’à nos jours un sujet de débat (Crane et al. 2008).
La RSE a été évoquée pour la première fois par Clark en 1926, dans ses monographies où il signale que l’entreprise a des obligations envers la société. En 1932, Berle publia le premier article discutant de la RSE ; ce dernier s’attarde sur la responsabilité des gestionnaires de fournir « la sécurité, la protection et les moyens de subsistance à ceux qui sont incapables de survivre dans les conditions normales de travail ou du commerce » (Berle, 1932, p 34).
D’autres anciennes monographies comportent Barnard (1938) et Kreps (1940) qui contribuent à leur tour à introduire les responsabilités sociales parmi les obligations des entreprises.
Dans les années 1950, la RSE fait l’objet d’une élaboration théorique chez plusieurs chercheurs. Bowen (1953, p.6) définit les responsabilités sociales comme étant « les obligations des gestionnaires de poursuivre les politiques, prendre les décisions ou suivre les lignes d’actions qui servent les objectifs et les valeurs de notre société ». Quelques années plus tard, Heald (1957, p 375), un autre expert en RSE de la même époque, affirme que: « la direction qui reconnaît son obligation envers la société aide non seulement à atteindre un rendement économique maximal mais aussi, à mettre en place des politiques sociales humanitaires et constructives ».
Dans les années 1960, les recherches se poursuivent pour trouver une définition commune pour le concept de RSE. Davis, l’un des plus grands écrivains de l’époque, affirme que la RSE se définit par les décisions des gestionnaires et leurs actions qui vont au-delà des intérêts directs, économiques et techniques, de l’entreprise (Davis, 1960).
De même, William C. Frederick, l’un des principaux chercheurs en matière de responsabilité sociale dit : « La responsabilité sociale signifie que les gestionnaires doivent surveiller le fonctionnement du système économique qui répond aux attentes du public. Cela signifie que les moyens économiques de production doivent être utilisés de sorte que la production et la distribution servent à renforcer le bien-être socio-économique » (Frederick, 1960, p.61).
Au début des années 1970, Milton Friedman, avance un point de vue différent pour définir la RS : « Il existe uniquement une seule responsabilité sociale de l’entreprise qui n’est autre qu’utiliser ses ressources et les engager dans des activités destinées à accroître les profits, tout en respectant les règles du jeu, c’est-à-dire rester dans le cadre d’une compétition ouverte et libre sans déception ni fraude » (Friedman 1970, Pages 32, 33, 122, 126). Par la suite, Sethi (1975) met le point sur les dimensions de la performance sociale des entreprises ; il distingue entre le comportement qu’on nomme « obligation sociale », « responsabilité sociale » et la « réactivité sociale ». Durant la même année, Preston et Post (1975) continuent à détourner l’attention accordée au concept de RSE, vers une notion de responsabilité publique. A la fin de cette décennie, en 1979, Carroll avance une célèbre définition de la RSE qui pave la voie aux recherches pertinentes : « La responsabilité sociale des entreprises répond à toutes les attentes économiques, juridiques, éthiques et discrétionnaires, envisagées par la société à un moment donné » (Carroll, 1979, p.608).
Les définitions de la RSE ont bien progressé durant les années 1970. Au cours de cette période, les hommes d’affaires étaient fortement impliqués dans la philanthropie d’entreprise et les relations communautaires. Durant cette même période, quatre aspects de performance sociale émergent et deviennent bien connus : la responsabilité sociale, la comptabilité sociale, les indicateurs sociaux et l’audit social (Backman 1975).
En 1980, Thomas M. Jones ajoute aux définitions de la RSE une perspective intéressante: « la RSE consiste en une obligation et un devoir que doit accomplir l’entreprise envers les groupes constitutifs de la société, outre les actionnaires, dépassant ceux prescrits par la loi et la convention collective. Pourtant, cette définition présente deux facettes qui pourraient être critiquées. Premièrement, une obligation doit être volontaire tandis que les conduites influencées par la contrainte de la loi et de la convention collective ne sont pas volontaires.
En 1983, Carroll (p.505) formule une différente définition de la responsabilité sociétale des entreprises : « la RSE est une conduite de l’entreprise qui intègre le profit économique, le respect des lois, la morale et le support social. La rentabilité et la légalité sont donc les conditions de base pour une entreprise pour assumer sa responsabilité sociale. D’où les quatre facettes de la RSE : économique, légale, éthique et volontaire ou philanthropique ».
Une année plus tard, Freeman (1984) avance sa célèbre théorie des parties prenantes et apporte ainsi une nouvelle dimension à la littérature consacrée aux entreprises. Selon lui, les parties prenantes comportent les clients, les concurrents, les associations commerciales, les médias, les écologistes, les fournisseurs, le gouvernement, les avocats des consommateurs, les communautés locales et le milieu des affaires, qui doivent participer activement à la mise en place du concept de RSE.

Les pratiques de la RSE et la durabilité

Il est certain maintenant que la RSE ne veut pas dire la même chose pour tout le monde, d’où la multitude de définitions qui lui sont attribuées. Le concept de la RSE est un concept évolutif. Plusieurs facteurs ont contribué à mettre le point sur le rôle des entreprises dans la société. Ces facteurs sont cités ci-dessous (Al Am 2016)
 Le développement durable :
Les études menées par l’ONU ont souligné que la consommation des ressources humaines est beaucoup plus rapide que leur renouvellement. Ce circuit porte atteinte à la capacité des générations futures de satisfaire leurs propres besoins. En ce sens, une grande partie du développement actuel est non durable et ne peut continuer, pour plusieurs raisons pratiques et morales. Ainsi, la RSE est-elle considérée en tant que point de départ pour comprendre les enjeux du développement durable et les envisager dans la stratégie de l’entreprise.
 La mondialisation :
En mettant l’accent sur le commerce transfrontalier, les entreprises multinationales et les chaînes d’approvisionnement mondiales, la mondialisation économique soulève de plus en plus les préoccupations concernant la RSE, liées à la gestion des ressources humaines, la protection de l’environnement et la sécurité, parmi d’autres. La RSE pourrait jouer un rôle essentiel pour détecter comment une entreprise peut influencer les conditions de travail, les communautés locales et les économies ainsi que les mesures qui pourraient aider l’entreprise à réaliser le bien de la société.
 La gouvernance :
Les gouvernements et les organismes intergouvernementaux ont développé des déclarations, directives, principes et d’autres instruments qui expliquent les normes pour une conduite acceptable d’une entreprise. Les instruments de la RSE reflètent souvent les objectifs convenus sur le plan international et le droit international relatif aux droits de l’homme, l’environnement et l’anti-corruption.
 Les communications :
Le progrès de la technologie de communication, comme l’internet par exemple et le téléphone portable, a largement facilité la façon de suivre et discuter des activités des entreprises. Sur le plan interne, il a facilité le suivi et la gestion. Sur le plan externe, les ONG, les médias et beaucoup d’autres peuvent rapidement évaluer les pratiques positives et négatives des entreprises. Dans le contexte de la RSE, la technologie moderne de communication offre des opportunités d’améliorer le dialogue et les partenariats.
 Le financement :
Les consommateurs et les investisseurs s’intéressent de plus en plus à soutenir les comportements responsables des entreprises dans leurs activités. Ils s’intéressent également à savoir comment ces entreprises sont en train de gérer les risques relatifs aux enjeux sociaux et environnementaux. Une approche complète de la RSE aide à créer la valeur des actions, réduire le coût du capital et assurer une meilleure réactivité aux marchés.

La RSE et la gestion du risque (Problématique)

Si vous essayez de trouver des connexions et des interdépendances entre la RSE et la gestion des risques sans avoir recours à une analyse approfondie (d’où la nécessité des études empiriques de la 3ème partie), il semble que ces deux concepts sont bien écartés l’un de l’autre et n’ont presque rien en commun. Cependant, comme il a été présenté plus tôt, l’un des objectifs de la RSE est de minimiser l’influence négative, qui peut être perçue à la lumière du risque, en ayant recours aux moyens utilisés dans un processus de gestion des risques. La gestion du risque tel quel, n’est pas un processus unifié. Son établissement  dépend en grande partie du risque auquel elle s’associe. De même, le risque de la RSE doit être géré à l’aide d’instruments appropriés. Ce sont généralement les méthodes de gestion des risques opérationnels ou non financiers précis et le risque de réputation ou d’image.
Les raisons pour lesquelles les entreprises décident de gérer les risques dans le domaine de la RSE sont liées directement à leur volonté d’améliorer l’image et maintenir la bonne réputation (Bebbington 2004).
En se basant sur les domaines de la responsabilité sociale identifiés par la norme ISO 26000, on peut dénoter les risques auxquels ils sont associés. Ces domaines comprennent (PKN 2010):
– la structure de l’organisation.
– les droits de l’homme.
– les relations de travail.
– la protection de la nature.
– les pratiques honnêtes du marché.
– les relations avec les clients.
– l’engagement social.
Il est à noter que la RSE constitue une conséquence de nombreux facteurs affectant l’activité de l’entreprise sur les plans suivants (Rubicka, 2011) :
– Économique : par exemple la façon de gérer la valeur de l’entreprise, la politique d’investissement, la politique de rémunération, la gestion des relations avec les fournisseurs et les clients,….
– Environnemental : par exemple la disponibilité des ressources, les catastrophes écologiques, les modifications des réglementations juridiques sur la protection de la nature, les échecs, les moyens de production, la longueur de la chaîne d’approvisionnement,….
– Juridique : par exemple la présence de règlements et l’étanchéité du système juridique,
– Culturel : par exemple le système de valeurs et le comportement adopté par les membres d’une organisation.

Effet de la responsabilité sociale des entreprises sur le risque :

La littérature de la RSE suggère trois arguments théoriques qui pourraient expliquer comment elle influence le risque d’une entreprise: le concept d’atténuation des risques, les modèles théoriques reliant la RSE aux rendements attendus et le concept du surinvestissement (Godfrey ,2005). Les deux premiers arguments prédisent une relation négative entre la responsabilité sociale des entreprises et le risque, tandis que l’argument de surinvestissement prédit une relation positive.
La vue d’atténuation des risques (un argument de gestion des risques basé sur la théorie des parties prenantes) prédit que la RSE est négativement liée au risque de l’entreprise. Plus précisément, cet argument suggère que chaque fois les investissements de la RSE sont plus élevés, elles peuvent générer du capital moral ou de la bonne volonté parmi les parties prenantes qui offrent une protection semblable à une assurance qui réduit l’exposition au risque d’une entreprise, c’est-à-dire préserve plutôt que génère des performances financières (Godfrey 2005; Godfrey Et al., 2009). Ce capital moral crée des richesses relationnelles sous différentes formes parmi les différents groupes d’intervenants, par exemple, l’engagement affectif chez les employés, la légitimité entre les communautés et les régulateurs, la confiance entre les fournisseurs et les partenaires, la crédibilité et la marque accrue des clients en plus d’une grande attractivité pour les investisseurs (Godfrey 2005). Le point clé est que ce capital moral a de la valeur car il dispose des parties prenantes pour tenir des croyances sur l’entreprise qui influencent leurs comportements envers l’entreprise (Luo et Bhattacharya 2009). Ainsi, «le capital moral fondé sur la RSE crée de la valeur si cela aide les parties prenantes à attribuer l’événement négatif à la maltraitance managériale plutôt qu’à la malveillance et à modérer leurs réactions en conséquence» (Godfrey et al., 2009, page 428). Les entreprises ayant des stratégies RSE plus élaborées auront un capital moral plus élevé qui se traduira par une évaluation plus favorable de l’entreprise aux yeux de divers groupes d’intervenants (par exemple, les consommateurs, les employés et les investisseurs.
D’où, les parties prenantes imposeront des sanctions moins sévères à l’entreprise avec un capital moral plus élevé dans le cas d’événements négatifs. En outre, des stratégies RSE bien développées aident à morceler les chocs négatifs (événements) du reste de l’organisation (Bansal et Clelland 2004), protéger son image publique, libérer la pression réglementaire et isoler l’entreprise de l’examen minutieux (Luo et Bhattacharya 2009).
Conformément à cet argument, Godfrey et al. (2009) trouvent, en utilisant une méthodologie d’étude d’événement, qu’une mesure de le RSE combinant les forces de deux dimensions (communauté et diversité) est positivement liée aux rendements anormaux cumulatifs juridiques / réglementaires négatives contre les entreprises. En outre, une RSE plus élevé (faible) peut réduire (augmenter) les risques financiers et opérationnels (McGuire et al., 1988) et / ou les risques associés aux problèmes sociaux (Feldman et al., 1997; Sharfman et Fernando 2008; El Ghoul et al., 2011 ). Sharfman et Fernando (2008) soutiennent que la gestion des risques des problèmes sociaux ou environnementaux est théoriquement synonyme de la gestion stratégique des risques. Par exemple, les investissements de la RSE (les émissions et la réduction de la pollution) réduisent les risques d’une entreprise de dangers connus et inconnus et, par conséquent, réduisent le nombre de prestataires potentiels sur les flux de trésorerie d’une entreprise (Des amendes potentielles, des compensations, des règlements, des coûts de conformité – coûts en cas d’accidents environnementaux ou de problèmes associés à de mauvaises conditions de travail). Les entreprises ayant une performance sociale plus faible peuvent faire face à plusieurs risques (par exemple, dommages à l’image de marque et à la réputation, baisse de la reconnaissance favorable des investisseurs).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Première partie: Revue de la Littérature
Chapitre 1. Le management des risques industriels
1.1 Introduction
1.2 Le concept de gestion du risque
1.2.A. Historique de la gestion du risque
1.2.B. Les concepts de Systèmes Complexes et Complexité d’une organisation
1.2.B.1. Mesure de la complexité dans une organisation.
1.2.B.2. Paradigme de gestion des organisations et Complexité
1.2.C La différenciation des concepts de risque, incertitude et revue des approches traditionnelles de gestion des organisations dans le cadre d’organisation complexe.
1.2.C.1 Gestion du risque et incertitude
1.2.C.2. Approches traditionnelles de gestion du risque
1.2.C.3. Normes industrielles majeures utilisées actuellement dans la gestion du risque
1.3. Vers Une Gestion Explicite Des Opportunites, une Evolution de la Gestion de l’incertitude Une Comparaison Entreprises Complexes Et Entreprises « Soft »
1.3.1 Attitude vis-à-vis du risque.
1.3.2 Succès d’une organisation
1.3.3 Conclusion
Chapitre 2 : les principales méthodes de mesure de risques
2.1 Connaissance d’arrières plan
2.2 APR : Analyse préliminaire des risques
2.3. HAZOP classique
2.4 Conclusion
Chapitre 3 : la Responsabilité sociale des entreprises
3.1 Introduction
3.2 Responsabilité sociétale des entreprises : origine et définition
3.3 Les pratiques de la RSE et la durabilité
3.4 Un aperçu sur le Liban
3.5 Conclusion et recommandations
Chapitre 4 : La Relation entre la RSE et le management des risques industriels
4.1 Introduction
4.2 La RSE et la gestion du risque (Problématique)
4.3 Effet de la responsabilité sociale des entreprises sur le risque
4.4 Évaluation et perception des risques
4.5 Mesures de contrôle (stratégie de gestion des risques)
4.6 Évaluation et contrôle
4.7 Conclusion
Deuxième partie: Méthodologies et résultats des enquêtes : Numéro 1 et Numéro 
Introduction
Chapitre 1 : le choix de la méthodologie mixte
1.1 Choix épistémologique
1.1.1 L’épistémologie et le paradigme positiviste
1.1.2 Le positivisme
1.1.3 Approche hypothético-déductive
2. Méthodologie de la partie quantitative (enquête numéro 1)
3. Méthodologie de la partie qualitative (enquête numéro 2)
3.1 La problématique de l’enquête qualitative
3.2 Objectifs de l’enquête
3.3 Les entretiens
3.4 Avantages et désavantages des entretiens
3.5 Conclusion méthodologie qualitative
Chapitre 2 : les résultats
2.1 L’analyse descriptive de la 1ere enquête
2.1.1 Caractéristiques sociodémographiques de l’échantillon
2.1.2 La perception des Libanais vis-à-vis de la RSE
Conclusion de l’analyse de l’enquête qualitative
Conclusion de la 2ème partie
Troisième partie: L’enquête Numéro 3
Chapitre 1 : Choix de la méthodologie et étude pilote
1.1 La collecte des données
1.2 Avantages et désavantages de la collecte des données par voies électroniques
1.3 La nature de l’échantillon étudié
1.4 Méthode d’échantillonnage
1.5 Questionnaire, construction et adaptation des échelles de mesures
1.6 Pré-test
1.7 Etude Pilote
1.8 L’étude pilote de notre enquête
1.9 Les buts de l’étude pilote
1.10 Les résultats de l’étude pilote
1.10.A- Le taux de réponse
1.10.B Questions Doubles et questions complexes
1.11 Questionnaire final
1.12 La fidélité et la validité des échelles de mesure
1.12.A La fidélité ou la fiabilité
1.12.B La Validité
1.12.B.1 Les principales étapes d’une AFE
1.12.B.2 Test de Sphéricité de Bartlett
1.12.B.3 Le traitement des résultats
1.13 Conclusion
Chapitre 2: Analyse des résultats : Statistiques descriptives
2.1 Introduction
2.2 Statistiques descriptives
2.2.1 Les caractéristiques de l’échantillon
2.2.2 Les résultats de la partie « Risques industriels »
2.2.3 Les résultats de la partie « RSE »
2.3 Conclusion
Chapitre 3. Statistiques inférentielles
3.1 Introduction
3.2 Analyse préliminaire
3.2.1 La validité et la fiabilité des échelles de mesures
3.2.1.1 Questions générales concernant le risque
3.2.1.2 Questions concernant la réduction du risque
3.2.1.3 Questions concernant l’analyse du risque
3.2.1.4 Questions concernant la perception générale du risque
3.2.1.5 Questions concernant la RSE au sein de l’entreprise
3.1.2.6 Questions concernant les Activités RSE– Environnement
3.2.1.7 Questions concernant les Activités RSE– Communauté
3.2.1.8 Questions concernant les Activités RSE et l’attraction, motivation et rétention des employés
3.2.2 Synthèse de la validité et de la fiabilité
3.2.2.1 La validité
3.2.2.2 La fiabilité
3.3 Les variables utilisées dans l’analyse
3.3.1 Les variables dépendantes
3.3.2 Variables indépendantes
3.4 Condensation des informations
3.4.1 Les questions des variables dépendantes
3.4.2 Les questions des variables indépendantes
3.5 Le choix des tests statistiques
3.5.1 Test de normalité
3.5.2 Le choix entre les tests paramétriques et les tests non paramétriques
3.5.3 Le test de Spearman
3.5.4 Le test U de MannWhitney
3.5.5 Le test de H de Kruskall-Wallis
3.6 Préalables aux tests des hypothèses
3.6.1 Comparaison en fonction de la connaissance de la RSE
3.6.1.1 Le risque dans l’entreprise et la connaissance de la RSE
3.6.1.2 Le traitement du risque dans l’entreprise et la connaissance de la RSE
3.6.1.3 Le management du risque dans l’entreprise et la connaissance de la RSE
3.6.2 Comparaison en fonction de l’activité principale de l’entreprise
3.6.2.1 Le risque dans l’entreprise et l’activité principale de l’entreprise
3.6.2.2 Le traitement du risque dans l’entreprise et l’activité principale de l’entreprise
3.6.2.3 Le management du risque dans l’entreprise et l’activité principale de l’entreprise
3.7 Discussion des hypothèses
3.8 Récapitulatif des hypothèses
Chapitre 4. Le Modèle de management des risques industriels en lien avec la RSE
4.1 Introduction
4.2 Le modèle de régression linéaire multiple
4.2.1 Les conditions d’application de la régression linéaire multiple
4.3 Applications dans notre cas
4.3.1 1er cas : Traitement du risque industriel
4.3.2 2nd cas : Management du risque industriel
4.3.3 3ème cas : Risque quotidien dans l’entreprise
4.4 Conclusion
Chapitre 5 : Discussion des résultats
5.1. Introduction
5.2 Discussion des hypothèses
5.3. Tableau récapitulatif des hypothèses de l’étude
5.4. Tableau récapitulatif des modèles de régression Linéaire multiple
Quatrième partie: Conclusion
Introduction
1. Les limites des études et les voies de recherches futures
2. Implications managériales de notre recherche
3. Les apports académiques de notre recherche
Annexes
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *