NORMES DE COMPORTEMENT DANS LEDEVELOPPEMENT D’UN PAYS

Les théories économiques selon diverses approches

                 Quatre approches théoriques peuvent être analysées pour comprendre les déterminants des institutions :
a) Approche économique : La théorie de l’efficience des institutions stipule que chaque société choisit les institutions économiques efficaces comme l’amélioration du revenu global du pays par l’institution, et la distribution des gains issus de ces institutions est indépendante de la distribution du pouvoir politique. Cette théorie se fonde sur le théorème de COASE. Dans ce cadre précis, l’application du théorème de COASE suppose que si dans un pays les institutions économiques existantes sont pénalisantes pour les uns et bénéfiques pour les autres, les deux groupes d’individus peuvent entrer en négociations en vue de modifier les institutions existantes ou de créer de nouvelles institutions qui vont produire des résultats bénéfiques pour tous. Donc, selon l’approche économique, la recherche de l’efficience économique empêcherait l’existence des institutions inefficaces c’est-à-dire des institutions de droits de propriété qui ne permettent pas de maximiser le revenu de l’ensemble de la société. L’approche économique a ses limites et suscite par conséquent un déba t.
 Premièrement, si la théorie de l’efficience des institutions est juste, ceci suppose que tous les pays choisissent approximativement des institutions permettant de maximiser le revenu national. Dans ce cas, la différence entre pays des performances économiques ne serait plus expliquée par la différence de qualité de leurs institutions.
 Deuxièmement, la théorie de l’efficience des institutions se heurte à quelques difficultés opérationnelles. En effet, le choix des institutions de droits de propriété dans un pays suppose un choix collectif, par conséquent, ce choix implique la nécessité de mener des négociations collectives. Dans ce cas, il va se poser très probablement des problèmes de passager clandestin c’est-à-dire que certains membres de la société vont vouloir profiter desgains sans supporter les coûts de réforme institutionnelle. Si ces problèmes ne sont pas résolus alors ceux-ci vont rendre difficile l’application de l’approche économique des institutions.
 Troisièmement, l’applicabilité de l’approche économique se heurte à la nécessité de résoudre le problème de crédibilité des engagements de l’Etat dans le processus de création ou de réforme des institutions. En effet, l’implication des deux parties (Etat et Peuple) est supposée à l’échelle d’un pays par des négociations pour la création ou le changement institutionnel. En tenant compte de ces diverses limites de l’approche économique, il convient d’explorer d’autres théories susceptibles de mieux expliquer la différence entre pays de la qualité des institutions notamment les institutions de droits de propriétés privées.
b) Approche culturelle : Dans cette approche culturelle, on analysera la différence de qualité des institutions économiques entre pays qui s’expliquerait par les diversités culturelles ou de croyances idéologiques. Les sociétés choisissent de nombreuses institutions économiques à cause de leurs différences de conception concernant « les bonnes valeurs sociales » : toutes les sociétés n’auraient pas la même conception de ce qui est bien pour leurs membres. Cette différence est renforcée par les incertitudes concernant la connaissance ex ante des bonnes institutions. Les pays dont le choix des institutions par leurs leaders se révèle être juste ex post sont ceux qui prospèrent. Autrement dit, ce sont les pays dont l’écart entre les institutions choisies et celles qui maximisent le revenu global est minime. Par ailleurs, il faut ajouter que les sociétés ont des croyances et des comportements qui affectent l’action collective, la qualité des gouvernements et des institutions. Cette autre version de l’approche culturelle se base sur l’idée selon laquelle chaque peuple a ses dirigeants et ses institutions qu’il mérite. L’approche culturelle perçue sous cet angle est celle défendue par Weber (1958), Banfield (1958), Putnam(1993) et Landes (1998). Ces trois auteurs ont chacun leurs points de vue concernant cette approche culturelle. D’abord, pour Weber, certaines sociétés ont des valeurs ou des croyances culturelles favorables à l’émergence de bonnes institutions alors que d’autres non. Certaines de ces croyances portent sur des idées qui ne sont pas vérifiables comme la croyance à la possibilité d’être sanctionné ou d’être récompensé après la mort, d’autres portent sur des idées auto réalisatrices comme la croyance que nos voisins ne vont coopérer pour aucune collective ce qui entraîne notre refus pour toute collaboration avec eux. Ensuite, selon Putnam, des valeurs culturelles favorisant la confiance aux étrangers facilitent l’action collective, la fourniture des biens publics y compris la création des institutions efficaces. Enfin, pour Landes, des valeurs culturelles incitant à l’intolérance, à la fermeture d’esprit par rapport aux autres, constituent des obstacles au développement économique et donc à l’émergence de bonnes institutions économiques. Sans minimiser l’importance de différences culturelles dans l’explication des différences de la qualité des institutions entre pays, il est préférable d’explorer d’autres explications possibles de la différence de la qualité des institutions de droits de propriété privée entre pays.
c) Approche historique : Selon l’approche historique, la qualité des institutions est une conséquence des évènements historiques. Autrement dit, des évènements historiques à un moment précis du temps déterminent la nature des institutions. Cette vision des choses est partagée par plusieurs économistes, sociologues, et spécialistes de la science politique. Des auteurs comme La Porta et al. (1998, 1999) et Djankof et al. (2003) ont mis en évidence l’impact de l’origine légale du système judiciaire sur la qualité de protection des droits de propriété privée, ou sur la performance des gouvernements. En effet, ce sont le résultat des évènements historiques qui affectent le plus souvent les règles régissant le système judiciaire dans les différents pays. Cette approche soutient donc que pour des raisons historiques, différents pays ont hérité de différentes institutions qui persistent dans le temps. Cette approche néglige ou accorde peu d’importance à la possibilité que les pays aient de choisir de nouvelles institutions ou de modifier des institutions qu’ils ont héritées.
d) Approche politique : Dans cette approche, il est à stipuler que les institutions (politique et économique) ne sont pas choisies par tous les membres de la société mais par le groupe d’individus qui détient le pouvoir politique à un moment donné. Ce groupe est issu de conflits d’intérêts. Le groupe qui sort gagnant de ces conflits met en place des institutions qui maximisent ses gains personnels (en termes de pouvoir politique et de revenu personnel) et non nécessairement le revenu de l’ensemble de la société. North est le premier à proposer une formulation théorique de cette approche. Selon North, il existe des coûts de transaction qui engendreraient des différences entre les institutions de droits de propriété choisies par les décideurs politiques à des fins de maximisation de gains personnels et les institutions qui maximisent le revenu de l’ensemble de la société.

Efficience institutionnelle et ses déterminants

                   Les institutions internationales parlent de la bonne gouvernance ou de mauvaises gouvernances. Les partisans de la nouvelle économie institutionnelle comme North, Fogel, Coase, Williamson a mis l’importance des institutions dans les processus complexes qui régissent le fonctionnement des marchés et créent les conditions d’un développement économique réussi. Dans la section précédente, la notion des institutions est définie comme étant des règles du jeu (ensemble de règles formelles), les codes de bonne conduite (ensemble de règles informelles) qui conditionnent les comportements humains dans une société. Selon le point de vue de Marx, le mode de production auquel sont assujettis les hommes détermine leur conscience et façonne la superstructure idéologique de la société. Ainsi, la nouvelle économie institutionnelle prône que les institutions ont des effets économiques. Comprendre le rôle des institutions dans le développement économique d’un pays nécessite de rapprocher cette notion de celle de coût de transaction et celle de coût de production. Dans une société développée, les relations économiques deviennent impersonnelles à mesure que les personnes se spécialisent. D’ailleurs, toute la problématique du développement réside dans la capacité des institutions à faire en sorte que les coûts de transactions, croissants en fonction du développement, n’effacent pas la baisse de coûts de production. Ceux-ci s’expliquent lorsque les coûts de transactions s’accroissent plus vite que ne baissent les coûts de production, le développement est entravé. En revanche, de bonnes institutions permettent de réduire les coûts de transactions freinant la dynamique des échanges, l’extension des marchés et en dernier ressort la croissance et le développement. Ici, il faut distinguer l’institution économique de l’institution politique. Le premier correspond aux droits de propriétés et aux droits des contrats. Cela va coordonner toutes les relations économiques dans la production, les échanges et la distribution. Le second correspond aux structures de l’Etat aussi bien que le processus politique. L’Etat intervient alors pour garantir le respect des règles de droit qui permettent le bon fonctionnement des sphères de la production et de l’échange. Les institutions peuvent être aussi la clé de la performance économique. Les différences entre institutions, les blocages ou les adaptations réussies au plan institutionnel, expliquent alors les écarts de développement entre les pays, les succès des uns et les échecs des autres. VEBLEN Thorstain a affirmé même que des actions individuelles créent des institutions capables de soutenir leur dynamique dans un processus cumulatif. Le sous- développement se perpétue quand les institutions ne peuvent fournir un cadre instrumental adéquat pour les actions humaines et dégénèrent en pratiques rituelles. Ces actions ne sont pas seulement celles orientées autour de la recherche du profit ou de l’intérêt personnel mais aussi celles qui tendent à changer les institutions déterminant les comportements individuels. De ce qui précède, les institutions peuvent vraiment avoir de l’influence sur le développement. Pour faire développer son pays, la meilleure solution est de suivre les institutions que ce soit au niveau du groupe ou au du pays. Les investisseurs étrangers ou locaux demandent une certaine garantie sur l’utilisation de leurs fonds, s’ils doivent accepter ou non d’investir dans les projets. Ainsi, il est nécessaire que les acteurs économiques dans le pays (les entreprises, les autorités publiques, les ménages,…) doivent avoir la pensée de changer ces comportements ou ces mentalités pour le respect du bien-être de tout le monde, afin de trouver un développement économique considérable. Le respect des normes dictées par la société ou l’Etat est alors à demander voire même à supplier pour que les pays africains arrivent à accroître leur niveau d’investissement, leur croissance et leur développement économique.

Evolution des normes dans le temps

 L’importance des normes dans les différentes sociétés : Les normes ont évolué dans le temps, il suffit de comparer les mentalités du Moyen Age à celles du monde occidental contemporain. Émile Durkheim montre que les types de solidarité à l’intérieur d’une société vont fonder des modèles normatifs différents. Ainsi, à la société traditionnelle, on peut associer une solidarité mécanique dans laquelle le poids des obligations et des interdits est très fort, il n’y a aucune place pour la déviance si ce n’est celle du bouc-émissaire. Le bouc-émissaire est, comme l’explique René Girard, la victime désignée au sacrifice qui prend la responsabilité du mal à la place des coupables, elle doit être suffisamment faible pour détourner la vengeance de la populace sur elle, sans que nul n’ait intérêt à la venger en retour. Dans l’histoire les Juifs ont souvent joué ce rôle, accusés des disparitions d’enfants pour des sabbaths, ou encore de propager la peste en empoisonnant les puits. Certaines personnes au comportement original étaient aussi accusées de sorcelleries et brûlées pour éloigner le mauvais sort. Par contre, la société moderne occidentale correspond à une solidarité organique avec des liens importants entre les groupes impliquant des identités sociales éclatées en microsociétés, l’individu est reconnu dans cette société et il peut théoriquement assumer des choix différents, des modes de pensée déviants sans subir le sort des bouc émissaires.
 Le droit comme cristallisation des mœurs : Une norme sociale devient norme juridique quand la pression sociale réclame des sanctions fortes et organisées contre des transgressions jusqu’alors non pénalisables. L’État fera alors du respect de la norme sociale une règle de droit. Émile Durkheim représentera d’ailleurs le droit comme l’expression de l’état des mœurs dans une société. Pourtant la norme juridique peut bouleverser la norme sociale et même s’y opposer. C’est le cas lorsque les gouvernants veulent changer la société : que ce soit Lénine qui proscrive la religion dans une Russie profondément orthodoxe, ou Atatürk qui impose la laïcité en Turquie en interdisant le port du voile islamique. Pierre Bourdieu dirait là que l’État, en tant que représentant de la classe sociale dominante impose ses règles sociales à l’ensemble de la société. En réalité, l’évolution des normes juridiques n’est la plupart du temps ni l’œuvre d’une décision des seuls gouvernants ou de la majorité du peuple, elle est le résultat d’un lobbying des « entrepreneurs de morale », selon l’expression d’Howard Becker. Ces entrepreneurs ont en effet compris, comme le professe Durkheim, que le droit est une « cristallisation des mœurs », mais cette évolution des mœurs ils veulent la provoquer en marquant l’opinion par un événement afin de changer les perceptions, pour faire accepter ce qui était hors norme, voire transformer l’anormal en normal. Ces acteurs de la déviance vont donc mettre en place des actions de « désobéissance civile », par la revendication d’actions illégales. Ces actions rendues populaires, la justice pourra difficilement les sanctionner sans paraître injuste.

Généralité sur les secteurs informels

1. Notion et définition : Le terme informel est employé pour indiquer les pratiques qui constatent avec les normes officielles et les comportements prescrits. Il peut signifier aussi les pratiques non officielles, sans suivre les procédures préalables pour l’élaboration d’une telle ou telle norme. Il qualifie les institutions locales, considérées comme typiquement africaine, endogène, non issues du modèle occidental ou les modes de régulation non officielle. Les institutions formelles ou les règles du jeu formelles du secteur public fonctionnent selon les modèles occidentaux, par contre les institutions informelles ou les règles du jeu informelles de la société selon un modèle originaire dans le pays. Le secteur informel qualifie un secteur économique, comme l’artisanat et le commerce en particulier, qui échappe souvent aux contrôles étatiques. Autrement dit, l’économie informelle désigne l’ensemble des activités productrices de biens et services qui échappent au regard de l’Etat.
2. Origine et raison d’être de l’économie informelle : Dans les pays développés, pour certains, l’économie informelle est un simple résidu de l’économie préindustrielle, ou le résultat des perversions de l’économie moderne, le travail au noir. Pour d’autres, elle semble jouer le rôle de soupape de sécurité des économies normalisées. Plusieurs facteurs sont orientés pour la contribution de l’existence et du maintien du travail et du secteur informel.  Le caractère simple de l’activité : facile d’accès aux activités, l’échelle restreinte des opérations, mise en œuvre de qualification qui s’acquièrent de façon pratique, l’utilisation de technique simple et le nombre réduit de travailleur ;
 Un effet de proximité fort : utilisation de ressources disponibles localement, importance de la structure familiale, débouchés d l’activité assuré sur les marchés informels. Dans les pays en voie de développement, le secteur informel occupe une place importante dans l’économie nationale. D’une part, la partie non marchande recouvre les activités domestiques au sens large ce sont celles qui sont assurées ans un contexte traditionnel, de nature familiale, le plus souvent rural. D’autre part, la partie marchande recouvre des activités marchandes réalisées dans les périphéries urbaines ou les zones défavorisées par les individus qui s’efforcent de survivre en combattant par tous moyens à leur disposition la misère et le sous-emploi. 3. Les acteurs dans le secteur informel Le secteur informel ne semble obéir à aucune organisation juridique étatique précise. Ses règles de fonctionnement n’obéissent à aucune catégorie juridique déterminée. Ce secteur est constitué par de petites unités économiques, avec un capital productif faible, des installations instables, et une absence de gestion comptable. Les acteurs qui y opèrent vendent souvent dans la ruée des produits de consommations assez bons marchées (la plupart des cas importés d’Asie,…). Ce phénomène constitue une réelle menace pour l’économie. Puisqu’il est susceptible de provoquer la fermeture des commerces et freiner les investissements, dans presque tous les secteurs d’activités économiques réglementaires. Ainsi, les autorités, dans le respect de la réglementation dans toute sa rigueur, intègrent les règles de fonctionnement du secteur informel dans le dispositif légal applicable aux entreprises.

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Table des matières

Introduction
PARTIE I : APPORT DES NORMES DE COMPORTEMENT DANS LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
Chapitre I : Relations entre institution et développement
Section 1 : Concept d’institution et de développement
I. Institution
1. Définition des institutions selon divers auteurs
2. Théories économiques selon diverses approches
a. Approche économique
b. Approche culturelle
c. Approche historique
d. Approche politique
II. Développement
1. Définition
2. Indicateurs de développement économique
Section 2 : Influence des institutions dans le développement
I. Qualité des institutions et performance économique
1. Institution et revenu
2. Institution et croissance
3. Institution et action des pouvoirs publiques
II. Efficience institutionnelle et ses déterminants
Chapitre II : Normes de comportements : impact sur le développement économique
Section 1 : Notion de pluralité des normes
I. Concept de norme
1. Définition
2. Historique et évolution de norme
a. Evolution des normes dans le temps
b. La variation des normes selon les groupes
3. La nécessité des normes proprement dites
II. Analyses compréhensives des situations de pluralité des normes
1. La logique d’ignorance entre normes
2. La logique de compétence et d’exclusion entre systèmes de normes
3. La logique de complémentarité et de composition de normes différentes
III. Le fondement des normes de comportement et théories économiques
Section 2 : Adéquation des normes de comportements à l’environnement économique de l’Afrique
I. Manifestation des normes de comportements en Afrique
1. Les réalités et manifestations courantes des situations critiques africaines
2. Des traits nettement moins répandus en Afrique
3. L’Afrique et son approche du développement
4. Les normes de comportements en Afrique
II. Application des normes à Madagascar
PARTIE II : LES EFFETS DU NON-RESPECT DESNORMES DE COMPORTEMENT SUR LE DEVELOPPEMENT
Chapitre I :Les obstacles du développement africain
Section 1 : La corruption : blocage au développement
I. Notion de la corruption
1. Définition
2. Causes de la corruption
3. Solutions appropriées pour le problème de la corruption
II. Comparaison des cas dans les pays développés et dans les pays en voie de développement
Section 2 : L’impact négatif des secteurs informels dans le développement économique
I. Généralité sur les secteurs informels
1. Notion et définition
2. Origine et raison d’être de l’économie informelle
3. Les acteurs dans le secteur informel
II. Le secteur informel en Afrique
III. Analyses des normes informelles des comportements des agents et limites
Section 3 : Autres cas des freins au développement de l’Afrique et de Madagascar
I. Les diverses obstacles de développement en Afrique à travers les normes officielles
II. Les difficultés de développement de Madagascar
1. Les réalités diverses de développement de Madagascar
2. Les principaux problèmes de développement de Madagascar
Chapitre II : Stratégie de développement économique à partir des normes informelles
Section 1 : Approche de la culture africaine et développement durable
I. Comment sauver l’Afrique ?
II. Nouvelles stratégies de développement de l’Afrique
III. Le changement de comportement des acteurs économiques
Section 2 : Perspectives de développement de Madagascar
I. Institutions, gouvernance et croissance de long terme
II. L’instauration d’une bonne gouvernance à Madagascar
Conclusion
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

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