Niveau d’indépendance et d’objectivité de l’Audit interne

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Les outils de collecte et de traitement des données

Dans le but de réaliser la rédaction et les traitements des données collectées, nous avons eu recours à divers logiciels informatiques. Nous allons, à cet effet, parler dans cette sous-section les principaux logiciels informatiques que nous avons utilisés.

Le guide d’entretien

Le questionnaire de nos enquêtes est focalisé sur la prise de connaissance des entreprises visitées, de leur environnement fiscal, de leur méthode d’organisation et de leur performance. Il nous sert de guide d’entretien qui nous a permis de faire une comparaison de deux sociétés étudiées. Le guide est identique pour chaque entretien effectué et il est annexé à ce présent ouvrage.

Microsoft Office Word et Excel

Microsoft Office Word est un logiciel de traitement de texte. Il est considéré comme le programme central de Microsoft Office Word, et domine le marché du logiciel en matière de traitement de texte. Dans notre cas, ce logiciel représente le matériel le plus utilisé durant cette investigation en raison de l’importance du volume de rédaction réalisé. En plus du traitement de texte, MS Office Word nous a aussi facilité le traitement de quelques tableaux et figures pour faire ressortir un aspect plus esthétique du présent mémoire.
Pour les autres traitements plus complexes de tableaux nous avons eu recours au Microsoft Office Excel. C’est un tableur qui, comme presque tous les tableurs, est également utilisé pour faire des graphiques, d’où son nom de « tableur-grapheur ». Comme Microsoft office Word, il domine aussi le marché du logiciel. Le traitement des informations primaires a été réalisé, en grande partie, par cet outil car il a fait apparaître les graphiques et les tableaux.

Le Sphinx (préparation du questionnaire)

Le sphinx est un logiciel d’enquêtes et d’analyses de données, il propose plusieurs gammes d’outils pour répondre aux projets d’enquêtes quantitatives et qualitatives1. Dans notre investigation, ce logiciel a été utilisé à plusieurs reprises pour établir les questionnaires préalables et les questionnaires des guides des entretiens. Il a facilité l’agencement des questions, permettant ainsi l’obtention de réponses efficaces en vue d’aboutir à des résultats clairs et précis.
Les divers matériels énoncés ci-dessus ont servi à la bonne réalisation de ce travail en raison de la nécessité de divers éléments physiques qui ont permis de matérialiser la recherche. Les entités à caractère bancaire représentent alors la zone de notre étude selon le cas de deux sociétés du même secteur d’activité afin de mieux les comparer. En outre, les différents outils que nous allons exposer dans la deuxième section constitueront les informations secondaires. Pour arriver à notre fin, des études théoriques sont nécessaires, ce qui nous amène à la section suivante.

Cadre théorique

Dans cette sous-section, nous allons évoquer quelques notions théoriques relatives au thème de notre devoir, concernant l’Audit interne, la politique générale de la Direction et la gouvernance de l’entreprise. Ces théories sont aussi des matériels que nous avons aussi utilisés pour connaître les éléments clés conduisant à la vérification des hypothèses préétablies. Elles constituent un ensemble d’informations collectées à partir des documents ainsi que des cours concernant notre thème. Ainsi, nous allons expliquer les différents aspects de l’audit interne.

L’Audit interne

Définition

Pour mieux appréhender le thème de notre recherche, nous allons commencer par une définition de l’audit interne qui constitue, dans son efficacité, la variable explicative. Voici une définition officielle proposée par Jacques Renard et qui est soutirée de l’IIA (The Institute of Internal Auditors) : « L’audit interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle et de gouvernement d’entreprise et en faisant des propositions pour renforcer son efficacité »2. Cette définition a été approuvée le 21 mars 2000 par le Conseil d’Administration de l’IFACI (Institut français de l’audit et du contrôle interne). Cette définition élargit le rôle de l’auditeur interne en soulignant sa fonction de conseil. Le service de l’audit interne doit alors apporter ses compétences et aider à résoudre les problèmes.
« Les missions de l’auditeur interne sont de deux types : des missions d’assurance et des missions de conseil »3. De ce fait, nous allons expliquer ces deux missions dans les sous-sections qui suivent.

Les recommandations et conseils

Les missions d’audit sont faites pour constater l’efficacité opérationnelle de l’organisation et apporter des reformes sur la mise en œuvre en vue de formuler des recommandations et conseils. Ainsi, lorsque les procédures sont formalisées, l’auditeur interne bénéficie d’une référence sur laquelle il est fondé pour évaluer les écarts et porter des jugements ainsi que pour formuler des recommandations. Il contribue ainsi à créer de la valeur ajoutée à l’entreprise en apportant des conseils aux cibles de ses rapports. Ces recommandations des missions d’audit ne se confondent pas avec la mission de conseil car elles s’appuient sur des constats de difficultés. L’Auditeur doit émettre ses avis pour améliorer la situation antérieure, de sorte que les dysfonctionnements constatés ne puissent plus se reproduire au moins dans un contexte identique. D’où l’importance de l’analyse causale qui va permettre d’en supprimer la cause en identifiant l’origine du phénomène. Le nombre des recommandations n’impacte ainsi en rien sur la valeur ajoutée car tout est fonction de la nature et du contenu. Toute proposition porteuse d’améliorations du contrôle interne doit entraîner tout naturellement un progrès dans la maîtrise des activités.
L’émission des avis de l’audit interne comporte diverses caractéristiques. D’abord, l’indépendance d’esprit permet à l’auditeur de rapporter les informations avec une autonomie qui lui permettent d’envisager toutes les hypothèses. Ensuite, les recommandations doivent informer la hiérarchie responsable, sauf si l’urgence et l’importance de la situation l’exigent. Dans ce cas, l’auditeur émet un avertissement spécifique. De plus, les conseils formulés ne doivent constituer en aucun cas de « noms » d’une personne définie et des mesures obligatoires pour la hiérarchie. Nous verrons dans la présente recherche que ces mesures non contraintes peuvent être une gêne pour le gouvernement de l’entreprise. De ce fait, nous allons parler de la mission d ’assurance d’auditeur qui consiste à déployer ses conséquences et ses savoirs faire sur l’évaluation tout en préservant l’indépendance et l’objectivité de son travail.

Préservation de l’indépendance et de l’objectivité

C’est un problème qui gêne l’audit interne car il ne doit pas être exposé à aucune situation susceptible d’altérer l’objectivité, en réalité ou en apparence. Cette situation doit être gérée au niveau de l’auditeur interne, de la conduite de la mission, et de son positionnement dans l’organisation. L’expérience et la pratique enseignent que la véritable indépendance de l’auditeur interne réside dans son professionnalisme : si celui-ci est un vrai professionnel, s’il révèle des dysfonctionnements importants, s’il fait des recommandations pertinentes, il est alors reconnu comme un acteur essentiel dans la vie de l’organisation et aucune entrave n’est mise à son action car il agit dans le bien de tous.
Préserver l’indépendance de l’auditeur interne ne signifie pas qu’il doit impérativement être isolé dans ses lieux de travail, mais que la fonction exercée ne saurait subir ni influences, ni pressions susceptibles d’aller à l’encontre des objectifs qui lui sont assignés. Cette indépendance est démarquée par son rattachement à la Direction Générale puis combinée à une relation étroite avec le Conseil d’Administration ou un organisme équivalent.
A titre d’exemple, dans le cadre des missions d’assurance, l’auditeur interne procède à une évaluation objective en vue de formuler en toute indépendance une proposition ou des conclusions sur un processus, un système ou tout autre sujet.

Gouvernance de l’entreprise

Définitions

Nombreuses sont les définitions liées à la gouvernance ou au gouvernement de l’entreprise, mais nous nous en tiendrons à celle-ci : « La gouvernance d’entreprise est un ensemble de dispositions légales, réglementaires ou pratiques qui délimitent l’étendue du pouvoir et des responsabilités de ceux qui sont chargés d’orienter durablement l’entreprise »4. Cependant, « il faut distinguer la vision actionnariale de la gouvernance avec la vision partenariale de la gouvernance »5.
La vision actionnariale de la gouvernance, ou corporate governance : elle privilégie les actionnaires et les dirigeants mandatés par eux. Une bonne gouvernance doit s’attacher aux structures de l’entreprise, à l’information des dirigeants et à l’éthique ; elle veille au règlement des conflits de pouvoirs et des conflits d’intérêts, elle s’assure que les fonctions existantes permettent de superviser efficacement les dispositifs mis en place et qu’aucun d’entre eux n’est susceptible d’adopter un comportement déviant.
Quant à la vision partenariale de la gouvernance, ou gouvernance opérationnelle : elle s’attache à l’ensemble des parties prenantes dans l’organisation. Ici, ce qui est pris en compte, ce sont le fonctionnement interne de l’entreprise, sa gestion et son contrôle dans tous les sens du terme. La bonne gouvernance est alors celle qui permet d’éviter que quiconque puisse s’approprier tout ou en partie des biens de l’entreprise ainsi que des pouvoirs injustifiés dans n’importe quel secteur que ce soit managérial ou autres. Une attention toute particulière sera alors apportée aux Ressources Humaines et à la politique sociale, à l’information interne, à l’organisation opérationnelle et à tous les mécanismes de contrôle et de régulation. Nous allons donc expliquer successivement les différentes définitions liées à la gouvernance de l’entreprise.

Critères de bonne gouvernance et relations d’agence

« Les principes de gouvernement d’entreprise ont pour principal objectif d’améliorer la transparence de l’information à la disposition des marchés et d’amener les dirigeants à se conformer aux objectifs d’optimisation du rendement prescrit par l’analyse théorique, c’est à dire la maximisation de la richesse des actionnaires »6. Nous avons ainsi décelé deux indicateurs essentiels à la satisfaction des propriétaires de l’entreprise, à savoir la transparence de l’information et la conformité des dirigeants dans la maximisation de la richesse des actionnaires. Il est à noter que l’information dont nous parlons ici c’est l’information financière et opérationnelle.
Un problème se pose alors au niveau de l’opportunisme des dirigeants quant à leur intérêt personnel. Il a toujours été longtemps considéré que l’audit interne trouvait sa légitimité dans la théorie de l’agence. En vertu de cette théorie, la complexité des organisations modernes a transformé les relations de pouvoir : le propriétaire (ou « Principal ») perd peu à peu le contact avec le management de son organisation. De plus, l’actionnaire ne pourra pas être en mesure de gouverner efficacement l’entreprise. En conséquence, le propriétaire ne pourra non plus maîtriser le contrôle de l’organisation. En effet, les responsables opérationnels (ou les « Agents ») en savent toujours plus que le Principal. À travers cette description rapide, on perçoit les difficultés des conseils d’administration, les tentatives de correction réalisées par le service d’Audit et plus généralement les propositions sur le gouvernement d’entreprise. C’est pour cette raison que la nécessité des dispositifs de surveillance impliquant les dirigeants ainsi que leurs actions sont de rigueur. Le rôle de l’audit interne dans ce contexte est alors important afin d’assurer la réalisation des deux objectifs des principes de gouvernance. Néanmoins, cette vigilance des dirigeants ne suffit pas à matérialiser une bonne gouvernance de l’entreprise, la transparence de l’information s’avère aussi indispensable.

Transparence de l’information

« Un régime de gouvernement d’entreprise doit garantir la diffusion, en temps opportun, d’informations exactes sur tous les sujets significatifs concernant l’entreprise, notamment la situation financière, les résultats, l’actionnariat et le gouvernement de cette entreprise »7.
L’obligation de rendre publiques certaines informations s’applique en règle générale avec une périodicité au moins annuelle. Certains acteurs s’accordent à imposer une périodicité semestrielle ou trimestrielle, voire l’obligation de communiquer plus fréquemment encore des informations, lors de l’existence de certains événements significatifs affectant l’entreprise. De ce fait, la fréquence de communication des informations aux actionnaires est importante. Les principes préconisent la diffusion, en temps utile, des informations concernant tous les événements significatifs survenant entre la publication des rapports périodiques. Ils sont en outre favorables à la communication simultanée de ces informations à tous les actionnaires de façon à ce qu’ils bénéficient d’un traitement équitable. D’autant plus que, sont considérées comme des données significatives les informations qui, si elles sont omises ou erronées, peuvent altérer les décisions économiques prises par ceux qui les utilisent. Les informations destinées aux actionnaires sont diverses selon l’OCDE (voir annexe). Elles proviennent des différentes Directions et départements de l’entité ou des organismes et partenaires qui travaillent avec l’entreprise. Mais ces informations ne doivent pas rester de simples informations, elles doivent être servies à l’élaboration de l’efficacité de la Direction pour assurer la bonne gouvernance.

Politiques de la Direction

En effet, les dirigeants doivent d’abord prioriser l’objectif général de l’entreprise dont la maximisation de la richesse des propriétaires qui dépend de divers éléments. Du point de vue organisationnel, la protection des intérêts de ces détenteurs de pouvoir dépend grandement des dirigeants de l’entreprise. En effet, la Direction doit avoir une vision axée sur la satisfaction des actionnaires tout en gardant une bonne performance de l’entité qu’il gère. La bonne gouvernance apparaît alors à la suite d’un équilibre entre la pérennité de la société et le bien-être des attentes des investisseurs. Cependant, le travail des dirigeants consiste déjà à la continuité des activités de l’entreprise tandis que les intérêts des actionnaires dépendent de leur attitude opportuniste et de ce fait de leurs politiques.
Selon Roland Pérez, il y a trois niveaux de décisions interdépendantes dont le contenu et la cohérence déterminent le dispositif central des stratégies des entreprises8. Le premier niveau de décision stratégique correspond à la politique concurrentielle, le second niveau est celui de la politique organisationnelle (au sens large du terme) et le troisième niveau est celui de la politique financière. Ces décisions stratégiques constituent les politiques de la Direction.
Divers systèmes de contrôle et de surveillance sont nécessaires afin de restreindre les actions des dirigeants. Notre recherche tend alors à introduire l’audit interne comme mécanisme interne de contrôle des activités managériales.
Le cadre théorique est l’ensemble des informations collectées qui nous ont permis de connaître les variables de notre étude. Il est basé sur l’efficacité de l’audit interne dans l’assurance et les recommandations apportées ainsi que sur la bonne gouvernance de l’entreprise nécessitant une transparence de l’information et une bonne politique de la Direction. En effet, pour mettre en pratique ces théories, nous avons utilisé diverses méthodes.
Pour clore cette section, nous jugeons nécessaire d’en faire une synthèse. Les prérequis dans la bonne réalisation de notre mémoire sont constitués de divers éléments tant sur le plan méthodique, préparatoire ou sur le plan général de la recherche. A cet effet, cette première section du premier chapitre est consacrée à la présentation générale des fondements de notre investigation. Nous y avons mis en exergue la zone et l’étendue de ladite recherche en précisant le cas de l’Accès Banque Madagascar et celui de la Bank of Africa Madagascar comme étant des établissements financiers revêtant le statut de Sociétés Anonymes. Ajouté à cela, nous avons aussi insérer des extraits de théories relatives aux variables et fondements des hypothèses exposées plus haut concernant l’audit interne et la gouvernance d’une entreprise en générale. Les aspects significatifs des outils de la recherche ont aussi été relatés dans la section en question. Ainsi, cette dernière nous a permis d’appréhender une prise de connaissance générale sur les matériels indispensable à notre mémoire.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I – MATERIELS ET METHODES
SECTION 1 – MATERIELS
1.1 – Zone d’étude
1.1.1 – Accès Banque Madagascar
1.1.2 – BOA Madagascar
1.1.3 – Justification du choix de la zone d’étude
1.2 – Outils de la recherche
1.2.1 – Les outils documentaires
1.2.2 – Les outils de collecte et de traitement des données
1.3 – Cadre théorique
1.3.1 – L’Audit interne
1.3.2 – Gouvernance de l’entreprise
SECTION 2 – METHODES
2.1 – Technique de préparation de la recherche
2.1.1 – Encadrement pédagogique
2.1.2 – La pré-enquête ou enquête naïve
2.1.3 – Délimitations et limites de la recherche
2.2 – Méthodes de collecte et de traitement des données
2.2.1 – Méthode de collecte
2.2.2 – Méthodes de traitement
2.3 – Méthodes d’analyse
2.3.1 – Démarche de vérification
2.3.2 – Analyse FFOM ou SWOT et analyse comparative
2.3.3 – Chronogramme de la recherche
CHAPITRE II – RESULTATS
SECTION 1 – IMPORTANCE DE L’AUDIT INTERNE
1.1 – Niveau d’indépendance et d’objectivité de l’Audit interne
1.1.1 – Types d’activités auditées
1.1.2 – Taux d’accessibilité aux activités à auditer
1.2 – Pertinence des conseils de l’audit interne
1.2.1 – Taux d’émission de conseils et recommandations
1.2.2 – Niveau de prise en compte des conseils de l’audit interne
SECTION 2 – RESULTATS SUR LA GOUVERNANCE
2.1 – Transparence de l’information
2.1.1 – Information des Actionnaires
2.1.2 – Qualité des rapports de l’audit interne
2.2 – Politiques de la Direction
2.2.1 – Objectifs des dirigeants
2.2.2 – Application des politiques des dirigeants
SECTION 3 – RELATIONS ENTRE AUDIT INTERNE ET GOUVERNANCE
3.1 – Niveau de confiance du Conseil d’Administration dans l’audit interne
3.1.1 – Communication entre propriétaires et auditeur
3.1.2 – Qualité de l’audit interne
3.2 – Les apports de l’audit interne dans la politique de la Direction
3.2.1 – L’assurance sur le degré de maîtrise des opérations
3.2.2 – Les conseils et recommandations de l’auditeur
3.2.3 – La création de valeur
CHAPITRE III – DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
SECTION 1 – DISCUSSIONS
1.1 – Diagnostic interne
1.1.1 – L’efficacité de l’audit interne
1.1.2 – L’existence de la bonne Gouvernance
1.2 – Diagnostic externe
1.2.1 – Les opportunités
1.2.2 – Les menaces
SECTION 2 – VALIDATION DES HYPOTHESES
2.1 – Validation de la première hypothèse
2.1.1 – Importance de l’hypothèse première
2.1.2 – Analyse Comparative
2.2 – Validation de la deuxième hypothèse
2.2.1 – Importance de la seconde hypothèse
2.2.2 – Analyse comparative
SECTION 3 – RECOMMANDATIONS
3.1 – Recommandations sur les faiblesses apparentes
3.1.1 – Importance des recommandations de l’audit interne
3.1.2 – Système de contrôle interne performant
3.1.3 – Vision des dirigeants
3.2 – Recommandations sur les menaces et opportunités
3.2.1 – La prévention des menaces
3.2.2 – Recommandations pour les opportunités
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
LISTE DES ANNEXES

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