CADRE CONCEPTUEL
La bonne comprรฉhension nรฉcessite dโexpliciter certains concepts clรฉs:
AGRAIRE : Ce terme dโorigine latine, agrarius de ager, agir qui signifie champ est un adjectif qui concerne le partage, la propriรฉtรฉ des terres. On parle ainsi de lois agraires, de la question agraire etcโฆ Agraire dรฉsigne aussi ce qui concerne la surface des terres. Par exemple : les mesures et les unitรฉs agraires (le petit robert, 1993).Dโaprรจs le DE BONNEVAL(1993) ยซ agraire est souvent synonyme dโagricole dans de nombreuses langues. En anglais cet adjectif est rarement utilisรฉ hors du contexte de la sociologie rurale ยป.
Systรจme agraire : est employรฉ, gรฉnรฉralement pour caractรฉriser dans lโespace. Lโassociation des productions et des techniques mises en ลuvre par une sociรฉtรฉ en vue de satisfaire ses besoins. Il exprime en particulier, lโinteraction entre un systรจme bioรฉcologique, reprรฉsentรฉ par le milieu naturel, et un systรจme socioculturel, ร , travers des pratiques issues notamment de lโacquis technique ยป (HENTGEN, VISSAC, 1980) (—) La notion ainsi dรฉfinie est trรจs gรฉnรฉrale et peut concerner des dimensions variรฉes, du local ร de vastes ensembles rรฉgionaux. Dans les travaux de recherche portant sur lโamรฉnagement et le dรฉveloppement agricole et rural, notamment ceux visant ร dโรฉcrire, รฉvaluer, comparer et comprendre les pratiques des agriculteurs et des รฉleveurs (LANDAIS, DEFFONTAINES, 1998 ; SEBILLOTTE, 1997), le concept de systรจme agraire sโavรจre utile et bien adaptรฉ, car il permet de ne pas dissocier les aspects spatiaux des aspects techniques et socio-รฉconomiques (groupe de recherche INRAENSAA, 1997. IN : DEFFONTAINES, LARDON. (Citรฉ par DE BONNEVAL, 1993)
Le terme paysage : sโapplique selon les auteurs ร un ensemble de signe caractรฉrisant une unitรฉ gรฉographique sur le plan physique ou humain. Il apparait comme une combinaison concrรจte ou interviennent un grand nombre de faits. Lโhabitat, le parcellaire, les chemins etcโฆ On parlera de paysage urbain, rural et pรฉriurbain en fonction de lโactivitรฉ dominante qui sโexerce sur lโespace dont-il est question. Ces diffรฉrents paysages sont rรฉvรฉlรฉs par lโobservation directe, par lโรฉtude de photographies aรฉriennes, des documents cadastraux etcโฆ Lโinterprรฉtation de ces diffรฉrents รฉlรฉments donne une connaissance approfondie de la gรฉographie, de lโhistoire, de lโarchรฉologie, de la sociologie et de lโรฉconomie. Dโaprรจs pierre George(1990,348) dโacceptation originairement descriptive mais global, le terme paysage a pris rรฉcemment une signification synthรฉtique rassemblant lโensemble des traits issus de la gรฉographie naturelle et des apports des civilisations qui ont progressivement faรงonnรฉ le cadre et sont entrรฉs dans la conscience de groupe des occupants. Il devient alors synonyme dโenvironnement.
RURAL : Lโadjectif est employรฉ pour dรฉsigner ce qui se rapporte aux champs et de faรงon plus gรฉnรฉral ร la vie campagnarde et donc qui se situe en dehors des agglomรฉrations ou des villes dโune certaine importance. Ce terme est souvent employรฉ en opposition ร urbain qui dรฉsigne ce qui est de la ville. Selon pierre George(1990,423) ยซ le sens du mot rural est toujours plus large que celui du terme agricole. Lโespace rural nโest pas uniquement le siรจge des activitรฉs agricoles, mais aussi de lโindustrie, de lโartisanat et du commerce rural ยป
TERRITOIRE : Le territoire est une notion polysรฉmique qui recouvre des rรฉalitรฉs ร la fois juridiques, sociales, culturelles et mรชme affectives. Dans son sens le plus large, le plus neutre, le territoire dรฉsigne un espace limitรฉ, รฉtendu, ou vit une communautรฉ humaine (conseil international de la langue Franรงaise 1976) cโest le sens qui est sous-jacent ร la notion dโamรฉnagement. Mais le terme de territoire comprend presque toujours une forte connotation sociale, une dimension dโappartenance et dโappropriation : le territoire est un espace appropriรฉ, avec sentiment ou conscience de son appropriation (Brunet R et Al .1993) Le territoire se distingue de lโespace par le fait quโil est un construit social. Plusieurs auteurs insistent sur le fait que le territoire est un produit qui est constamment retravaillรฉ par un acteur ou un groupe dโacteurs. Par exemple C. Rfffestin 1990 : le territoire est gรฉnรฉrรฉ ร partir de lโespace, il est le rรฉsultat dโune action conduite par un acteur syntagmatique (acteur rรฉalisant un programme ร quelque niveau que ce soit). En sโappropriant concrรจtement ou abstraitement (par exemple par la reprรฉsentation) un espace, lโacteur ยซ territorialise lโespace ยป. (Citรฉ par RUEGG J ,19996). Pour marquer la distinction entre espace et territoire, J RUEGG parle de deux types de territoire)
๏ท Un territoire institutionnel qui est en grosso modo celui de lโEtat, de la propriรฉtรฉ fonciรจre et du citoyen (fait rรฉfรฉrence ร une surface)
๏ท Un territoire relationnel correspondant ร lโentreprise, ร (lโusager et ร lโhabitant fait rรฉfรฉrence ร un rรฉseau) (RUEGG, 1996)
TERROIR : est avant tout une รฉtendue de terre considรฉrรฉe du point de vue de ses aptitudes agricoles qui lui viennent de ses qualitรฉs physiques originelles ou acquises par des amรฉnagements humains. On dรฉsigne par terroir par exemple un ensemble de terre dโune mรชme rรฉgion fournissant un produit agricole caractรฉristique (LAROUSSE agricole 1981). Dans ce cas la notion de terroir est parfois synonyme de ยซ cru ยป. Dans sa stricte acceptation, le terme terroir ne fait pas rรฉfรฉrence aux droits sur le sol.
LE DEVELOPPEMENT LOCAL : implique une mobilisation des รฉnergies de tous les acteurs locaux. Une mobilisation qui va dans la rรฉalisation dโun projet devant entrainer une promotion sur divers secteurs du territoire. Il sโagirait de la participation du territoire autour dโun projet. Ce dernier serait le fait dโune population sur un territoire par la valorisation des potentialitรฉs y existant et pour contourner les contraintes dans un contexte oรน son appropriation par cette population permettrait sa rรฉussite ยซ le dรฉveloppement est lโexpression de la solidaritรฉ locale crรฉatrice de nouvelles relations sociales et manifeste la volontรฉ des habitants dโune microrรฉgion de valoriser les richesses locales, ce qui est crรฉateur de dรฉveloppement รฉconomique.
Rรฉforme Fonciรจre : Processus impliquant la restructuration complรจte ou la redรฉfinition dโau moins trois composantes du systรจme foncier, ร savoir la structure de la propriรฉtรฉ, la structure dโutilisation et de production et lโinfrastructure des services dโappui. Une rรฉforme fonciรจre dans laquelle les prรฉoccupations des populations rurales seront prises en compte, il est indispensable dโimpliquer les paysans et les pasteurs dans la recherche de solutions. En dโautres termes, la mise en ลuvre dโun processus vรฉritablement participatif constitue une condition sine qua non pour que lโon puisse dรฉboucher sur une rรฉforme fonciรจre inclusive. La question fonciรจre implique des acteurs de types diffรฉrents en ce sens quโils sont porteurs de reprรฉsentations et perceptions diffรฉrentes des enjeux fonciers ; logiques et intรฉrรชts diffรฉrents ; de propositions de solutions diffรฉrentes. Cโest la raison pour laquelle, les approches dรฉcisionnelles classiques de type top-down sont vouรฉes ร lโรฉchec en la matiรจre.
Rรฉforme Agraire : Lโexpression ยซrรฉforme agraireยป est souvent utilisรฉe de faรงons diffรฉrentes, ร lโorigine de bien des malentendus. Nous appellerons ici ยซrรฉforme agraireยป une intervention ponctuelle de lโEtat destinรฉe ร corriger une distribution trรจs inรฉgale du foncier agricole. Si une rรฉforme agraire peut comporter de nombreux volets impliquant des politiques distinctes et complรฉmentaires, son action de base porte toujours sur le foncier, avec :
๏ท l’expropriation, en totalitรฉ ou partiellement, des terres des seigneurs ou des grands propriรฉtaires, avec ou sans indemnisation ;
๏ท on parle souvent ร tort de ยซrรฉformes agrairesยป socialistes mรชme lorsque les redistributions ont รฉtรฉ trรจs faibles et lorsque de vรฉritables contre-rรฉformes agraires ont รฉtรฉ organisรฉes, provoquant la disparition ou un affaiblissement considรฉrable des structures paysannes. Logiquement, ces politiques ont ouvert la porte ร des accaparements de terre de grande ampleur par quelques capitalistes lorsque les rรฉgimes socialistes se sont effondrรฉs.
Commune : ยซ La commune est une collectivitรฉ locale, personne morale de droit public. Elle regroupe les habitants du pรฉrimรจtre d’une mรชme localitรฉ composรฉ de quartiers et/ou de villages unis par une solidaritรฉ rรฉsultant du voisinage, dรฉsireux de traiter de leurs propres intรฉrรชts et capables de trouver les ressources nรฉcessaires ร une action qui leur soit particuliรจre au sein de la communautรฉ nationale et dans le sens des intรฉrรชts de la nation. Les quartiers et les villages constituent les cellules administratives de base dont le statut est dรฉterminรฉ par dรฉcret. Le conseil municipal par ses dรฉlibรฉrations, le maire par ses dรฉcisions, par l’instruction des affaires et l’exรฉcution des dรฉlibรฉrations, concourent ร l’administration de la commune. ยป (Code gรฉnรฉral des Collectivitรฉs locales, 2013) Dans ce cadre la commune concernรฉ par notre รฉtude est exclusivement composรฉe de village.
ORGANISATIONS SOCIALES, VIE ASSOCIATIVES CULTURELLES
ย ย La cellule familiale de base demeure toujours ยซ la grande famille ยป compte tenu du caractรจre rural de la commune. Sous plusieurs aspects, ces familles รฉvoluent souvent ร lโintรฉrieur de vastes concessions ou domiciles familiaux dirigรฉs chacun par un chef de famille (pรจre de famille ou ainรฉ de la famille). Lโislam demeure la religion dominante, il est souvent pratiquรฉ ร lโintรฉrieur de la confrรฉrie des mourides ou des Tidiane. Au niveau de la vie associative, la commune compte quelques regroupements traditionnels de femmes appelรฉs MBOTAYE. Il sโagit principalement de groupes traditionnels de solidaritรฉ au sein desquels se dรฉroulent des actions dโentre-aide financiรจres et matรฉrielles lors des cรฉrรฉmonies traditionnelles (mariages, baptรชme, etcโฆ) Leurs ressources proviennent souvent de cotisations pรฉriodiques versรฉes par les femmes. Aussi bon nombre de groupements de femmes sโadonnent pour le compte de leurs membres ร des activitรฉs traditionnelles de micro-crรฉdit dรฉnommรฉes TONTINE. Ces groupes peuvent aussi รชtre parfois des creusรฉs dโactivitรฉs รฉconomiques (transformation ou commercialisation de produits agricoles, embouche, vente de denrรฉes alimentaires ou de produits manufacturรฉs, etcโฆ). Les Associations Sportives et Culturelles (ASC) existent dans la commune, elles sont au nombre de 13, leurs activitรฉs tournent autour du sport et particuliรจrement du Football durant les grandes vacances scolaires coรฏncidant avec la saison des pluies. La cellule familiale de base demeure toujours ยซ la grande famille ยป compte tenu du caractรจre rural de la commune. Sous plusieurs aspects, ces familles รฉvoluent souvent ร lโintรฉrieur de vastes concessions ou domiciles familiaux dirigรฉs chacun par un chef de famille (pรจre de famille ou ainรฉ de la famille). Lโislam demeure la religion dominante, il est souvent pratiquรฉ ร lโintรฉrieur de la confrรฉrie des mourides ou des Tidiane.
LA STRUCTURE AGRAIRE DโOPENFIELD
ย ย Les champs ouverts, appelรฉs en France ยซ champagne ยป sont les plus รฉtendus en Europe. En France, ils couvrent le nord-est du pays, au de la dโune ligne Rouen-Orlรฉans-chaton-sur saone-gรฉnรจve, rรฉgion dโhabitat trรจs groupรฉ ; (fig. 15). Si lโon prend lโexemple de la morphologie agraire. La campagne dรฉploie son manteau de champs nus, non enclos, jusquโร lโhorizon, rien ne gรชne la vue au-delร de cette uniformitรฉ, on voit se dresser le clocher du village voisin. Les champs ont tous la forme de laniรจres, sont dรฉmesurรฉment longs par rapport ร leur largeur. Ils se groupent par paquets de laniรจres de mรชme sens : dโavion, le finage ressemble ainsi ร un parquet (planche 5). Chaque groupe de parcelles se nomme quartier et porte un nom, tirรฉ de la forme des champs, de la vรฉgรฉtation naturelle. Du village, une รฉtoile de chemins ruraux dessert le finage, et dโordinaire les laniรจres sont disposรฉes perpendiculairement ou parallรจlement ร eux. Absence de clรดtures, dโarbres dans les champs, forme vu bannรฉe et ordonnรฉe des parcelles groupรฉes en quartiers, ce qui semble traduire une volontรฉ organisatrice, tels sont les traits majeurs de la morphologie agraire dโopenfield. Mais on remarque souvent la raretรฉ des prairies permanentes, relรฉguรฉes dans les zones basses, au voisinage de la riviรจre et la disposition particuliรจre de la foret, รฉliminรฉe totalement du tapis des champs, mais rassemble tout autour, en lisiรจre de la limite communale, formant lร des masses puissantes aux limites gรฉomรฉtriques tracรฉe par la charrue des paysans. Ces traits gรฉnรฉraux se rencontrent presque partout en Europe centrale, et font du paysage dโopenfield quelque chose de stรฉrรฉotypรฉ et dโassez uniforme.
|
Table des matiรจres
INTRODUCTION GENERALE
I.- CONTEXTE ET JUSTIFICATION
1.- CONTEXTE
2.- JUSTIFICATION
II.- PROBLEMATIQUE
1.- PROBLEMATIQUE
2.- OBJECTIF ET HYPOTHESE DE RECHERCHE
2.1.- Objectif gรฉnรฉral
2.2.- Objectifs spรฉcifiques
2.3.- Hypothรจse de recherche
III.- METHODOLOGIE ET CADRE CONCEPTUEL
1.- CADRE CONCEPTUEL
2.- REVUE DOCUMENTAIRE
3.- LA COLLECTE DES DONNEES
3.1.- Les enquรชtes de terrain
3.1.1.- Les enquรชtes mรฉnages
3.1.2.- Le guide dโentretien
3.1.3.- Le traitement et rรฉdaction des donnรฉes
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA ZONE DโETUDE, DESSTRUCTURES AGRAIRES ET DES DIFFERENTES POLITIQUES AGRICOLES
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA ZONE DโETUDE
I.- DONNEES PHISIQUES
1.- RELIEF, CLIMAT et SOL
2.- VEGETATIONS Et FAUNES
II.- CADRE HUMAIN
III.- ORGANISATIONS SOCIALES, VIE ASSOCIATIVES CULTURELLES
IV.- SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE
1.- AGRICULTURE
1.1.- Cรฉrรฉales
2.- LโELEVAGE
2.1.- Lโรฉlevage extensif
2.2.-. Lโรฉlevage intensif
3.- ARTISANAT
4.- COMMERCE
5.- TRANSPORT
6.- SYSTEMES ET INSTITUTIONS FINANCIERS
7.- STRUCTURES SANITAIRES.
CHAPITRE II : LES STRUCTURES AGRAIRES DANS LE MONDE
I.- LE SYSTEME DE CULTURE TRADITIONNEL
II.- LA STRUCTURE AGRAIRE DโOPENFIELD
III.- LA STRUCTURE AGRAIRE DโENCLOS (BOCAGE)
IV.- LโAMENAGEMENT TRADITIONNEL DU SOL DANS LES PAYSTROPICAUX
CHAPITRE III : LES POLITIQUES AGRICOLES AU SENEGAL
I.- LE PROGRAMME AGRICOLE (PA) 1960-1980)
II.- LES POLITIQUES AGRICOLES DECOULANT DES PROGRAMMES DโAJUSTEMENT STRUCTUREL DE 1980 A 2000
III.- LES POLITIQUES AGRICOLES APRES 2000
DEUXIEME PARTIE : RESULTTATS ET DISCUSSIONS
CHAPITRE I : CARACTERISATION DES INFRASTRUCTURES DE BASE,ORGANISATIONNELLES ET DES EXPLOITATIONS FAMILIALES
I.- CARACTERISATION DES INFRASTRUCTURES DE BASE ET ORGANISATIONNELLE
1.- Le Niveau dโEducation
2.- Les Infrastructures Sanitaires
3.- Infrastructures et Equipements
4.- Les Formes dโOrganisation et Leur Fonctionnement
II- CARACTERISATION DES EXPLOITATIONS FAMILIALES
1.- Nombre de Personnes dans le Mรฉnage
2.- Age
3.- Religion et Ethnie
4.- Les Moyens de production
5.- Le Matรฉriel Agricole
6.- Moyens Techniques pour les Champs
7.- Systรจme de Culture
7.1.- Surface Totale Emblavรฉe et Assolement
7.2.- Nature Fertilitรฉ des sols
7.3.- Revenus de lโagriculture pk2ar mรฉnage et leur apport
7.3.1.- Revenus par mรฉnage enquรชtรฉ
7.3.2.- Moyen de transport
7.3.3.- Les produits commercialisรฉs sur le marchรฉ
7.3.4.- Apprรฉciation des revenus de la commercialisation par rapport ร la satisfaction desbesoins
CHAPITRE II : CARACTERISATION DES AUTRES TYPES DโACTIVITES
I.- CARACTERISTIQUE DES SECTEURS DโACTIVITES PAR LโANALYSE DESSTRATEGIES PAYSANNES
1.- Les activitรฉs gรฉnรฉratrices de revenus
2.- Les gains tirรฉs par les mรฉnages de ses activitรฉs en dehors de lโagriculture
3.- Destination des revenus venant de ses activitรฉs
4.- Impact du transport sur les activitรฉs รฉconomiques, lโapprรฉciation des populations et le moyen de transport
5.- Lโimpact des marchรฉs hebdomadaires transfrontaliers
6.- Exode des populations et ses motivations
7.- Le croisement entre les prรชts des mรฉnages aux bailleurs qui financent
8.- La destination des prรชts des mรฉnages
II.- CARACTERISTIQUE DE LโHABITAT ET DE LA CONSOMMATION
1.- Le nombre de piรจce dโhabitat dans le mรฉnage
2.- Le rapport entre la qualitรฉ des murs le droit dโaccรจs, la restauration et sa fin
3.- La consommation dโeau par mรฉnage.
4.- La consommation dโรฉlectricitรฉ par mรฉnage
5.- La source de chaleur et sa procuration par les mรฉnages
CHAPITRE III : LE DEVELOPPEMENT LOCAL FACE AUX ENJEUX FONCIER, LA NECESSITE DE LA REFORME AGRAIRE DANS LA PERSPECTIVE DE LโACTE III DE LA DE CENTRALISATION
I.- LES ENJEUX FONCIERS DANS LA ZONE DโENQUETE
II.- LES ENJEUX DE LA DECENTRALISATION ET DE LA DECONCENTRATION DANS LES PERSPECTIVES DE LโACTE
1.- Autour du concept de ยซ Dรฉcentralisation ยป
2.- Dans la Perspective de lโActe III de la Dรฉcentralisation
3.- Partenaires de la commune
4.- Gestion des Ressources Environnementales
4.1.- Le projet de la Grande Muraille Verte (GMV)
4.2.- Le projet Villages du Millรฉnaire
4.3.- Le Programme national des Bassins de Rรฉtention et des Lacs Artificiels
5.- Le programme รco villages
6.- Les Outils de Communication
7.- Vivre Ensemble dans une Zone Transfrontaliรจre
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
Tรฉlรฉcharger le rapport complet