Morphologie, Physiologie, comportements social et alimentaire de l’aulacode 

Classification zoologique

Origine et répartition géographique

Origine

Le grand aulacode ou aulacode commun (Thryonomys swinderianusTemminck, 1827) est un gros rongeur hystricomorphe qui n’a jamais été rencontré à l’état sauvage sur les continents américain, asiatique, européen et océanique. C’est donc un rongeur exclusivement africain (Mensah, 1983).
De récentes investigations ont montré qu’il n’existerait qu’un seul genre de Thryonomysavec deux espèces différentes : T. swinderianus (Temminck, 1827) ou grand aulacode et T. gregorianus (Thomas, 1894)ou petit aulacode.
L’aulacode est souvent appelé à tort « agouti » ou « hérisson ». En effet, l’animal appelé « agouti » a pour nom scientifique « Dasyprocta agouti » c’est un rongeur de la super – famille des Notrogomorpheaet qui existe seulement en Amérique du Sud. Quant au « hérisson », c’est un insectivore (Erinaceus, Hemiechinus, Atelerix…) qu’on rencontre en Afrique, en Amérique et en Asie.

Répartition géographique

Le grand aulacode de façon générale, a une vaste distribution en Afrique subsaharienne, depuis la Gambie jusqu’en Afrique centrale, en Ouganda et en Afrique de l’Est. Cette distribution s’étend ensuite en Afrique australe et plus particulièrement en Namibie où l’espèce est uniquement présente dansl’extrême nord à la frontière avec l’Angola (Kingdon, 1997).
Le petit aulacode se rencontre essentiellement dans les régions forestières et le bassin du Congo (Poilecot, 2009).

Taxonomie

La classification de l’aulacode a été complexe, comme celle des rongeurs pour de nombreux auteurs et taxinomistes comme Ewer (1969); Monod (1970) et Thomas (1894).
La place du grand aulacode dans le règne animal d’après Wood (1955), Heinemann et al(1968)est présentée comme suit (Tableau I).

Morphologie, Physiologie, comportements social et alimentaire de l’aulacode

Morphologie

Le grand aulacode (Figure 2) est le plus lourd des rongeurs africains après le porc-épic (Mensah et al., 2007). Il est de forme massive, trapue et ramassée. A l’âge adulte, les femelles pèsent entre 3 et 5 kg tandis que le poids du mâle varie entre 4 et 6 kg. En plus d’autres caractéristiques différentielles morphologiques (pelage, les oreilles) le lapin (lagomorphe) se distingue de l’aulacode (rongeur) par la denture, celle du lapin est à croissance permanente.
L’aulacode, a une longueur (tête et corps) de 10 à 50 cm avec en plus une queue de 15 à 25 cm. Sur patte, sa hauteur varie entre 25 et 30 cm. Le pelage est brun moucheté de jaunes et formé de poils raides et rudes subépineux.
La queue est écailleuse avec un poil clairsemé, de couleur brune foncée. Elle s’amincit vers l’arrière pour atteindre une longueur de 17 à 26 cm. Celle-ci se casse facilement lors de la manipulation des animaux (Poilecot, 2009).
Les pattes sont courtes et robustes, les antérieures possèdent cinq doigts et les postérieures quatre (Mensah et al., 1995). Les doigts sont armés de fortes griffeslégèrement recourbées et atteignant respectivement 20 à 30 mm au niveau des pattes antérieures et postérieures (Poilecot, 2009).
Le mâle est souvent légèrement plus gros que la femelle.

Comportement social

L’aulacode est avant tout un animal sauvage dont le comportement en milieu naturel et en captivité se présente comme suit.

En milieu naturel

Le grand aulacode est très sélectif dans ses habitats qui sont toujours composés de formations herbeuses denses, aussi bien en zone de savane que de forêts. Il vit proche des rivières, des lacs et des marais, d’où son nom de « rat des roseaux ». Très actif la nuit, le grand aulacode est généralement solitaire mais se rencontre également en couples ou en petits groupes comptant jusqu’à 10-12 individus. Ces derniers sont composés de mâles, de femelles et de jeunes (Poilecot, 2009).
Le grand aulacode est nocturne, plus rarement crépusculaire. Il est réputé pour être discret et évolue dans des tunnels dans la basse strate de la végétation dans laquelle il peut se mouvoir sans être aperçu. Ces traînées sont marquées de tas de crottes ou de petites piles de débris végétaux qui persistent sur les lieux de nourrissage. Si le couvert végétal est insuffisant, il utilise les terriers dans les berges de rivières, les cavités qui se forment entre les racines des arbres pour se camoufler ou se reposer (Poilecot, 2009). Il fréquente assidûment les cultures en faisant des dégâts dans les champs de maïs, de canne à sucre, de mil, de sorgho, d’igname, de manioc, d’arachide ou de patates douces (Fiedler, 1988).
SelonEwer (1969) et Asibey (1974), les aulacodes ont un instinct grégaire ; ils se déplacent le plus souvent en file indienne et par petits groupes.

En captivité

Selon les travaux réalisés par Schrage (1990); Mensah (1983) ; Mensah et Baptist (1986), deux types de comportement importants ont été observés chez le grand aulacode en captivité :
Une faible docilité (typique des animaux sauvages). L’aulacode est craintif et a tendance à paniquer dans un milieu non familier.
Une grande agressivité entre mâles adultes et femelles provenant de familles différentes. Afin d’éviter l’agressivité entre les animaux, des modes d’élevage ont été élaborés. Ils consistent en la mise en cage individuelle des mâles à l’âgede cinq mois, ainsi qu’au regroupement des femelles en familles de reproduction.

Typologie des élevages

Aulacodiculture

L’aulacode apprivoisé est élevé en captivité suivant un système au sol ou un système hors-sol. Selon les travaux réalisés par Heymans (1996), cités par Mensah et Ekue (2003), Houben et al (2005),différents types d’élevages ont été décrits et le choix de l’un ou de l’autre dépend de plusieurs facteurs à savoir :l’espace disponible, la capacité financière et le type de production envisagée.
L’aulacodiculture est un système intensif non conventionnel.

Elevage en cage ou en chambrette

C’est le type d’élevage le plus souvent rencontré en milieu rural où le but essentiel est l’engraissement, l’abattage des animaux et leur commercialisation (Adjanohoun, 1988).
Les jeunes aulacodes sauvages capturés vivants lors d’une chasse sont mis dans une case recouverte d’un toit de paille ou de tôle avec une superficie de quelque m2pour une hauteur moyenne de 2m.

Importance socio-économique et socio-culturelle

Importance socio-économique

Les aulacodins sont des gros rongeurs de 4 à 8 kg et peuvent être commercialisés pour leur viande. Leur valeur marchande est élevée dans certaines capitales africaines (3500 F.CFA/ Kg de poids vif à Libreville, 1700 F.CFA/ Kg sous forme fraiche d’aulacode sauvage à Cotonou) selon DossouGbete (1996).
Au Bénin par exemple, l’expansion de l’aulacodiculture a été stimulée par une demande annuelle supérieure à 200 000 animaux. Aujourd’hui, plus de cinq cents éleveurs existent dans ce pays. En effet, le nombre d’élevages augmenterapidement grâce à un système intéressant d’autopromotion à l’échellevillageoise (Mensah et al., 2001).
Les expériences béninoises de diffusion en milieu périurbain ont donné des résultats si satisfaisants qu’un programme de diffusion similaire a démarré au Gabon en 1994 lancé par la Coopération française et poursuivi par des financements de l’Union Européenne. Actuellement, ce projet permet à plus d’une trentaine d’éleveurs de produire et de vendre leurs propres animaux à partir de leurs élevages familiaux.
Cependant, la rentabilité varie en fonction du contexte économique dans lequel est placé l’élevage. Une étude de la Banque mondiale au Ghana a démontré queles élevages d’aulacodes seraient en général plus rentables que les ranchs d’élevage bovin (Tutu et al., 1996). De même, selon une étude ayant porté également sur quelques exploitations aulacodicoles au Bénin, Kokode (2003) conclut qu’un capital investi en aulacodiculture est plus rentable que l’épargne, à condition que cette aulacodiculture ne soit pas trop petite.

Importance socio-culturelle

N’goran Djé (1985) rapporte que dans certains villages de Côte d’Ivoire (Toumodi, Kponébo, Moronou, Konankro), les organes d’aulacodes sont parfois utilisés pour soigner des maladies. C’est ainsi que la poudre de foie est utilisée pour soigner l’ictère.
Dans certains cas d’envoûtement des malades sont conseillés de ne manger que de la viande d’aulacode durant tout le traitement.
En Afrique centrale (République démocratique du Congo), l’aulacode possède une valeur culturelle considérable : En effet, sa viande n’est offerte qu’à un hôte de marque, ce qui offre des perspectives de ventes intéressantes aux éleveurs (Van de Velde, 1992).

Valeur nutritionnelle de la viande d’aulacode

Des travaux réalisés par certains auteurs, ont démontré que la viande d’aulacode possède des valeurs nutritives très appréciables comparées à celles d’autres animaux de boucherie (Ntéme Ella et al., 2012)
D’une manière générale, la viande de la plupart des espèces sauvages a une plus faible teneur en matières grasses et un taux égal ou supérieur en protéines et en vitamines que la viande de bœuf, de mouton, de poulet ou de porc (Malaise et Parent, 1982).

ANATOMIE DU MEMBRE PELVIEN DES LAGOMORPHES ET DES RONGEURS

Ce chapitre, fait une synthèse sur la description des particularités anatomiques du membre pelvien des lagomorphes et des rongeurs. Cette description concernera les groupes de muscles et leurs bases osseuses sur les différents segments du membre pelvien en termes de topographie et de conformation.
A notre connaissance, peu de travaux ont été consacré sur la myologie des espèces de rongeurs.
Cependant quelques études ponctuelles ont été menées sur certains muscles du membre pelvien des rongeurs dans le but d’établir des corrélations entre leur morphologie et leur rôle (Wood et al., 1950 ; Jouffroy, 1975 ; Jungers et al., 1997 ; Neveu et al., 2002).
Dans ce chapitre, nous ressortirons les particularités anatomiques du membre pelvien des lagomorphes à travers le lapin domestique (Oryctolagus cuniculus)et les rongeurs à travers le chinchilla (Chinchilla lanigera) qui est unHystricomorphe proche de l’aulacode.

Muscles fémoraux crâniaux 

Ils sont au nombre de six (6) : le muscle tenseur du fascia lata, le muscle quadriceps fémoral qui possède un chef long (le droit de la cuisse) et deux chefs courts (vaste latéral et médial), le muscle vaste intermédiaire et le muscle articulaire du genou.
Chez le Chinchilla lanigera, le muscle vaste latéral constitue la plus grande partie du muscle quadriceps fémoral. Ce muscle naît par une aponévrose large du grand trochanter et le troisième trochanter, il se contracte et s’épaissit en un tendon aplati qui s’insère dans le bord latéral de la rotule et la tubérosité du tibia (Wood et al., 1950).

Les muscles fémoraux caudaux

Ils sont au nombre de quatre (4) : le muscle glutéofémoral, le muscle biceps fémoral, le muscle semi-tendineux et le muscle semi-membraneux.
Chez le Chinchilla lanigerale muscle semi-membraneux est constitué de deux parties qui sont unies à l’origine et se distinguent lors de leur insertion.
Le muscle naît de la tubérosité et à proximité de la partie dorsale de l’ischium.
La plus grande partie est insérée par un tendon arrondi dans la tubérosité tibiale.
La seconde partie est distincte vers le milieu du fémur et s’insère juste audessus du condyle médial.
Cette deuxième partie est parfois appelée « caudo-fémoral » Hill (1937) cité par Wood et al., (1950). Cet auteur considère qu’il s’agit d’une partie du muscle grand fessier plutôt que du muscle semi-membraneux.

Muscles fémoraux médiaux

Disposés en deux couches, l’une superficielle et l’autre profonde, les muscles fémoraux médiaux sont au nombre de quatre (4) : le muscle sartorius, le muscle gracile, le muscle pectiné et le muscle adducteur de la cuisse.
Dans la majorité des rongeurs, le muscle sartorius a des contacts étroits avec le muscle gracile (Neveu et al., 2002)

Muscles de la Jambe

Les muscles de la jambe sont groupés autour du tibia et de la fibula. Divisés en deux grands groupes, on distingue les muscles jambiers crâniaux qui peuvent aussi être qualifiés de jambiers dorsaux car leurs tendons se prolongent à la face dorsale du pied et les muscles jambiers caudaux qui pourraient aussi être qualifiés de jambiers plantaires, car leurs tendons se poursuivent à la face plantaire du pied (Barone, 1980).

Muscles Jambiers crâniaux 

La région crâniale est constituée de six (6) muscles en absence du muscle troisième péronier qui n’existe pas chez le lapin (Barone, 1980): le muscle tibial crânial, le muscle long extenseur des orteils et quatre péroniers : long péronier, extenseur de l’orteil V, extenseur de l’orteil IV et court péronier.
Chez Chinchilla lanigera, comme chez la plus part des rongeurs, peu de travaux ont été réalisés sur les muscles jambiers crâniaux.

Muscles Jambiers caudaux 

Ils sont au nombre de sept (07) : le muscle gastrocnémien, le muscle soléaire, le muscle fléchisseur supérieur des orteils, le muscle poplité, le muscle tibial caudal, le muscle fléchisseur latéral des orteils et le muscle fléchisseur médial des orteils.
Selon Neuveu et al., (2002), le muscle gastrocnémien apparait très volumineux dans le Chinchilla lanigera avec ses deux chefs : le chef médial et le chef latéral.
Le chef médial prend origine sur la partie caudale de la diaphyse fémorale, près du condyle médial. Il a la même taille que le chef latéral à partir duquel il est facilement discernable.
De même, le muscle poplité qui ne présente rien de particulier chez le lapin est bien distinct chez le Chinchilla lanigera. Il provient d’un tendon sur le condyle médial du fémur. Ce tendon contourne le fémur sur le côté caudal sous le muscle triceps sural et s’insère sur la face interne du tibia, dans son tierssupérieur
Le muscle fléchisseur latéral des orteils très épais chez le lapin est divisé en deux parties accolées sur toute la longueur jusqu’à sa terminaison (Barone,1980).

Muscles du pied

Au niveau du pied, les muscles sont situés dans la région métatarsienne et se terminent pour la plus part par de courts tendons sur les orteils.
Les muscles de la région du pied peuvent être répartis en deux groupes : ceux du premier groupe sont en particuliers les plus constants et se répètent dans l’ensemble des doigts. Généralement la base du pied n’emporte qu’un seul : le muscle court extenseur des orteils (Barone, 1980).
Les muscles du second groupe sont spécifiques à certains doigts (I, II, et V), et sont bien développés que chez l’homme (Barone, 1980): les muscles lombricaux et interosseux, le muscle adducteur de l’orteil II, le muscle adducteur de l’orteil V et le muscle abducteur de l’orteil V.

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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE 
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE 
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’AULACODE 
I. Biologie
I.1. Classification zoologique
I.1.1. Origine et répartition géographique
I.1.1.1. Origine
I.1.1.2. Répartition géographique
I.1.2. Taxonomie
I.2. Morphologie, Physiologie, comportements social et alimentaire de l’aulacode
I.2.1. Morphologie
I.2.2. Physiologie
I.2.3. Comportement social
I.2.3.1. En milieu naturel
I.2.3.2. En captivité
I.2.4. Comportement alimentaire
I.2.4.1. Alimentation et rythme d’alimentation
I.2.4.2. Besoins nutritionnels
II. Typologie des élevages
II.1. Aulacodiculture
II.2. Importance socio-économique et socio-culturelle
II.2.1. Importance socio-économique
II.2.2. Importance socio-culturelle
II.3. Valeur nutritionnelle de la viande d’aulacode
CHAPITRE II : ANATOMIE DU MEMBRE PELVIEN DES LAGOMORPHES ET DES RONGEURS
II.1. Aperçu sur la myologie du membre pelvien des lagomorphes et des rongeurs
II.1.1. Muscles du bassin
II.1.1.1. Muscles fessiers
II.1.1.2. Muscles pelviens profonds
II.1.2. Muscles de la cuisse
II.1.2.1. Muscles fémoraux crâniaux
II.1.2.2. Les muscles fémoraux caudaux
II.1.2.3. Muscles fémoraux médiaux
II.1.3. Muscles de la Jambe
II.1.3.1. Muscles Jambiers crâniaux
II.1.3.2. Muscles Jambiers caudaux
II.1.4. Muscles du pied
II.2. Base osseuse du membre pelvien des lagomorphes et des rongeurs
II.2.1. Os du bassin
II.2.1.1.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.1.1.2. Chez le chinchilla (chinchilla lanigera)
II.2.2. Os de la cuisse
II.2.2.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.2.2. Chez le Chinchilla (Chinchilla lanigera)
II.2.3. Os de la jambe
II.2.3.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.3.2. Chez le Chinchilla (Chinchilla lanigera)
II.2.3.3. Rotule
II.2.4. Os du pied
II.2.4.1. Tarse
II.2.4.1.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.4.1.2. Chez le Chinchilla (Chinchilla lanigera)
II.2.4.2. Métatarse
II.2.4.2.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.4.2.2. Chez le Chinchilla (Chinchilla lanigera)
II.2.4.3. Doigts
II.2.4.3.1. Chez le Lapin(Oryctolagus cuniculus)
II.2.4.3.2. Chez le Chinchilla (Chinchilla lanigera)
II.3. Particularités de l’appareil locomoteur chez les rongeurs et les lagomorphes
II.3.1. Appareil locomoteur des rongeurs
II.3.2. Appareil locomoteur des lagomorphes
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES 
I.1. Matériel
I.1.1. Cadre d’étude
I.1.2. Matériel animal
I.1.2.1. Animal
I.1.2.2. Provenance des animaux
I.1.2.3. Echantillon d’animaux
I.1.3. Matériel technique
I.1.3.1. Matériel de dissection
I.1.3.2. Autres outils utilisés
I.2. Méthodologie
1.2.1. Paramètres étudiés
I.2.2. Préparation des animaux
I.2.2.1. Technique de dissection
I.2.2.2. Méthode d’isolement des membres pelviens et d’obtention des os
I.2.2.2.1. Isolement des membres pelviens
I.2.2.2.2. Obtention des os
CHAPITRE II : RESULTATS 
II.1. Etude descriptive de l’os coxal
II.1.1. Ilium
II.1.1.1. Aile de l’ilium
II.1.1.2. Col de l’ilium
II.1.2. Pubis
II.1.3. Ischium
II.1.3.1. Corps
II.1.3.2. Branche acétabulaire
II.1.3.3. Table de l’ischium
II.1.3.4. Branche symphysaire
II.1.3.5. Le foramen obturé
II.2. Etude descriptive du fémur
II.2.1. Corps
II.2.2. Extrémité proximale
II.2.3. Extrémité distale
II.3. Etude descriptive du complexe Tibia-fibulaire
II.3.1. Tibia
II.3.1.1. Corps
II.3.1.2. Extrémité proximale
II.3.1.3. Extrémité distale
II.3.2. Fibula
II.3.3. Espace interosseux
II.3.4. Rotule
II.4. Etude descriptive des os du pied
II.4.1. Tarse
II.4.1.1. Os de la rangée proximale
II.4.1.2. Os de la rangée intermédiaire
II.4.1.3. Os de la rangée distale
II.4.2. Métatarse
II.4.3. Doigts
CHAPITRE III : DISCUSSION 
III.1. Limites et contraintes de l’étude
III.2. Analyse des résultats
III.2.1. Caractéristiques de l’os coxal
III.2.2. Caractéristiques du fémur
III.2.3. Caractéristiques du complexe tibia-fibulaire
III.2.4. Caractéristiques des os du pied
CONCLUSION 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
WEBOGRAPHIE

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