Morphologie et insertion du tympan

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Rappels anatomiques et physiologiques

Anatomie de l’appareil auditif

L’appareil auditif est un organe neurosensoriel complexe constitué d’un organe sensoriel périphérique (oreille) et de voies centrales. L’oreille est un ensemble de cavités creusées dans l’os temporal, plus précisément dans sa partie la plus épaisse et la plus dure qui est le rocher. L’oreille est composée de trois parties qui sont : l’oreille externe, l’oreille moyenne et l’oreille interne [41].

Oreille externe [12]

L’oreille externe comprend deux parties : le pavillon (auricule) et le méat acoustique externe (conduit auditif externe), fermé à l’intérieur par la membrane tympanique [12].

Le pavillon

Le pavillon est la seule partie externe et visible de l’oreille.
C’est un organe pair situé de part et d’autre de la tête, en dessous de la région temporale, en arrière de l’articulation temporo-mandibulaire et de la région parotidienne et en avant de la mastoïde.
Le pavillon est une structure lamellaire complexe, formé essentiellement d’un fibrocartilage qui lui confère sa forme faite de reliefs et de dépressions et son élasticité .Seule la partie inférieure, ou lobule de l’oreille, est privée de cartilage. Ce cartilage réticulé est entouré d’un périchondre épais et nacré le tout reconverti sur ses deux faces (externe et interne) par la peau.
– La face externe constituée de saillies et dépressions du cartilage moulées par un revêtement cutané, et du lobule (partie dépourvue de cartilage). Ces saillies circonscrivent la dépression de la conque et du méat auditif externe. Les saillies retrouvées de manière constante sont l’hélix, l’anthélix, le tragus et l’antitragus.
• La conque (concha auriculae) : dépression limitée par l’anthélix en arrière et en haut, la racine de l’hélix et le tragus en avant, l’antitragus en bas. Elle est divisée par la racine de l’hélix en deux parties qui sont : la cymba conchae en haut et en arrière, et la cavum conchae en bas et en avant.
• L’hélix : L’hélix réalise la périphérie des deux tiers supérieurs du pavillon. Il naît dans la partie antérieure de la conque et au-dessus du méat acoustique externe par la racine de l’hélix et dessine le bord libre du pavillon en avant en haut puis en arrière et disparaît progressivement dans le lobule (queue de l’hélix).
• L’anthélix (anti-hélix): c’est une saillie bifide concentrique à l’hélix, duquel il est séparé par la scapha ; il naît parallèlement à la queue de l’hélix.
• Le tragus : Le tragus est une saillie de forme triangulaire, inclinée en arrière et en dehors, à l’aplomb du bord antérieur du méat acoustique externe.
• L’antitragus : L’antitragus est une petite saillie en avant de la naissance de l’anthélix et répond au tragus, dont il est séparé par une échancrure à concavité postéro supérieure nommée échancrure intertragienne.
•Le lobule (lobulus auriculae) : le lobule de l’oreille, est un simple repli cutané sans armature cartilagineuse, fait suite à la queue de l’hélix et au tragus.
-la face interne du pavillon est raccordée à la tête de façon immobile, formant un sillon rétro-auriculaire et permettant le port d’un contour d’oreille.
Cette attache est réalisée par la peau, deux ligaments, mais également trois muscles rudimentaires(les muscles auriculaires antérieur, supérieur, et postérieur) [12].

Le conduit auditif externe(CAE)

Le conduit auditif externe (ou canal auriculaire) est la partie de l’oreille située entre le pavillon et le tympan .C’est un canal ostéo-cartilagineux mesurant 25 mm de long et 8 à 10 mm de diamètre .Le CAE présente dans le plan horizontal une double courbure en « S » et dans le plan vertical il est ascendant puis descendant à partir de l’isthme du conduit (partie rétrécie médiane) .Sa forme général est celle d’un cylindre aplati d’avant en arrière .
La partie cartilagineuse fait suite au cartilage du pavillon auriculaire humain. Elle est rattachée à la partie osseuse par une formation fibreuse sur tout son pourtour.
La partie osseuse est creusé dans l’os temporal et représente la moitié du conduit, soit 14 à 16mm.Elle est constitué de la gouttière tympanale qui est soudée a l’écaille temporale.
Sur le premier tiers de ce conduit, faite de cartilage, est recouverte de peau et de ses annexes cutanées (poils, glandes de cérumen) qui empêchent la progression des corps étrangers dans l’oreille .Les deux derniers tiers du tunnel sont privés des annexes cutanées [12].

Oreille moyenne [61]

L’oreille moyenne est une cavité remplie d’air, séparée de l’oreille externe par la membrane tympanique et constituée en son centre de la caisse du tympan.

La membrane tympanique [61]

Morphologie et insertion du tympan :

Le tympan a une forme arrondie légèrement plus étroite dans le sens antéropostérieur (sa hauteur est en moyenne de 10 mm sa largeur de 8 mm). Il n’est pas dans un plan sagittal mais regarde en avant en bas et en dehors. De ce fait, il a une surface plus grande que la section du conduit auditif externe, soit environ 60 mm2. Le tympan n’est pas une membrane plane, mais a une forme de cône, dont le sommet, correspondant à l’ombilic du marteau, est déprimé vers l’intérieur de 2 mm par rapport aux bords.
Le tympan s’insère dans le sillon tympanique (sulcus) par l’intermédiaire d’un bourrelet fibreux annulaire dit de Gerlach. Cet anneau, au niveau de l’échancrure de Rivinus, s’insère sur la courte apophyse du marteau en donnant les ligaments tympano-malléolaire antérieur et postérieur.
A l’otoscopie la couleur normale du tympan est gris-blanche, plus ou moins lumineuse. On note notamment un triangle lumineux dans le cadran antéro-inférieur (dû au réfléchissement de la lumière de l’otoscope).
Le relief du Manche du marteau est visible sur le tympan dans le cadre antéro-supérieur.

Structure de la membrane tympanique [61]

A partir des ligaments tympano-malléolaires on décrit deux parties :
• La pars tensa : située au-dessous des ligaments, elle représente la majeure partie du tympan. Cette portion est la plus rigide. Elle est, de l’extérieur vers l’intérieur, constituée de trois couches :
– la couche épithéliale qui est la continuité de l’épithélium pavimenteux stratifié recouvrant l’oreille externe.
– la couche fibreuse, la lamina propria, contenant en grande partie des fibres de collagène très organisées, dans une grande quantité de substance fondamentale.
Cette organisation permet au tympan d’avoir ses caractéristiques de plasticité et d’élasticité qui permettent aux sons de le faire entrer en vibration.
– la couche muqueuse : la plus interne est une muqueuse respiratoire de type épithélium cubique, qui recouvre toute l’oreille moyenne.
• La pars flacida ou membrane de Schrapnell, au-dessus des ligaments, est de très petite taille mais dépourvue de la couche intermédiaire fibreuse, ce qui en fait un point de fragilité électif de l’édifice. La membrane est fixée dans les os du conduit auditif externe par une couche épaissie sur toute sa périphérie, appelée le bourrelet de Gerlach.

La caisse tympanique [61].

La caisse du tympan est une cavité remplie d’air, de la forme d’un parallélépipède rectangle, creusé dans l’os du rocher. Elle se situe à la croisée de deux axes : l’axe aérien, de l’avant vers l’arrière et l’axe auditif, du dehors vers le dedans.
Quatre des six faces sont essentielles à l’audition :
La paroi externe, constitué de la membrane tympanique ;
La paroi supérieure, ou tegmen tympanique, soutenant la chaine ossiculaire grâce à des téguments
La paroi antérieure, ouverte sur la trompe d’eustache ;
La paroi interne ; avec ses deux ouvertures, la fenêtre ronde (ou cochléaire) et la fenêtre ovale (ou vestibulaire) permet la communication avec l’oreille interne .La caisse du tympan est aussi occupée par les trois osselets ainsi que leurs annexes : articulation, ligaments, muscles et replis muqueux.

La chaine des osselets :

Les trois osselets de la caisse du tympan forment la chaîne ossiculaire disposée entre la membrane tympanique et la fenêtre vestibulaire. De la superficie vers la profondeur, on trouve le marteau, l’enclume et l’étrier.

Marteau (malleus) :

C’est le plus externe et le plus antérieur. Il est aussi le plus long (7 à 9 mm) et pèse 25 mg en moyenne. Il a une forme de massue et on lui décrit une tête, un col, une manche et deux processus.

Enclume (incus) :

Il est situé en dedans et en arrière du marteau. Son poids est légèrement supérieur à celui du marteau. On le compare à une molaire ou dent bicuspide et on lui décrit un corps (couronne) et deux branches (racines).

Étrier (stapes) : 

C’est l’osselet le plus petit et le plus léger (2 mg). Il est situé dans la fossette de la fenêtre vestibulaire, sous le canal facial, entre l’apophyse lenticulaire de l’enclume et la fenêtre vestibulaire. Sa forme rappelle un étrier de cavalier et il présente une tête, deux branches et une base.

Les annexes de l’oreille moyenne [61]

Articulations inter ossiculaires (articulationes ossiculorum auditus)

On en distingue trois :
– Articulation incudomalléaire (articulatio incudomallearis).C’est une articulation par emboîtement réciproque (diarthrose) qui unit le versant postérieur de la tête du marteau à la face antérieure du corps de l’enclume. -Articulation incudostapédienne (articulatio incudostapedia). C’est une énarthrose qui réunit le processus lenticulaire de l’enclume à la cavité glénoïde de la tête de l’étrier.
-Syndesmose tympanostapédienne (syndesmosia tympanostapedia).

Ligaments ossiculaires : (Fig. 10)

Ces ligaments réunissent les deux plus lourds osselets de la chaîne aux parois de la caisse du tympan
-Ligaments du marteau
°Le ligament supérieur ou suspenseur du marteau (lig. mallei anterius).
° Le ligament antérieur du marteau (lig. mallei anterius).
° Le ligament latéral du marteau (lig. mallei laterale).
-Ligaments de l’enclume
°Le ligament supérieur de l’enclume (lig. incudis superius) , ° Le ligament postérieur de l’enclume (lig. incudis posterius).

La mastoïde [61]

Elle se trouve dans l’os temporal, dont elle occupe deux parties différentes : en haut l’écaille de l’os temporal et en bas le rocher. Située à l’arrière du conduit auditif externe, elle est creusée par de nombreuses cellules aérées plus ou moins en communication avec l’antre mastoïdien (appelé le plus souvent antrum), la partie la plus proche de la caisse du tympan. L’antre mastoïdien communique avec la caisse du tympan par l’aditus ad antrum. En profondeur de la mastoïde se situent le sinus veineux latéral (plus précisément le segment dit sigmoïde), les canaux semi-circulaires, la crête digastrique, le troisième segment du nerf facial et la base du crâne (avec la fosse cérébrale moyenne au-dessus de l’antre mastoïdien et avec la fosse cérébelleuse au niveau du sinus latéral).

La trompe d’Eustache [61]

C’est un mince conduit de 35 à 40 mm de long. Constitué de cartilage, de muscles et d’os, elle relie l’oreille moyenne (par le récessus tympanique du protympanum) au rhinopharynx (par l’ostium pharyngien). L’isthme tubaire constitue la portion la plus étroite de la trompe auditive à l’union de la partie osseuse (protympanum) et des structures cartilagineuses donnant la forme d’un sablier. Deux muscles principaux, le tenseur du voile du palais et l’élévateur du voile du palais, forment une boutonnière fonctionnelle servant à ouvrir et à fermer la trompe auditive.

Oreille interne [57]

L’oreille interne est formée d’un système complexe de canaux. Du point de vue structural, elle comprend deux parties principales : le labyrinthe osseux qui contient le labyrinthe membraneux.
Le labyrinthe osseux est une série de cavités creusés dans le rocher de l’os temporal .On peut subdiviser le labyrinthe osseux en 3 régions :
Les canaux semi- circulaires et le vestibule qui contiennent tous deux les récepteurs de l’équilibre, et la cochlée, qui renferme les récepteurs de l’audition (figure11).

La cochlée :(fig12)

La cochlée est un tube spiralé, qui s’enroule sur deux tours et demi d’un axe osseux, le modiolus .La cochlée est divisée en trois parties : le canal cochléaire, la rampe tympanique, et la rampe vestibulaire.
Ces deux dernières sont en communication avec la caisse du tympan, respectivement par la fenêtre ronde et la fenêtre ovale ; et se rejoignent à l’apex de la cochlée par l’hélicotréme .Elles contiennent en leur sein du liquide péri lymphatique, tandis que le canal cochléaire est empli d’endolymphe (riche en potassium).

Le canal cochléaire :(fig13)

C’est un tube long de 30mm qui comporte deux segments :
-Le premier (lagaena) est court et se termine en arrière par un cul-de-sac (coecum cochléaire) logé au niveau de la fossette cochléaire .Sa face inférieure isole le vestibule de la cavité sous vestibulaire en fermant la fenêtre vestibulotympanique.
De sa face supérieure nait le duc tus reuniens de hensen qui fait communiquer le canal cochléaire avec le saccule.
-Le deuxième segment continue le précédent en avant .Il est long et s’enroule dans le limaçon osseux en comblant l’espace compris entre le bord libre de la lame spirale et la partie correspondante de la lame des contours En coupe, il est prismatique et comporte trois faces :supérieure ,externe et inférieure.

l’organe de corti :(fig14)

L’organe de corti est contenu dans le canal cochléaire .Il contient des cellules ciliées internes et externes, qui sont des cellules neurosensorielles, et des cellules de support. C’est dans cet organe que s’effectue la transduction mécano-sensorielle. Il est isolé de tout contact avec la périlymphe, qui lui est toxique. Le tunnel de Corti, au centre, permet de déterminer les cellules internes et externes. A l’intérieur de celui-ci se trouve de la corticolymphe. Les cellules ciliées internes et externes sont des cellules neurosensorielles, ayant chacune un rôle particulier.
Les cellules ciliées sont ainsi nommées car leur pôle apical (plaque cuticulaire) en contact avec l’endolymphe, porte une centaine de stéréocils en 3 rangées de tailles différentes. Schématiquement, les deux types cellulaires, cellules ciliées internes (CCIs) et externes (CCEs), diffèrent par la forme de leur corps cellulaire (en poire pour la CCI et parfaitement cylindrique pour la CCE), ainsi que par l’arrangement des stéréocils (en ligne pour la CCI et en W pour la CCE).
• Les cellules ciliées internes sont au nombre de 3500 et sont disposées en une seule rangée, tout au long de l’organe de Corti. Elles sont piriformes et sont entourées de cellules de soutien. L’extrémité des stéréocils, dont sont coiffées ces cellules, sont libres dans l’endolymphe et sont établies en rangées linéaires. Les cellules ciliées internes sont connectées à 90% des fibres afférentes du nerf auditif.
• Les cellules ciliées externes, de forme cylindrique, sont plus nombreuses (13000 environ) et sont établies en 3 ou 4 rangées. Un grand nombre de stéréocils sont présents à leur apex, dont les plus grands sont implantés dans la membrane tectoriale. Cela permet un lien entre les membranes basilaire et tectoriale. Ces stéréocils sont repérables par leur disposition en W, sur 3 à 4 rangées. Les cellules ciliées externes sont, quant à elles, connectées à 90% des fibres efférentes du nerf auditif.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
1. Définitions
2. Rappels anatomiques et physiologiques
2.1. Anatomie de l’appareil auditif
2.1.1. Oreille externe
2.1.1.1 .Le pavillon
2.1.1.2. Le conduit auditif externe(CAE)
2.1.2. Oreille moyenne
2.1.2.1. La membrane tympanique
2.1.2.1.1. Morphologie et insertion du tympan
2.1.2.1.2. Structure de la membrane tympanique
2.1.2.2. La caisse tympanique
2.1.2.2.1. La chaine des osselets :
2.1.2.2.1.1. Marteau (malleus) :
2.1.2.2.1.2. Enclume (incus) :
2.1.2.2.1.3. Étrier (stapes) :
2.1.2.2.2. Les annexes de l’oreille moyenne
2.1.2.2.2.1. Articulations inter ossiculaires (articulationes ossiculorum auditus)
2.1.2.2.2.2. Ligaments ossiculaires :
2.1.2.2.2.3. Muscles ossiculaires :
2.1.2.2.2.4. La mastoïde
2.1.2.2.2.5. La trompe d’Eustache
2.1.3. Oreille interne
2.1.3.1. La cochlée
2 .1.3.1.1.Le canal cochléaire
2.1.3.1.2. l’organe de corti :
2.1.4. Voies centrales de l’audition
2.2. Physiologie de l’audition
2.2.1. Rôle de l’oreille externe
2.2.2. Rôle de l’oreille moyenne
2.2.3. Rôle de l’oreille interne
2.2.4. Rôle des centres nerveux
2.2.5. Propagation du son
2.2.6. Audition prénatale
3. Formes cliniques
3.1. Classification des surdités de l’enfant :
3.1.1. Côté de l’atteinte :
3.1.2. Degré de la surdité
3.1.3. Le mécanisme de la surdité
3.1.3.1. Les surdités de transmission
3.1.3.2. Les surdités de perception
3.1.3.3. Les surdités mixtes
3.1.3.4. L’âge de survenue de la surdité
3.1.3.5. Existence d’un handicape associé
3.2. Etiologies
3.2.1. Les surdités de transmission
3.2.1.1. Les étiologies acquises
3.2.1.2. Les étiologies congénitales (0,5%)
3.2.2. Surdités de perception
3.3. Epidémiologie
3.4. Le diagnostic de la surdité de l’enfant
3.4.1. Circonstances de diagnostic
3.4.1.1. Suspicion de la part des parents ou d’un médecin
3.4.1.2. Facteurs favorisants la surdité
3.4.2. Signes fonctionnels à rechercher par l’interrogatoire
3.4.3. Examen physique
4. les Explorations fonctionnelles de l’audition
4.1. Les explorations fonctionnelles subjectives de l’audition
4.2. Les explorations fonctionnelles objectives de l’audition
5. Bilan des répercussions
6. Recherche de troubles associés et bilan étiologique
7. Annonce du diagnostic
8. Diagnostic différentiel
9. Traitement et réhabilitation
9.1. Appareillage auditif
9.1.1. Réhabilitation auditive prothétique
9.1.2. Réhabilitation auditive par stimulation électrique
9.2. La rééducation orthophonique
9.3. Les indications
9.4. Traitement étiologique
10. Scolarité
11. Guidance parentale
12. le suivi évolutif
13. Dépistage et prévention
13.1. Prévention
13.2. Dépistage
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
1. Cadre et lieu d’étude
2. Patients et méthodologie
2.1. Objectif
2.2. Population d’étude
2.3. Critères d’inclusion
2.5. Type d’étude
2.6. Période d’étude
2.7. Recueil des données
2.8. Analyse des données
2.9. Ethique
3. Résultats
3.1. Données épidémiologiques
3.1.1. La fréquence
3.1.2. L’âge
3.1.3. Le sexe
3.1.4. Rang dans la fratrie
3.1.5. Selon l’origine géographique
3.1.6. Le niveau socioéconomique
3.2. Antécédents et facteurs de risque
3.2.1. Antécédents personnels
3.2.1.1. Grossesse et accouchement :
3.2.1.2. Vaccination
3.2.1.3. La consanguinité :
3.2.1.4. Facteurs de risque
3.3. Données cliniques
3.3.1. Les signes révélateurs
3.3.2. L’examen physique
4. Bilan orthophonique et l’examen psychologique :
5. Données para cliniques
5.1. Bilan audio logique
5.2. Autres examens :
6. les caractéristiques de la surdité
6.1. Selon le coté de l’atteinte
6.3. Selon l’âge de survenue de la surdité
6.4. Selon le type de la surdité
6.5. Selon l’étiologie de la surdité
7. Données thérapeutiques
7.1. Appareillage
7.2. Orthophonie
7.3. Traitement étiologique
7.4. Scolarité
8. Le profil évolutif
DISCUSSION
1. Au plan épidémiologique
2. Au plan clinique
3. Au plan para clinique
4. Caractéristiques de la surdité
5. Au plan thérapeutique
6. Scolarité
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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