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Situation géographique et climatique
L’ensemble de la région d’Ambatondrazaka (45 048 km2) représente 58 % de la superficie de la Province Autonome de Toamasina dont il fait partie et 8% de la superficie de Madagascar.
Le relief est surtout caractérisé par la cuvette del’Alaotra qui est un vaste plateau intermédiaire, situé au milieu des plateauxde la région centrale de Madagascar avec une altitude moyenne de 700 m. Des massifs latéritiques forment les abords aux bassins versants lesquels couvrent une superficie de 7 000 Km2 environ.
La cuvette de l’Alaotra est remblayée par des sédiments lacustres pléistocènes qui forment des buttes résiduelles culminant entre 800 et 970m. Dans la cuvette, une vaste dépression à fond plat s’étend urs une superficie approximative de 1 800 km 2 (long de 70 km et large de 30 km environ). En avançant vers l’intérieur, dans la zone la plus basse de la cuvette se trouvent les eaux libres ayant une superficie de 200 Km2
Au nord de la zone, entre le Sandratsino et le Sakaleona, l’escarpement oriental se dédouble en deux ressauts successifs parallèles à la côte : à l’Ouest la « falaise » de l’Angavo entre 1.300 et 1.600 m et à l’Est la « falaise » intérieure Betsimisaraka d’altitude variable. Au nord-ouest de l’Alaotra, la chaîne de Tampoketsa et le haut bassin de la Bemarivo constituent une autre unité morphologique. Le Tampoketsa est un témoin isolé d’une surface de péplanation à pente faible. Plus à l’Est, le haut bassin de la Bemarivo entaille le domaine des hautes terres.
La forêt dense ombrophile occupe une superficie notable sur les bordures orientales de la zone. Sa limite régresse régulièrement à la suite des abattages et brûlis, laissant place à la « savoka ». Dans la partie Sud Es t presentent des belles réserves (forets) et les essences les plus fréquemment rencontrées sont : Hintsina, Nanto, Kijy, Varongy, Rotra, Palissandre, Ramy.…
Pour la température, les maxima moyens annuels sontpartout supérieurs à 22°C dans leur plus forte valeur: 26° C pour la s tation d’Ambohitsilaozana Ambatondrazaka. Le maximum moyen le plus fort se situe en décembre ou janvier (Ambatondrazaka 30°C ; Andilamena 29°7C, tandis que Juillet ou Août demeurent partout les mois les plus frais. La température moyenne annuelle est de 17,4°C à Ambatondrazaka
Situation socio-économique*
Selon le Recensement Général de la Population et del’Habitat ( RGPH) réalisé en 1993, la région d’Ambatondrazaka compte1 003 944 habitants dans la superficie de 45 048 Km² . Ce qui donne une densité de 22,29Hab/Km². Cette densité est légèrement supérieure à la densité nationale qui est de 20,06 hab./Km² mais nettement inférieure à la moyenne de la province qui se situe à 28 hab./km.
La population de la région est constituée, en majorité, par des cultivateurs. D’ailleurs, la région d’Ambatondrazaka offre des caractéristiques à vocation rizicole. (Ambatondrazaka, production de 125 950 tonnes de paddy.2)
Les secteurs productifs principaux sont l’agriculture et l’élevage. L’activité agricole est dominée par les cultures vivrières, mais avec l’évolution des besoins monétaires, des cultures de rentes, industrielles et de contre saison se sont développées.
Le secteur secondaire par contre, connaît une régression de l’industrie qui se caractérise par une extrême concentration spatiale et est dominée par les unités de transformation, notamment l’Agroalimentaire.
La spécificité socio-économique de la région et surtout la présence du Lac et les diverses forets (où l’on peut découvrir des espèces animales et végétales endémiques), nous ont permis d’affirmer la haute potentialité économique et touristique de la région. Pourtant, il faut passer une étude minutieuse du marché avant d’y installer.
Réflexion faite, la commercialisation est une des étapes la plus importante de tout projet commercial ou industriel. C’est à ce moment que le projet commence à récupérer petit à petit toutes les charges et, en même temps, à réaliser des bénéfices par le biais de la vente des produits ouservices sur le marché. Or cette opération nécessite une connaissance approfondie dumarché.
L’hébergement et la durée de séjour
En général, la durée de séjour des touristes est de:
– 7 à10 jours pour les aventuriers.
– plus ou moins 3 jours pour les vacanciers.
– plus de 10 jours pour les chercheurs.
Chacun de ces types de touristes ont leur préférenc en matière d’hébergement. Les chercheurs logent dans des tentes car ils passent la plupart de leur séjour dans la forêt. Les aventuriers préfèrent habiter, soit dans de tentes, soit chez les gens du village pour mieux connaître et comprendre la manière dont ils vivent. Les vacanciers descendent dans des hôtels s’il en exist e, sinon ils dressent des tentes comme les chercheurs.
Même si chacun a sa préférence en matière d’hébergement, tout le monde doit loger au moins une fois dans un hôtel au départ et/ou à l’arrivée à Ambatondrazaka. C’est pour cela que nous avons pris le nombre de touristes par hôtel pour voir la demande réelle. La ville d’Ambatondrazaka possède 5 hôtels, dont 2 placés près de la gare, deux au bord de la route nationale (l’un à l’entrée de la ville et l’autre un peut plus à l’intérieur), et le dernier se trouve au centre de la ville. Actuellement, les hôtels d’Ambatondrazaka reçoivent, en moyenne 12 co uples par mois4.
Les circuits touristiques pratiqués
Le circuit touristique pratiqué par chaque type detouriste est différent. Pour les chercheurs, ce circuit dépend de la naturede leurs recherches. Si leurs travaux les conduisent vers la réserve naturelle, ils peuvent aller à Mahasoa qui est le plus proche du centre par rapport à Zahamena p arce que ce dernier se trouve à plus de 35 km du centre tandis que Mahasoa est à 15km en viron. Au sujet de leurs recherches sur le lac, ils peuvent aller directement vers les villages riverains. Mais avant d’ y arriver, ils peuvent aussi découvrir la grande station agricole d’Alaotra et le bassin d’aquaculture à Ambohitsilaozana. .
Pour les aventuriers, ils partent Maladialina vers Antanandava, à la lisière de la forêt de Zahamena pour suivre la route contrebandier. La route contrebandier, c’est la route que les gens de la région empruntent pour aller écouler leurs produits agricoles dans la région de Tamatave, au temps de la colonisation afin que les colons ne les réquisitionnent pas. Cette route part d’Antanandava, traverse la forêt pour aboutir à Fenerive Est. En route ils peuvent contempler les différentes plantes qui existent dans la forêt, ainsi que les animaux elst que : les lémuriens, les oiseaux, les serpents et les différents types d’insectes qui y vivent. Ils peuvent aussi observer le mode de vie des villageois d’Antanandava et des petits villages qu’ils pourront rencontrer en cours de route.
Pour les vacanciers, leur circuit dépend surtout dela durée de leur séjour. Si cette durée est courte, 3 jours par exemple, le1er jour, ils peuvent visiter Andreba Gare à laquelle ils font des balades en pirogue pou r voir les differentes espèces d’oiseaux qui se trouvent au sein du lac puis l’ ap rès midi, ils vont voir les Bandro qui ne sortent de leurs cachettes que de bon matin ou le soir au coucher du soleil. Au second jour, ils peuvent aller aussi à Imerimandroso pour voir le marché, si le voyage tombe du Lundi .Pendant le marché ils pourront trouver les arts de la région. Après être passé à Imerimandroso, ils peuvent voir des differents paysages ainsi que le pont d’Andromba. Andromba est la zone par laquelle l’eau du Lac sort pour se jeter à la mer, Océan Indien. Cette zone a son histoire que nous ne connaissons pas vraiment. Mais il paraît qu’il y a un grand rocher qui empêche tout ’eaul du Lac de se déverser à la mer. Un technicien étranger qui est venu pour y faire des travaux a donné l’ordre à ses employés d’enlever le rocher. En essayant de l’enlever, une grosse pierre est partie vers le technicien qui a été tué sur le coup. L’endroit oùse trouve le rocher s’appelle Ambatomafana.
Si par contre leur durée du séjour est plus longue,ils peuvent faire le tour du Lac, c’est à dire, départ du Centre Maladialina passent par Andreba Gare, Imerimandroso, Andrebakely, et Vohimenabe , la partie Est du lac , et après ils peuvent continuer à Anororo, Andromba, et Manorita de Tanam be qui est la partie Ouest. Les voyages peuvent être faits en pirogue, ou en vedett ou en voiture.
Part de marché visée
En matière de tourisme dans la région, le marché est presque disponible. On est dans le marché de la distribution. Il suffit de maîtriser pendant les périodes de vacances. En fait, le centre peut élargir ses activités. Elle peut occuper le marché touristique local. Mais une estimation au moins 500 touristes devrait être réalisé annuellement.
La connaissance du marché nous permet de :
Définir avec précision le ou les produits ou services à vendre, leurs caractéristiques, les avantages qu’ils doivent apporter, leur gamme, la catalogue ou l’achalandage qu’il constituent, les services qu i les complètent, leur présentation, leur finition et leurs conditions d’emploi .
Fixer les prix, niveaux, gamme, conditions de paiement qui permettront d’atteindre les objectifs de chiffre d’affaires et de rentabilité, les prix qui font vendre, non pas forcément les plus bas du marché .
Choisir le mode de vente, les conditions dans lesquelles les produits ou services seront mis à la disposition de la clientèle, le mode de distribution, la localisation qui permettra de satisfaire au mieux les règles de lieux et de temps du fonctionnement du marché .
Préparer les moyens de la négociation (directe, par le biais d’intermédiaires), les techniques de vente, les modes de prospection et éventuellement la mise en place d’une force de vente .
Déterminer les différents moyens de communication ndirecte, les relations publiques, les relations avec la presse, la publicité.
L’organisation du circuit touristique
Le Centre va offrir aux visiteurs un service de guide. Elle propose de nombreux sites attractifs à :
– Andreba Gara : les visiteurs peuvent découvrir l’espèce endémique « le Bandro » dans le Lac, le Zetra et les oiseaux aquatiques. Ils peuvent faire également la ballade en pirogue et lapêche touristique à la ligne.
– Imerimandroso : les touristes y vont voir le marché du Lundi pour les différents arts locaux et surtout la vue panoramique sur Antsirabohilava et Anosy sur le Lac.
– Andrebakely : ce site est destiné à tous ceux qui aiment la nature car on peut y voir dans la forêt environnementale des animaux endémiques tel que le « Fosa », ….évoluant dans leur milieu nature l.
– Vohimenabe : dans ce site, les visiteurs peuvent apprécier la vue panoramique sur la pleine de l’Alaotra et visiter la forêt environnementale abritant des végétaux et des animaux endémiques.
– Anororo : les touristes auront la chance d’assister au rite traditionnel « Fera Omby » tous les 3 ans (la prochaine se tiendra en Octobre 2004)
– Mahasoa : c’est une zone forestière qui suit Andrebakely et destiné aussi à tout ceux qui aiment la nature
Proposition de circuits touristiques
Le trajet, de la capitale (Antananarivo) au nouvel Centre dure en moyenne entre 8 à 10 heures en voitures. On peut au ssi prendre un avion ou un train pour arriver à Ambatondrazaka et après , reprendre une voiture pour se rendre au centre où se trouve le lieu d’ implantation du projet qui est le plus bel endroit du lac par son paysage exceptionnel, avec une vue panoramique merveilleuse, accessible et non embourbé .
Beaucoup d’ activités touristiques seront offertes par ce centre. Il est possible de pratiquer :
– La pêche à la ligne .
– La natation .
– Le ski nautique.
– la balade et le transport, en pirogue , en vedette.
– les divers jeux dans la plage spéciale .
– les sports tennis de table ,ping-pong,… .
– et des jeux dans les chalets et en plein air.
La stratégie de cycle de vie
Le centre entant encore en phase de lancement, il faudrait le mettre aux « bons endroits et au bon moment ». les activités du centre devraient donc présenter dans les catalogues (ou brochures) des Tours Opérateurs et des agences de Voyages pour permette aux personnes qui préparent leurs vacances de choisir, juste avant les hautes saison.
La stratégie intensive
Cette stratégie consiste à cibler la clientèle la plus vaste possible en utilisant tous les intermédiaires possibles.
En effet, il faudrait :
– travailler en partenariat avec Tours Opérateurs et créer des agences réceptives dans la région.
– chercher des Tours Opérateurs les plus connus et ypromouvoir la destination.
Les Tours Opérateurs sont souvent présents sur lesmarchés extérieurs et sont bien structurés pour mieux vendre les destinations touristiques.
La politique de communication
La communication est importante pour que le public soit informé et convaincu à visiter le centre. Les politiques de co mmunication envisagées sont la publicité et la promotion.
La publicité
La publicité est constituée par l’ensemble des moyens à employer pour faire connaître le niveau centre. Autrement dit, c’ est l’art de faire naître le besoin d’y visiter. Ainsi, il y a deux catégories de publicité, à savoir :
– la publicité d’information : celle-ci informe l’existence d’un nouveau produit ou service.
– la publicité suggestive :elle va informer et convaincre à la fois les clien ts.
En effet, nous avons opté pour la deuxième catégorie afin de lancer la destination au Centre.
Il convient de faire des insertions publicitaires dans les différents supports publicitaires tels que les journaux, les chaînes de télévision (nationale et privées), la radio et surtout dans les Magasines devoyage.
Normalement, la publicité devrait effectuer un mois au moins avant les vacances, pour que les touristes (vacanciers) puissent préparer leurs projets de voyage.
La création du site Internet s’avère être également support le plus efficace étant donné son envergure en matière de couverture (aussi bien nationale qu’internationale) et son accessibilité pratique.
La promotion et la relation publique
Afin de promouvoir la destination dans la région etplus particulièrement la découverte et l’attraction du grand public à visiter le Centre et ses merveilles, nous avons recours à la technique de « couverture grand public ».
Cette stratégie a pour objet de toucher la clientèle potentielle par le biais de la participation à des foires touristiques, auss i bien nationale qu’internationale.
Processus d’implantation
Plusieurs étapes sont à suivre afin de réaliser affectivement ce projet de création de centre touristiques sise dans la régionde Lac Alaotra. Il s’agit de :
– l’étude de dossiers .
– la constitution légale .
– la réalisation des constructions.
L’étude de dossiers
La possibilité techniquement, financièrement et économiquement est une condition « sine qua non », lorsqu’on est amené à concrétiser un tel projet. Pour cela, il est tellement indispensable d’examiner les trois points suivant :
En premier lieu, l’identification du projet mérite une attention particulière car l’évolution du projet dépend de la connaissancedes éléments de base comme les caractéristiques du projet (contexte, problématiques, objectifs et intérêts du projet).
En second lieu, la conduite du projet nous permet de connaître la faisabilité du point de vue technique.
Une fois le projet est réalisable techniquement, la troisième l’étape concernant l’étude financière va donner (n’est autre que le contenu même de cet ouvrage, l’indication sur la rentabilité du projet.
Rappelons que l’étude de faisabilité du présent projet n’est autre que le contenu même de cet ouvrage.
Lorsque ces conditions sont remplies, la constitution de l’entreprise sera l’étape suivante.
La constitution légale
Jusqu’à maintenant, tous les secteurs touristiques et mêmes industriels à Madagascar sont régies par les mêmes réglementations relatives à la fiscalité, aux douanes, au commerce et aux investissements. C’est pourquoi, toutes les entreprises doivent se constituer en société de droit malgacheet se conformer aux dispositions réglementaires en vigueur.
La procédure d’investissement au titre de régime de droit commun comporte trois types de sociétés
– Entreprise Individuelle (EI) .
– Société à Responsabilité limitée (SARL) .
– Société Anonyme (SA).
Nous envisageons que ce Centre sera d’une entreprise de type SARL.
Les principales étapes de la constitution de sociét commencent par la rédaction des Statuts et leur dépôt auprès du Service des Opérations fiscales. L’investissement doit ensuite faire une déclaration d’existence fiscale aux services fiscaux (taxes professionnelles, …), s’immatriculer au registre du commerce au Tribunal de Commerce ainsi qu’à l’INSTAT. L’étape s uivante consiste à faire une déclaration d’existence au Fiscale), procéder aux ormalitésf de prévoyance sociale à la CNAPS et à la formalité de médecine d’entreprise à l’Organisation Sanitaire Inter-Entreprise ou OSIE.
L’aménagement du terrain et les constructions
On commence à l’évaluation de l’aménagement global du terrain donné pour différents niveaux d’équipements et à rapporte par la suite le coût de la parcelle. Pour ce faire, on définit le terrain en calculant sa « capacité » .On attend par capacité le nombre de bungalows et logements que le terrain peut contenir y compris les annexes. C’est par la suite qu’on étudie l’aménagement d’une superficie comparable à celle des opérations envisagées mais il est souvent intéressa de s’en tenir à une surface de 5 hectares. Dans tout ce travail, on tient compte de certains contraintes de nature topographique :
– éclairage public contenu sur toutes les voies carrossables.
– distribution d’énergie électrique à toutes les parcelles par branchement particulier.
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Table des matières
PARTIE I : INDATIFICATION DU PROJET
CHAPITREI PRESATANTION GENERALE DU PROJET
Section 1 : Caractéristique du projet
1.1 – Contexte et problématique
1.2 – Objectifs et intérêts du projet
Section 2 : Présentation de la région
2.1 – Historique
2.2 – Situation géographique et climatique
2.3 – Situation socio – économique
CHAPITRE II : ETTUDE DE MARCHE
Section 1 : La demande touristique de la région du Lac Alaotr
1.1 – Principaux motifs de visite des touristes
1.2 – Paramètres de la visite
Section 2 : l’offre touristique de la région du lac Alaotra
2.1 – Le lac et ses merveilles
2.2 – Les circuits touristiques pratiqués
Section 3 : Marché potentiel et part de marché visée
3.1 – Marché potentiel
3.2 – Part de marché visé
CHAPITRE III : Théorie générale sur les critères d’évaluation
Section 1 : Valeur actuelle nette ( VAN )
1.1 – Définition du CASH-FLOW
1.2 –Formule
Section 2 : Le Délai de Récupération du Capital Investi ou DRCI
2.1 – Définition
2.2 – Formule
Section 3 : Le Taux de Rentabilité Interne ou TRI
3.3 – Définition
3.4 – Formule
2.1-Plan de formation du personnel
2.2-composition et évolution de l’effectif du personnel
PARTIE III : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : MONTANT DES INVESTISSEMENTS ET DE COMPTES DE GESTION
Section 1 : nature et évaluation des investissements
1-1 : Estimation des immobilisations incorporelles
1-2 : Evaluation des immobilisations incorporelles
1-3: Les amortissements
Section 2 : Les ressources et les emplois en long et moyen terme
2-1: Les ressources à long et moyen terme
2-2 : Les emplois en long et moyen terme
2-3: Le tableau de remboursement des emprunts
2-4 : Plan de financement
Section 3 : compte de gestion
3-1 : Les charges
3-2 : Les produits
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DE FAISABILITE
Section 1: Compte de résultat prévisionnel
Section 2: Bilan prévisionnels
Section 3: Les trésoreries prévisionnelles
4-1 :Tableau de Grandeurs Caractéristiques de Gestion
4-2 :Commentaire
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Evaluation financière
1-1 : Evaluation des principaux soldes intermédiaires du compte de résultats
1-2 : Analyse des ratio
1-3 :CASH-FLOW prévisionnel
1-4 : Délai de Récupération de Capital Investi
1-5 : Taux Moyen de Rentabilité
1-6 : Valeur actuel nette
1-7 : le taux de rentabilité interne
1-8 : l’indice de profitabilité
Section2 : Evaluation économiques et sociales
2-1 : contribution au développement social
3-1 : contribution au développement Régional
2-3 : contribution au développement de l’Economie National
CONCLUSION GENERALE
TABLE DE MATIERES
BIBLIOGRAPHIE
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