LES ANTIBACTERIENS
Rappel sur les bactรฉriesย
Une bactรฉrie est un microbe formรฉ dโune seule cellule, visible au microscope, appartenant ร une zone de transition entre le rรจgne animal et le rรจgne vรฉgรฉtal.
Comme toute cellule, les bactรฉries sont constituรฉes dโun noyau isolรฉ ou diffus, un protoplasme contenant des granulations et des vacuoles, une paroi rigide parfois doublรฉe dโune capsule.
Certaines bactรฉries sont mobiles grรขce ร des cils vibratiles. Selon leur mode nutritionnel et leur comportement vis-ร -vis de lโoxygรจne libre, on distingue les bactรฉries aรฉrobies et les bactรฉries anaรฉrobies.
Les bactรฉries se reproduisent selon deux modes par division simple (scissiparitรฉ) ou par sporulation, la spore reprรฉsentant la forme de rรฉsistance et de dissรฉmination du germe.
Pour croรฎtre, les bactรฉries doivent trouver dans le milieu extรฉrieur des conditions physiques chimiques favorables qui leurs sont nรฉcessaires et les aliments courant les besoins รฉnergรฉtiques รฉlรฉmentaires et spรฉcifiques sur le plan pratique, ces besoins sont satisfaits dans les milieux รฉlaborรฉs par lโhomme en vu dโรฉtudier les bactรฉries et sont appelรฉs milieux de cultures. Il nโexiste pas un ensemble unique de condition pour cultiver de faรงon satisfaisante dans le traitement de toutes les espรจces bactรฉriennes au laboratoire. Celles-ci sont trรจs hรฉtรฉrogรจnes quant ร leurs besoins nutritifs et physiques.
Les antibiotiques
Historiqueย
Selon Waksman inventeur de la streptomycine en 1943 on dรฉsigne sous le vocable dโantibiotique ยซ toutes les substances chimiques produites par des microorganismes capables dโinhiber le dรฉveloppement et de dรฉtruire les bactรฉries et dโautres organismes.
Dรจs 1877 Pasteur et Joubert mettaient en รฉvidence lโinhibition du dรฉveloppement dโune culture bactรฉrienne par une autre culture microbienne. En 1935 les sulfamides sont inventรฉs et รฉtudier par Trefouel et lโรฉquipe de Bovet ร lโinstitut Pasteur. La Pรฉnicilline est dรฉcouvert en 1829 par Fleming et prรฉparer en grande quantitรฉ en 1941 par Chain Flore, lโaire de lโantibiothรฉrapie commence (Coyen, 1986)
Classification
Les antibiotiques ayant une structure de base identique leur confรฉrant un mรชme mรฉcanisme dโaction se classent dans la mรชme famille. Les antibiotiques dโune mรชme famille peuvent se diffรฉrencier par leur spectre dโaction, on les rรฉunit alors dans des groupes quelquefois subdivisรฉs en sous groupes. Les antibiotiques dโun mรชme groupe ou dโun mรชme sous groupe diffรจrent uniquement par leurs propriรฉtรฉs pharmacologiques : leur activitรฉ in vitro รฉtant identique. On dรฉfinit ainsi 11 grands familles dโantibiotique et des groupes divers : les betalactamines, les phรฉnicolรฉs, les tรฉtracyclines, les macrolides, lincosamides et streptogramines, les rifamycines, les aminosides, les polypeptides cycliques, les sulfamides et 2-4- diaminopyrimidines, les dรฉrivรฉs de lโoxyquinolรฉine, les nitrofuranes et les antibiotiques divers (Koura, 2004).
Mรฉcanisme dโaction des antibiotiques
Les antibiotiques agissent sur les micro-organismes par plusieurs mรฉcanismes dont certains sont connus :
-Action sur la paroi bactรฉrienne : la synthรจse des micopeptides de la paroi bactรฉrienne est perturbรฉe par lโinhibition de certains enzymes peptido-glycalle-synthรฉtase, transpeptidase.
Les bรฉtalactamines, la cyclosรฉrine, la bacitracine, la vancomicine agissent par ce mรฉcanisme de prรฉfรฉrence sur les bactรฉries jeunes dont la paroi est en cours dโรฉdification. Les coccis gram plus dont la paroi est riche en micopeptide sont plus sensibles que les coccis gram nรฉgatifs.
– Action sur la membrane cytoplasmique : Certains antibiotiques se fixent sur les phospholipides de la membrane cytoplasmique entraรฎnant une altรฉration de la permรฉabilitรฉ de cette membrane. Ils opรจrent comme les agents tensioactifs cationiques. Les constituants cellulaires sโรฉchappent du cytoplasme bactรฉrien, ce qui provoque la mort de la cellule.
La polymyxine, la colistine, la bastracine, le tyrotricine qui sont des polypeptides cycliques ร caractรจres basiques agissent ainsi.
Sensibilitรฉ et rรฉsistance aux antibiotiquesย
Il existe la sensibilitรฉ du germe in vitro et celle in vivo. Certains antibiotiques ont une pharmacocinรฉtique ne leur permettant pas dโatteindre les germes dans les foyers infectieux de certains organes ou tissus. Il est donc nรฉcessaire de sโinformer sur les mรฉcanismes de rรฉsorption, de diffusion, de transformation et dโรฉlimination des antibiotiques dans lโorganisme de lโhรดte. Peu dโantibiotiques sont capables de traverser la barriรจre hรฉmato-meningรฉe et donc dโรชtre utiles dans le traitement des mรฉningites.
En recherchant les germes sensibles, il est possible dโรฉtablir le spectre dโactivitรฉ de lโantibiotique.
La rรฉsistance aux antibiotiques peut รชtre spontanรฉe ou acquise.
La rรฉsistance acquise peut รชtre limitรฉe ร un seul antibiotique ou concerner plusieurs dโentre eux (rรฉsistance croisรฉe) .La rรฉsistance est dite croisรฉe pour une famille dโantibiotiques.
La rรฉsistance acquise survient en gรฉnรฉral par mutation chromosomique ou par transfert extrachromosomique (rรฉsistance plasmique).
Association dโantibiotique
On peut associer deux antibiotiques enfin de retarder lโapparition dโune rรฉsistance microbienne enfin dโassurer une couverture antibiotique en urgence devant une infection ร germe inconnu afin de rechercher une synergie et de limiter les effets indรฉsirables. Une synergie est obtenue entre deux antibiotiques bactรฉricides en modes dโactions diffรฉrents, mais lโassociation de deux antibiotiques lโun bactรฉricide, lโautre bactรฉriostatique conduits ร un effet antagoniste.
Interaction mรฉdicamenteuse
Les antibiotiques peuvent prรฉsenter des interfรฉrences avec dโautres mรฉdicaments conduisant ร une augmentation ou une diminution de lโactivitรฉ dโun autre mรฉdicament (avec les anticoagulants, anti-vitamine K).
Les mรฉthodes dโรฉtudes des activitรฉs antimicrobiennes
Mรฉthode de diffusionย
Elle consiste en lโidentification dโune substance agissant sur un micro organisme ainsi que la dรฉtermination de la concentration minimale inhibitrice nรฉcessaire de cette substance qui dรฉtruit le micro-organisme. Les extraits sont dรฉposรฉs sur des petits cylindres de dimension dรฉterminรฉe (de porcelaine ou dโacier inoxydable, ou des disques de papier) qui sont dรฉposรฉs sur la gรฉlose en boรฎte de pรฉtrie. Aprรจs incubation de 24 heures ร lโรฉtuve ร 37ยฐC et les zones dโactivitรฉs apparaissent sur le fond opaque de la gรฉlose.
Mรฉthode de dilutionย
cโest lโincubation dโun milieu de culture avec une dilution de dose croissante des solutions ร tester. Dans les tubes ร essai stรฉrile contenant dโune part une solution รฉtalon dโactivitรฉ connue dโautre part la solution ร titrer on ajoute un volume constant dโun milieu nutritif ensemencรฉ avec un germe dรฉterminรฉ. La prรฉsence ou lโabsence de culture dans le tube est observรฉe aprรจs un passage de 3 ร 4 heures au bain-marie ร la tempรฉrature de 37ยฐC. Lโinhibition se traduit par lโabsence de culture visible dans les tubes.
Mรฉthode bio autographique
Elle consiste ร la dilution rapide des substances antimicrobiennes ainsi quโร lโisolement des constituants actifs ร travers une cible. Les chromatogrammes sont recouverts dโun milieu de culture incorporรฉ de micro-organismes.
Aprรจs une incubation pendant 24 heures ร 37ยฐC un rรฉvรฉlateur appropriรฉ permet dโobserver lโactivitรฉ (Ekoumou, 2003)
LES ANTIOXYDANTS
Lโoxygรจneย
Lโoxygรจne ร lโรฉtat molรฉculaire O2 est un gaz. Lโair contient 21% dโoxygรจne ce qui prouve une pression baromรฉtrique de 760 mm de mercure et correspond ร 159 mm de mercure ou 21 Kpa.
Cโest un รฉlรฉment indispensable ร la vie parfois utilisรฉ comme mรฉdicament. Cependant il est ร lโorigine de la plus part des radicaux libres. En effet sous lโaction de rayon UV, des radiations ionisantes, des mรฉtaux de transition et au cours de diverses rรฉactions enzymatiques, des formes hautement rรฉactives de lโoxygรจne apparaissent (Lechat, 1982)
Radicaux libresย
Un radical libre est une molรฉcule indรฉpendante ayant plusieurs รฉlectrons non appariรฉs sur sa derniรจre couche.
Les espรจces rรฉactives de lโoxygรจne sont utilisรฉes par les cellules phagocytaires de lโorganisme (macrophage) pour combattre les agents infectieux tels que les virus et ou les bactรฉries.
Toutes fois les bienfaits de ces composรฉs hautement toxiques ne restent pas sans consรฉquences principalement pour les structures biologiques des cellules ( protรฉines, lipides, ADN )
De nombreuses pathologies parmi lesquelles lโathรฉrosclรฉrose, lโarthrite, le cancer, lโasthme, la maladie de Parkinson, le mongolisme et la neurodรฉgรฉnรฉration sont en partie liรฉes ร lโaction de ces formes de lโoxygรจne ( Cavin, 1999 )
Origine des radicaux libres
Lโorigine des radicaux libres est diverse : la pollution (automobile, industrialisation), lโensoleillement, la consommation des cigarettes. Lโorganisme constitue une source de radicaux libres. Ainsi, la formation des radicaux libres sโeffectue au niveau de divers organismes cellulaires.
– les mitochondries : la rรฉduction de lโoxygรจne molรฉculaire par les cytochromes respiratoires cellulaires sโaccompagne dโune formation parallรจle dโenviron 2% dโions super oxyde, dโeau oxygรฉnรฉe et รฉventuellement des radicaux OH.
– Les microsomes : lโactivation de lโoxygรจne par les cytochromes P-450 pour assurer la biotransformation produit parallรจlement des radicaux libres.
– Les cytosols ou diverses rรฉactions enzymatiques peuvent produire des radicaux super oxydes.
– La xanthine oxydase (responsable de la transformation de lโhypoxantine en xantine), lโaldรฉhyde oxydase, la galactose oxydase sont ร lโorigine de la formation des radicaux super oxydes.
Ces enzymes pourraient intervenir dans les phรฉnomรจnes dits de perfusion dans lesquels la rรฉoxygรฉnation post-ischรฉmique sont ร lโorigine des rรฉactions radicalaires qui aggravent les lรฉsions tissulaires (Lechat, 1982)
Mรฉcanisme dโaction des radicaux libres
Les radicaux รฉtant trรจs rรฉactifs rรฉagissent avec les premiรจres molรฉcules quโils rencontrent et particuliรจrement les lipides, les acides nuclรฉiques, les acides aminรฉs. Parmi les acides gras ce sont les acides poly insaturรฉs qui sont les plus sujets aux attaques radicalaires.
Les radicaux libres dรฉtachent dโun atome de carbone dโune molรฉcule dโacide gras un hydrogรจne (proton + รฉlectron) laissant un carbone avec un รฉlectron cรฉlibataire cโest-ร -dire un nouveau radical libre. Cet รฉlectron cรฉlibataire va, en se dรฉplaรงant dans la molรฉcule provoquer des rรฉarrangements suivit de la fixation dโoxygรจne sous forme radicalaire O2 -, ร lโorigine de la poursuite de la rรฉaction. Les lipides peroxydรฉs donnent des aldรฉhydes comme la Malon dit aldรฉhyde et le 4- hydroxinรฉmal qui attaquent les fonctions amines et SH des protรฉines.
Les antioxydants
Dรฉfinitionย
on dรฉfinit par antioxydant toute substance qui lorsquโelle est prรฉsente en faible concentration comparรฉe ร celle du substrat retarde ou prรฉvient de maniรจre significative lโoxydation de ce substrat. Le terme de substrat oxydable inclu toutes sortes de types de molรฉcules in vivo. Ainsi lorsque les espรจces rรฉactives de lโoxygรจne sont gรฉnรฉrรฉes in vivo, de nombreux antioxydants interviennent. Il sโagira principalement dโenzymes comme la superoxyde dismutase, le gluthation peroxydase, la catalase et aussi des molรฉcules de faibles masses molรฉculaires telles que le tripeptide gluthation ou lโacide urique.
Les sources dโantioxydants
En plus des substances propres ร lโorganisme, les mรฉdicaments, lโalimentation et les plantes peuvent รชtre รฉgalement des sources dโantioxydants.
Les mรฉdicaments
Plusieurs agents thรฉrapeutiques comme les anti-inflammatoires non stรฉroรฏdiens, les antihypertilipoprotรฉinรฉmiques, les ฮฒ-bloquants et antihypertensifs ont รฉtรฉ รฉvaluรฉs pour leurs propriรฉtรฉs antioxydantes.
Le probucol par exemple est un mรฉdicament qui en plus de ses effets reconnus dans la baisse du taux sanguin de cholestรฉrol, prรฉvient lโathรฉrogenรจse en agissant comme un antioxydant et en supprimant la modification oxydative des lipoprotรฉines de basse densitรฉ (LDL).
La source alimentaire
Lโorganisme utilise les substances ingรฉrรฉes comme antioxydants. Les principaux antioxydants sont :
La vitamine C ou acide ascorbique : cโest un puissant rรฉducteur. Il joue un rรดle importantdans la rรฉgรฉnรฉration de la vitamine E. Il est prรฉsent dans les lรฉgumes, le chou, le poivron, lepersil, les agrumes (Chevaley, 2000)
La vitamine E ou tocophรฉrol : prรฉvient la peroxydation des lipides membranaires in vivo en capturant les radicaux peroxydes. Elle est retrouvรฉe dans les huiles vรฉgรฉtales (huile dโarachide ( Arachis hypogaea ), de soja ( Glycine max L.), de palme ( Elaeis guineensis Jacq. ), de maรฏs ( Zea mays ), de tournesol ( Helianthus annuus ) et dโolive ( Olea europea ) pressรฉes ร froid), ainsi que dans les noix, les amandes, les graines, le lait, les oeufs et les lรฉgumes ร feuilles vertes.
Le ฮฒ-carotรจne : il possรจde la capacitรฉ de capter lโoxygรจne singulet. Il est retrouvรฉ dans les lรฉgumes verts, les รฉpinards (Amaranthus viridis ), la salade (Lactuca sativa ), les carottes (Daucus carota ), lโabricot ( Prunus arneniaca L. ), le melon (Cucumis melo ), la papaye ( Carica papaya ) et dโautres fruits jaunes (Tolo, 2002) Certains oligo รฉlรฉments tels que le cuivre, le zinc et le sรฉlรฉnium sont indispensables pour lโactivitรฉ des enzymes antioxydantes.
Une source particuliรจre dโantioxydants naturels : la plante
Les antioxydants naturels sont prรฉsents dans toutes les plantes supรฉrieures et dans toutes les parties de la plante.
Les flavonoรฏdes
Les flavonoรฏdes constituent un groupe de mรฉtabolites secondaires les plus rรฉpandus parmi les plantes, et par consรฉquent รฉgalement un des groupes les plus รฉtudiรฉs. Ils sont retrouvรฉs dans presque toutes les parties de la plante ร diffรฉrentes concentrations oรน ils jouent un rรดle dรฉterminant dans le systรจme de dรฉfense comme antioxydants. Les flavonoรฏdes sont largement prรฉsents dans les fruits, les lรฉgumes, le thรฉ et le vin.
Les flavonoรฏdes sont รฉgalement trรจs intรฉressants du point de vue mรฉdical car ils sont associรฉs ร de nombreuses activitรฉs biologiques telles que anti-inflammatoire, antihรฉpatotoxique, antitumorale, antihypertensive, antithrombique, antibactรฉrienne, antivirale, antiallergique, antioxydante (Bossokpi, 2002). Cependant, les flavonoรฏdes peuvent avoir des effets prooxydants sur les protรฉines et sur la pรฉroxydation des lipides et sur le DNA (Aouissa, 2002)
Les carotรฉnoรฏdesย
Ce sont des constituants membranaires des chloroplates. Ils forment un groupe de pigments liposolubles et contribuent ร la coloration jaune, orange ou rouge des fruits et lรฉgumes. Ils sont retrouvรฉs souvent dans les plantes alimentaires. Le ฮฒ-carotรจne est le carotรจnoรฏde le plus abondant dans la nourriture et il semblerait quโil diminue les risques de certains cancers. Les carotรฉnoรฏdes rรฉagissent avec lโoxygรจne singulet, les radicaux peroxyles et alcoyles en capturant les radicaux libres.
Les tanins
Les tanins hydrolysables et les procyanidines prรฉsentent des propriรฉtรฉs antioxydantes significatives. On a pu dรฉmontrer quโils inhibent aussi bien lโauto oxydation de lโacide ascorbique et du linolรฉate que la peroxydation lipidique des mitochondries du foie et des microsomes. Les tanins agissent en donneurs de protons face aux radicaux libres lipidiquesproduits lors de la peroxydation. Des radicaux tanniques plus stables sont alors formรฉs, ce qui a pour consรฉquence de stopper la rรฉaction en chaรฎne de lโauto oxydation lipidique. Ils sont par consรฉquent de trรจs bons capteurs de radicaux libres.
Les lignanes
Les lignanes les plus รฉtudiรฉs du point de vue de leurs activitรฉs antioxydantes sont les dรฉrivรฉs bifuranyles des graines de sรฉsame (Sesamum indicum DC., Pedaliaceae). La forte rรฉsistance ร la dรฉtรฉrioration oxydative de lโhuile de sรฉsame a suscitรฉ depuis plusieurs annรฉes de nombreuses recherches sur les graines de sรฉsame. Les lignanes diaryfuranofuraniques tels que le sรฉsaminol ont dรฉmontrรฉ des propriรฉtรฉs antioxydantes expliquant ainsi la stabilitรฉ
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Table des matiรจres
1- INTRODUCTION
2 – MOTIVATIONS
3 – OBJECTIFS
4 – GENERALITES
4-1- La prostate
4-2 – Lโhypertrophie bรฉnigne de la prostate
4-3 – Les anti-inflammatoires
4-4 – Les antalgiques
4-5 – Les antibactรฉriens
4-6 – Les antioxydants
4-7 – Les antifongiques
4-8 – Monographie des plantes
4-8-1 – Monographie de Piliostigma thonningii
4-8-2 – Monographie de Spilanthes uliginosa
5 – TRAVAUX PERSONNELS
51 – Mรฉthodologie
5-1-1 – Enquรชte ethnobotanique
5-1-2 – Etudes phytochimiques
5-1-2-1 – Lieu dโรฉtude
5-1-2-2 – Matรฉriel
5-1-2-3 – Rรฉaction en tube
5-1-2-4 – Dosages
5-1-2-5 – Extractions
5-1-2-6 – Chromatographie sur couche mince
5-1-3 – Tests biologiques
5-1-3-1 – Test antioxydant
5-1-3-2 – Test antibactรฉrien
5-1-3-3 – Test antifongique
5-1-3-4 – Dรฉtermination de la toxicitรฉ
5-1-3-5 – Test anti- inflammatoire
5-1-3-6 – Test antalgique
5-2 – Rรฉsultats
5-2-1 – Enquรชte ethnobotanique
5-2-2 – Etudes phytochimiques
5-2-2-1 – Rรฉactions de caractรฉrisation
5-2-2-2 – Extractions
5-2-2-3 – Chromatographie sur couche mince
5-2-3 – Tests biologiques
5-2-3-1 – Test antioxydant
5-2-3-2 -Test antibactรฉrien
5-2-3-3 – Test antifongique
5-2-3-4 – Dรฉtermination de la toxicitรฉ
5-2-3-5 – Test anti-inflammatoire
5-2-3-6 – Test antalgique
6 – COMMENTAIRES ET DISCUSSION
7 – CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
RESUME
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