Modele en couches avec un nombre arbitraire de particules peuplant les etats du continuum 

Structure et reaction dans une approche unifiee

Le but de ce chapitre est de mettre en avant le fait qu’`a partir de la seule int´eraction nucl´eon-nucl´eon, il est possible de d´ecrire, sur le mˆeme plan, la structure des noyaux faiblement li´es ainsi que les m´ecanismes de r´eaction impliquant de tels noyaux. Une analyse structurelle d’un syst`eme de fermions sugg`ere la d´efinition d’une base `a N corps antisym´etrique dans laquelle est ensuite diagonalis´ee l’interaction en question. Dans la th´eorie du mod`ele en couches nucl´eaire cette base est construite ` a partir de d´eterminants de Slater, ces derniers ´etant construits `a partir d’une base individuelle engendr´ee par un puits de potentiel harmonique. Cependant, le moyen le plus appropri´e de g´en´erer une base individuelle `a partir d’une interaction nucl´eon-nuc ´eon consiste `a construire un champ moyen auto-consistant. Aussi commen¸cons-nous par d´eriver explicitement, dans la section (2.1), les ´equations int´egro-diff´erentielles radiales obtenues `a partir des ´equations de HartreeFock, dans le cas des noyaux de couches ferm´ees, puis dans le cas des noyaux de couches non ferm´ees moyennant certaines approximations. Les ´etats propres li´es et quasi-li´es des ´equations Hartree-Fock constitueront alors, dans tout ce qui suit, la base individuelle nous permettant de d´efinir l’espace de valence. A ce stade, l’interaction r´esiduelle doit ˆetre diagonalis´ee dans la base `a N corps construite au moyen de ces derniers ´etats individuels, menant aux m´elanges de configurations repr´esentatifs de la structure nucl´eaire. Cependant, les m´elanges de configurations les plus r´ealistes ´etant obtenus grˆace `a la th´eorie du mod`ele en couches, nous donnons, dans la section (2.2), quelques rappels relatifs `a cette th´eorie ainsi que sur l’utilisation du formalisme de seconde quantification, afin d’introduire nos notations. Dans la section (2.3), nous rappelons les r´esultats de base de la th´eorie des r´eactions auxquels nous ferons r´ef´erence tout au long du pr´esent expos´e. Enfin, la section (2.4) est enti`erement d´edi´ee `a l’utilisation d’une int´eraction nucl´eon-nucl´eon de port´ee finie dans le formalisme du mod`ele en couches avec couplage d’une particule aux ´etats du continuum, unifiant ainsi les diff´erents ingr´edients mentionn´ es plus haut. Dans cette derni`ere partie, certaines d´emonstrations d´elicates et fastidieuses sont donn´ees en annexe, afin de ne pas surcharger de formules le d´eroulement de l’expos´e. Cependant, ces annexes sont des parties en soi dont l’importance est capitale. Les conventions d’´ecriture et notations sont introduites de fa¸con lin´eaire tout au long du chapitre.

Noyaux `a couches non fermees

Lorsque le syst`eme consid´er´e comporte un nombre de particules tel que certaines couches ne sont que partiellement remplies, le potentiel n’est plus `a sym´etrie sph´erique, et la d´ecomposition (2.20) n’est pas appropri´ee. Nous pouvons cependant utiliser une approximation fort utile pour outre-passer ce probl`eme, et ainsi ´ eviter la n´ecessit´e de r´esoudre des ´equations int´egro-diff´erentielles en deux (sym´etrie cylindrique) voire trois dimensions.
Afin d’illustrer le fondement de cette approximation, consid´erons `a nouveaux les ´equations (2.27). L’obtention de ces ´equations suppose implicitement que toute orbitale de moment de spin donn´e est complˆetement remplie. Par exemple, dans la relation (2.26), la sommation sur mγ est effectu´ee de −j γ `a +j γ . La probabilit´e d’occupation d’un ´etat de nombres quantiques {γ m γ } est alors de 1/ ˆj 2 γ . Si maintenant p particules sont ajout´ees `a un coeur de couches ferm´ees sur une orbitale de spin j , nous pouvons, dans le cadre d’une approximation raisonable, consid´erer que cette couche sera occup´ee avec la probabilt´e p/ ˆj 2 . Nous pouvons « simuler » cette approximation par une re-d´efinition de la partie angulaire, de spin et d’isospin des ´etats individuels.

Le mod`ele en couches

Formalisme de base

La theorie du modele en couches nucleaire [1, 2, 3, 4, 5] stipule que le noyau peut etre d´ecrit par un coeur inerte de couches fermees auquel s’ajoutent des nucleons de valence se distribuant sur un ensemble fini de couches. La figure (2.1) montre un exemple de d´efinition du coeur et de l’espace de valence pour la description de 16 O.

Methode de seconde quantification

Nous introduisons dans cette partie certains r´esultats de base dont nous ferons usage par la suite. Nos conventions sont celles introduites dans [3].
La m´ethode habituelle pour r´esoudre le probl`eme aux valeurs propres pour un syst`eme de fermions utilise le formalisme de seconde quantification. Ce formalisme repose sur le fait que la fonction d’onde d’un syst`eme de A fermions peut ˆetre d´evelopp´ee dans l’espace de Fock, c’est `a dire dans une base `a A corps complˆetement antisym´etris´ee. Si nous notons {|ai, |bi, . . .} une base orthogonale individuelle, alors un ´etat |SDi de la base de Fock `a A particules est construit selon (2.5), que nous ´ecrivons ici en faisant apparaˆıtre l’op´erateur d’antisym´etrisation A.

La theorie des reactions

Le probleme avec asymptotique a deux fragments

Nous rappelons ici quelques r´esultats fondamentaux sur la th´eorie des collisions n’incluant que les partitions de masse correspondant au probl`eme `a deux corps asymptotique. On peut trouver une description complˆete de cette th´eorie dans [32], [33], [34]. Ce succint rappel nous permet cependant d’introduire les notations qui seront nˆotres par la suite.
Nous consid´erons un syst`eme qui ´evolue `a une ´energie intrins`eque totale E durant un processus de collision. Nous d´efinissons alors le pass´e infini ainsi que le futur infini relativement `a l’instant de la collision. Dans ces zones de temps lointaines, le syst`eme est suppos´e consister en deux fragments 4 : l’un des deux est appel´e la cible, et l’autre le projectile. Nous notons −→ r la coordonn´ee relative s´eparant les centres de masse de la cible et du projectile. Dans le pass´e infini, ainsi que dans le futur infini, la distance relative | −→ r | est suppos´ee tr`es grande. Dans un formalisme ind´ependant du temps nous parlerons alors de r´egion asymptotique. Dans la r´egion asymptotique, les deux fragments n’interagissent pas et cible et projectile sont ind´ependemment d´ecrits par leur hamiltonien intrins`eque que l’on note Ht et Hp respectivement. Nous notons |t jtmt i les vecteurs d’´etats intrins`eques de la cible, o`u j t est le moment de spin total et mt sa projection. Tous les autres nombres quantiques n´ecessaires pour d´efinir la cible de mani`ere unique sont symbolis´es par la petite lettre capitale « t » (r´eminiscente du mot anglais Target ). Ces ´etats sont alors solution del’´equation stationnaire.

Applications

Nous pr´esentons dans ce chapitre quelques applications num´eriques de base sur des exemples simples illustrant les principaux points discut´es dans le chapitre 2. Nous commencerons par quelques observations concernant les propri´et´es des ´etats quasi-li´es inclus dans le continuum. Nous pr´esenterons ensuite les diff´erentes interactions nucl´eon-nucl´eon que nous utiliserons pour un calcul de mod`ele en couches avec couplage d’une particule aux ´etats du continuum. La spectroscopie de 17 F et 17 O ainsi que les d´ephasages de diffusion 16 O(p, p) 16O obtenus `a l’aide de ce dernier mod`ele seront ensuite analys´es.

Coupure des resonances individuelles

Nous voulons ici ´etudier les cons´equences de la nouvelle d´efinition des EQLIC pr´esent´ee dans la section (2.4.1.3). Pour plus de commodit´e, nous emploierons dans cette partie le potentiel local simplifi´e (2.141) pour g´en´erer les r´esonances individuelles. En effet, il est bien plus ais´e, num´eriquement, de trouver les ´etats r´esonnants d’un tel potentiel que ceux d’un potentiel non-local.
Deux quantit´es d’int´erˆet concernant les EQLIC sont : leur rayon carr´e moyen, et le « rayon de jonction ». Nous nous proposons d’´etudier l’´evolution de ces deux quantit´es en fonction de la largeur de l’´etat pour trois exemples. Les figures (3.1-3.3) pr´esentent les variations du rayon de jonction rm et du rayon carr´e moyen hr 2 i 1/2 en fonction de la largeur Γ de l’´etat pour les ´etats r´esonnants neutron 1p 1/2 , neutron 0d 5/2 et proton 1s 1/2 respectivement. Pour l’obtention de ces figures, nous avons choisi les paramˆetres V so = 3.5 MeV, R = 3.5 fm et d = 0.5 fm du potentiel (2.141). Nous faisons varier la position de l’´etat r´esonnant (pˆole de la matrice de diffusion) en faisant varier le paramˆetre V 0 . Enfin, dans tous ces exemples, le potentiel est g´en´er´e par une cible de masse 16 amu et de nombre de charge Zt= 8.
Nous observons les faits suivants : pour les ´etats neutrons, le rayon de jonction diverge en Γ ∼ 0 pour toutes valeurs du moment angulaire l, alors que le rayon carr´e moyen diverge pour l = 1 et admet une valeur maximale pour l = 2. Pour les ´etats protons, le rayon carr´e moyen ne diverge pas en Γ ∼ 0, c’est `a dire lorsque l’on s’approche du seuil, ce qui n’est pas le cas pour rayon de jonction.
Pour l > 1, la barri`ere centrifuge a pour effet de confiner la fonction radiale ; ce qui explique la valeur maximale du rayon carr´e moyen rencontr´ee pour l’ ´etat neutron avec l = 2. La barri`ere coulombienne a le mˆeme effet pour les ´etats proton et ce, pour toute valeur du moment angulaire. Ces propri´et´es sont typiques de celles d’un ´etat li´e, ce qui nous conforte dans l’id´ee que la nouvelle d´efinition des EQLIC est bien appropri´ee.
Pour expliquer les propri´et´es du rayon de jonction, rappelons tout d’abord que la largeur d’un ´etat r´esonnant diminue lorsque l’´energie (partie r´eelle de la position du pˆole) diminue.
Nous voyons donc que le point de raccordement entre la solution r´eguli`ere et la solution de Jost sortante (qui admet une asymptotique d’´etat li´e) diverge losque l’´energie se rapproche du seuil. Ce ph´enom`ene peut s’expliquer de la mani`ere suivante : si l’´energie a une valeur inf´erieure `a celle de la barri`ere centrifuge, alors la fonction d’onde n’admet la forme asymptotique d’onde sortante libre que bien au del`a du point tournant ext´erieur (i.e. le deuxi`eme point d’intersection entre la barri`ere et l’´energie). Alors que pour une ´energie bien sup´erieure `a celle de la barri`ere, cette forme asymptotique peut ˆetre atteinte dans une r´egion situ´ee en de¸ca du point tournant ext´erieur. Afin d’illustrer la nouvelle m´ethode de coupure des r´esonances individuelles, nous pr´esentons
fig. (3.4,3.6,3.8) les EQLIC obtenus pour les trois exemples utilis´es dans cette partie, et pour plusieurs positions de la r´esonance.

Mod`ele en couches avec un nombre arbitraire de particules peuplant les ´etats du continuum

Une approche structurelle prenant en compte le couplage d’une seule particule aux ´etats du continuum individuel m`ene ais´ement `a un probl`eme de diffusion avec r´earrangement. Une particule peuplant un ´etat du continuum a en effet une probabilit´e non-nulle d’ˆetre d´etect´ees dans la r´egion asymptotique, ce qui m`ene `a un probl`eme `a deux corps asymptotique. Lorsque deux ou plus particules peuplent les ´etats du continuum, la vari´et´e des processus de r´eaction possibles prenant en compte la structure du syst`eme devient tr`es riche, trop riche. En effet, si plusieurs particules ont une probabilit´e non-nulle d’ˆetre d´etect´ee dans une r´egion ´eloign´ee de celle de la r´eaction, toute forme d’asymptotique possible (deux, trois et plus corps) est th´eoriquement `a prendre en compte dans un calcul de voies coupl´ees.
Cependant, la s´election de certains processus, dont on sait qu’ils sont pr´epond´erants pour tels types de noyaux et pour certaines gammes d’´energie, permet en g´en´eral de simplifier consid´erablement le probl`eme. Dans ce chapitre, nous n’´ etudierons pas tous les cas de figure et nous limiterons l’application du formalisme du mod` ele en couches avec couplage aux ´etats du continuum au probl`eme standard des canaux de r´eaction coupl´es n’incluant que les partitions de masse o`u le syst`eme est scind´e en deux fragments. Il s’agit l`a d’une g´en´eralisation directe du formalisme. Cette approche est purement formelle et n’a fait l’objet d’aucune « exp´erimentation » num´erique. Il est `a noter que seul un calcul massivement parall`ele est susceptible d’en fournir des r´esultats quantitatifs.

Choix de la representation pour la resolution des equations

Comme nous l’avons mentionn´e au d´ebut de ce chapitre, nous limitons notre ´etude au probl`eme avec asymptotique `a deux fragments. Nous devons donc construire une base (repr´esentation) dans laquelle nous pouvons d´elopper la fonction d’onde du syst`eme et calculer ais´ement les ´el´ements de matrice de l’interaction r´egissant le mouvement relatif des deux fragments. Le fragment appel´e « cible » est suppos´e le plus gros, et ses vecteurs d’´etats sont d´evelopp´es dans une base de d´eterminants de Slater. Les vecteurs d’´etats du projectile sont quant `a eux d´evelopp´es dans un syst`eme de coordonn´ees intrins`eques de type hyper-sph´erique. Nous commencerons donc par introduire dans la section (4.2.2.1) les coordonn´ees hyper-sph´eriques ainsi que les harmoniques hyper-sph´eriques qui constituent une base de l’espace hyper-angulaire d’un syst`eme de particules. Nous pr´esentons ensuite, section (4.2.2.2), quelques rappels concerant la transformation entre deux syst`emes de coordon ´ees hyper-sph´eriques au moyen des coefficients de Raynal-Revai. Ces transformations sont n´ecessaires pour un calcul ais´e des ´el´ements de matrice de l’interaction, ainsi que pour la construction d’une base `a sym´etrie adapt´ee. Les vecteurs d’ ´etat du projectile doivent, tout comme ceux de la cible, satisfaire au principe de Pauli. Nous donnons donc, section (4.2.2.3), une m´ethode de construction d’une base hyper-sph´erique `a sym´etrie adapt´ee, `a l’aide de laquelle nous pouvons construire une base de l’espace hyper-angulaire, de spin et d’isospin complˆetement antisym´etrique. L’´equation de Schr¨odinger pour les ´etats li´es du projectile est alors d´evelopp´ee dans cette base, section (4.2.2.4). Enfin, dans la section (4.2.2.5), nous construisons la base `a deux fragments

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Table des matières
1 Introduction 
2 Structure et reaction dans une approche unifiee 
2.1 Champ moyen et interactions
2.1.1 Les ´equations de Hartree-Fock
2.1.1.1 Formalisme de base
2.1.1.2 Noyaux `a couches ferm´ees
2.1.1.3 Noyaux `a couches non ferm´ees
2.2 Le mod`ele en couches
2.2.1 Formalisme de base
2.2.2 M´ethode de seconde quantification
2.3 La th´eorie des r´eactions
2.3.1 Le probl`eme avec asymptotique `a deux fragments
2.3.2 Canaux d’arrangement
2.3.3 Ondes partielles et sch´ema de couplage
2.3.4 Ondes distordues et potentiel de Coulomb
2.3.5 Comportement asymptotique
2.3.6 D´ecroissance spontanee
2.3.7 Introduction de notations supl´ementaires
2.4 Le mod`ele en couches avec couplage aux ´etats du continuum
2.4.1 Etats individuels
2.4.1.1 Etats li´es, continuum et r´esonances
2.4.1.2 Equation radiale et condition de raccordement
2.4.1.3 Etats quasi-li´es inclus dans le continuum
2.4.1.4 Projecteurs et compl´etudes
2.4.2 Etats `a N -corps
2.4.2.1 Relation de compl´etude dans l’espace de Fock
2.4.2.2 Espace des ´etats li´es
2.4.2.3 Espace des ´etats avec une particule dans un ´etat de diffusion
2.4.2.4 Espaces mod`eles
2.4.3 Formalisme de Feshbach
2.4.3.1 Lien entre les espaces mod`eles et les canaux physiques .
2.4.3.2 Projecteurs et r´esolvante
2.4.4 Les ´equations g´en´erales du mod`ele en couches avec couplage d’une particule aux ´etats du continuum
2.4.4.1 Forme g´en´erale des solutions de diffusion
2.4.4.2 S´eparation de l’hamiltonien total en hamiltoniens partiels et op´erateurs de transition
2.4.4.3 Les ´equations homog`enes
2.4.4.4 Les ´equations inhomog`enes
2.4.4.5 R´esonances `a N corps
2.4.5 Les approximations du mod`ele
2.4.5.1 Les m´elanges de configurations .
2.4.5.2 Probl`emes li´es `a la troncation de l’espace de valence
3 Applications 
3.1 Coupure des r´esonances individuelles
3.2 Interaction nucl´eon-nucl´eon
3.3 Spectroscopie de 17 F et 17 O et d´ephasages de diffusion 16 O(p, p) 16 O
4 Modele en couches avec un nombre arbitraire de particules peuplant les ´etats du continuum 
4.1 Consid´erations generales
4.1.1 Espaces des canaux physiques
4.1.2 Espaces mod`eles
4.1.3 Lien entre les espaces mod`eles et les canaux physiques
4.2 Les ´equations g´en´erales du mod`ele en couches avec couplage d’un nombre arbitraire de particules aux ´etats du continuum
4.2.1 Forme g´en´erale des ´equations
4.2.2 Choix de la repr´esentation pour la r´esolution des ´equations
4.2.2.1 Coordonn´ees hyper-sph´eriques
4.2.2.2 Rotation cin´ematique
4.2.2.3 Antisym´etrisation
4.2.2.4 Etats du projectile
4.2.2.5 Construction de la base `a deux fragments
4.2.3 Les ´equations homog`enes dans la base `a deux fragments
4.2.4 Remarques sur les autres formes d’aymptotiques
5 Conclusion et perspectives 
6 Annexes 
6.1 M´ethode de r´esolution des ´equations Hartree-Fock en repr´esentation coordonn´ee . . . . . . . .
6.2 Calcul des ´el´ements de matrice `a deux corps de l’interaction nucl´eon-nucl´eon
6.2.1 Interaction de Brink-Boeker
6.2.2 Interaction spin-orbite de port´ee finie
6.2.3 Interaction coulombienne
6.3 Le code de mod`ele en couches
6.4 Matrice de couplage des ´equations homog`enes
6.5 Source des ´equations inhomog`enes
6.6 Repr´esentation radiale des solutions de l’espace Q
6.7 R´esolution des ´equations projet´ees sur le continuum individuel
6.7.1 Solution matricielle
6.7.2 Solution vectorielle
6.8 D´erivation de la r´esolvante avec un nombre arbitraire d’espaces mod`eles
6.9 Fonctions de spin-isospin `a sym´etrie adapt´ee
6.10 Projection des ´equations avec deux particules dans le continuum
6.11 El´ements de la matrice de couplage dans la partition de masse « 2 »
6.12 Exemple de calcul de sources pour les ´equations inhomog`enes

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