MODE DE COMMERCIALISATION ET DE COMMUNICATION

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SITUATION GÉOGRAPHIQUE DES COMORES

L’archipel des Comores est situé à l’entrée nord du canal de Mozambique entre Madagascar et la Côte orientale de l’Afrique, entre 11°20 ; et 13°40 de latitude Sud et 43°11 et 45°19 de longitude Est. Il est comp osé de quatre îles : Grande Comore (1148 km²), Anjouan (424 km²), Mohéli (290 km²) et Mayotte (374 km²). Seule les trois îles forment actuellement, l’Uniondes Comores avec une superficie totale de 1.862 km². Elles sont situées à égale distance de l’Afrique orientale et de Madagascar (300km). Les îles sont distantes entre lles d’environ 40 à 50 km (moins de 80 km de port à port), isolées les unes des autres par de profondes fosses sous-marines. Elles occupent une position stratégique, au cœur de la principale route de transport maritime de l’Océan Indien le long de la côte africaine. C’est un passage à haut risque de pollution en l’occurrence celle due aux déchets et gaz déversés par les pétroliers géants en provenance du Moyen-Orient vers l’Europe et l’Amérique.

L’INTÉRÊT ÉCONOMIQUE DU PROJET

L’intérêt de ce projet est d’apporter une base de données techniques, économiques et financières dans le secteur primaire particulièrement pour la pisciculture, dans l’Union de Comores.
De plus, ce projet permettra :
la valorisation d’un micro-écosystème aquatique exigeant de recycler les ressources tout en réduisant la pollution organique .
l’augmentation du produit intérieur brut (PIB) « c’est une grandeur caractéristique de l’activité économique d’un pays donné obtenu par sommation d’opération élémentaire effectué par divers acteurs de l’économie » du pays .
la création d’emplois surtout dans l’Île d’Anjouan.
La diminution du taux de chômage dans la région .
L’augmentation de la production alimentaire et des revenus.
L’ augmentation de la quantité de nourriture disponible pour la consommation humaine.

LE CHOIX DE L’IMPLANTATION

La zone prévue pour l’exploitation et pour la commercialisation sera précisement dans l’archipel des Comores sous le nouveau statut de l’union des Comores. La dimension du projet sera 60 ares pour la première année et qui augmentera au fil de temps des années avenir.
L’entreprise sera implantée précisément à Mirontsy,ville stratégique de l’île d’Anjouan et très proche de la capitale économique .
Notre choix se justifie par :
La fertilisation du sol, facteur important de la pisciculture .
L’existence de main d’œuvre qualifiée et expérimentée en pêche .
La facilité de la distribution et de la commercialisation des produits finis de l’entreprise .
La facilité de la livraison ; ce qui entraîne unediminution de charge pour le transport.

LA SITUATION DU SECTEUR PÊCHE ET AQUACULTURE AU X COMORES

Avec, en moyenne, 335 habitants au km², l’Union des Comores est un des pays à forte densité de la population. En 1999, la population comptait 551 809 habitants, dont 69% des ruraux. La population des Comores croît à un rythme annuel moyen de l’ordre de 2,7%. Cette forte augmentation de la population nécessite l’accroissement équivalent de la production agricole pour maintenir «en l’état» la situation alimentaire. Un tel défi nécessiterait une politique très volontariste et ne pourrait se réaliser que dans de rares cas fondés sur une intensification massive fréquemment liée à des possibilités d’extension dessuperficies cultivées. La pêche a donc un rôle important pour fournir une alimentation à une population dont 33% se trouvent dans une situation de «pauvreté alimentaire absolue». Ce rôle est d’autant plus important que la viande qui est en très grande majorité importée.
Malheureusement, le poisson reste une denrée trop chère pour la population pauvre, en période de faible production (où le prix augmente), mais aussi en période de forte production par faute d’infrastructures de stockage et d’écoulement. Le poisson est ainsi écoulé presque exclusivement frais. La filière de commercialisation est relativement récente et liée à l’introduction des moteurs sur les pirogues à partir de 1985. En effet, l’évolution de la production a permis de créer le métier de «revendeur». Dans tous les cas, la filière de comme rcialisation est très courte, avec peu d’intermédiaires. Le développement récent de lapêche a permis la création de nombreux emplois, aussi bien au niveau de la production, qu’au niveau de la commercialisation. Aujourd’hui, on estime 8 500 emplois de pêcheurs et 24 000 emplois indirects (chantiers navals, commercialisation, magasins de matériels, etc.).

LE PROJET D’ÉLEVAGE EN ÉTANG

L’objectif principal de ce projet est l’étude de al faisabilité technique d’un élevage de carpe en étang. L’espèce choisie sera particulièrement pour la carpe royale. D’après notre enquête, cette espèce sera fortement appréciée par la population comorienne.
L’étude de notre projet comprend en réalité un cycle non complet d’élevage (alevinage et grossissement). La production d’alevins (reproduction) s’y ajoutera au fur et à mesure de l’évolution commerciale de l’entreprise.

ORGANISATION STRUCTURELLE

L’organisation générale consiste à mettre en placeune gestion de ressource humaine dans l’entreprise pour bien maîtriser les activités surtout sur le plan financier et économique. Nous aborderons l’étude de la structure organisationnelle qui embrasse la définition et la présentation graphique de l’organigramme ,la description des principales fonctions du personnel, la composition et l’évolution de l’effectif ,les charges du personnel et la rémunération.

PISCICULTURE DE TRANSFORMATION

L’aquaculture d’eau douce de transformation présente principalement une structure d’élevage de forme allongée en terre ou en béton, où l’eau joue le rôle de support de poisson. Sur ce type piscicole, l’alimentation est entièrement exogène. Elle doit satisfaire en générale tous les besoin nutritifs des poissons.
En outre, elle consiste souvent la transformation d’un produit de haute valeur biologique et sensiblement identique. La fabrication des aliments d’alevins disponibles localement permet à la pisciculture d’ê tre économiquement efficace.
Pour créer un environnement favorable au développement de la pisciculture ,trois étapes doivent être franchies à savoir :
L’autonomie de la production : la production de poisson se maintient indépendamment du projet . l’autonomie de développement : les nouveaux pisciculteurs sont pris en charges par la profession . l’autonomie de l’interprofession doit être en mesu re de défendre ses intérêts devant les autres acteurs de la société civile.

ÉTANGS NÉCESSAIRES DU PROJET PISCICOLE

Dans l’étang, les alevins sont élevés dans des cages flottantes avant d’être lâchés dans l’étang. La densité de mise en charge des étangs est de 20 poisson/m2.
Il est nécessaire de préparer les étangs avant la mise en charge en y appliquant du fumier sur le fond à un taux de 200g/m2 pour stimuler la fertilité de l’étang et par conséquent la croissance des poissons. Donc, on utilise parfois des aliments complémentaires, mais les algues et les animaux microscopiques constituent la nourriture idéale des alevins. Il est nécessaire de fertiliser l’étang d’alevinage, la fertilisation se fait par le remplissage du compost avec les résidus végétaux et des déjections animales.

ÉTANG DE CROISSANCE OU GROSSISSEMENT

L’étang de croissance est destiné à acquéllir des alevins de 1mois et plus. Ce type d’élevage pour la croissance des carpes dépend des conditions climatiques et des demandes du marché. Mais, la carpe commune est produite généralement en monoculture. En pisciculture, un poisson de 500g est produit à huit mois.
Dans la pratique, on accroit la production alimentaire naturelle en ajoutant de l’engrais. La carpe commune se développe le mieux dans des densités de 1 à 2 poissons par m² de surface d’eau.

Maladies infectieuses

Les maladies infectieuses sont transmises d’un étang à l’autre par l’introduction de nouveaux poissons ou par le paysan et son équipement.

PRÉVENTION DES MALADIES

Le pisciculteur doit concentrer son attention sur la prévention des maladies. Une fois la maladie s’est introduite dans l’étang. Il est difficile à la faire sortir dans l’étang. Le traitement est souvent difficile et exige beaucoup de temps et d’argent. Une bonne qualité de l’eau (riche en oxygène) et une bonne alimentation sont les principaux facteurs de santé nécessaires pour résister aux maladies. Pour pouvoir bien prévenir les maladies ou les contrôler, on doit observer les règles fondamentales suivantes :
Les entrées et sorties d’eau doivent être indépendantes pour chaque étang.
les poissons ne doivent pas souffrir de stress pour pouvoir résister aux maladies, il faut respecter la densité d’empoissonnement .
les poissons doivent donc toujours être élevés dans de bonnes conditions par exemple, ils doivent séjourner dans une eau riche en oxygène, au pH correct, et pauvre en ammoniac.

STRATEGIE DE PRODUCTION DE LA CARPE

D’après l’étude des conditions climatiques piscicoles ( par exemple la variation des températures, la fertilisation du sol, etc. ) et celui de marché, on a constaté que, dans une année, la ferme peut réaliser deux récoltes. Le cycle de production s’étale sur deux saison de l’année et seprésente comme suit :
La première saison de novembre de l’année N à Avril de l’année N+1 donne moins de rendement. La deuxième, mai à octobre de l’année N+1 donne une production plus rentable.
Cet écart de rendement entre les deux saisons de production ou s’explique par la variation de température aux Comores.

RECOLTE DE LA CARPE

Comme dans tous les autres types de l’aquaculture, la phase finale du cycle de la pisciculture est la récolte et la vente éventuelle du produit. Le commencement de la récolte s’effectue lorsque la plupart des poissons sont assez grands pour être mangés et vendus (après 5 ou 6 mois). La récolte doit se faire tôt par exemple le matin. Deux manières de récolter les poissons : la récolte totale ou une seule fois et la récolte partielle où l’on les retire sélectivement tout au long de l’année. On retire généralement les gros poissons et on laisse les petits continuer leur croissance. On utilise souvent dans cette méthode « un filet seine». Il s’agit de suspendre dans l’étang le filet, les poissons essayent de passer à travers les mailles. Ce type de filet attrape seulement les plus gros poissons et laisse traverser les poissons de plus petites tailles.
On les récolte dans de bonnes conditions en évitan d’endommager leur peau et en agissant rapidement pour qu’ils restent frais. Pour cette protection, on utilise plus souvent le filet seine avec des mailles de 1 cm. On étend le filet sur la digue. Puis on le ramène sur la digue. Puis on le ramène sur la digue en capturant les poissons.
Il y a différentes sortes de filets à utiliser comme matériaux de récolte du poisson : filet seine, filet à relever, filet écope, filet à lancer.
Après chaque usage, les filets doivent être lavés, réparés, séchés à l’ombre, pliés et rangés dans un endroit frais et sec. Un filet bien entretenu durera beaucoup plus longtemps.
Après la récolte, on laisse sécher l’étang jusqu’àce que le fond se crevasse pour éliminer les prédateurs et les plantes indésirables dans le fond de l’étang.

ÉTUDE DU COMPORTEMENT DES CONSOMMATEURS

Les produits en aquaculture sont aussi très utiles pour le régime alimentaire de la population comorienne. Cette étude nous permet d’identifier les consommateurs rationnels qui cherchent à tirer le maximum de satisfaction et de minimiser leurs dépenses. L’objectif de notre enquête est de chercher à déterminer pourquoi un consommateur achète ou non un produit. Ceci consiste à savoir le type de consommateur qui est le non consommateur relatif ; C’est-à-dire les consommateurs (comoriens) n’ont pas seulement l’habitude de consommer ces produits piscicoles. Cependant, d’après nos enquêtes, ils pourront s’adapter dans les années avenir.

SENSIBILISATION DES CONSOMMATEURS

La sensibilisation des consommateurs consiste à éveiller l’attention et à susciter l’intérêt des poissons en eau douce. Elle permet, à l’aide de la communication, de faciliter l’écoulement et la vente en grande quantité de nos produits alimentaires. Il est très important de faire connaître à nos clients l’existence, la performance et les avantages des poissons en pisciculture par une campagne de communication et de sensibilisation. Exemple : la publicité, l’affichage, la carte de visite, etc.

MODE DE COMMERCIALISATION ET DE COMMUNICATION

Mode de commercialisation

Le produit piscicole va se vendre aux alentours de l’Archipel des Comores et aussi à Mayotte .Pour la livraison, on se servira d’une voiture pour les clients dans chaque île ; et pour les autres clients, il devraity avoir un accord entre les deux parties, sur le mode de livraison.
Et pour ce qui est du mode de règlement, les ventes se font toujours au comptant soit en argent liquide soit par chèque.

Mode communication

Il s’agit alors de la façon dont l’entreprise doit faire connaître au public son existence, son produit piscicole qu’elle vend et sa performance. Cela entraine l’augmentation de la quantité vendue (part du marché).
A ce propos, l’entreprise va travailler en collaboration avec les médias des îles comoriennes pour les publicités radio-télé diffusées. En plus, l’entreprise fera publier des affiches partout, et surtout dans les zones cibles.
Cette première partie nous a permis la présentation du projet, l’étude technique du projet et l’étude du marché.

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Table des matières

LISTE DES ABRÉVIATIONS, DES SIGLES, ET DES ACRONYMES GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE: ETUDE PRÉALABLE DU PROJE
CHAPITRE I: PRÉSENTATION DU PROJET
SECTION I : GÉNÉRALITÉS SUR L’UNION DE COMORES
§1. CONTEXTE GÉNÉRAL
§2.CLIMAT
§3.LE TYPE DU SOL AUX COMORES
§4. RELIEF
§5. POPULATION
§6. SITUATION GÉOGRAPHIQUE DES COMORES
SECTIONII: CARACTERISTIQUES DU PROJET
§1. LE STATUT DE LA SOCIÉTÉ
§2 .LES SITUATIONS JURIDIQUES
§3. MISSION DU PROJET
§4. L’INTÉRÊT ÉCONOMIQUE DU PROJET
§5. LE CHOIX DE L’IMPLANTATION
SECTION III : CONTEXTE ET ENVIRONNEMENT
§1. LA SITUATION DU SECTEUR PÊCHE ET AQUACULTURE AUX COMORES
A- RÔLE ECONOMIQUE DE LA PÊCHE 1
B- PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT
C – AQUACULTURE AUX COMORES
§2. LE CHOIX DE L’AQUACULTURE
§3. LE PROJET D’ÉLEVAGE EN ÉTANG
SECTION IV : ORGANISATION STRUCTURELLE
§1. DÉFINITION
§2 La représentation graphique de l’organigramme
§3. DESCRIPTION DES PRINCIPALES FONCTIONS DU PERSONNEL
A- LE GÉRANT
B- LE CHEF FINANCIER /COMPTABLE
C-LE CHEF COMMERCIAL
D- LE CHEF TECHNIQUE D’ÉLEVAGE
E- L’OUVRIERS
F – LE CHAUFFEUR
G- LE GARDIEN
H- LE PERSONNEL OCCASIONNEL
§5. L’EFFECTIF DU PERSONNEL
§6. CHARGES DE PERSONNEL
§7. DIAGRAMME DE GANTT
CHAPITRE II : ÉTUDE TECHNIQUE DU PROJET
SECTION I : GÉNÉRALITÉS SUR LA PISCICULTURE
§1. NOTION DE LA PISCICULTURE
§2. HISTOIRIQUE
§3. DIFFÉRENTS TYPES DE PISCICULTURE
A – PISCICULTURE DE PRODUCTION
B- PISCICULTURE DE TRANSFORMATION
SECTION II : PRINCIPES PISCICOLES
§1. PLANIFICATION DU SITE
A – CHOIX DE SITE
B- L’EAU
C- LE SOL
§2. CONCEPTION DE L’ÉTANG
A- DÉFINITION
B- CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES DE L’ÉTANG
a)Taille et forme
b) Profondeur
c) Digues de l’étang
d) Volume total d’eau
e) Tuyaux d’étang
f) compostière
§3. ÉTANGS NÉCESSAIRES DU PROJET PISCICOLE
A- ÉTANG D’ALEVINAGE
B -ÉTANG DE CROISSANCE OU GROSSISSEMENT
SECTION III : TECHNIQUE DE PRODUCTION EN PISCICULTURE
§1. LE CHOIX DES ESPÈCES À ÉLEVER POUR LE PROJET
A) Carpe
B) choix de l’espèce
§2. ALIMENTATION DE LA CARPE
A- COMPOSITION DES ALIMENTS
a) Nourriture naturelle
b) Nourritures artificielles ou complémentaires
B- DISTRIBUTION DES ALIMENTS DE LA CARPE
a) Fréquence
b) Quantité
§3. ASPECT SANITAIRE
A-MALADIES DE LA CARPE
a) Maladies nutritionnelles
b) Maladies infectieuses
B- PRÉVENTION DES MALADIES
§4. STRATEGIE DE PRODUCTION DE LA CARPE
A – CYCLE DE PRODUCTION
B- PRODUCTION ENVISAGÉE
a) Production annuelle
b) Chiffre d’affaires projeté
§5. RECOLTE DE LA CARPE
§6. ENTRETIEN ET SUIVI DE L’ÉTANG
CHAPITRE III ÉTUDE DE MARCH
SECTION I : ÉVALUATION DU MARCHÉ
§1. PRODUIT ÉTUDIE
§2. ZONE D’ÉTUDE
§3. RÉSEAU DE DISTRIBUTION
SECTION II : ANALYSE DE L’OFFRE ET LA DEMANDE
§1. ANALYSE DE L’OFFRE
A- SITUATION LOCALE
B – DÉFINITION DU CONCURRENT
C – PRIX DU PRODUIT
D – TECHNIQUE DE VENTE ET STRATÉGIE DE DISTRIBUTION
§2. ANALYSE DE LA DEMANDE
A- CLIENTÈLE CIBLE
B- ÉTUDE DU COMPORTEMENT DES CONSOMMATEURS
C- SENSIBILISATION DES CONSOMMATEURS
D- MODE DE COMMERCIALISATION ET DE COMMUNICATION
a) Mode de commercialisation
b) Mode communication
DEUXIÈME PARTIE : ETUDE PRÉALABLE DU PROJET
CHAPITRE I : ÉTUDE FINANCIERE
SECTION I : LES SOURCES DE FINANCEMENT
§1. L’AUTOFINANCEMENT
§2. LES PRÊTS AUPRES DES INSTITUTIONS FINANCIERES
A- LES BANQUES
B- LES « SANDUK » (CAISSE D’ARGENT) ET LES « MECC » (MUTUELLES D’EPARGNE ET LES CREDITS DES COMORES)
SECTION II : COÛT DES INVESTISSEMENTS NÉCESSAIRES AU PROJET 59
§1. TERRAIN
§2. CONSTRUCTION
§3. FRAIS DE LANCEMENT
§4. MATÉRIELS ET OUTILLAGES D’EXPLOITATION (MOE)
§5. INSTALLATIONS GÉNÉRALES, AGENCEMENTS, AMENAGEMENTS (IAA)
§6. MATÉRIEL DE TRANSPORT
§7. MATÉRIELS INFORMATIQUES ET MATÉRIELS DE BUREAU (MIMB) 61
SECTION III : TABLEAU D’AMORTISSEMENT ET D’EMPRUNT
§1. VALEURS RÉSIDUELLES
§2. AMORTISSEMENTS ANNUELS
a) Amortissement de construction
b) Amortissement de frais lancement
c) Amortissement d’Installations générales, Agencements, Aménagements (IAA)
d) Amortissement de matériel de transport
e) Amortissement de Matériels Informatiques et Matériels de Bureau (MIMB)
§3. LE PLAN DE REMBOURSEMENT DE L’EMPRUNT
SECTION IV : PLAN DE FINANCEMENT
§1. LE BILAN D’OUVERTURE
§2. LE FONDS DE ROULEMENT
A- ACHAT CONSOMMÉ
B- MATIÈRES ET FOURNITURES NON STOCKÉES
C- CHARGES EXTÉRIEURES
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITÉ
SECTION I : LES COMPTES DE GESTION
§1. LES COMPTES DE CHARGES
A – ACHAT CONSOMMÉ
a) Achat des aliments des carpes
b) Achat de matières premières
c) L’eau et électricité
d) Fournitures de bureau
e) Carburant
B- SERVICES EXTÉRIEURS ET AUTRES
a) Publicité, publication, relations publiques
b) Frais postaux et de télécommunications
c) Frais de transport de bien et du personnel
d) Entretien et réparation
C-IMPÔT, TAXES ET VERSEMENTS ASSIMILÉS
D – CHARGES DE PERSONNEL
E-LES CHARGES FINANCIÈRES (voir tableau de remboursement des dettes)
F- LES DOTATIONS AUX AMORTISSEMENTS (voir tableau des amortissements)
G – L’IMPÔT SUR LES BÉNÉFICES DE SOCIÉTÉS (IBS)
§2. LES COMPTES DE PRODUIT
SECTION II : LE PLAN DE TRÉSORERIE
§1. LA PRÉVISION DE TRÉSORERIE
§2. LE TABLEAU DES FLUX NETS DE TRÉSORERIE
§3. LE PLAN DE FINANCEMENT
CHAPITRE III : ÉTUDE DE LA FAISABILITE
SECTION I : LES COMPTES DE RÉSULTAT PRÉVISIONNELS
SECTION II : LES BILANS PRÉVISIONNELS
CHAPITRE IV : ÉVALUATION FINANCIÈRE DU PROJET
SECTION I : ÉVALUATION FINANCIÈRE
§1. LA VALEUR ACTUELLE NETTE (VAN)
§2. L’INDICE DE PROFITABILITÉ (IP)
§3. LE TAUX DE RENTABILITÉ INTERNE
§ 4. LE DÉLAI DE RÉCUPÉRATION DU CAPITAL INVESTI (DRCI)
§5. SEUIL DE RENTABILITÉ
A-CHARGES VARIABLES
B – CHARGES FIXES
C – CALCUL DUSEUIL DE RENTABILITÉ
SECTION II : LES RATIOS DE RENTABILITÉ
§1. RATIO DE MARGE D’EXPLOITATION
§2. RATIO DE RENTABILITÉ DE CAPITAUX PROPRES
§3. RATIO DE L’AUTONOMIE FINANCIÈRE
SECTION III : ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
§1. ÉVALUATION ÉCONOMIQUE
A-RATO DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE (R1)
B- RATIO DE LA STRUCTURE DES ACHATS (R2)
§2 : ÉVALUATION SOCIALE
A-CRÉATION D’EMPLOI
B-PERTINENCE DU PROJET
C- PERSPECTIVES D’AVENIR
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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