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Caractéristiques structurelles
Parmi ces caractéristiques structurelles du projet figurent la structure juridique et la structure financière qui identifient à la fois la nature de l’entreprise, l’objet du projet et ses particularités financières vis-à-vis de l’Administration et des créanciers de l’entreprise. La forme juridique retrace en effet tous les cadres globaux de l’environnement des affaires d’une part et les droits et obligations y afférents d’autre part. Ensuite, la structure va garantir l’équilibre et la stabilité des comptes de l’unité et la crédibilité de ses transactions avec les tiers et partenaires financiers.
Structure juridique
L’Unité Séricicole « TOJONIAINA » sera inscrit dans les immatriculations des SARL Unipersonnelles dans lesquelles une seule personne actionnaire et gérant de ladite société assurerait toutes les conditions relatives aux aspects juridiques. Toutes les obligations, tous les actes et responsabilités reviennent au gérant propriétaire. Le fonctionnement d’une SARL Unipersonnelle quant à son administration et direction, se situe entre celui de la société anonyme et le mécanisme des sociétés de personnes. Faisant du processus des SA, lorsqu’une SARL Unipersonnelle s’administre par le biais d’un Conseil d’Administration et aussi lorsqu’elle se basera sur des parts en capitaux. Tandis qu’elle fonctionne comme des sociétés de personnes quand elle dépend de la personnalité du gérant propriétaire, c’est-à-dire dès que le propriétaire d’une SARL Unipersonnelle va généralement décider depuis l’orientation politique de la société jusqu’à sa dissolution.
Ses spécificités sont ainsi multiples :
– la libération totale des apports promus, ce n’est pas le cas pour les SA où la libération partielle du capital est courante ;
– elle vient de la gestion à la façon allemande
Structure financière
Les moyens financiers conditionnent l’avenir d’une unité de production. Il est illusoire d’imaginer le probable bon fonctionnement d’un centre à zéro capital. La bonne marche d’une entreprise est en partie assurée par les apports en capitaux propres, et en emprunts si nécessaires. Comme le montre le bilan d’ouverture du centre, la stabilité et l’équilibre sont confirmés et incontestables.
Le capital social confond avec les capitaux propres de montant de Ar 106 680 000,00. Ainsi le montant du capital investi n’est autre que les actifs non courants qui s’élèvent à Ar 320 600 000,00.
En fait, les dispositions sauvegardent la stabilité du capital sont le statut et les textes législatifs et réglementaires sur les sociétés commerciales. Et le principe de l’équilibre est prévu dans les cours théoriques de la comptabilité et le Plan Comptable Général ou PCG 2005. En ce qui nous concerne, le tableau ci-dessus nous montre l’équilibre entre actifs et passifs au montant de Ariary 355 600 000,00.
PRESENTATION DE LA ZONE D’IMPLANTATION
Dans cette présentation de la zone d’implantation, nous nous intéressons à la situation géographique et climatique, au relief et la situation démographique et humaine, économique et sociale de la zone de Rangaina.
Situation géographique
Nous allons implanter notre unité séricicole dans la zone de Rangaina ILAFY plus précisément dans la Commune Rurale de FIAFERANA possédant une superficie de 208 km2 dans le District d’ANTANANARIVO AVARADRANO, Région d’Analamanga.
Elle est entourée :
– au Nord par la Commune de Viliahazo
– au Sud par la Commune d’Ambohimangakely
– à l’Est par la Commune d’Ambohimalaza
– à l’Ouest par la Commune de Manandriana
Climat
La région de Rangaina ILAFY est une zone soumise au climat des hautes terres centrale malgache et qui est climat tropical d’altitude. Le climat ne diffère pas de celui de la Capitale avec une température moyenne de 27°C. La saison pluvieuse et chaude, parce que accompagnée d’une légère hausse de température, dure six mois du mois d’Octobre jusqu’au mois de Mars où la précipitation dépasse généralement les 900mm de pluie pouvant atteindre plus de 1500mm pendant la période cyclonique de Décembre à Mars. Puis du mois d’Avril au mois de Septembre, pendant six mois s’étend la saison sèche et fraîche qui accuse une baisse de la précipitation inférieure à 100mm et aussi de la température descendant jusqu’à 10°C.
A 1 400 m d’altitude, le relief de la zone de Rangaina est un paysage de collines aux sommets arrondis, couvert de bozaka. Cet enchaînement de collines est coupé de petites vallées étroites où de petits ruisseaux prennent sources constituant par la suite un système hydrographique assez dense affluent de l’Ikopa. Le sol est caractérisé par une terre rouge latéritique peu fertile avec des affleurements rocheux par endroits, des roches granitiques précambriennes.
Situation démographique
La zone de Rangaina ILAFY fait partie de la Commune Rurale de FIAFERANA relativement moins peuplée. Selon la statistique communiquée par la Commune Rurale de FIAFERANA, le nombre estimatif de la population en 2006 s’élève à 14 985 habitants soit une densité de 72 hab. / km2. Deux facteurs constituent les principales causes de cet état : la croissance démographique plus ou moins ralentie et l’immigration peu nombreuse, d’ailleurs l’exode rural affecte surtout les jeunes qui vont s’installer dans la Capitale toute proche à peine 20 km. Ce n’est pas une zone de prédilection de la migration, mais les quelques migrants qui viennent s’y installer sont surtout attirés par cette contrée à cause de l’existence de terrains domaniaux assez vastes non encore mis en valeur relativement faciles à s’approprier.
La structure démographique est marquée par la prédominance des moins de 15 ans à 45% de la population soit 6 743 habitants et des plus de 40 ans à 30% soit 4 496 habitants, les personnes de 15 à 40 ans ne constituent que 25% seulement soit 3 746 habitants, en raison sans doute de la migration de cette catégorie de personnes vers la ville pour continuer leurs études après l’enseignement primaire et pour y travailler jusqu’à leur retraite.
Quant à l’aspect ethnique de la population de Rangaina ILAFY, il faut noter une occupation ethnique dominée par les Merina. Actuellement toutefois, une arrivée, encore timide certes mais qui s’amorce réellement, de nouveaux migrants de différentes ethnies principalement de Betsileo et de Sihanaka commence à s’affirmer.
En ce qui concerne la religion, les églises catholiques et protestantes y sont édifiées en nombre important. Presque chaque village possède son église et son temple. La montée des églises évangéliques communément appelé secte ne gagne pas encore cette zone de Rangaina. Bien que certains natifs de Rangaina migrants en ville ont adopté ces religions, lorsqu’ils reviennent aux villages ils embrassent toujours les religions structurées de leur origine catholique ou protestante.
ETUDE DE MARCHE ET ASPECTS MARKETING DU PROJET
Nous allons parler ici du marché séricicole à Rangaina ILAFY. L’étude a été effectuée à partir de l’analyse de l’offre et de la demande en produits séricicoles en tenant compte de la stratégie marketing à adopter et du système de marketing mix.
DESCRIPTION DU MARCHE VISE
Pour mieux décrire le marché visé, nous allons voir son histoire, ses caractéristiques et sa capacité d’absorption du produit séricicole.
Historique du marché visé
L’étude de marché est l’ensemble des techniques et des méthodes utilisées pour recueillir des données, des informations fiables et pertinentes sur un produit ou un service donné en vue de prendre une décision permettant de rentabiliser l’activité de l’entreprise.
Le marché des produits séricicoles dans la Commune Rurale de FIAFERANA, dans le District d’Antananarivo Avaradrano a connu autrefois un dynamisme appréciable bien que les vers à soie et les cocons exploités étaient d’origine sauvage. Les filatures et les tisseurs étaient disséminés un peu partout dans la région car ils étaient surtout constitués d’exploitation traditionnelle familiale. Nos ancêtres ont pu ainsi tisser des étoffes de soie servant de pagne et de lamba pour les vivants et de linceuls pour les morts. Seulement l’élevage du vers à soie étant introduit à Madagascar, dans les régions du Vakiniadiana, de l’Imamo et du Vakinankaratra, a progressivement fait disparaître l’exploitation des cocons sauvages à Rangaina. Les autorités coloniales ont introduit cet élevage du ver à soie pour rivaliser les productions asiatiques qui sont très développées et de très haute qualité.
A partir de l’indépendance, une timide reprise s’est opérée mais vite estompée puisque les produits importés ont gagné du terrain. Cette situation s’est aggravée pendant la deuxième république, à l’heure du régime de la révolution socialiste, parce que les sériciculteurs ont abandonné leurs exploitations au profit des cultures vivrières puisque les nourritures des familles étaient plus urgentes que celles des vers à soie.
Actuellement un nouveau souffle ranime l’activité séricicole dans la région puisque les cultures de mûriers réapparaissent un peu partout, signifiant certainement un regain d’assurance en la matière.
L’avenir de la région est certain, le passage de la route goudronnée influence davantage le développement. C’est un des axes où la ville d’Antananarivo va s’étendre dans le cadre de l’aménagement du « Grand Tana ». Le plan communal de développement ou PCD de la Commune Rurale de FIAFERANA inclut les sensibilisations et les actions incitant à la création des entreprises par des facilités d’octroi de terrain. Ces mesures contribueraient certainement davantage au développement de la Commune qui saigne par la fuite des mains d’œuvre et des intellectuels.
Le développement des activités économiques pour être durable doit s’adapter aux conditions locales de la région, donc intégré aux besoins de la communauté considérée. Ces conditions s’apprécient en terme des ressources, climat, géographie, mode de vie et de tout ce qui pourrait influencer ou ralentir le développement de l’unité économique.
Caractéristiques du marché visé
Le marché des produits séricicoles de Rangaina est encore en phase de reprise. Ceux de l’Imamo et du Vakinankaratra prédominent et les supplanter apparaît très rude et à long terme. Si Rangaina veut les dépasser, alors il lui faut exploiter tous ses atouts, en particulier sa situation géographique proche de la Capitale grosse consommatrice de produits séricicoles puisque même les étrangers viennent s’en approvisionner à Antananarivo.
Outre sa proximité de la ville d’Antananarivo, le marché de Rangaina peut contrôler progressivement les marchés de la partie septentrionale d’Antananarivo, c’est-à-dire toutes les zones séricicoles de la région d’Analamanga, en polarisant les activités productrices de cocons, de fils, de tissus et même le commerce des produits finis et articles en soie comme les vêtements, sacs, écharpes et cravates… Le marché de Rangaina possède les potentiels nécessaires à cette conquête, en mettant en valeur la tradition et les expériences séricicoles qui le distinguent.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
Section 1 : PRESENTATION DE LA SERICICULTURE
1.2. Soie, matière noble
1.3. Animaux producteurs de soie
Section 2 : CARACTERISTIQUES DU PROJET
2.1. Caractéristiques techniques du projet
2.1.2. Intérêts
2.1.3. Inventaire des applications possibles
2.2. Caractéristiques structurelles
2.2.1. Structure juridique
2.2.2. Structure financière
2.2. Climat
2.3. Situation démographique
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE ET ASPECTS MARKETING DU PROJET
Section 1 : DESCRIPTION DU MARCHE VISE
1.1. Historique du marché visé
1.2. Caractéristiques du marché visé
1.3. Capacité d’absorption du marché visé
Section 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
2.1. Caractéristiques du produit à offrir
2.1.1. Qualité de l’offre
2.1.2. Produits à offrir
2.1.3. Caractéristiques commerciales de l’offre
2.1.4. Caractéristiques économiques de l’offre
2.2. Clientèle cible
2.3. Services associés à l’offre
2.4. Evolution de l’offre globale
Section 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
3.1. Attentes de la clientèle potentielle
3.2. Degré de satisfaction de la clientèle potentielle
3 .3. Volume de la demande globale
3.4. Demande de la Région
Section 4 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
4.1. Taille de la concurrence à Rangaina ILAFY
4.2. Appréciation de la concurrence extérieure
4.3. Capacité de réaction des concurrents
4.4. Part de marché disponible
Section 5 : ASPECTS MARKETING DU PROJET
5.1. Stratégies marketing de l’Unité
5.1.1. Un effort de rationalité
5.1.2. Aspect dialectique de la démarche
5.1.3. Hiérarchisation des diverses décisions
5.1.4. Stratégies possibles
5.2. Politiques marketing de l’Unité
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Section 1 : OUTILS D’EVALUATION
1.1. La Valeur Actuelle Nette ou VAN
1.1.1. Définition
1.1.2. Interprétation
1.2. Le Taux de Rentabilité Interne ou TRI
1.2.1. Définition
1.2.2. Formule
1.2.3. Interprétation
1.3. La Durée de Récupération des Capitaux Investis ou DRCI
1.3.1. Définition
1.3.2. Formule
1.3.3. Interprétation
1.4. L’Indice de Profitabilité
1.4.1. Définition
1.4.2. Interprétation
Section 2 : CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
2.1. Pertinence
2.2. Efficacité
2.3. Efficience
2.4. Durabilité et viabilité du projet
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1 : MORICULTURE
1.1. Conditions physiques
1.1.1. Température
1.1.2. Précipitation
1.1.3. Lumière
1.1.4. Sol
1.2. Mode de plantation
1.2.1. Distance entre les plantes
1.2.2. Tranchée de la plantation
1.3. Entretiens
1.3.1. Fertilisation
1.3.2. Coupe
1.4. Mode de multiplication du mûrier
1.5. Production
Section 2 : ELEVAGE DU VER A SOIE
2.1. Cycle évolutif
2.2. Croissance du ver à soie
2.3. Facteurs qui influencent l’élevage
2.3.1. Température et humidité
2.3.2. Hygiène
2.3.3. Maladies des vers à soie
2.4. Elevage proprement dit
2.4.1. Incubation des oeufs
2.4.2. Elevage
2.5. Conduite d’élevage
2.5.1. Espace à donner aux vers
2.5.2. Alimentation
2.5.3. Mue et manipulation des vers
2.5.4. Délitage
2.6. Notion de production et grainage
Section 3 : MISE EN PLACE DES INFRASTRUCTURES
3.1. Eléments constitutifs de l’unité
3.1.1. Matériels agricoles
3.1.2. Matériels de nettoyage
3.1.3. Matériels et mobiliers de bureau
3.1.4. Matériels informatiques
3.1.5. Matériels et outillages
3.1.6. Matériels de transports
3.2. Construction et installations
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : CAPACITE DE PRODUCTION
1.1. Différents produits de l’unité
1.2. Planning de production
Section 2 : ASPECTS QUALITATIFS ET QUANTITATIFS
2.1. Caractéristiques des cocons
2.2. Déblayage
2.3. Taille du cocon
Section 3 : DIFFERENTS FACTEURS LIES A LA PRODUCTION
3.1. Protection des larves au cours de la montée
3.2. Séchage du cocon
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
Section 1 : ORGANIGRAMME
1.1. Description des postes
1.1.1. Poste du Gérant
1.1.2. Administration et conception
1.1.3. Responsable Marketing
1.1.4. Comptable
1.1.5. Responsable de production
1.1.6. Ouvriers
1.2. Style de direction adopté
1.3. Organigramme
Section 2 : ORGANISATION DE TRAVAIL
2.1. Organisation du système de production
2.2. Gestion des ressources humaines
2.2.1. Politique de personnel
2.2.2. Administration du personnel
2.2.3. Motivation du personnel
2.2.4. Rémunération du personnel
2.3. Organisation administrative
Section 3 : CHRONOGRAMME D’ACTIVITE
3.2. Durée de réalisation
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : COUT DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : COUT D’INVESTISSEMENT
1.1. Investissements initiaux
1.1.1. Signification de l’investissement
1.1.2. Facteurs déterminants de l’investissement
2.2. Fonds de roulement initial
2.2.1. Analyse du fonds de roulement
Section 2 : TABLEAUX D’AMORTISSEMENTS
Section 3 : PLAN DE FINANCEMENT
3.1. Paramètres considérés
3.2. Tableau de financement
Section 4 : REMBOURSEMENT DES DETTES
4.1. Apports propres
4.2. Emprunts à moyen ou à long terme
4.3. Amortissements financiers et remboursement des dettes
4.3.1. Proportion des emprunts
4.3.2. Tableau de remboursement des dettes
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE ET DE RENTABILITE
Section 1 : COMPTES DE GESTION
1.1. Comptes des produits
1.2. Comptes des charges
1.2.1. Achats consommés
1.2.2. Services extérieurs et autres services extérieurs
1.2.3. Charges des personnels
1.2.4. Charges financières
1.2.5. Dotations aux amortissements et aux provisions
1.2.6. Impôts et versements assimilés
1.2.7. Autres charges des activités ordinaires
Section 2 : BILANS PREVISIONNELS
2.1. Bilan d’ouverture du projet
2.2. Actifs des bilans prévisionnels
2.3. Passifs des bilans prévisionnels
Section 3 : COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
3.1. Comptes de résultats par nature
3.2. Comptes de résultats par fonction
Section 4 : TABLEAUX DE FLUX DE TRESORERIE
4.1. Méthode directe
4.2. Méthode indirecte
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : EVALUATION ECONOMIQUE DU PROJET
1.1. Création de la valeur ajoutée
1.2. Création d’emploi
1.3. Développement de la Région
1.4. Valorisation des ressources locales
Section 2 : EVALUATION SELON LES OUTILS ET SELON LES CRITERES
2.1. Evaluation selon les outils
2.1.1. La Valeur Actuelle Nette (VAN)
2.1.2. Le Taux de Rentabilité Interne (T.R.I)
2.1.3. La Durée de Récupération des Capitaux Investis
2.1.4. L’Indice de Profitabilité (I.P)
2.2. Evaluation selon les critères
2.2.1. Pertinence
2.2.2. Efficacité
2.2.3. Efficience
2.2.4. Durabilité et viabilité du projet
2.2.5. Impacts du projet
Section 3 : CADRE LOGIQUE DU PROJET
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIES
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